Les Conseillers fédéraux socialistes depuis 1991
Dina BETI – Présidente du Tribunal Cantonal de Fribourg / FINMA
Christian LEVRAT – Président de La Poste suisse
Roger NORDMANN – Conseiller National PS
Bernard BERTOSSA – Juge fédéral au service de la corruption
Micheline CALMY-REY / PS – Complice d’escroquerie et de blanchiment
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Les Partis politiques au sommet de la corruption…
L’idéologie du Parti socialiste
Idéalement, la philosophie de Parti socialiste devrait reposer sur l’idée de progrès social, c’est-à-dire de l’évolution du monde dans un sens positif visant à gommer les inégalités sociales et l’exploitation de l’homme par l’homme. En résumé, de développer le progrès social…
Si cette vision est restée dans l’esprit de la plupart des Citoyens lambdas, qu’est devenu aujourd’hui l’idéalisme socialiste de la plupart des élus qui trahissent les valeurs fondamentales du Parti pour répondre à leurs seuls intérêts personnels égoïstes ?
Cependant, certains jeunes socialistes ne sont peut-être pas concernés par la corruption du Parti.
Lors de l’assemblée du PS VD à Payerne le 25 juin 2022, Le Parti devait élire son candidat à l’élection du Conseil des Etats (la Chambre des Sénateurs) à Berne. Deux candidatures sur les rangs, à savoir Pierre-Yves MAILLARD et Roger NORDMANN.
Syndicaliste chevronné depuis sa jeunesse, Pierre-Yves MAILLARD a toujours démontré son engagement en faveur de la cause publique, pour exiger de l’État qu’il apporte aux plus indigents de la société, les moyens de vivre dans la dignité. Durant ses mandats passés au Conseil d’État vaudois, Pierre-Yves MAILLARD a démontré ses qualités de négociateur pour obtenir de la Droite libérale, les moyens nécessaires pour une plus juste répartition des richesses.
En siégeant à la Chambre haute du Parlement fédéral (Conseil des États), les Citoyens non seulement du Canton de Vaud, mais de toute la Suisse, devraient pouvoir compter sur un homme qui fera passer les intérêts de ses administrés, avant ses propres intérêts. Comme il l’a toujours fait, il veillera à garantir aux classes moyennes et inférieurs, leurs droits à une rétribution équitable du produit de leur travail et à ce que les retraités qui ont construit notre Pays, puissent eux aussi retirer le fruit de toute une vie de labeur.
Roger NORDMANN quant à lui est issu de la branche « CAVIAR » du parti. Fils de l’Avocat lausannois Philippe NORDMANN et de l’ex Juge fédérale Ursula NORDMANN qui comptait pas moins de 18 références négatives (crimes judiciaires) dans la base de données d’Appel au Peuple, dont l’escroquerie du patrimoine BURDET.
Le Parti socialiste a été impliqué dans l’escroquerie et le blanchiment des milliers de milliards des royalties sur les brevets FERRAYÉ, depuis la première heure. De fait, ce sont des centaines de milliards d’impôts qui ne sont pas rentrés dans les Caisse de l’État… Les rubriques concernant l’ex Conseillère fédérale Micheline CALMY-REY plus bas, ou encore l’ancien Procureur général socialiste de Genève Bernard BERTOSSA permettent de s’en convaincre.
Il est un fait, que tous les ténors du Parti socialiste dont fait partie Roger NORDMANN, sont au courant des crimes dont ils sont soit les auteurs, soit les complices, soit encore les complices par leur silence pour garantir l’impunité des criminels ou préserver la crédibilité des Institutions…
En se présentant comme candidat au Conseil des Etats en 2023, Roger NORDMANN mettait donc en danger l’élection de Pierre-Yves maillard, une issue qui fâchait un certain nombre de socialistes suisses, à Berne. L’ancienneté de Roger NORDMANN au sein des Chambres fédérale, semble rassurer tous ceux qui n’ont pas la conscience tranquille…
L’ancienne garde du PS, croit pouvoir continuer à gérer la situation et permettre de préserver l’impunité des criminels qui évoluent dans ses rangs. Tous ceux qui ont défendu la proposition qui consistait à voter une nouvelle dérogation aux status du Parti pour que Roger NORDMANN puisse se représenter au Conseil National en 2023 (2e dérogation) ont compris qu’il fallait mieux le garder comme « ami », plutôt qu’en faire son « ennemi » en le contraignant à abandonner la politique…
Ce comportement ne fait qu’empirer la situation et augmenter la responsabilité civile des auteurs du crime, personnellement et individuellement, solidairement avec l’État : https://swisscorruption.info/responsabilites
L’expérience du PDC (Le Centre) en 2006 avec Dominique DE BUMAN, a manifestement marqué les esprits et les socialistes ont compris qu’en écartant Roger NORDMANN de la politique, il pourrait réagir comme Dominique DE BUMAN l’avait fait à l’époque…
Rappelons pour mémoire que c’est à partir du début des années 1990, au début du blanchiment des quelque 3’600 milliards de royalties générés par la vente des brevets FERRAYÉ, que la Franc-Maçonnerie a fondé des centaines de Clubs de services (Rotary, Kiwanis, Lions Club, Ambassador, etc.) dont les membres sont tous tenus au secret. A l’instar de nos élus et des membres de nos Institutions politiques et judiciaires, ces corporations de criminels évoluent tous sous le contrôle absolu de l’État profond auquel ils ont prêté allégeance : les Illuminatis, le Council Foreign Relations (CFR), le Groupe Bilderberg, les ROTHSCHILD et ROCKFELLER, le World Economic Forum de Davos et Klaus SCHWAB dont le siège est à Cologny, pour ceux qui l’ignorent, etc.. Je vous invite à visiter https://swisscorruption.info/deep-state.
Il est évident que nous ne devons pas au hasard toute la désinformation politico-médiatique sur le conflit en Ukraine. Il est capital pour l’État profond, de parvenir à une 3e guerre mondiale, sans quoi le Nouvel Ordre Mondial sera mort sur pied, de l’aveu même des ROTHSCHILD. On voit ensuite que tous les efforts sont concentrés dans ce but et que Micheline CALMY-REY et les Médias suisses ont été appelés à la rescousse pour la Suisse et y prêtent bien évidemment leur concours…
Tous ceux qui se font élire et trahissent le Peuple souverain pour se mettre sous le contrôle de l’État profond et veulent profiter des avantages qu’ils en retirent, sont des traîtres pour le Pays et l’heure est proche où ils devront assumer leurs responsabilités devant des Tribunaux militaires. Des peines exemplaires et dissuasives devront être prononcées, même s’il est nécessaire de modifier le Code Pénal par décret des Autorités militaires !
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Slogan du PS : « Pour toutes et tous, sans privilèges…
À part peut-être pour Roger Nordmann »
Comme le laissent apparaître les remarques des jeunes socialistes lors du congrès du 25 juin 2022 à Payerne, la jeunesse socialiste semble croire encore aux idéaux du Parti ou disons plutôt qu’elle semble ne pas avoir encore été déformée par la corruption et les compromis qui en découlent immanquablement.
Pierre-Yves MAILLARD devrait s’en inspirer et se remémorer ses débuts en politique. Agir, quel qu’en soit le prix, pour que les Institutions politiques, à commencer par son Parti, retrouvent les valeurs de morale, d’éthique, de justice, de transparence, et d’équité, que les administrés sont en droit d’attendre de leurs élus !
Inverviewé par la journaliste de la RTS devant le Château d’Oron VD, Pierre-Yves MAILLARD a tenté de persuader les téléspectateurs qu’il n’y avait pas à voir là de copinage et que toutes les règles prévues par les statuts avaient été respectées…
Constatons simplement que ce qui s’est passé à Payerne le 22 juin 2022 est digne d’un arrangement MAFIEUX qui n’a pas lieu d’être dans une Démocratie ! Cette situation doit être assimilée à de la CONTRAINTE et la contrainte est un délit pénal poursuivi d’office !
Les Partis politiques au sommet de la corruption
Roger NORDMANN était politiquement en bout de course, ayant abusé du système au-delà des règles définies dans les statuts de son Parti, puisqu’il avait déjà bénéficié d’une première dérogation et qu’il sollicitait une 2e dérogation pour se faire réélire en 2023. Une proposition qui semble avoir été inspirée par Pierre-Yves maillard, qui n’avait pourtant aucun souci à se faire élire à la Chambre haute, en cas de candidature double devant les Vaudois…
Ceci démontre aussi que Roger NORDMANN n’a aucune considération, ni pour son parti, ni pour ses électeurs… Il ne fait que défendre ses propres intérêts ! Marié à Florence GERMOND, elle aussi très impliquée en politique mais sous un autre nom (pour que le Citoyen non averti fasse moins facilement le lien), ce type d’individus ne cherchent qu’à contrôler la chose publique non pas dans l’intérêt des Citoyens, mais pour avoir le pouvoir ! Ils sont dangereux pour la cause publique !!!
C’est la même chose du reste pour le couple Olivier FELLER et et la Conseillère d’État VD Noria GORRITE, pour le Syndic de Lausanne Grégoire JUNOD et Géraldine SAVARY (ancienne Conseillère aux états qui était de la Commission fédérale de la Poste (PostCom) et est aujourd’hui rédactrice en chef du magazine Femina (Tamedia).
Alors pourquoi était-il impératif de garantir à Roger NORDMANN une nouvelle élection en 2023 ? La réponse, je l’ai peut-être, ou du moins en partie, dans notre base de données liées au blanchiment des royalties… Comme pour l’ex Conseiller National Dominique DE BUMAN, la Direction du Parti socialiste n’a pas voulu prendre le risque que Roger NORDMANN – déçu d’être écarté du milieu politique corrompu – déballe tout ce qu’il sait sur la corruption politique en Suisse, liée à l’escroquerie des 3’600 milliards de dollars de royalties sur les brevets FERRAYÉ ?
Les Conseillers fédéraux socialistes
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Les Conseillers Fédéraux du PS (Parti Socialiste Suisse) depuis 1991
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Otto STICH SO (Chef du Département fédéral des Finances 1984 – 1995).
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Moritz LEUENBERGER ZH (Chef du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication 1995 – 2010)
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Ruth DREYFUSS GE (Cheffe du Département fédéral de l’Intérieur 1993 – 2002). Elle a été la troisième personne, et la dernière à ce jour (2021), à avoir été élue au Conseil fédéral sans avoir été auparavant membre du Conseil national, du Conseil des États ou d’un exécutif cantonal. Elle a été également le premier membre juif du gouvernement suisse.
Ruth DREYFUSS a succédé au PDC Flavio COTTI au Département de l’Intérieur, qui semble avoir été un département clé dans la vente des brevets et l’escroquerie des royalties, comme on le constate dans le lien précité, ou sur le lien de son successeur, le Conseiller fédéral Pascal COUCHEPIN.
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Micheline CALMY-REY PS GE (2003 – 2011 Cheffe du Département fédéral des Affaires étrangères). Députée genevoise socialiste au Grand Conseil de 1986 à 1997, elle a été Conseillère d’État Cheffe du Département des finances (12.1997 – 12.2002). Olivier VODOZ l’avait précédée de 1989 à 1997 et Martine BRUNSCHWIG-GRAF lui a succédé en 01.2003 (Instruction publique 1993-2002 / Finance 2003-2005). Martine BRUNSCHWIG-GRAF était libérale comme Marc BONNANT ou encore le Notaire Pierre MOTTU). C’est donc sous le règne de ces trois Chef/Cheffes du Département des Finances de Genève. C’était après le séquestre et sans que les premiers escrocs n’aient jamais été interpellés par la « justice » corrompue dirigée par le Procureur général socialiste Bernard BERTOSSA. C’est à partir de là que les stratégies pour soustraire les royalties (conventions) ont été mises en place. Il fallait en faire profiter les nouveau membres du complot (Politiciens, Magistrats, Hauts fonctionnaires, Régies fédérales et Présidents de l’économie et de l’industrie) réunis dans le blanchiment. Les royalties ont pu être escroquées sous le contrôle de l’État de Genève qui encaissait officiellement des droits de timbre sur les transactions notariées et dont Micheline CALMY-REY était la Cheffe du Département des Finances. C’est du reste cette escroquerie qu’elle a maîtrisée en garantissant l’impunité à ses complices, qui lui a servi de tremplin pour le Conseil Fédéral en 2003 !
Sur les plateaux de LEMAN BLEU en 2005, Pierre MOTTU a confirmé au téléphone de Michel CHEVROLET, qu’il n’a jamais détenu le premier centime des royalties et qu’il ne sait pas où est l’argent… Bien entendu, il ment ! (Page 3). Voir aussi : La Juge d’Instruction Christine JUNOD détient des pièces bancaires pour 24 milliards de dollars.
Dans son audition du 4 mars 1996 (page 4) le Notaire Pierre MOTTU déclarait que l’État de Genève avait encaissé quelque 22 millions de droits d’enregistrement. Dans un courrier du 28 janvier 2005 adressé à la Cheffe du Département de Justice et Police de l’époque Micheline SPOERRY, nous soulevions le problème. Micheline SPOERRY nous répondait le 31 janvier 2005, que son service n’avait jamais procédé à aucun blocage de capitaux et qu’il n’était pas chargé de la perception des droits d’enregistrement… Voir la suite sur le lien précité « Micheline SPOERRY »
La complicité de Micheline CALMY-REY dans l’escroquerie des royalties, lui a permis une ascension politique fulgurante. Sans aucune expérience fédérale, ce ne sont pas les 5 ans au Conseil d’Etat de Genève (1997-2002) qui ont suffi à lui dérouler le tapis rouge à Berne, pour être élue Conseillère fédérale du Département des Affaires étrangères, d’où elle a pu maîtriser le blanchiment des royalties à l’International…
Si elle n’avait pas été un membre très actif du complot dans l’escroquerie des royalties et du blanchiment qui a suivi, dans lequel étaient complices de très nombreux parlementaires des Chambres fédérales, elle n’aurait jamais été élue à la fonction suprême du Pays. En l’élisant, les parlementaires se garantissaient un appui de poids en faveur de leur impunité…
Voir aussi : Micheline CALMY-REY – La Felonne du Conseil Fédéral
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Alain BERSET FR (2012 – à ce jour) Chef du Département Fédéral de l’Intérieur, notamment en charge de la prévoyance vieillesse et de la santé. Député au Grand Conseil fribourgeois de mars 2000 à mai 2004. Il a siégé au Conseil des Etats (Sénateur) à Berne du 1er décembre 2003 au 31 décembre 2011. Il a été membre du bureau du Conseil des États dès 2005.
Alain Berset a été notamment membre de la Commission de l’économie et des redevances, de la Commission des finances, de la Délégation des finances, de la Commission des institutions politiques (président à partir de 2009) et de la Commission des affaires juridiques du Conseil des États. Il a également été vice-président du groupe socialiste de l’Assemblée fédérale à partir de 2006.
Constatons donc qu’en fonction de ses différentes implications dans les différentes Commissions fédérales, non seulement il ne pouvait pas ignorer les activités de blanchiment des royalties au sein de l’Administrations fédérale, entre autres par la privatisation des Régies fédérales, à l’exemple de La Poste suisse, mais qu’il y a participé activement.
Au surplus, il a été vice-président du groupe socialiste de l’Assemblée fédérale à partir de 2006, quand son collègue cantonal Christian LEVRAT siégeait à la Commission des transports et des télécommunications (La Poste suisse).
N’oublions pas que c’est sous le règne du Procureur général socialiste genevois Bernard BERTOSSA, que les royalties ont été escroquées et qu’après le séquestre de celles-ci, c’est ce même Procureur socialiste qui a levé les séquestres pour que Politiciens, banquiers, entrepreneurs et autres capitaines de l’économie, puissent prendre le contrôle de ces milliers de milliards de francs à leur seul profit… UNE ESCROQUERIE D’ÉTAT qui a engagé la responsabilité de la Confédération suisse et qui de plus a privé les caisses de l’État de centaines de milliards de francs, sous forme d’impôts…
Constatez aussi que suite à cette escroquerie, la « gauche » censée défendre les intérêts des salariés, est devenue une gauche CAVIAR qui n’a que faire des préoccupations du Peuple… Hormis quelques gesticulations pour manipuler l’Opinion publique, nos politiciens n’ont pour objectif réel que de préserver leur impunité dans le CRIME monstrueux qu’ils ont commis au fil des années, depuis 1992 !
Alain BERSET est un traître envers la Population Suisse… Suivre ce lien !
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Les Présidents du PS (Parti Socialiste Suisse) depuis 1991
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Peter BODENMANN VS a été Conseiller National ( 1987 – 1997) et Président du PS (1990 – 1997). Il était donc Président du Parti socialiste alors que les deux Conseillers fédéraux PS Moritz LEUENBERGER et Ruth DREYFUSS étaient en activité, ce qui signifie qu’il a obligatoirement eu connaissance de l’implication de la Confédération et du Parti socialiste, dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties…
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Christian LEVRAT FR a débuté sa carrière politique comme membre du Parti Radical démocratique, avant de rejoindre le Parti socialiste. Il a été élu Conseiller National en décembre 2003 et a siégé à la Commission des transports et des télécommunications, ainsi qu’à la Commission des finances. Il a été Conseillé aux Etats de 2012 à 2021. Il a donc été au cœur du blanchiment des royalties au moment de la privatisation des Régies fédérales… Président du Parti Socialiste Suisse (2008-2020) et élu Conseiller aux États (2012-2021), il a été nommé Président de La Poste Suisse à partir du 1er décembre 2021. Depuis janvier 2020, il siège également à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, où il est membre des commissions politique et juridique.
Ce bref rappel du chemin politique de Christian LEVRAT, nous démontre qu’il était membre de la Commission des transports et des télécommunications, au moment où les Autorités fédérales ont escroqué les Caisses de l’état de plus de 15 milliards de francs lors de la privatisation de la seule Régie de La Poste Suisse…
C’est sous la tutelle du Conseiller fédéral PS Moritz LEUENBERGER, puis de la Conseillère fédérale PDC Doris LEUTHARD, de la socialiste Simonetta SOMMARUGA, et maintenant de l’UDC Albert RÖSTI que les membres de la Commission des Transports et des télécommunications ont cautionné le blanchiment des royalties et les escroqueries commises au détriment des Citoyens…
On peut dire que le socialiste Christian LEVRAT trompe bien son monde, sous ses airs de bon nounours fribourgeois sympathique… Lors d’une brève rencontre avec le lanceur d’alertes Daniel CONUS début mai 2021, alors qu’il distribuait le « Communiqué N° 2 », Christian LEVRAT https://swisscorruption.info/ps/#levrat s’était permis de lui faire la remarque suivante : « Si vous avez été condamnés, c’est que vous avez fait des conneries »… Une manière propre à nos politicards de considérer les Citoyens qu’ils font emprisonner pour que leurs propres crimes ne puissent pas être dénoncés… Ces politicards font preuve d’une arrogance et d’une suffisance sans faille, pensant qu’ils sont au-dessus des Lois et que leur fonction leur garantit toute impunité, méprisant au surplus toute personne qui veut démontrer leurs crimes…
Camarades Ouvriers nous sommes la force de ce Pays
On comprend donc aujourd’hui pourquoi la Conseillère fédérale socialiste SIMONETTA SOMMARUGA et le Conseil Fédéral ont nommé Christian LEVRAT à la présidence de LA POSTE SUISSE, puisqu’il est impliqué dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties depuis bientôt deux décennies et que dans le cadre de sa fonction dans la Commission des transports et communications (y compris l’affaire Car Postal) il a côtoyé les principaux auteurs et complices de l’escroquerie, à savoir Micheline CALMY-REY Conseillère fédérale socialiste et l’ancien Procureur général socialiste de Genève, devenu Juge fédéral Bernard BERTOSSA. Il va être à même de garantir la continuité du processus et l’impunité des tous les partenaires impliqués dans ce CRIME !
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Nous évoluons dans un monde politique complètement corrompu ! Les membres de nos Gouvernements, de nos Parlements, que ce soit à la Confédération ou dans les Cantons, sont corrompus et agissent au sein d’une Organisation du CRIME pour laquelle ils ont prêté un serment secret contraire à leur Serment sur la Constitution… Souvenez-vous des déclaration du fribourgeois Conseiller National et vice-Président Suisse du PDC (Le Centre) de Dominique DE BUMAN le 8 juin 2006 :
« Je sais que les Autorités sont complètement corrompues, mais ça ne s’arrête pas là. Si je dénonçais tout ce que je sais, la Suisse entière tremblerait… La société est complètement pourrie. Cela ne fonctionne que par les petits copains. Il y a des problèmes partout. La société (fribourgeoise) n’est pas exempte d’histoires de corruption ou de copinage. J’ai eu vent de certaines choses qui ont été couvertes, c’est vrai, je le sais »…
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Ils figurent au Registre du Commerce de Sociétés qui ont contribué au blanchiment des royalties et/ou ont occupé des postes de premier plan au sein du PS :
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Bernard BERTOSSA – Avocat, Procureur général genevois (1990-2002). Il a été Juge du Tribunal Pénal Fédéral de 2003 à 2007.
Difficile de trouver plus corrompu dans la magistrature suisse. Il est l’auteur de la levée des séquestres sur des milliers de milliards, au profit de la Mafia politique et économique suisse.
Consultez les détails concernant ce CRIMINEL, sur ce lien…
Si à l’époque la « bombe » que constituait Révélation$ n’a pas explosé et n’a pas convaincu, ce n’est dû qu’au fait que Denis ROBERT ne détenait pas tous les éléments. Ernest BACKES voulait garder les comptes FERRAYE pour monnayer son dossier, ce qu’il a fait en 2002 en contactant FERRAYE pour lui remettre copie des comptes. Quand il a constaté qu’il perdait toutes ses chances de toucher sa part, s’il s’opposait au procureur corrompu BERTOSSA de Genève qui se faisait passer pour un magistrat « anticorruption », BACKES s’est alors fait corrompre avec son ami et associé André STREBEL de IWR à Saarbrücken. D’autres détails à partir du point 117 (page 45) du mémoire FERRAYÉ
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Dina BETI (1964) est originaire de Poschiavo – Elle a obtenu son diplôme d’avocate à Genève en 1992. Elle est entrée au service juridique de la Commission Fédérale des Banques (FINMA) en 1993 et a donc pu observer toutes les malversations lors de l’escroquerie des royalties FERRAYÉ qui ont eu lieu de 1992 à 1996. Il en est de même du blanchiment de ces royalties à partir de ce moment-là… Depuis 1998, Dina BETI assumait la responsabilité de toutes les procédures portant sur des activités illicites dans le secteur financier et de toutes les mesures prises contre les banques et négociants en valeurs mobilières non autorisées. Autant dire qu’elle a garanti l’impunité de tous les escrocs et blanchisseurs des royalties sur les brevets FERRAYÉ.
Elle était entrée à l’AFF (Administration Fédérale des Finances) en octobre 2001. En tant que sous-directrice de l’AFF, elle dirigeait depuis lors l’Autorité de contrôle en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, dont les effectifs se montaient à quelque 25 postes. Dans cette fonction, elle s’assurait que les intermédiaires financiers des secteurs autres que ceux des banques et des assurances respectaient les obligations découlant de la loi sur le blanchiment [rédaction : en réalité elle garantissait l’impunité des escrocs]… Elle s’occupe également du contrôle des organismes d’autorégulation dans ce domaine.
Au 1er mai 2008, Dina BETI avait été nommée à la direction du service juridique du Département fédéral des finances (DFF) et de l’Administration fédérale des finances (AFF). Dina Betti a été nommée par Elisabeth Meyerhans Sarasin, secrétaire générale du DFF, et par Peter Siegenthaler, directeur de l’AFF. Elle a ainsi pu contribuer au blanchiment des royalties lors de la privatisation des anciennes régies fédérales…
Dina BETI a été élue Juge (PS) du Tribunal Cantonal de Fribourg en 2013 et elle en est actuellement la Présidente.