Conseil d’Etat 2022-2027
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LUISIER BRODARD Christelle, Présidente PLR du Conseil d’État
Elle est née le 27 septembre 1974 à Sion. C’est en 1997 qu’elle a rejoint les rangs du PLR et a été élue au Conseil communal de Payerne en 1998, avant de devenir Syndic de 2011 à 02.2020. Christelle LUISIER BORDARD avait débuté un stage d’avocate à Lausanne en 2002 et obtenu son brevet trois ans plus tard. Il n’est fait mention nulle part de l’Etude dans laquelle ce stage s’est déroulé et il semble qu’elle a ici quelque chose à cacher. Elle a été secrétaire générale adjointe du Département des finances du canton de Vaud, placé sous la direction de Pascal BROULIS, de 2006 à 2008, puis secrétaire générale adjointe de Retraites populaires de 2008 à 2011. Christelle LUISIER BORDARD s’était mariée en 2003 à Laurent BRODARD, de qui elle est aujourd’hui divorcée.
Le parcours professionnel de Christelle LUISIER-BORDARD est lié de près aux sociétés concernées par le blanchiment des royalties dans notre base de données. Le fait qu’elle est été secrétaire générale adjointe du DF au Canton de Vaud n’est pas anodin, pas plus du reste que sa fonction au sein des Retraites populaires.
En outre, le parcours professionnel de Laurent BRODARD soulève également beaucoup de questionnements en fonction des 10 sociétés enregistrées dans notre base de données et au RC desquelles il figure.
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RUIZ Rebecca, vice-Présidente PS du Conseil d’État
Elle est née le 4 février 1982 à Lausanne, originaire de Lausanne et Ardon VS et double nationale hispano-suisse. Elle est mariée à Benoît GAILLARD (PS – Syndicaliste) qui était l’ex Conseiller de Noria GORRITE. Elle a été naturalisée à l’age de 17 ans et a obtenu un master en criminologie et sécurité en 2007. Rebecca RUIZ a été Députée au Grand Conseil vaudois de 07.2012 à 05.2014 et Conseillère Nationale de 06.2014 à 05.2019. Elle a siégé à la Commission des affaires juridiques et à la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique. Elle est Conseillère d’Etat depuis 05.2019.
Le 20 décembre 2018, le journal Le Temps révèle que « La conseillère nationale socialiste a bénéficié entre 2013 et 2014 d’un contrat de maîtresse secondaire, alors qu’elle n’a jamais enseigné, auprès du Département de la formation, dirigé alors par sa camarade de parti Anne-Catherine Lyon ». Rebecca Ruiz a répondu qu’elle avait toutes les compétences requises pour obtenir ce mandat et assuré qu’elle avait tout de suite alerté la direction lors de la réception de ce contrat ; elle s’est alors entendue dire qu’il s’agissait « juste d’un procédé administratif ». (Wikipedia)
Rebecca RUIZ a engagé l’ancienne Madame « Pigouse expérimentale » Virginie MASSEREY en tant que Directrice générale de la Santé vaudoise (DGS). C’est elle qui a oeuvré à l’OFSP durant les années COVID, pour alarmer la population et contraindre les Citoyens à se faire injecter des poisons expérimentaux qui ont fait croître les statistiques de décès à des sommets que les politiciens veulent taire… En 2003, Virginie MASSEREY était déléguée de l’OFSP auprès de l’OMS comme spécialiste des maladies infectieurs lors de l’épidémie de SRAS (2002-2004).
Virginie MASSEREY a été Cheffe de la section Contrôle de l’infection et programme de vaccination de l’OFSP, sous la direction du Fribourgeois Alain BERSET, avant d’être engagée par Rebecca RUIZ, en reprenant le nom de Virginie SPICHER.
Avec les mensonges que le monde politique et l’OFSP, mais aussi l’OMS ont divulgés lors des années COVID, les Vaudoises et les Vaudois devraient aujourd’hui se faire beaucoup de souci de savoir leur santé publique cantonale en main de Virginie SPICHER.
https://benjaminfulford.net/wp-content/uploads/2023/03/Bill-Gates-video.mp4?_=13
On est en droit de se demander à quoi joue Rebecca RUIZ !
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BORLOZ Frédéric, Conseiller d’État PLR
Il est né le 22 avril 1966 et est originaire d’Ormont-Dessous. Employé de commerce de formation, il a obtenu un brevet de comptable en 1998. Conseillé communal en 1996, puis Syndic d’Aigle de 03.2006 jusqu’en 06.2021, Frédéric BORLOZ a été Député vaudois de 2002 à 2017. Il a été en outre Président du PLR Vaud de 2012 à 2018. Il a siégé également au Conseil National de 11.2015 à 06.2022 où il a siégé dans la Commission des transports. Il a pris la fonction de Conseiller d’État au 1er juillet 2022.
Je me contente de relever pour l’instant, que s’il figure au RC de plus de 30 sociétés dans notre base de données, dont certaines en lien avec le blanchiment des royalties escroquées lors de l’affaire de Genève, il répertorie sur son compte « Facebook », des « Amis » peu recommandables, toujours en lien avec l’affaire de Genève…
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DITTLI Valérie, Conseillère d’État PDC – Le Centre
Elle vient de Zug, le Canton par excellence où règne la corruption et le blanchiment d’argent ! Et derrière l’air naïve qu’elle veut se donner, elle est au contraire très, très réfléchie et calculatrice…
Elle est née le 7 octobre 1992 à Oberägeri ZG et est originaire de Gurtnellen UR. Elle-même, son père et son Grand-père (dont elle cache jalousement le nom et prénom) sont des amis proches de Gerhard PFISTER, Président actuel de l’ancien PDC devenu Le Centre, un Parti politique qui a été à l’origine de l’escroquerie des quelque 3’600 milliards de dollars de royalties qu’a générée la vente des brevets FERRAYÉ.
Doit-on dès lors trouver étonnant que Valérie DITTLI ait obtenu le dicastère des Finances cantonales ? qu’elle soit la grande argentière du Canton de Vaud ? que la Presse corrompue de notre Pays ne s’en étonne pas ?
Au contraire, en fonction de ses relations au sein du PDC / Le Centre, c’était probablement la seule candidate à pouvoir succéder à Pascal BROULIS, sans avoir à s’étonner de ce que les comptes du Canton pourraient laisser apparaître…
L’actualité nous a démontré que ce n’est pas la déontologie qui l’étouffe. Usurpation du titre de « Docteur », tourisme fiscal qui n’a rien à voir avec ce qui a été reproché à Pascal BROULIS, qui lui payait quand même ses impôts dans le Canton. Violation des règles de son parti, le Centre Vaud, après en avoir pris la tête en 2021 : « Peut être membre du parti Le Centre-VD toute personne domiciliée dans le canton qui adhère aux valeurs du parti et aux présents statuts »… Des règles qu’elle a elle-même contribué à rédiger. C’était en 2020, suite à la non-réélection de Claude BÉGLÉ au Conseil National. Lorsque les nouveaux statuts ont été adoptés le 22 janvier 2021, Valérie DITTLI était présidente du Parti depuis quelques mois et venait de transférer sa résidence à Lausanne… Tout semblait en règle. Pourtant, six mois plus tard, en juin 2021, elle remet ses papiers dans le Canton de Zoug où elle reste domiciliée jusqu’à la fin de l’année. Pendant 7 mois, elle a transgressé les règles de son Parti, des règles qu’elle a elle-même participer à rédiger, des règles qui obligent les membres à être domiciliés dans le Canton ! Ainsi, pendant sa présidence, Valérie DITTLI a vécu plusieurs mois à Zoug, en violation des règles de son Parti… C’est quand même pas mal pour une Juriste qui se fait appeler « Docteur ». (extrait du 11.3.2023 de watson.ch)
Selon Blick du 5 mars 2023, Accusée de tourisme fiscal, Valérie DITTLI fait appel à un expert ! Critiquée pour avoir longtemps conservé son domicile fiscal dans le canton de Zoug, alors qu’elle était très active à Lausanne, elle passe désormais à l’offensive en demandant à un expert d’examiner sa situation.
Au-delà du fait que la Juriste a violé le règlement de son propre Parti, les règles qu’elle avait elle-même contribué à mettre en place, elle a fait appel à un Expert fiscaliste. La TdG du 9 mars 2023 révèle que l’Expert à qui est confié le soin d’éplucher la situation fiscale de la Ministre centriste, est Daniel SCHAFER de l’Étude LENZ & STAEHELIN à Genève…
Il faut toujours suivre la piste de l’argent… LENZ & STAEHELIN à Genève, Lausanne, Fribourg ou Zürich ont joué un rôle important dans le blanchiment de milliers de milliards sur la place économique suisse. Alors évidemment, un expert pour la grande Argentière vaudoise, ne pouvait pas être trouvé ailleurs qu’au sein de LENZ & STAEHELIN…
Dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties sur les brevets FERRAYÉ, au-delà des banques – CREDIT SUISSE avait été l’initiatrice de l’escroquerie – les sociétés d’Audits ont joué un rôle capital pour couvrir le blanchiment qui était opéré. Et bien évidemment avec la complicité des Autorités politiques qui officiellement veulent des rapports de réviseurs qui confirment que tout va bien dans le meilleur des mondes… Des politiciens véreux, j’en compte des centaines dans notre base des données… quelques exemples sur les liens :
https://swisscorruption.info/politique-corruption
https://swisscorruption.info/fribourg-corruption
https://swisscorruption.info/genève-corruption
https://swisscorruption.info/implications
Trop c’est tout simplement trop ! DÉMISSIONNEZ et retournez à Zug Madame DITTLI ! Les Vaudoises et les Vaudois mérient mieux que ça ! Vous n’êtes pas digne de représenter le Peuple souverain vaudois !!!
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GORRITE Nuria, Conseillère d’État PS
Elle est née le 6 juillet 1970 à La Chaux-de-Fonds et est Hispana-Suisse. Elle a fait des études de lettres à l’UNIL entre 1992 et 1996, qu’elle n’a pas achevées. Elle a été Présidente du Conseil d’état de 2017 à 2022. Nuria GORRITE est (toujours ?) en couple avec le Conseiller National PLR Olivier FELLER. Elle a été Conseillère communale, puis Municipale de la Ville de Morges. En 2008, elle est élue Syndicque. Elle a également été élue Députée au Grand Conseil en 2007, avant de rejoindre le Conseil d’État le 1er juillet 2012.
Nuria GORRITE est divorcée de l’Avocat BOSSHARD Pierre Yves qui est Conseiller Communal PS de la Ville de Genève (2020-2025). Me BOSSARD avait occupé le poste de Conseiller municipal PS de l’exécutif de la Ville de Morges, avant de se faire élire juge cantonal par le Grand Conseil vaudois en 2001. Il a exercé deux mandats à ce poste respectable jusqu’à sa chute, en 2012. Cette année-là, à quelques semaines d’une réélection qui devait être routinière, le scandale avait éclaté: Pierre-Yves Bosshard ne payait plus ses impôts depuis plusieurs années et l’avait caché à ses collègues du tribunal. Non réélu en raison de ce scandale, il a obtenu, comme la loi le prévoit, une confortable pension d’ancien magistrat.
Rappelons que Nuria GORRITE était alors Syndic de la Ville de Morges !
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MORET-ZUPPIGER Isabelle, Conseillère d’État PLR
Elle est née le 30 décembre 1970 à Lausanne et est originaire le Clarmont VD. Isabelle MORET née ZUPPIGER a adhété au PLR après le l’acceptation par le peuple souverain, du référendum contre l’adhésion de la Suisse à l’EEE. Elle a commencé son parcours politique au sein de la commission sur la politique intérieure en 1997. Elle a passé son brevet d’Avocate à Berne en 1995, sans que l’on puisse savoir où elle a fait son stage. Elle est séparée de Cédric MORET, Directeur et vice-Président d’ELCA Informatique, société dont le Président du PLR Thierry BURKART est Administrateur et Pascal BROULIS est devenu lui aussi Administrateur en 09.2022. On retrouve dans cette société, des Administrateurs directement liés à des sociétés impliquées dans le blanchiment des royalties, dont certaines à l’instar de sociétés de CREDIT SUISSE ont contribué à l’escroquerie des royalties.
Isabelle MORET-ZUPPIGER a été Députée au Grand Conseil vaudois de 1999 à 2006 et Conseillère Nationale de 12.2006 à 06.2022, avant d’accéder au Conseil d’État le 1er juillet 2022. Elle a siégé à la Commission des affaires juridiques (CAJ) du Conseil National et quatre ans à la Commission de gestion (CdG), dont la Délégation des commissions de gestion, de 12.2007 à 12.2011. Depuis 2011, elle a été membre de la Commission des institutions politiques (CIP) et de la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique (CSSS).
Parallèlement à son mandat de Conseillère nationale, elle a été vice-Présidente suisse du PLRde 2008 à 2016.
Isabelle MORET-ZUPPIGER était en outre vice-Présidente d’Economiesuisse à Zürich (2015-2022) et vice-Présidente de Swissgrid à Aarau, au-delà de nombreux RC dans notre base de données. Elle est en outre membre du ROTARY Club.
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VENIZELOS Vassilis, Conseiller d’État Les Verts
Il est né le 7 avril 1977 à Yverdon-les-Bains, d’où il est originaire et est marié à Sophie VENIZELOS. Il a été Directeur général adjoint de l’Office de l’urbanisme du Canton de Genève, service dans lequel il a travaillé de 2016 à 06.2022.
Vassilis VENIZELOS était donc sous les ordres du Conseiller d’État Antonio HODGERS Chef du Département du territoire, un département qui n’est pas anodin dans le cadre du blanchiment des royalties. Au surplus, l’inscriptions d’Antonio HODGERS au RC de certaines fondations ou sociétés, soulève beaucoup de questionnements, surtout en regard de la corruption dans laquelle le Ministère Public de Genève s’est rendu complice en rejetant toutes les plaintes qui ont été déposées ! Notons que Robert CRAMER (Les verts) avait lui aussi dirigé le DT et était très, très impliqué dans le blanchiment des royalties.
Les ex-Élus vaudois
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BROULIS Pascal, Président PLR du Conseil d’État (2002 – 2022)
Il est né le 3 avril 1965 à Sainte-Croix, fils d’un ouvrier grec, il a été naturalisé suisse et est devenu orginaire de l’Auberson. Après une formation d’employé de commerce, il a entamé un carrière professionnelle au sein du Crédit Foncier Vaudois, puis à la Banque Cantonale Vaudoise où il est devenu Directeur adjoint en 2000.
Élu Conseiller communal en 1985 à Sainte-Croix en 1985, il est devenu Député du Grand Conseil en 1990 et a présidé la Commission des finances. Rappelons que c’est entre les années 1992 et 2000 qu’a eu lieu la plus grande partie du blanchiment des royalties, escroquerie et blanchiment dans lesquels le Canton de Vaud a été très largement impliqué…
Élu au Conseil d’État en 2002, il a pris la charge du Département des finances – et on comprend pourquoi en fonction de ce qui précède – Département qu’il n’a plus quitté jusqu’en 2022 à la fin de sa carrière. Il a incarné avec Pierre-Yves MAILLARD (PS) qui lui a succèdé à la présidence du gouvernement, le « compromis dynamique » à la vaudoise, où la droite s’entendait avec la gauche, tous deux connaissant le trésor de guerre du Canton provenant de l’escroquerie des royalties… Leur tandem est surnommé par contrepèterie « Brouillard et Malice ».
Le 9 décembre 2022, Pascal BROULIS a été désigné candidat du PLR pour l’investiture au Conseil des États à Berne, contre sa concurrente Jacqueline DE QUATTRO que nous connaissons comme « Maître-chanteur »… Il est vrai que les valeurs d’Ethique et de morale, ne font pas partie du vocabulaire PLR, pas plus que celui des autres Partis politiques du reste… https://swisscorruption.info/politique-corruption.
En février 2018, il est attaqué sur la répartition de ses impôts entre Sainte-Croix et Lausanne. Mais contrairement à Valérie DITTLI, s’il a voulu avantager sa Commune de « montagne », les impôts restaient payés dans le Canton de Vaud…
La même année 2018, il est critiqué pour des voyages auxquels il participe avec d’autres personnalités romandes en compagnie du milliardaire suédois Frederik Paulsen: soupçonné d’acceptation d’un avantage, il est blanchi par le ministère public à l’issue des investigations préliminaires un mois plus tard, en octobre 2018. En février 2019, il lance une action civile contre Tamedia en raison de « la répétition d’articles à charge » signés par un journaliste du Tages-Anzeiger
Il faut souligner sur ce point que les sociétés aux RC desqulles apparaît Frederik PAULSEN dans notre base de données, ont joué un rôle important dans le blanchiment des royalties.
Le 19 août 2021, Pascal BROULIS a annoncé qu’il ne se présenterait pas pour un cinquième mandat et qu’il se retirerait donc du gouvernement le 30 juin 2022. Selon le quotidien vaudois 24 Heures, « Pascal Broulis restera comme l’artisan principal du redressement des finances vaudoises », sans préciser le rôle qu’a joué l’escroquerie des royalties dans ce redressement…
Après son retrait du Conseil d’État vaudois, il a été nommé président de Y-PARC Swiss Technopole SA à Yverdon-les-Bains et administrateur de ELCA Group SA à Lausanne (au côté du Président du PLR Thierry BURKART), des sociétés dont certains administrateurs sont très investis dans notre base de données du blanchiment des royalties. On retrouve dans cette société, des Administrateurs directement liés à des sociétés impliquées dans le blanchiment des royalties, dont certaines à l’instar de CREDIT SUISSE ont contribué à l’escroquerie des royalties.
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LEUBA Philippe, Conseiller d’État PLR (2007 – 2022)
Il est né le 9 décembre 1965 à Riez et est originaire de Buttes et de Puidoux. Il est le fils de l’ancien Conseiller d’État et Conseiller National (1987 -1998) Jean-François LEUBA. Membres du ROTARY et des ZOFINGIENS, tous les deux sont enregistrés dans des dizaines de sociétés liées au blanchiment des royalties escroquées sur les brevets FERRAYÉ, dans notre base de données. Notons encore que Jean-François LEUBA était Président du Groupe libéral aux Chambres fédérales, lorsque le Conseiller fédéral PDC Flavio COTTI assistait à la vente des brevets lors du Sommet de l’environnement et du développement de Rio de Janeiro, du 3 au 14 juin 1992…
Philippe LEUBA était Directeur de la Gérance Robert CROT & Cie SA à Lausanne jusqu’en 2005, mais surtout Directeur de la Chambre Vaudoise Immobilière (CVI) de 2005 à 2007, une Institution dont les membres sont très impliqués dans le blanchiment précité. En outre, Philippe LEUBA a été secrétaire général du Parti libéral vaudois de 1991 à 2000 lors de l’escroquerie des royalties et notre base de données démontre le nombre impressionnants de membres de ce Parti, impliqués dans le blanchiment… à titre d’exemple : Le Conseiller National Christian LUESCHER, l’Avocat Marc BONNANT, le Notaire Pierre MOTTU et des centaines d’autres…
Philippe LEUBA a été Député au Grand Conseil vaudois de 1998 à 2007. Comme Conseiller d’État, il a dirigé les Départements de l’Intérieur (2007 – 2012) et de l’Économie (2012 – 2022) à la suite du décès de Jean-Claude MERMOUD.
Depuis 2022, il a été engagé comme Conseiller du Comité International Olympique, pour faire le lien entre les Institutions suisses et l’organisation. Un nouvelle autoroute sur la voie du blanchiment…
Autorité cantonale de surveillance
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Conseil de la Magistrature
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Le Conseil de la magistrature est institué par la loi sur le Conseil de la magistrature du 31 mai 2022 (LCMag). Il exerce une surveillance administrative sur l’organisation et le fonctionnement des autorités judiciaires et du Ministère public, à l’exclusion de l’activité juridictionnelle et de la gestion financière. Il exerce également une surveillance disciplinaire sur les membres des autorités judiciaires et du Ministère public. Enfin, il préavise les candidatures aux postes de juges cantonaux, de Procureur général et de Procureur général adjoint, à l’intention du Grand Conseil.
Selon l’Art. 2 LCMag, le Conseil de la magistrature est une autorité indépendante et exerce sa mission de surveillance de façon autonome.
Composition / Art. 5
Les neuf membres du Conseil de la magistrature sont :
a. | deux membres du Tribunal cantonal, proposés par la Cour plénière du Tribunal cantonal ; |
b. | un membre professionnel de la magistrature de première instance, proposé par ses pairs ; |
c. | deux membres du Ministère public, dont au moins un procureur d’arrondissement, proposés par le Collège des procureurs ; |
d. | un ancien Bâtonnier de l’Ordre des avocats vaudois ainsi qu’un avocat inscrit au registre cantonal Vaudois des avocats depuis au moins 10 ans, proposés par la Commission de présentation du Grand Conseil ; |
e. | deux autres personnes proposées par la Commission de présentation du Grand Conseil, disposant de compétences particulières, utiles au |
La seule définition de la composition du Conseil de la Magistrature présentée ci-dessus, suffit à elle seule à démontrer que les buts visés par les Législateurs (Membres du Grand Conseil), qui ont mis sur pied cette Autorité de surveillance du Pouvoir judiciaire, n’était pas de veiller au bon fonctionnement des autorités judiciaires et du Ministère public, mais bien au contraire de s’assurer que tous les crimes judiciaires commis, dont la grande majorité ont pour but de couvrir la corruption qui règne au sein de l’État, puissent être verrouillés sous le contrôle des « magistrats » et des « avocats » qui sont trop souvent leurs complices. Quant aux deux membres présentés par le Grand Conseil, gageons qu’ils seront choisis avec soin, pour satisfaire aux exigences voulues par le pouvoir politique !
La présentation des différents individus nommés, va nous démontrer que la mise en place du Conseil de la Magistrature en tant qu’Autorité de surveillance, n’est en définitive qu’une fumisterie pour faire croire au Citoyen lambda que l’Institution judiciaire fonctionne. Les Justiciables vont très vite se rendre compte de la supercherie supplémentaire dont ils sont les Victimes !
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MÉTRAL Jean (Les Verts), Président – Il est Juge cantonal
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ROULEAU Sandra, Juge cantonale vaudoise complice dans l’escroquerie du patrimoine de la famille BURDET.
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FESER Alexandre, Tribunal d’arrondissement de Lausanne
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KRIEGER Joël (suppléant) est membre du Tribunal Cantonal. Il a eu une influence majure dans le cadre des crimes judiciaires liés à l’escroquerie des patrimoines de Werner RATHEGEB à Rennaz et Jakob GUTKNECHT à Nonfoux.