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Préface au mémoire du 11 septembre 2006

TF1 Sans aucun doute :

Video de sans aucun doute du 12 mai 2000 censurée sur ordre du Ministre français de l’INPI Dominique $TRAU$$-KAHN

Al Arab Tower – Dubai

L’une des réalisations dans le Golf (1994), financée par les fonds escroqués à FERRAYE…
Conception initiée au Bureau des Frères Jean-Pierre et Louis COHEN à Nice, parenté de Elia COHEN, chef  des CNRS pour la France
Complices du Gouvernement français agissant au travers des mandataires Escrocs de FERRAYE – GEBRANE, HOBEICH et REBOURS
Réalisation par l’architecte anglais Atkins Middle East
.

La Genève Internationale a obtenu le siège du Conseil des Droits de l’Homme, défendu âprement par la conseillère fédérale Micheline CALMY-REY impliquée directement dans l’escroquerie des Royalties.

Le Président Jacques CHIRAC et ses Ministres DE VILLEPIN – SARKOZY etc. ont prôné le respect des Droits de l’Homme, et ont fait mine de vouloir « nettoyer au KÄRCHER » tous ceux qui troublent la tranquillité publique.

Les gouvernements d’Occident ont voulu s’imposer pour faire régner la PAIX et promouvoir l’égalité des Droits dans des contrées dans lesquelles ils méconnaissent les cultures. En réalité, il s’agissait de créer le chaos pour dissimuler les CRIMES dont ils étaient les auteurs…

* * * * * * *

Qui sont ces individus incapables de développer une quelconque éthique ou morale dans leurs propres contrées, pour appliquer des décisions qu’ils veulent imposer en Afrique, Orient, Moyen-Orient et en Extrême Orient… ?

Quels buts poursuivent-ils, sinon tromper l’Opinion publique, contrôler et piller ces contrées lointaines à leurs propres profits personnels, en engendrant en guise de représailles, le terrorisme et les attentats contre l’Occident ?

* * * * * * *

100
milliards
Coût des extinctions au KOWEIT à charge de l’IRAK (officiellement 610 millions)
3’600


milliards


Coût estimé de la vente des systèmes FERRAYE à tous les Pays pétroliers, y compris à l’IRAK en ~1997, malgré l’embargo (par PASQUA – témoin de mariage de SARKOZY – L’escroc JAFFRE  président de ELF était aussi le témoin de mariage de SARKOZY).
77’729
milliards
Valeur estimée au 31.03.2024 des avoirs FERRAYE escroqués par les commanditaires du complot depuis 1991-1992.
385.6
731.7
milliards
PIB (Produit Intérieur Brut) de la Suisse en 1991
PIB en 2021 (source : OFS)
1’026.9
2’500.9
milliards
PIB de la France en 1991
PIB en 2021 (source : countryeconomy.com)
6’158.1
19’430.1
milliards
PIBdes USA en 1991
PIB en 2021 (source : countryeconomy.com)


1’218.9
9’908.4


%
%
Pourcentage des escroqueries FERRAYE en fonction du PNB de la Suisse. Sans accord avec l’Inventeur, la Suisse qui a engagé sa responsabilité dans le détournement des fonds et leur blanchiment sera mise en faillite !
En 1991
En 2021
457.7
2’898.9
%
%
En 1991 – Rapport avec le PNB de la France
En 2021
74.70
3’731.3
%
%
En 1991 – Rapport avec le PNB des USA
En 2021

Ces chiffres seraient utiles aux Sociétés internationales de RATING – si elles n’étaient pas corrompues – pour définir la capacité financière des Pays contrôlés par L’Etat profond, qui ont escroqué et blanchi les fonds FERRAYÉ au profit d’Escrocs et Criminels membres des gouvernements respectifs. La déstabilisation financière qu’encourront obligatoirement ces Etats s’ils ne coopèrent pas, va les conduire dans une situation d’insolvabilité irréversible.

Bien entendu, des Pays comme l’Allemagne, le Luxembourg, le Royaume-Uni et tous les Pays de la coalition sont également concernés par ces mêmes calculs.

Le dossier qui suit va permettre aux Parlementaires et aux responsables des Pays concernés, tout comme à leurs populations, de prendre conscience du risque encouru et de leurs responsabilités vis-à-vis de leurs Concitoyens, à vouloir poursuivre leur politique de dénégation des faits relatifs à cette escroquerie. Des centaines de milliards ont ainsi échappé au fisc.

Dans un premier temps, Joseph FERRAYÉ avait été disposé à renoncer à toute poursuite en responsabilité à l’encontre des institutions étatiques et ainsi à éviter toute mise en faillite d’un Pays du fait de la responsabilité de ses dirigeants escrocs et corrompus.

Mais nous n’en sommes plus là. Les Criminels quels qu’ils soient (Présidents, ministres, etc.), et tous les acteurs de l’escroquerie et du blanchiment des royalties, doivent assumer la responsabilité de leurs actes. Quant aux Etats qui ont été complices des crimes commis en ne permettant pas à leurs Institutions judiciaires et politiques de rétablir l’Etat de droit, ils doivent assumer leurs responsabilités pour les préjudices causés !

.

Liste des personnes impliquées dans le complot :

Associés de Joseph FERRAYÉ –  Groupe A

BASANOChristian 67 bis Av. Brancolar, Nice / Ancienne adr. : 8, rue des Boërs, Nice
TILLIÉEtienneRoute de Saint Paul 336, 06480 La Colle sur Loup
COLONNA FrançoisRte de Calarossa 20137 Lecci, Corse & 11, rue Maîstre, Nice
FOLCOArletteSecrétaire de BASANO – Elle a reçu USD 100’000’000.-
SAHAKIANMarie-RoseSecrétaire de BASANO – Elle a reçu USD 100’000’000.-

Mandataires de Joseph FERRAYÉ  –  Groupe B

REBOURS Serge 8 rue Picardie, Nice
HOBEICHFouad 8 av. Maréchal Juin, 06270 Villeneuve-Loubet
GEBRANE Victor Palais Impérial, 11 Alexandre III, Cannes

La liste non exhaustive des 250 commanditaires du complot directement impliqués est accessible par ce lien

ABECASSISCyrilAvocat genevois de FERRAYÉ – Complicité directe avec le Notaire genevois Pierre MOTTU
AL ADASANI MustachaIngénieur à KUWAIT OIL Co
AL ASSADRefaatAncien chef armée syrienne bénéf. du butin de guerre de la coalition
AL AYBANMussaedMinistre d’Etat Arabie Saoudite – Il a transmis le dossier ARAMCO à G. HADDAD pour BERTOSSA
AL BADERMohamedGénéral Koweitien – Responsable du Comité de sécurité de l’Etat
AL BADERHamadIdem
AL BADERYoussefPrésident de AL BADER Trading Co WLL – transactions avec Ministère
AL HOMEIZI SouadComplice par le Général AL BADER
AL NAHYAN
BIN SULTAN
ZayedPrince EMIRATS ARABES UNIS – Directoire BCCI
AL NAIMAbdelrahnan Frère du directeur des produits pétroliers ARAMCO
AL NAIM(Frère)Responsable des produits pétroliers ARAMCO
AL OUMANIYoussefResponsable c/o KUWEIT Petroleum Corp. – Complice Mustapha AL ADASANI
AL RAHMANIMahmoudPrésident KUWAIT PETROLEUM Corp. – Président du Comité extinctions
AL RAQBAHHmoudMinistre du Pétrole au KOWEIT
AL RAZOOKITaregAmbassadeur du KOWEIT à Paris
AL RAZOOKIDararAmbassadeur à la Mission du KOWEIT à Genève
AL SABAHJaber Al AhmadEmir du KOWEIT condamné par TGI de Paris
AL SABAHSaad Jaber
Al Ahmad
Premier Ministre (Ensuite Emir du KOWEIT)
AL SABAHAhmad NasserPrince Koweitien
AL SABAHAmalIl a empêché FERRAYÉ d’aller au KOWEIT s/demabde de Youssef AL BADER
AL SAGERIsamPrésident de AL BANK ALWATANI
AL SAMHANMagidAffaires étrangères du KOWEIT – certification accord antidaté
AL SAOUDBandarAmbassadeur de l’Arabie Saoudite à Washington
ALLIOT-MARIEMichèleUMP Ministre de la défense – « grande muette » complice CLEARSTREAM
ANGHELOPOULOAndréComplice de SORDET et de Diane ANGHELOPOULO
ANGHELOPOULODianeAvocate de FERRAYÉ qui a touché USD 627,25 mio
ANTOUNAntoineComptable de l’UNCC qui a établi le doc. d’indemn. S/AC.26/1996/5
APPERTOlivierActif dans le complot au sein du Ministère de l’Industrie
APPOLISAndréIdem
ARCHILLAJean-PierreComplice de Christian BASANO (Associé)
ARNAUBECOlivierAvocat de FERRAYÉ à Nice – neveu de René BLANCHOT à Marseille
ARNON

Ce mémoire online est en cours de travail.

Le mémoire pdf complet et accessible sur https://swisscorruption.info/royalties/2006_memoire.pdf

01. point 01 du mémoire pdf

En 1985, 5 ans avant l’invasion du KOWEIT par Saddam HUSSEIN, Joseph FERRAYE
construisait une machine d’enduction et vulcanisation de latex pour tapis. A ce moment-là, FERRAYE était chef d’entreprise avec son frère, de la Sté Mont Fleuri Textile à Carros dans les Alpes Maritimes en FRANCE.

Au cours de la construction de cette machine, Joseph FERRAYE a conçu une pièce qui allait garantir le blocage de deux parties mécaniques de la machine. C’est à ce moment-là que l’Inventeur a eu l’inspiration spontanée que son procédé pouvait être appliqué efficacement là où il y a de très fortes pressions. C’est comme un flash que de suite, il a imaginé la relation avec le blocage des puits de pétrole.

A l’annonce des puits explosés, FERRAYE s’est souvenu de son idée de système de blocage, mais restait à trouver le système qui permettrait l’extinction.

C’est la même nuit que le système lui est apparu et qu’il a pu le tester immédiatement et avoir confirmation de son efficacité.

Ne restait alors plus qu’à construire les maquettes, ce qui a été fait par Dante FERRETTI, ami de longue date de l’Inventeur.

Le 28 février 1991, les systèmes étaient prêts en maquettes.

02.

Avant la capitulation de l’armée de Saddam HUSSEIN et sa fuite du KOWEÏT le 20 février 1991, 1’164 puits de pétrole sur 1’280 en production à l’époque, ont été explosés pour saboter l’économie du Pays (voir point 41).

Les experts étaient confrontés à une catastrophe écologique et économique sans précédent. Le 20 février 1991, les experts américains ont annoncé qu’il y avait 500 / 600 puits explosés et qu’il faudrait au moins 6 ans pour les traiter. Suite aux difficultés rencontrées pour traiter ces puits soumis à de fortes pressions, les experts ont déclaré qu’il faudrait finalement de 8 à 12 ans pour condamner les puits, selon le système « kill well ».
Pièce 067 – 05.1991 Science et Vie – IFP forage oblique

Le traitement se faisait à l’époque selon le principe du forage oblique pour atteindre la nappe de pétrole située entre 1’500 et 3’500 mètres de profondeur au KOWEIT.

Par la suite, de nouveaux forages étaient nécessaires pour exploiter à nouveau les gisements. Ainsi, la condamnation du puits nécessitait plus de 6 mois et le nouveau forage de 3 à 4 mois.

Aucun puits ne pouvait être remis en production avant d’avoir éteint tous les feux de chaque champs pétrolier. Il y en avait 7. Ce sont ensuite des années qui auraient été nécessaires pour refaire les forages et reprendre la production des gisements.

La perte économique sur les réserves consumées durant une moyenne de 8 ans se serait élevée à plusieurs centaines de milliards de dollars. Quant à la perte d’exploitation due au retard de production elle a été estimée à 90 milliards de dollars que le KOWEIT a facturé à l’IRAK. Ce sont les Irakiens qui ont financé durant des décennies, cette corruption au détriment du Peuple, par le programme pétrole contre nourriture. Voir point 42.

Les procédés de Joseph FERRAYE ont révolutionné 15 à 20 mille fois tous les procédés classiques de l’époque. Le processus a été nommé KILL SPOOL au lieu de KILL WELL d’où la différence majeure des deux procédés. En cadeau, ce nouveau procédé a permis la réutilisation immédiate des mêmes puits
avec les intérêts financiers décrits ci-dessus.

C’est sur ces bases que l’offre FERRAYE a été mulipliée par 2.6 Voir plus bas aux points 28 29 – 47 – 53 / Mémoire – point 43 (page 27) et Appendice 13 – point 29.5 et 29.7 page 183.

Ce double système révolutionnaire en 1991 consistait dans un premier temps à éteindre le feu et dans un deuxième temps à bloquer le flux.

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23.

Le 7 février 1996, Bill CAMPBELL, chef de la DEA à Berne a déclaré à FERRAYÉ qu’il avait remis tous les comptes bancaires à Gérard CRAUSAZ, Inspecteur de la police de sûreté à Genève, alors qu’il avait convenu le mardi 6 février, de les remettre directement à FERRAYÉ.

Les deux hommes ont alors convenu que FERRAYÉ allait appeler directement Gérard CRAUSAZ, ce qu’il a fait immédiatement. CRAUSAZ a confirmé qu’il avait tous les comptes, qu’il allait les remettre au procureur KASPER-ANSERMET, mais qu’il n’avait pas le droit de les remettre directement à FERRAYÉ.

24.

Le 8 février 1996, KASPER-ANSERMET et Marc BONNANT ont déclaré à FERRAYÉ avoir saisi tous les documents bancaires, les décisions de séquestre des comptes, les conventions, les ordres de virements signés par tous les contrevenants et il a ajouté qu’il avait saisi même les disques durs des ordinateurs comportant tous les documents établis par MOTTU.

La plainte de FERRAYÉ du 29 janvier 1996 avait de suite porté ses fruits !

KASPER-ANSERMET a demandé à FERRAYÉ d’examiner attentivement tout son dossier qui était réparti dans deux cartons déposés sous une table en face de son bureau. FERRAYÉ a constaté que tous les documents originaux étaient là.

25.

Le 9 février 1996, à 09.00 H KASPER-ANSERMET à déclaré à FERRAYÉ : « J’ai une bonne nouvelle, tous vos adversaires sont piégés. On peut considérer que l’affaire est résolue ».

26.

Le 9 février 1996 à 11.00 H, Marc BONNANT avocat de FERRAYÉ, a déclaré : « Ils sont tous dans la souricière, ils ne peuvent plus faire du mal et s’ils essaient de toucher à un centime, ils seront arrêtés. S’ils viennent en Suisse, ils seront aussi arrêtés. C’est hallucinant ! ».

Suite au point 45 et Appendice 11 – KASPER-ANSERMET

42.

11 novembre 1991 – Joseph FERRAYÉ a voulu obtenir un compte rendu de ses associés BASANO, COLONNA et TILLIE, sur cette mission du 28 juillet au 13 août 1991 au KOWEIT. Il s’agissait de comprendre quelles personnes ont été contactées et pourquoi le résultat escompté n’était pas atteint.

Joseph FERRAYE était conscient qu’il était trompé mais n’avait pas encore les éléments en main pour réagir.

Les 3 associés qui se sont sentis piégés, ont riposté par la menace sous forme d’une mise en demeure datée du 12 novembre 1991, dans laquelle ils demandent à l’Inventeur plus de 650 mille francs d’honoraires et frais pour leur travail au KOWEIT… Ils tentent maladroitement de faire croire que les démarches ont échoué et dissimulent toutes les transactions conclues et le détournement des royalties à leur partenaire principal (voir l’Appendice 3 et l’Appendice 1

43.

En novembre 1991 toujours, la KUWEIT Petroleum Corporation a envoyé une liste à l’avocat de Joseph FERRAYE, Guerry VAN DIJK, qui comporte les noms des Sociétés avec le nombre des puits traités par chacune. Cette liste fait abstraction aux 320 puits maîtrisés par HALLIBURTON selon leurs propres déclarations sur leur Site Internet (www.googleswiss.com/ferraye/swindlers). Rappelons que le président de HALLIBURTON n’était autre que Dick CHENEY vice-président de
George W. BUSH.
Pièce 081 – 07.03.1997 KUWEIT Petroleum Corp. confirme 695 puits
Pièce 082 – Extrait du Site HALLIBURTON

Contrairement à cette liste, le Centre de Recherches et d’Etudes du KOWEIT déclarait dans un livre officiel intitulé « La destruction des puits de pétrole au KOWEIT » que 1’164 puits ont été explosés, représentant 91.8 % des 1268 puits en production à cette époque au KOWEIT
Pièce 083 – 07.03.1997 Traduction centre recherches KOWEIT 1’164 puits (page 2ss).

Si l’on ajoute les 320 puits de HALLIBURTON aux 695 puits de la liste, ont obtient 1’015 puits sur les 1’164 explosés. La différence de 149 puits doit être attribuée à HORWELL France qui n’en a frauduleusement déclaré que 8.

Il s’agissait là pour les commanditaires du complot, de laisser paraître la France comme étrangère au détournement des systèmes. Le Ministère de l’Industrie dirigé par STRAUSS KAHN a du reste fait une fausse déclaration dans sa correspondance du 21 mai 1992 à FERRAYE, signée par H. LOISELEUR des LONGCHAMPS :

« Comme vous le savez, le gouvernement du KOWEIT a accordé une faible place aux sociétés françaises dans les opérations d’extinction des puits en feu dans l’Émirat. Il n’a, en particulier, conclu aucun contrat avec les divers et nombreux indépendants qui ont offert leurs services. Il est apparu que les autorités de l’Emirat s’étaient fixé deux critères de sélection des entreprises : leur taille et le caractère classique des méthodes d’extinction ». Il s’agit d’un mensonge !
Pièce 084 – 21.05.1992 Ministère industrie DSK – Systèmes classiques.

Souvenons-nous qu’Evelyne DUVAL, secrétaire de STRAUSS KAHN a été accusée de travailler pour Alfred SIRVEN alors qu’elle touchait son salaire du Ministère de l’Industrie. En réalité, Evelyne DUVAL n’était employée chez SIRVEN, que pour comptabiliser les parts de STRAUSS-KAHN provenant de ce complot ! C’est le contribuable français qui payait les comptabilisations des détournements de STRAUSS KAHN !

Les preuves ci-dessus démontrent les flagrantes fausses déclarations du Ministère de l’Industrie et de ses proches collaborateurs. Voir aussi Appendice 11

44.

La preuve du contraire, à savoir que les extinctions ont bien eu lieu par de nouveaux procédés, est fournie au points 2 du présent document.

65.

Décembre 1996, Bill CAMPBELL demande à FERRAYÉ de contacter Patrick DAWSON (DEA) qui voulait le rencontrer pour lui remettre des documents. Le rendez-vous a été fixé pour le lendemain à Paris, dans les bureaux de la DEA, entrée rue de la Boëtie, à l’arrière de l’Ambassade des Etats-Unis.

FERRAYÉ en informe son avocat ABECASSIS qui souhaite l’accompagner. ABECASSIS et FERRAYÉ sont allés ensemble à la DEA où ils ont été reçus par DAWSON qui a laissé ABECASSIS attendre dans une pièce attenante.

Durant près de 4 heures, DAWSON a posé toutes sortes de questions pour savoir si FERRAYÉ détenait des pièces qui le citaient ou impliquaient la DEA.

A l’issue de cet interrogatoire, DAWSON a congédié les deux hommes et a refusé de s’entretenir avec l’avocat.

En ressortant de la DEA, ABECASSIS a conduit FERRAYÉ chez deux de ses amis avocats juifs à Paris. L’entretien commun a duré quelque 2 heures, après quoi les amis d’ABECASSIS ont souhaité s’entretenir seuls avec lui.

A son retour, l’avocat de FERRAYÉ avait la mine déconfite ! Le personnage avait totalement changé, ses propos antérieurs avaient disparu et il avait compris que son seul moyen de traiter ce dossier était de se rallier malgré lui aux escrocs pour recevoir sa part.

C’est donc malgré lui, qu’ABECASSIS a rejoint son confrère genevois Me Marc BONNANT envers qui il avait un besoin de vengeance évidente et qu’il voulait faire condamner. Marc BONNANT lui avait en effet piqué sa femme et pour un « cocu », devoir se soumettre ensuite à celui qui l’avait cocufié était insupportable pour ABECASSIS, ce qui l’avait mis dans cet état déconfit.

66.

Suite à cet entretien à Paris, FERRAYÉ s’est souvenu qu’il avait entendu à plusieurs reprises que le détournement de ses fonds, suivait également la filière juive, sans connaître encore les activités du « gouvernement mondial – Bilderberg etc. ». Ceci lui a été révélé le 12.02.2002 par Ernest BACKES, un des fondateurs de CEDEL CLEARSTREAM (SWIFT), auteur du livre REVELATION$ et ex 3e responsable de CLEARSTREAM par qui avaient transité tous les détournements électroniques pour le blanchiment des fonds liés à ce complot.

Le 11.02.2002, BACKES a demandé à FERRAYÉ de le rejoindre au Luxembourg pour lui remettre les listes des transactions de CLEARSTREAM, indiquant l’origine des fonds et leur destination finale.

Le lendemain à l’hôtel des Vignes à Luxembourg, lors de l’entretien avec BACKES, celui-ci a révélé l’implication de la Trilatérale, du Gouvernement mondial, du Bilderberg group, toutes des sociétés secrètes dont FERRAYÉ n’avait jamais entendu parler. BACKES a encore confirmé lors de cette rencontre, qu’il allait lui remettre les documents promis, le lendemain chez lui.

67.

Le 13.02.2002, dans sa propre maison, BACKES a demandé à FERRAYÉ de remettre les documents au Procureur général de Genève Bernard BERTOSSA. Joseph FERRAYÉ qui ne savait pas que BACKES et BERTOSSA se connaissaient, a eu le mauvais réflexe de faire remarquer à BACKES qu’il ne fallait justement pas remettre ces documents au procureur genevois qui était un des principaux escrocs dans le détournement des fonds.

Cette remarque a contrarié BACKES qui pensait jusque là recevoir des indemnités versées par FERRAYÉ en compensation de son aide, mais il a vu dès lors une opportunité meilleure en choisissant de se rallier à BERTOSSA.

BACKES voulait toucher sa part du butin en utilisant sa relation avec BERTOSSA pour l’obtenir. À partir de là, FERRAYÉ n’a rien pu faire pour que BACKES lui remette les documents promis.

68.

En mars 2003, BACKES a fixé un rendez-vous à FERRAYÉ à l’aéroport de Genève et lui a présenté André STREBEL. BACKES a prétendu alors que STREBEL allait l’aider à restituer ses droits.

STREBEL a fixé plusieurs rendez-vous successifs à FERRAYÉ à Nyon pour obtenir des informations clé et parallèlement il intervenait grâce à ses relations professionnelles (Il était l’Associé de BACKES dans  IWR – Institut für Wirtschaftsrecherchen GmbH) pour sortir des documents des administrations et des banques suisses.

Le rôle de STREBEL était de nettoyer toute trace des trafics là où les fonds FERRAYÉ avaient transité, de même que là où des documents compromettant existaient. Pour y parvenir, il devait savoir ce que FERRAYÉ avait comme documents et informations.

C’est ensuite à la demande de STREBEL que la télévision allemande ARD2 est venue enregistrer une émission sur FERRAYÉ à Genève, qui a été diffusée en Allemagne.

L’un des premiers documents sortis par STREBEL a été la preuve formelle de l’implication du Président du CREDIT SUISSE GROUP – Rainer E. GUT, dont la signature figure sur la carte des signatures de EVERTON Entreprises Ltd. (Pièce 024).

STREBEL ne pouvait pas comprendre que le Président du CREDIT SUISSE Rainer E. GUT pouvait s’allier dans EVERTON avec des Criminels qui traitaient normalement avec la SBS…

C’est par Francis MAYORAZ à Genève que FERRAYÉ a vu la carte des signatures sur laquelle figurait effectivement celle du Président du CREDIT SUISSE Rainer E. GUT, avec le formulaire A. STREBEL a ainsi confirmé à FERRAYÉ qu’il avait raison et qu’il a bien obtenu le document précité mais a refusé lui aussi de le transmettre.

69.

Le 17 octobre 2003, STREBEL a convoqué FERRAYÉ à St-Prex et lui a montré 15 centimètres de documents desquels il avait enlevé les entêtes et les signatures. Il a demandé à FERRAYÉ de les lire.

Joseph FERRAYÉ a refusé rétorquant à son interlocuteur qu’il n’allait pas s’intéresser à des documents sans identité que tout individu pouvait confectionner et qu’il était disposé à revenir le jour où STREBEL lui soumettrait des documents non trafiqués.

Lors de cet entretien, STREBEL a demandé à FERRAYÉ de noter le nom de l’avocat MEMBREZ à Genève. STREBEL a précisé qu’il allait obtenir un rendez-vous avec BONNANT et WARLUZEL dans les jours qui allaient suivre et que FERRAYÉ allait avoir une proposition de 1 à 2 milliards de dollars comme indemnisation. STREBEL a précisé textuellement : « vous n’allez pas les refuser. Vous les acceptez. On les prend et on réattaque ».

70.

Le dimanche 26 octobre 2003, STREBEL a informé FERRAYÉ qu’il avait rendez-vous avec BONNANT et BERTOSSA à 14.00 H. Il a fixé un rendez-vous à FERRAYÉ au McDonald de Nyon à 16.00 H.

STREBEL est arrivé à 18.30 et a confirmé à FERRAYÉ qu’il allait recevoir 100 millions de dollars. FERRAYÉ a répondu qu’il était d’accord… « on les prend et on réattaque » !

Cette réponse, qui était sa formulation du 17 octobre 2003, l’a rendu ce jour là complètement fou furieux. Il s’est mis debout en hurlant « ça va pas votre tête ? que voulez-vous faire avec plus de 100 millions de dollars ? Avec cet argent, vous pouvez vivre, vous, vos enfants et petits enfants, comme des rois. Vous allez recevoir 100 millions de dollars net pour vous, je ne veux rien des ces 100 millions, c’est pour vous et votre famille, c’est beaucoup d’argent que vous ne pourrez jamais dépenser complètement… etc. ».

Le 27 octobre 2003, lors de son appel téléphonique, STREBEL a communiqué à FERRAYÉ « si vous ne faites pas tout ce que je vous dit, je vous botte les fesses ». Par la suite, au cours de ses contacts avec STREBEL, FERRAYÉ ne faisait plus que se faire insulter !

Pourtant, on voit sur le projet de lettre que STREBEL avait faxé à FERRAYÉ le 10.10.2003 (IWR – Institut für Wirtschaftsrecherchen GmbH), qu’il attaquait la juge d’instruction JUNOD. Il faut donc en déduire qu’il ne voulait que mettre la pression pour se faire intégrer dans le complot et recevoir sa part, au vu de ce qui précède.

71.

Le 12 décembre 2003, date des auditions de Léonard POSSA du CREDIT SUISSE – de Bruno BONVIN SBS et de Mark C. BRUPPACHER Avocat à Zürich, par la juge Christine JUNOD, STREBEL a appellé FERRAYÉ qui était absent et a laissé le message à sa fille selon lequel il devait le rappeler le plus tôt possible, que c’était très important.

En mai 2002, Me LUDOT avocat à Nice, avait déclaré à FERRAYÉ avoir obtenu copie de la procédure d’Aix-en-Provence concernant Paul Marc COLNE, signataire de l’accord antidaté avec ARAMCO, assassiné en décembre 1997 (Appendice 3).

72.

Le 13 décembre 2003 FERRAYÉ a rappellé STREBEL qui lui a annoncé : « Vous ne savez pas ce que j’ai fait pour vous, hier j’ai rencontré durant 4 à 5 heures, Paul Marc COLNE […] »…

FERRAYÉ a rétorqué que Paul Marc COLNE avait été assassiné en décembre 1997. STREBEL a
insisté prétextant que c’était faux, qu’il était avec lui la veille, que FERRAYÉ confondait etc. STREBEL a ensuite raccroché en mentionnant qu’il allait rappeler le lendemain.

73.

Le 14 décembre 2003, STREBEL a rappellé FERRAYÉ et lui a confirmé qu’il avait raison, que Paul Marc COLNE était bien mort en 1997… mais STREBEL a précisé qu’il attendait une décision du Tribunal de PERPIGNAN. STREBEL devait remettre cette décision à Christine JUNOD qui allait permettre de restituer tous ses droits à FERRAYÉ. Ces conversations téléphoniques successives ont été enregistrées.

En fait, STREBEL avait mal compris ses complices escrocs (BERTOSSA et BONNANT) qui montaient un nouveau plan. Au lieu de mentionner sa rencontre avec Paul Marc COLNE, STREBEL aurait dû dire que la décision du Tribunal de PERPIGNAN allait confirmer à titre posthume, la condamnation de COLNE, signataire de l’accord antidaté (Appendice 3).

La confusion de STREBEL qui avait déclaré avoir parlé durant 4 à 5 heures avec Paul Marc COLNE (point 72) correspond en fait au temps des auditions de POSSA – BONVIN et BRUPPACHER citées plus haut, auxquelles STREBEL devait avoir assisté pour établir ses fausses déclarations sur mesure…

La coïncidence de l’appel de STREBEL du 12 décembre 2003 (point 71), jour de l’audition des 3 escrocs, ne peut pas être un hasard, puisque ces déclarations font abstraction de toute implication de protagonistes vivants, mais avec la décision de PERPIGNAN, STREBEL devait reporter l’accusation sur Paul Marc COLNE qui était mort et ne pouvait plus protester… (Appendice 3)

74.

Ces faits impliquent une fois de plus la juge d’instruction JUNOD qui a protocolé des PV d’auditions dictés par STREBEL, selon le plan de BERTOSSA. Ceci complète aussi les chefs d’accusations pour faux témoignages, contre les trois auditionnés Léonard POSSA du CREDIT SUISSE. Bruno BONVIN SBS et Mark C. BRUPPACHER Avocat à Zürich (pièces 48, 49 et 50).

Les deux enregistrements de STREBEL (13.12.2003 Enregistrement STREBEL avait rencontré COLNE et 14.12.2003 STREBEL attendait décision Perpignan, sont à disposition de la justice.

Pour terminer, ceci confirme aussi l’implication de Me LUDOT qui voulait appliquer ce plan décidé par les commanditaires du complot depuis 2002 déjà Voir point 71.

La confusion de STREBEL, ajoutée à la mise en demeure de FERRAYÉ (Pièce 025) contre MOTTU du 15 décembre 2003 n’ont plus permis au Tribunal de PERPIGNAN (point 73) de poursuivre leur plan en condamnant Paul Marc COLNE à titre posthume.

75.

Le 15 décembre 2003, suite à ce flagrant nouveau mensonge, FERRAYÉ a envoyé, des mises en demeure à BONNANT (Pièce 026) et MOTTU (Pièce 025) dans lesquelles il annulait tous les mandats qu’ils s’étaient faits accorder en tant que conseils de FERRAYÉ.

76.

Plusieurs actions, auditions ou déclarations, montrent qu’à plusieurs reprises les commanditaires du complot ont essayé de transiger pour régler le conflit avec FERRAYÉ, en lui proposant un dédommagement ridicule, sans rapport avec les royalties qui devaient lui revenir.

Dans son audition du 10.08.2004 (Pièce 184) page 3/6 §3, pour la première fois, les commanditaires du complot, à travers l’escroc Michel VENEAU, révèlent que les Sociétés HORWELL – FORASOL, contrôlées par le Gouvernement français, n’avaient pas l’intention, dès le départ, de permettre à FERRAYÉ de toucher ses royalties. VENEAU déclare : « … Puis nous avons eu des contacts avec l’Institut Français du Pétrole et HORWELL – FORASOL [..]. Il nous a été confirmé qu’un inventeur n’exploite jamais personnellement son brevet et le vend à des sociétés comme les leurs. Les sommes pouvant être données pour l’achat d’un tel brevet s’échelonnaient de 30 à 50 millions de dollars, dans le contexte des puits de pétrole en feu du KOWEIT »…

Cette déclaration des dirigeants de HORWELL – FORASOL par l’Institut français du Pétrole, fait constater que ces organismes étatiques font partie des « Mafias d’États ». Ils occupent leurs fonctions pour corrompre de hauts fonctionnaires et autres contrevenants pour opérer leurs razzias sur ce qui ne leur appartient pas et pour escroquer les Chercheurs !

A leurs yeux, les inventions de FERRAYÉ n’auraient dû lui rapporter que 100 millions de dollars (2 inventions à 50 millions) et ces escrocs auraient dû pouvoir se partager les centaines de milliards de dollars qui sont les royalties qui reviennent à FERRAYÉ, entre responsables des gouvernements et des sociétés opérant les détournements et le blanchiment.

Pour reprendre les propos du Président Nicolas SARKOZY, nous devrions déclarer ici que : « CES RACAILLES DOIVENT ÊTRE NETTOYÉES AU KARCHER » en ajoutant toutefois que le nettoyage au KARCHER de CES RAICAILLES ne suffit pas, mais qu’ils doivent de suite CROUPIR en PRISON !!!

Suite à la plainte du 29 janvier 1996 et après que BONNANT et WARLUZEL, avec la complicité du Procureur Général BERTOSSA et du procureur KASPER-ANSERMET, aient bloqué les comptes et maîtrisé la situation (Appendice 02), l’escroc BONNANT a déclaré à FERRAYÉ qu’il était monté trop haut dans les stratosphères. L’Escroc BONNANT a oublié que les conventions de 16 milliards de dollars avaient été rédigées bien antérieurement au mandat que FERRAYÉ lui avait confié.

Le paragraphe 84 « du scrupule » inséré dans la plainte du 29 janvier 1996 (page 30) rédigée par BONNANT et son assistant WARLUZEL démontre que ces Escrocs professionnels avaient bien prémédité le détournement des fonds, comme nous l’avons déjà expliqué en détail plus haut. Voir point 74 §4 et point 75 ci-dessus du mémoire.

77.

Dans ces mises en demeure du 15.12.2003, FERRAYÉ dénonçait l’utilisation des réseaux financiers terroristes de Oussama BEN LADEN pour détourner et blanchir les fonds détournés qui ont contribué aux attentats du 11 septembre 2001. (Points 30ss et Appendice 16.

78.

FERRAYÉ savait que par ces dernières précisions sur les attentats du 11 septembre 2001, il allait créer une réaction des protagonistes.

79.

Lors d’un entretien qui a eu lieu en novembre 2001 entre FERRAYÉ et Tullio PONZI, ce dernier a confié à FERRAYÉ qu’il avait eu connaissance de sa rencontre avec DAWSON à la DEA
(point 65ss) et en a décrit les détails, particulièrement l’entrée secondaire située rue de la Boëtie à Paris, où l’attendait DAWSON.

PONZI a confirmé que ce jour là, cette entrée avait été libérée spécialement pour la venue de FERRAYÉ, qu’il n’y avait aucun témoin et que si FERRAYÉ n’avait pas été accompagné de son avocat ABECASSIS, il ne serait jamais ressorti des bureaux de la DEA.

PONZI a aussi révélé à FERRAYÉ lors du même entretien, que lorsqu’il a été entendu à deux reprises par Bill CAMPBELL à l’Ambassade des Etats-Unis à Berne, en décrivant la pièce, que leur conversation était transmise en directe au siège de la CIA aux USA…

Ces révélations de Tullio PONZI font de Patrick DAWSON, alias Dave ROWE, un assassin en puissance et de Bill CAMPBELL son commanditaire.

En effet, comme on l’a vu au point 65, c’est CAMPBELL qui a envoyé FERRAYÉ chez DAWSON et ceci après que CAMPBELL se soit senti menacé par l’intervention des escrocs VENEAU et CARDI qui corrompaient des fonctionnaires de la DEA, comme en témoigne la lettre du 5 septembre 1996 de William J. CAMPBELL (Pièce 027), chef de la DEA à Berne à la Police fédérale Suisse (FedPol).

Dans cette lettre, William J. CAMPBELL fait une fausse déclaration, en fonction de ce qu’on a pu voir au point 23, quand il affirmait a FERRAYÉ, avoir remis tous les comptes bancaires à Gérard CRAUSAZ de la Police Fédérale. Il cache manifestement son implication et soulève des interrogations pour masquer sa propre participation aux fonds détournés et à leur blanchiment.

80.

Le 20 septembre 1996, après que Marc BONNANT et son assistant WARLUZEL, chapeautés par le parquet genevois, aient pris le contrôle du complot, les corrompus du gouvernement français et tout particulièrement Charles PASQUA, pensaient qu’ils avaient maîtrisé la situation.

Patrick CHAMARRE, homme de paille de PASQUA qui agissait au nom de CORSIMA SA, société enregistrée à Neuchâtel  Appendice 4 – WILDROSE, avait consenti la promesse d’achat d’un terrain (Pièce 028) faisant partie du Parc Impérial à Gland, de l’ordre de 200’000 m2.

81.

Dans sa prise de mandat du 4.11.1996 pièce 023 ci-dessus, Cyril ABECASSIS avait demandé de reprendre la procédure par un juge d’instruction, sur la base de nouveaux éléments révélant des charges suffisantes, pour qu’il soit procédé à des inculpations. ABECASSIS précisait qu’ainsi le juge d’instruction était habilité à citer des témoins en Suisse, ce que le Parquet ne pouvait pas se permettre.

Cette dernière révélation nous prouve une fois de plus les aberrations et les abus de pouvoir, dénis de Justice et entraves à l’action pénale de Bernard BERTOSSA et KASPER-ANSERMET qui avaient exclu tout juge d’instruction de la procédure pour sauvegarder les intérêts de MOTTU et Cie. Voir points 45 à 48

82.

La procédure a été confiée à la juge d’instruction Christine JUNOD. Cette reprise de l’instruction a déstabilisé les plans de PASQUA qui a eu peur que l’acquisition de son terrain du Parc Impérial à Gland n’attire l’attention sur lui et ne l’oblige à justifier la provenance de son investissement.

C’est l’ouverture de cette reprise d’instruction qui a conduit CHAMARRE à abandonner la transaction immobilière.

83.

L’intervention d’ABECASSIS dans ce dossier, a fait baisser les enchères pour FERRAYÉ. C’est successivement, lors d’entretiens téléphoniques pour lesquelles l’avocat demandait à son Client de se rendre dans une cabine publique (on en déduit que ses lignes étaient enregistrées…) qu’ABECASSIS a tout d’abord informé FERRAYÉ qu’il était en contact avec BONNANT. Les deux Avocats avaient conclu que compte tenu de l’âge de FERRAYÉ qui avait 50 ans et que son espérance de vie pouvait être estimée encore à 10 ou 15 ans…, « ils » proposaient d’accepter une transaction à USD 600 millions. Deux jours plus tard ABECASSIS parlait de USD 400 millions et pour terminer à USD 200 millions qui n’ont jamais été versés.

84.

Fin janvier 1997, Christine SORDET a confirmé à FERRAYÉ en présence de André ANGHELOPOULO qu’elle avait obtenu les documents bancaires par des sous-marins qu’elle avait mis en œuvre, dont HAMMER de la brigade financière de Genève.

85.

Le Capitaine Paul BARRIL chef du GIGN en France lui avait assi dit à FERRAYÉ en août 1997, avoir enquêté sur son ancienne avocate SORDET, lui affirmant qu’elle était très honnête et qu’il pouvait compter sur elle pour récupérer ses droits. FERRAYÉ savait par d’autres sources que SORDET l’avait déjà trahi et avait reçu USD 627’254’000 provenant du CREDIT SUISSE Nassau qui étaient déposés au CREDIT SUISSE Zurich à cette époque.

Joseph aurait pu citer d’autres tromperies du « Capitaine » BARRIL.

106.

Le 9 avril 1999, Joseph FERRAYÉ (Pièce 036) signe un mandat en faveur de Jacques BARILLON pour défendre ses intérêts.

Préalablement, une avance d’honoraires de CHF 50’000.- avait dû être versée (Pièce 037).

107.

Dans sa lettre du 6 octobre 1999, (Pièce 038) BARILLON concède que parallèlement à la défense de Joseph FERRAYÉ, il défendait Laurent KASPER-ANSERMET, Procureur directement impliqué dans le détournement et le blanchiment des fonds revenant à FERRAYÉ.

108.

Jacques BARILLON a réussi à convaincre Joseph FERRAYÉ qu’il n’y avait pas de conflit d’intérêt à la défense d’une Victime et de son Bourreau par le même avocat… (sic !) et il a confirmé son mandat dans un courrier du 13 octobre 1999 (Pièce 039).

109.

Le 24 novembre 1999, Daniel LEVAVASSEUR qui avait été auditionné pour la première fois par Christine JUNOD suite à la plainte du 29 janvier 1996…, avait compris qu’il était écarté par les commanditaires du complot auxquels il s’était rallié.

LEVAVASSEUR avait l’entière maîtrise du dossier depuis 1995 et avait lui-même impliqué MOTTU, ST-HILAIRE, BRUPPACHER, LE MAZOU, GIRARD etc.

BONNANT, WARLUZEL, BERTOSSA et KASPER-ANSERMET qui ont compris que LEVAVASSEUR voulait régler le problème partiellement en indemnisant FERRAYÉ l’ont écarté.

Dans son audition du 24 novembre 1999 (Pièce 040), Daniel LEVAVASSEUR a réagi alors en révélant partiellement la vérité à Christine JUNOD qui a gardé au secret cette audition et ces révélations (transfert de 100 milliards de dollars en relation avec REBOURS et HOBEICH – comptes comportant des montants importants en 1991 et 1992 déjà – les nombreuses pressions du Gouvernement sur la justice, selon le Doyen des juges de Grasse MURCIANO, le juge ESPEL n’avait pas très zélé dans ce dossier, etc.)

Ensuite, LEVAVASSEUR a fait pression sur Eric DE LA HAYE ST-HILAIRE, Notaire du Gouvernement français, pour qu’il révèle dans son audition du 19 novembre 2002 (Pièce 003), que les fonds étaient bloqués chez MOTTU et BRUPPACHER – qu’ils avaient présenté les comptes aux bénéficiaires – qu’ils avaient proposé (imposé) une transaction consistant en l’abandon d’un pourcentage des montants, etc. Appendice 8 – point 9

La déclaration de LEVAVASSEUR et le complément d’informations données par ST-HILAIRE prouvent que le montant qui était bloqué chez MOTTU était de plus de cent milliards de dollars.

110.

En novembre 1999, FERRAYÉ a reçu un appel téléphonique d’une Dame (qui avait presque la voix d’un homme) qui s’est présentée sous le nom de Brigitte HENRI. Elle l’a informé qu’après avoir parlé avec les plus hauts responsables du Gouvernement français (CHIRAC), ils étaient tous d’accord de verser à l’Inventeur des systèmes, 800 millions de dollars pour qu’il retire sa plainte en suisse.

Brigitte HENRI agissait au nom des plus hauts responsables, qui étaient tous d’accord de donner 800 millions de dollars à l’Inventeur… Sans connaître qui était Brigitte HENRI, FERRAYÉ a rétorqué qu’elle devait savoir qu’il avait des conventions signées pour 17 milliards de dollars. Elle lui a alors promis de reparler avec les responsables et de le rappeler. FERRAYÉ n’a plus entendu parler d’elle.

Cette proposition est intervenue au moment où Me BARILLON agissait sur mandat de FERRAYÉ après que SORDET ait été corrompue. Voir aussi points 113ss (Brigitte HENRI)

Pièce 041 / 16.04.1999 BARILLON demande dossier à SORDET
Pièce 042 / 16.04.1999 BARILLON informe JUNOD qu’il est mandaté par FERRAYÉ


A la même période, TORNARE avait aussi demandé à FERRAYÉ s’il acceptait USD 1.0 milliard pour solde de tout compte.

111.

La nomination précitée de Me Jacques BARILLON Avocat à Genève et ses deux lettres de mise en garde du 28 avril 1999 à Christine SORDET ont fait flipper la juge et l’avocate corrompues.

Pièce 043 / 28.04.1999   BARILLON à SORDET ultime délai au même jour midi

Pièce 044 / 29.04.1999   BARILLON à SORDET menace de dénonciation au Bâtonnier

Pour couvrir leurs arrières, ces deux individus n’ont pas hésité à émettre des FAUX antidatés. Il ne fallait pas permettre à BARILLON de les attaquer pour l’abus de pouvoir par lequel la plainte du 29 janvier 1996 avait été classée le 6 février 1997. Voir point 88. sur la base du faux rapport du psychiatre RICONO. Parallèlement elles voulaient faire croire au nouvel avocat de FERRAYÉ qu’elles faisaient leur travail.

Par lettre antidatée au 11 mars 1999, JUNOD réclame à SORDET des précisions et documents qu’elle détenait depuis longtemps et que Joseph FERRAYÉ avait déjà remis à plusieurs reprises.

Pièce 045 / 11.03.1999 JUNOD à SORDET 1ère mise en scène contre BARILLON

Le principal souci de JUNOD était de savoir si Kurt SENN avait remis certains documents à FERRAYÉ (§ 5). JUNOD écrit : « Enfin, M. FERRAYÉ fait allusion à des documents qu’un « inspecteur du Bundesamt für Polizeiwesen », M. Kurt SENN, aurait envoyé à M. le Procureur général prouvant des actes de corruption – sans autre précision – en vue de faire étouffer la plainte déposée le 26 (29) janvier 1996 à Genève ».

JUNOD tente ainsi de couvrir BERTOSSA qui n’a pas confirmé la réception des documents de SENN dans sa lettre du 23 février 1999, en laissant supposer qu’ils étaient parvenus à la juge d’instruction. De son côté, par sa lettre précitée, JUNOD laisse croire qu’elle n’a rien ! Encore une fois des pièces perdues dans les ascenseurs du Parquet genevois…

Ces documents étaient en effet beaucoup trop compromettants pour qu’ils puissent être intégrés dans la procédure. Ils auraient provoqué la chute des membres du complot, dont celle des procureurs et des juges…