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KOWEIT 1991
Opération « Tempête du Désert »
Escroquerie des brevets d’extinction et de blocage des puits de pétrole

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Un bref rappel du contexte de l’escroquerie des royalties sur les brevets FERRAYÉ est accessible sur le lien « Introduction »
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Dubail avant et après l’escroquerie des royalties

1.

En 1985, soit 5 ans avant l’invasion du KOWEIT par Saddam HUSSEIN, Joseph FERRAYE construisait une machine d’enduction et vulcanisation de latex pour tapis. A ce moment-là, il était chef d’entreprise avec son frère, de la Société Mont Fleuri Textile à Carros dans le Alpes Maritimes en France.

Au cours de la construction de cette machine, Joseph FERRAYÉ a conçu une pièce qui allait garantir le blocage de deux parties mécaniques de la machine. Et c’es là que l’Inventeur a eu l’inspiration spontanée que son procédé pouvait être appliqué efficacement là où il y a de très fortes pressions. Ce fut comme un flash ! Il a tout de suite imaginé la relation avec le blocage des puits de pétrole…

A l’annonce des puits explosés au KOWEÏT, FERRAYÉ s’est souvenu de son idée de système de blocage, mais restait à trouver le système qui permettrait l’extinction.

C’est la même nuit que le système lui est apparu et qu’il a pu le tester immédiatement et avoir confirmation de son efficacité.

Ne restait alors plus qu’à construire les maquettes, ce qui a été fait par Dante FERRETTI, ami de longue date de l’Inventeur.

Le 28 février 1991, les systèmes étaient prêts en maquettes.

2.

Avant la capitulation de l’armée de Saddam HUSSEIN et sa fuite du KOWEÏT le 20 février 1991, 1’164 puits de pétrole sur 1’280 en production à l’époque, ont été explosés pour saboter l’économie du Pays (voir point 43).

Les experts étaient confrontés à une catastrophe écologique et économique sans précédent. Le 20 février 1991, les experts américains ont annoncé qu’il y avait 500 / 600 puits explosés et qu’il faudrait au moins 6 ans pour les traiter. Suite aux difficultés rencontrées pour traiter ces puits soumis à de fortes pressions, les experts ont déclaré qu’en définitive, il faudrait de 8 à 12 ans pour les condamner selon les systèmes en vigueur à l’époque ; « KILL WELL »Pièce 067 / 05.1991 Science et Vie – IFP forage oblique

Le traitement se faisait à l’époque selon le principe du forage oblique pour atteindre la nappe de pétrole située entre 1’500 et 3’500 mètres de profondeur au KOWEIT. Dès lors, après l’extinction et le blocage du puits, de nouveaux forages étaient nécessaires pour exploiter à nouveau les gisements. Ainsi, la condamnation du puits nécessitait plus de 6 mois et un nouveau forage de 3 à 4 mois.

Aucun puits ne pouvait être remis en production avant d’avoir éteint tous les feux de chaque champs pétrolier. Il y en avait 7. C’est ensuite des années qui auraient été nécessaires pour refaire les forages et reprendre la production des gisements.

La perte sur les réserves consumées durant une moyenne de 8 ans devait s’élever à plusieurs milliers de milliards de dollars. Quant à la perte d’exploitation due au retard de production pour les 4 mois d’intervention, elle a été estimée à 90 milliards de dollars que le KOWEIT a facturé à l’IRAK. Ce sont aujourd’hui les Irakiens qui financent cette corruption au détriment du Peuple, par le programme pétrole contre nourriture. Voir point 42 du mémoire.

Les procédés de Joseph FERRAYÉ ont révolutionné 15 à 20 mille fois tous les procédés classiques de l’époque. Le processus a été nommé KILL SPOOL au lieu de KILL WELL d’où la différence des deux procédés. En cadeau, ce procédé a permis la réutilisation des mêmes puits avec les intérêts financiers décrits ci-dessus.

C’est sur ces bases, compte tenu du gain économique gigantesque que le nouveau système offrait, que l’offre FERRAYÉ initiale de USD 30.0 millions, présentée par ses Associés BASANO et TILLIÉ, a été augmentée par 2.6. Voir plus bas aux points 28 – 2947 – 53 / Mémoire – point 43 et Appendice 13 – point 29.5 et 29.7

Ce double système révolutionnaire en 1991 consistait dans un premier temps à éteindre le feu et dans un deuxième temps à bloquer le flux.

3.

Dès le début mars 1991, Joseph FERRAYÉ a contacté les Ministères français susceptibles de s’intéresser aux extinctions des puits. Ministère de l’environnement – Protection civile – la Défense (Pierre JOXE) – Commerce extérieur (Martine AUBRY) qui l’ont renvoyé d’un service à l’autre, puis d’un Ministère à l’autre sans avoir pu trouver d’interlocuteur.

4.

Toujours début mars, Roland VERVAT, juriste c/o Me Guerry VAN DIJK a mis FERRAYÉ en contact avec Mario KONIALIDIS, rue Le Corbusier 29 à Genève Tél. 022 346 18 93. C’est lui qui, après avoir étudié la proposition avec un Prince Koweitien, lui a transmis que les Koweitiens voulaient seulement bloquer leurs puits et ne s’intéressaient pas à leur réutilisation, car c’est un marché qu’ils veulaient accorder aux américains en reconnaissance de leur implication militaire pour la restitution du KOWEIT.


Mario KONIALIDIS a ajouté que c’était à Joseph FERRAYÉ de réaliser les prototypes à ses propres frais pour leur démontrer l’efficacité des systèmes. C’est ce qui a poussé FERRAYÉ à simplifier le système de blocage au maximum et qui a été la base du dépôt du brevet du 11 avril 1991.

5.

Brevet de l’IFP – Institut Français du Prétrole

Le 30 avril 1991, l’IFP Institut Français du Pétrole, a déposé un brevet N°91 05440 de « contrôle de puits de pétrole en éruption », qui était un perfectionnement du procédé classique, mais ce système n’était applicable que sur les puits à basse pression ! Il n’apportait qu’une facilité de travail en rapport avec les systèmes antérieurs identiques, mais aucun gain de temps. Pièce 068  30.04.1991 Brevet IFP N° 91 05440 de « contrôle de puits de pétrole en éruption ».

Concernant les puits à forte pression, selon l’article de mai 1991 publié par l’Institut français du pétrole dans le magazine SCIENCE et VIE (voir pièce 067), il n’y avait que le forage oblique pour traiter et condamner ces puits.

Aujourd’hui encore, le brevet précité prouve incontestablement qu’il n’y avait aucun autre procédé en application à l’époque. Seuls les systèmes FERRAYÉ dont les brevets avaient été déposés les
11 et 16 avril et 2 mai 1991, ont été utilisés avec succès au KOWEIT. Le brevet précité désuet de l’IFP ne supporte aucune comparaison.

6.

02.05.1991 – Les KUWAITIS escroquent le système d’extincion

Le 02 mai 1991 Ezzat JAAFAR et Victor GEBRANE ont pris Joseph FERRAYÉ dans un guet-apens dans la villa du premier, située rue Jean Baptiste à la Colle sur Loup, en l’escroquant du système d’extinction dont il avait déposé le brevet le jour même. FERRAYÉ ignorait qu’ils allaient utiliser à son  insu un système déposé, sachant encore que l’extinction des puits ne servait à rien, sans que le flux puisse être maîtrisé par le système de blocage qui lui, n’avait pas été révélé. Ils ont trompé l’Inventeur par des promesses lui garantissant un contrat en bonne et due forme dans les heures qui suivaient, contrat qui n’est jamais arrivé.

De suite ils ont utilisé le système d’extinction, facile à réaliser. Son utilisation avec succès a crédibilisé le système de blocage à leurs yeux et ils s’y sont dès lors intéressés. Il ne servait à rien d’éteindre des puits sans pouvoir les maîtriser et inonder tout le désert par une mer de pétrole qui ne leur aurait plus jamais permis d’accéder aux puits pour les traiter.

Il faut savoir que JAAFAR collaborait avec les mandataires de FERRAYÉ,  GEBRANE, REBOURS et HOBEICH, qui avaient plusieurs dizaines de milliards de dollars provenant des systèmes, sur des comptes à leurs noms et qui ont été identifiés et séquestrés en avril 1995. L’existence de ces comptes à leurs noms a été démontrée à la justice lors de l’audition du notaire parisien Eric HAYE ST-HILAIRE et celle de LEVAVASSEUR. Se référer à l’Appendice 13 sur les détournements et la corruption.
Pièce 069        Audition du 19.11.2002 Eric de la HAYE-ST-HILAIRE
Pièce 040        Audition du 24.11.1999 de Daniel LEVAVASSEUR

7.

Dans son audition du 24 novembre 1999 à Christine JUNOD, Présidente du Collège des Juges de Genève, Daniel LEVAVASSEUR précise que les mandataires précités de FERRAYÉ, « REBOURS, HOBEICH et GEBRANE, étaient directement liés avec des virements de plus de USD 100 milliards partis d’une banque du KOWEIT dans des succursales au Luxembourg de la BNP et de la BANQUE DU GOTHARD ».

LEVAVASSEUR, ex Agent de la DST (services secrets français), a été retrouvé « suicidé » le 2 février 2003, la veille de son rendez-vous avec Joseph FERRAYÉ, pour lui remettre l’ensemble du dossier et des comptes découverts après les détournements. Voir Appendice 02 – Point 04

8.

07.05.1991 à 09.05.1991 Les essais effectués avec succès en date des 7/9 mai 1991 au KOWEIT de l’utilisation du système d’extinction escroqué par le KUWAITI JAAFAR et le groupe B – REBOURS – HOBEICH – GEBRANE (point 6 ci-dessus), qui agissaient avec la complicité de Dominique STRAUSS KAHN, – Ministre français qui contrôlait à la fois l’IFP (Institut Français du Pétrole), Elf et l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) – ont crédibilisé le système de blocage qui a été escroqué dans un deuxième temps.

9.

13.05.1991 Pour masquer l’implication du Gouvernement français, Michel ROCARD Premier Ministre français a signé le décret N° 91432 du 13 mai 1991, suppléant le Directeur de l’INPI au Ministre de l’Industrie Dominique STRAUSS KAHN du contrôle de l’INPI, pour éliminer tous les liens. ROCARD et le Gouvernement voulaient ainsi faire disparaître tous les soupçons sur l’implication de STRAUSS KAHN dans ce complot. Pièce 070 Copie du décret N° 91432 du 13 mai 1991.

10.

15.05.1991 Michel ROCARD a été Premier Ministre du 9 mai 1988 – 15 mai 1991, juste après la signature de ce décret. François MITTERRAND a remplacé ROCARD par Edith CRESSON, essayant ainsi de tourner la page sur l’escroquerie des brevets. CRESSON a été Premier Ministre du 15 mai 1991 au 2 avril 1992, le temps de boucler les escroqueries et organiser la foire française pour vendre les systèmes FERRAYÉ à tous les pays pétroliers. La FRENCH TRADE WEEK où ont été exposés les systèmes s’est déroulée rio à KOWEIT.

Comme on le voit sur les photos ci-dessous, l’affiche de la FRENCH TRADE WEEK est la même, sans la date de l’exposition, que la photo que tient BASANO figurant sur la première page de l’offre officielle de la présentation des systèmes au KOWEIT, fin juillet 1991… voir aussi point 37 ci-dessous

Ceci nous démontre une fois de plus, qu’avant fin juillet 1991, les pétroliers ne disposaient d’aucun moyen de mettre les puits sous contrôle. On comprend ainsi les lacs de pétrole résultant de l’utilisation des procédés classiques et ceci rien que pour les puits à faible pression.

Depuis mai 1991 (voir point 5), les experts pétroliers éteignaient les feux avec le système d’extinction escroqué, mais ne pouvaient pas maîtriser les flux. C’est ce qui a provoqué ces lacs de pétrole jusqu’au moment où le gouvernement français a escroqué le système de blocage (voir points 13 à 15).

Avant que les associés de FERRAYÉ et le Gouvernement français n’aient négocié leur contrat en juillet 1991, aucun procédé n’existait pour maîtriser ces puits.

Dans sa déposition du 11 août 2004, Ahmad Naser AL SABAH, Prince au KOWEIT (cousin de l’Emir) travaillant à l’époque à la Banque AL WATANI à Londres a voulu faire croire à la justice, qu’un autre système avait été utilisé au KOWEIT. Il déclare en page 3 qu’outre RED ADAIR qui a appliqué les systèmes FERRAYÉ, une société hongroise était intervenue.

Or, le système d’extinction hongrois est arrivé au KOWEIT le 22 octobre 1991 et le dernier puits a été éteint au KOWEIT le 5 novembre 1991. Le système hongrois a été testé sur quelques puits pour créer une diversion sur l’application des systèmes FERRAYÉ. Il s’agissait d’un système d’extinction seulement, mais qui ne bloquait pas le flux. Il consistait en un char d’assaut sur lequel étaient montés deux réacteurs de Mig qui propulsaient de l’azote sur le feu et créaient une véritable tempête d’azote durant quelque 20 minutes pour que le feu s’éteigne.

Le système FERRAYÉ quant à lui parvenait à éteindre le feu en moins d’une minute… !

11.

22.05.1991 Joseph FERRAYÉ a contacté Guy TURCO, Doyen de la faculté des sciences de Nice pour lui soumettre l’affaire et tenter d’avoir l’appui du Gouvernement français. Guy TURCO lui a demandé alors de contacter Etienne TILLIÉ de sa part.

Le même jour, TILLIE a demandé à FERRAYÉ d’envoyer dans un premier temps un fax comportant toutes ses coordonnées à Christian BASANO.

Joseph FERRAYÉ ne connaissait ni TILLIÉ, ni BASANO. Après l’envoi du fax, ces deux individus n’ont pas recontacté Joseph FERRAYÉ avant le 3 juin 1991 et ont tenté dans l’intervalle d’obtenir les brevets en se présentant auprès de l’INPI comme membres du CNRS (Centre national de recherches scientifiques). Ils ont chargé Guy TURCO de la Faculté des Sciences de Nice de faire la démarche. Mais leur action est restée sans succès puisque le Gouvernement avait déjà la mainmise sur les systèmes par l’intermédiaire du Ministre de l’Industrie Dominique STRAUSS KAHN. Bien entendu Joseph FERRAYÉ n’a eu connaissance de ces faits que beaucoup plus tard.

12.

03.06.1991 Christian BASANO a appellé plusieurs fois FERRAYÉ pour le convaincre de le rencontrer. Vers 10.00 H, un rendez-vous a finalement été pris et c’est là que les deux escrocs ont proposé à l’inventeur de constituer une Société dans laquelle il serait majoritaire. Il s’agissait de CONIRA (COmpagnie NIçoise de Recherche Avancée), qui n’a finalement jamais été enregistrée.

BASANO et TILLIÉ ont pris les copies des brevets déposés.

13.

04 juin 1991 Christian BASANO a compris la nécessité d’inclure dans cette affaire des membres du Gouvernement français qui devaient avoir autorité sur Dominique STRAUSS KAHN, pour s’opposer à l’escroquerie déjà réalisée par STRAUSS KAHN à ce moment-là. C’est alors que BASANO a rencontré Aurélien GARCIA à Paris, qui a été présenté à FERRAYÉ comme chargé de mission d’Edith CRESSON qui était alors Premier Ministre.

C’est lors de cet entretien que BASANO a eu confirmation par GARCIA que le Gouvernement avait entrepris l’escroquerie des systèmes.

Pour rattraper l’affaire, BASANO a proposé de suite à GARCIA, pour le compte de CRESSON, une commission de FF 500’000.- sur chaque puits traité par les systèmes FERRAYÉ.

14.

05.06.1991 Le matin BASANO a demandé à FERRAYÉ d’aller chez TILLIÉ. Après lui avoir donné son adresse à la Colle sur Loup, il a été prié d’expliquer à TILLIÉ tout le fonctionnement des systèmes. La photo ci-dessous montre FERRAYÉ expliquant les systèmes à TILLIÉ assis à son bureau du 5 juin au 27 juillet 1991.

Dans son livre « Jeu de Banques », Christian BASANO indique la légende suivante en rapport avec cette photo :  « Les inventeurs – 14 juin 1991 »  On sait pourtant que TILLIÉ était totalement étranger à la découverte des systèmes et n’est rien d’autre qu’un escroc. Une preuve supplémentaire s’il en faut, de la complicité de BASANO avec TILLIÉ, qui ensemble et à de nombreuses reprises ont tenté de faire croire qu’ils n’avaient pas pu négocier les systèmes FERRAYE. Voir aussi l’accord antidaté (appendice 03) rédigé par TILLIÉ.  

Edith CRESSON confirme alors son soutien par une lettre du 5 juin 1991 adressée à Jean-Michel BAROCH, responsable des négociations avec le KOWEIT. Elle y précise « J’ai pris connaissance du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et la maîtrise des puits de pétrole au Koweit ».

15.

Nous voyons là qu’Edith CRESSON, comme l’avait planifié BASANO, court-circuitait directement son Ministre de l’Industrie Dominique STRAUSS KAHN qui avait déjà escroqué les systèmes FERRAYÉ depuis l’INPI, au moment de la période de secret.

Par sa lettre précitée, Edith CRESSON laisse croire qu’elle officialise en toute légitimité l’appui de la SOFREMI. Elle y précise « J’ai pris connaissance du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et à la maîtrise des puits de pétrole au Koweit ».

En réalité, cette société gouvernementale n’a pas été concernée par les accords, comme le confirme la décision du 6 mars 2001 du Tribunal de Grande Instance de Paris Pièce 072 06.03.2001 Ordonnance TGI Paris (page 4)

L’escroquerie d’Edith CRESSON s’est faite par l’entremise de la Société P.B.E Oil SA à Epinal, qui avait été liquidée et cessé toute activité depuis le 7 avril 1989. Consulter les détails pour ce point dans l’appendice 03 relatif à l’accord antidaté.

16.

Selon Mme Nagguy BRESSOT, épouse de Jean BRESSOT, ambassadeur de France à l’époque des faits au KOWEIT, suite à ce litige entre les Ministres STRAUSS KAHN et CRESSON, c’est François MITTERRAND, alors Président, qui a rallié les deux groupes pour qu’il n’y ait pas de fuite et qu’ils maîtrisent l’escroquerie des deux systèmes.

Il faut se souvenir que la SOFREMI avait été constituée en 1985 par Charles PASQUA qui est directement impliqué dans ce complot.

17.

16.06.1991  Le 16 juin 1991, une offre a été envoyée par CONIRA, COmpagnie NIçoise de Recherche Avancée (fondée mais jamais enregistrée) par FERRAYÉ et ses associés, à Issam AL SAGER, Président de la Banque AL WATANI au KOWEIT d’où sont partis les fonds (intermédiaire avec le ministre du pétrole Hmoud AL RAQBAH au KOWEIT). L’offre portait sur un montant de 30 millions de dollars sur chaque puits maîtrisé avec les systèmes.

18.

17.06.1991  BASANO et TILLIÉ ont confirmé en présence de FERRAYÉ à Aurélien GARCIA dans sa maison privée à Dijon, l’attribution à Edith CRESSON de FF 1 million sur chaque puits traité par les systèmes, ceci sur requête du Premier Ministre CRESSON pour qu’elle daigne apporter son appui contre STRAUSS-KAHN. L’offre de BASANO du 4 juin 1991 (point 13) ne lui suffisait pas !

La corruption de CRESSON est confirmée par sa propre lettre du 5 juin 1991 où elle précise que les deux systèmes d’extinction et de blocage ont été pris sous le contrôle du Gouvernement français, par la SOFREMI, sachant que le système d’extinction était déjà utilisé au KOWEIT depuis le 7/9 mai 1991.

Le système de blocage n’a été utilisé au KOWEIT qu’après le 29 juillet 1991 après négociation avec BASANO, TILLIÉ et COLONNA (voir points 27 et suivants).

Si le Gouvernement français avait eu les deux systèmes en même temps, il les aurait proposés ensemble au Gouvernement KOWEITIEN et non en deux temps comme démontré ci-dessus. Cela prouve aussi la complicité des deux Gouvernements avec les mandataires et associés de Joseph FERRAYÉ à l’époque pour l’escroquer.

On comprend dès lors pourquoi ces systèmes ont été déclarés « procédés stratégiques » par le Gouvernement Français, en toute illégalité ! Voir Appendice 15 « Procédés stratégiques et secret défense ».

19.

01.07.1991 Suite à l’intervention de Edith CRESSON auprès des Autorités du KOWEIT, les associés de FERRAYÉ ont reçu une confirmation de la prochaine venue du Général Koweitien Mohamed AL BADER
Pièce 073  Lettre TILLIÉ à AL SAGER – participants à réception du Général.

Cette lettre adressée à Issam AL SAGER, Président de la Banque AL WATANI au Koweit, mentionne les personnes sensée collaborer avec CONIRA. On y voit Jacques ATTALI, Président d’Air France (aujourd’hui Président de PLANET FINANCE…). On y voit bien sûr aussi BASANO, TILLIÉ et COLONNA.

Dominique STRAUSS KAHN ne figure pas sur ce fax, ce qui prouve qu’il a bien été exclu dans cette affaire à ce moment précis. C’est ce qu’il n’a pas supporté puisqu’il était Ministre de l’Industrie, qu’il contrôlait l’IFP et ELF qui détient des puits de pétrole au KOWEIT. De plus, il avait déjà escroqué les deux systèmes… (voir points 8 ss).

Les directives prescrites par la CDB (Convention de Diligence des Banques en Suisse) et l’application par la FINMA (Anciennement CFB – Commission Fédérale des Banques) des mesures relatives à l’ayant droit économique réel (ADER) ont permis les détournements et blanchiment opérés. Voir appendice 05.

20.

05.07.1991  Le 5 Juillet 1991, FERRAYÉ et sa nièce Marie-Christine, ont signé, aux côtés de BASANO, TILLIÉ, COLONNA, FOLCO et SAHAKIAN, les statuts de la constitution de CONIRA, COmpagnie NIçoise de Recherche Avancée, dans laquelle FERRAYÉ et sa nièce détenaient 50% des parts.

21.

Ce même jour, à l’insu de FERRAYÉ,  BASANO a voyagé à Gibraltar (prétextant un voyage au Portugal), où il est allé ouvrir un compte et réceptionner le montant avancé par le KOWEIT de 17.5 millions de dollars, selon l’offre de CONIRA du 16 juin 1991. Pièce 074  16.06.1991 Offre 30 mio $ sur chaque puits.

22.

08.07.1991  Le 8 juillet 1991, FERRAYÉ, TILLIÉ et COLONNA reçoivent officiellement le Général Mohamed AL BADER à l’hôtel Négresco à Nice, en présence de Aurélien GARCIA qui représentait le Gouvernement, Edith CRESSON, ainsi que Pierre JOXE Ministre de la défense, Philippe MARCHAND de la protection civile et finalement Martine AUBRY au Commerce extérieur.
Voir les points 3 à 11 de l’appendice 04 concernant la corruption de CRESSON

La représentation de GARCIA ne concernait pas à cette date, le Ministre de l’Industrie STRAUSS KAHN qui avait été court-circuité par CRESSON comme on l’a vu plus haut aux points 15 ss.

23.

17.07.1991 Christian BASANO a convoqué Joseph FERRAYÉ au domicile de TILLIÉ où ils devaient recevoir le Général Mohamed AL BADER. Le Général s’est présenté avec Mustapha AL ADASANI, ingénieur à la KOWEIT OIL COMPANY.

Mustapha AL ADASANI a été hargneux et méprisant envers ses hôtes TILLIÉ, FERRAYÉ et BASANO. AL ADASANI leur a signifié clairement qu’il n’avait pas besoin d’eux. Au moment des faits, BASANO et TILLIÉ ont laissé croire à FERRAYÉ qu’ils étaient offusqués du comportement de AL ADASANI, mais tout ceci n’était en réalité qu’un scénario convenu entre eux… Pièce 075  Fax BASANO à AL SAGER du 17.07.1991 dénonce comportement AL ADASANI

Les révélations de BASANO du 3 janvier 2005, démontrent aujourd’hui que cette agressivité de l’ingénieur de la KOWEIT OIL COMPANY, n’était qu’une mise en scène pour empêcher Joseph FERRAYÉ d’aller au KOWEIT et ainsi l’écarter des négociations et de l’escroquerie qui se pré-parait déjà, par laquelle ils allaient multiplier par 2.6 l’offre de Joseph FERRAYÉ. Pièce 076  03.01.2005 Révélations de BASANO.

En effet, dans ses révélations, BASANO précise : « Le KOWEIT nous a délégué le général Mohamed AL BADER, que TILLIÉ rencontrait tous les jours avant notre départ pour le KOWEIT le 28 juillet 1991 […] C’est à ces occasions que TILLIÉ rencontrait Mustapha AL ADASANI, Victor GEBRANE, Fouad HOBEICH et Serge REBOURS […] avec lesquels TILLIÉ et le Général AL BADER concertaient […] afin de maîtriser l’escroquerie des deux inventions de FERRAYÉ.

C’est aussi TILLIÉ qui a entraîné le KOWEIT à exécuter son plan diabolique, concerté dans ses réunions avec AL ADASANI et ses amis lors des réunions préliminaires, d’augmenter les royalties (2.6 fois l’offre demandée par FERRAYÉ – point 47 ss ci-dessous) concernant les extinctions avec les systèmes de FERRAYÉ, puisque toutes les pertes du KOWEIT, à cause de la guerre, devaient être payées par l’IRAK » (Pièce 076 / milieu page 2 et début page 3).

24.

26.07.1991   La lettre du 26 juillet 1991, de STRAUSS KAHN (pièce 077) au ministre KOWEITIEN du pétrole Hmoud Abdallah AL RAQBAH, prouve incontestablement le retour de STRAUSS KAHN dans le complot, après l’intervention du Président MITTERAND pour réconcilier ses Ministres, comme l’a révélé Mme Nagguy BRESSOT épouse de l’Ambassadeur Jean BRESSOT, et déjà expliqué au point 16. C’est aussi la confirmation du ralliement des deux groupes d’escrocs par MITTERRAND.

Cette lettre confirme aussi l’appui de STRAUSS KAHN à BASANO – TILLIÉ – COLONNA. C’est à cette lettre aussi que BASANO se réfère en page 3 de ses révélations précitées du 3.1.2005, à propos du voyage de COLONNA à Paris, 24 heures avant leur départ pour le KOWEIT. Sans le préciser, BASANO révèle que c’est lors de ce voyage que STRAUSS KAHN a remis la lettre précitée à COLONNA qui l’a transmise dès leur arrivée au KOWEIT à L’Ambassadeur Jean BRESSOT.

25.

La lettre du 26 juillet 1991 de STRAUSS KAHN était aussi une recommandation nécessaire avec laquelle les associés de FERRAYE se sont présentés chez le Ministre AL RAQBAH pour démontrer le retour du Ministre STRAUSS-KAHN dans le complot, puisqu’il en était à l’origine l’initateur. Il fallait justifier au KOWEIT le ralliement des deux groupes d’escrocs puisque les « princes » ne comprenaient plus qui étaient leurs interlocuteurs…

26.

Comme on vient de le voir, les essais avec succès de l’utilisation les 7/9 mai 1991 du système d’extinction au KOWEIT ont crédibilisé le système de blocage. En voyant que le système d’extinction fonctionnait, les Koweitiens en ont déduit qu’il allait en être de même pour le système de blocage. C’est suite à ces essais, que le système de blocage a été escroqué. Voir décret du 13 mai 1991 au point 09 ss plus haut.

27.

28.07.1991
BASANO – TILLIE et COLONNA, qui avaient reçu leurs visas, ont voyagé sans FERRAYE au KOWEIT. Ils ont prétexté dans un premier temps qu’ils lui avaient fixé rendez-vous chez FRAMATOME pour réaliser les prototypes des systèmes.  En réalité, FERRAYE ne devait pas les accompagner pour leur permettre de poursuivre les négociations décrites au point 24, menées contre les intérêts de Joseph FERRAYE

BASANO et TILLIÉ au champagne en allant sur le KOWEIT. Ils fêtent déjà l’accord grâce à la lettre de STRAUSS KAHN qu’ils ont en poche

BASANO et COLONNA dans les rues de KOWEIT

Devant l’Ambassade de France au KOWEIT, TILLIÉ félicite COLONNA qui vient de remettre la lettre de DSK à l’Ambassadeur Jean BRESSOT

Dans un deuxième temps, les escrocs ont même argumenté que les billets pour le KOWEIT étaient trop chers et qu’il serait bien d’économiser. Ils ont pourtant voyagé à 3, en 1ère classe de Lufthansa. Après leur retour, TILLIÉ affirmait que le KOWEIT n’avait pas établi de visa en faveur de FERRAY´É, parce qu’il est libanais, et que les libanais étaient considérés par les Koweitiens comme des terroristes… Cette conversation est enregistrée.

28.

Contrairement à ce qui précède et selon les révélations du Procureur Bernard BERTOSSA à André STREBEL expliquées au point 53, Joseph FERRAYÉ a appris de STREBEL le 17 octobre 2003, qu’il avait été écarté des négociations et du voyage, parce que les Gouvernements de la coalition avaient décidé d’augmenter par 2.6 les coûts des extinctions.

Selon les révélations de BASANO du 3 janvier 2005, cette augmentation par 2.6, planifiée comme on vient de le voir au point 23 ci-dessus, a été appliquée par les Gouvernements de la coalition qui se sont laisser appâter et tromper par TILLIÉ.

29.

Le notaire Pierre MOTTU a confirmé sa corruption et celles du notaire ST-HILAIRE et des avocats Mark BRUPPACHER, LE MAZOU, GIRARD, qui ont été rejoints ensuite par WARLUZEL d’abord et BONNANT ensuite (Voir Appendice 02). MOTTU connaissait l’escroquerie par 2.6, par le fait que les comptes étaient séquestrés à sa disposition comme l’a déclaré son associé le notaire ST-HILAIRE. Pourtant, en audition du 6 février 1996, il a déclaré que le KOWEIT avait payé USD 34 milliards aux utilisateurs. Il a ainsi fait abstraction totale de la différence de 1.6 correspondant à 55.8 milliards de dollars escroqués officiellement au Peuple Irakien. Voir pièce 069 – audition ST-Hilaire 19.11.2002

Parallèlement, MOTTU a aussi fait abstraction, toujours lors de la même audition, des montants provenant de la vente des systèmes à tous les autres Pays producteurs de pétrole. L’escroquerie se porte ainsi également sur les droits fiscaux revenant aux Pays qui étaient censés recevoir ces fonds, à savoir la Suisse et la France.

Le rôle du notaire Pierre MOTTU ne s’arrête pas à son implication dans le détournement et le blanchiment des USD 100 milliards précités, mais aussi aux royalties provenant de la vente des systèmes en tant que procédé stratégique à tous les autres Pays pétroliers, causant un préjudice à Joseph FERRAYÉ et aux recettes fiscales de plusieurs centaines de milliards de dollars, comme expliqué aux points 22 et 23 de l’Appendice 13.

30.

C’est durant ce voyage au KOWEIT, que les associés et mandataires de FERRAYÉ onT conclu l’accord antidaté selon appendice 03 qui comporte le nom de Mustapha AL ADASANI directement lié aux mandataires de Joseph FERRAYÉ, REBOURS, HOBEICH et GEBRANE. On trouve sur ce même accord, les noms de BASANO, TILLIÉ et COLONNA, qui sont eux les associés de FERRAYÉ. Ceci prouve une fois de plus le ralliement des deux groupes pour maîtriser l’escroquerie des deux systèmes. Voir également points 15 – 23 ss ci-dessus et l’appendice 03.

31.

02.08.1991 – Répercussion du Décret ROCARD (pièce 070)

BASANO a communiqué à FERRAYÉ depuis le KOWEIT (conversation enregistrée) que le Président de l’institut français du pétrole Jean-Claude BOURDON était lui aussi au KOWEIT et présentait les systèmes de FERRAYÉ. Ensuite, BASANO a demandé à FERRAYÉ de signer une cession de ses droits sur les systèmes au nom de CONIRA, la Compagnie Niçoise de Recherche Avancée, pour qu’il puisse faire valoir les droits d’antériorité de FERRAYÉ sur ces systèmes. Il s’agissait là d’un plan diabolique – lié à l’accord antidaté selon appendice 03 – établi par TILLIÉ et COLONNA, agissants sous l’égide de la DGSE (services secrets français) et le Gouvernement de l’époque.

Dans ses révélations du 3 janvier 2005 (pièce 076), BASANO déclare au sujet de la DGSE : « TILLIÉ était en contact avec le cabinet du 1er Ministre Edith CRESSON et COLONNA était une courroie de transmission de la DGSE ; c’est la raison pour laquelle il (COLONNA) est allé avec nous au KOWEIT. C’est aussi la raison pour laquelle Claude MARTI-VASKOU, l’Attaché Commercial à l’ambassade avait refusé d’exécuter l’ordre donné de nous éliminer… cf. rapports des services secrets italiens : On ne peut pas tuer des gens dont on va utiliser les noms dans un contrat […] ».

32.

04.08.1991  BASANO déclare à FERRAYÉ depuis le KOWEIT, qu’ils vont désigner COLONNA comme président de la CONIRA parce qu’ils devaient signer les accords au KOWEIT. FERRAYÉ qui détenait le 50 % des parts de la Société n’a pas eu un mot à dire.

33.

05.08.1991 La lettre de AL BADER Trading Co du 5 août 1991 (Pièce 078) au Ministre du Pétrole Koweitien Hmoud AL RAQBAH, confirme aussi que l’offre a été présentée officiellement par CONIRA, donc par les associés de FERRAYÉ, le samedi 3 août 1991 et ceci après les essais réussis de l’application du système de blocage.


34.

Cette lettre démontre clairement que CONIRA était partenaire à l’accord antidaté où l’on trouve les noms des actionnaires BASANO, TILLIÉ, COLONNA, ARAMCO et AL ADASANI agissant pour les mandataires de FERRAYÉ, REBOURS, HOBEICH et GEBRANE. Ceci, contrairement à ce qu’ont déclaré les associés de FERRAYÉ ultérieurement, comme on le voit ci-dessous et comme ils ont tenté de le dissimuler par l’accord antidaté, appendice 03.

35.

10.08.1991 BASANO, TILLIÉ, COLONNA ont envoyé du Koweït, une lettre à Edith CRESSON. Il ne s’agit que d’une machination de plus comme relevé dans l’appendice 03 au point 11.

36.

13 août 1991 A leur retour du KOWEIT, BASANO, TILLIÉ, COLONNA, ont déclaré à FERRAYÉ, que le ministre du pétrole Hmoud AL RAQBAH, allait leur envoyer le contrat dans les 15 jours qui suivaient, puis ils ont disparu des Alpes Maritimes. De septembre à novembre 1991, pour déstabiliser Joseph FERRAYÉ et pour gagner du temps ils ont manipulé l’Inventeur par des propos opposés et fait les fausses déclarations successives suivantes :

  • Heureusement que nous avons des amis (il s’agissait du général Mohamed AL BADER et de ses frères Youssef et Hamad, et Issam AL SAGER) au KOWEIT, qui surveillent les extinctions. Ces amis vont nous envoyer les preuves de l’utilisation des systèmes
  • Nous avons perdu une bataille, mais pas la guerre (octobre 1991)
  • Nous avons perdu la guerre et nous devons accepter la défaite (novembre 1991)
  • Etc.
    .

Un champ pétrolier en flammes. Ce document est la couverture du livre officiel publié par l’Etat du KOWEIT. Les emblèmes sont les armoiries qui comportent la mention « Etat du KOWEIT ».

Le système d’extinction en application au KOWEIT est le système déposé par Joseph FERRAYE. La légende précise « Le feu a été éteint avec succès et le puits est prêt pour être bloqué ».

Le système de blocage en application au KOWEIT est aussi le système déposé par Joseph FERRAYE et la légende précise de même « le puits a été bloqué avec succès ».

37.

Suite à l’utilisation avec succès des systèmes au KOWEIT et en prévision des retombées de la promotion des systèmes lors de la FRENCH TRADE WEEK au KOWEIT du 23 au 29 novembre 1991,, Jean BRESSOT a été muté comme Ambassadeur de France en Arabie Saoudite pour garder le contrôle de la vente frauduleuse des systèmes par ARAMCO qui allait représenter des milliers de milliards de dollars…

Selon BASANO, les systèmes ont également été présentés au « SOMMET SUR L’ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT qui s’est tenu du 3 au 14 juin 1992 à RIO DE JANEIRO.

38.

Depuis le 15 août 1991, le contact avec les 3 associés de FERRAYÉ est devenu impossible.
Après avoir disparu 1 mois et à leur retour de la Corse (lieu de villégiature de PASQUA, TARALLO, GUELFI, ROCCA SERRA, etc.) où ils étaient chez COLONNA, ils interdisaient tout contact avec eux.

Selon Daniel LEVAVASSEUR qui avait retrouvé tous les comptes et les avait fait saisir, les secrétaires de BASANO, Arlette FOLCO, 62 ch. de Val Fleuri à Cagnes sur Mer et Marie-Rose SAHAKIAN, 2 rue Sévan à Nice, avaient chacune des comptes pour plus de USD 100 millions à leur nom.

Ils insultaient Joseph FERRAYÉ sans ménagement pour l’impressionner, l’éloigner et tenter de le décourager de venir au bureau de BASANO pour obtenir les renseignements auxquels il avait pourtant droit après leur voyage au KOWEIT. Pièce 079 L’audition de TILLIÉ du 28.11.1996 Page 6 (Dossier justice 40220) en témoinge.

39.

16.08.1991 Joseph FERRAYÉ a été informé par Eric BARBAROUX fonctionnaire à la DATAR, que les commanditaires du complot avaient obtenu le financement du matériel, pour les premiers essais de ses systèmes, par la DATAR – Ministère de l’Intérieur. Suite à l’escroquerie, l’Etat français a été court-circuité ensuite, quand il s’est agit de toucher les retombées de son investissement… Bien que ce soient les Contribuables français qui avaient financé le projet, seuls les escrocs ont bénéficié des royalties gigantesques chiffrées en milliers de milliards de dollars.

40.

19.08.1991 Mahmoud AL RAHMANI, Président de KUWAIT PETROLEUM Corp., au courant de la surfacturation par 2.6 et complice du complot, a envoyé une lettre à l’attention de François COLONNA, pour essayer de disculper les associés de FERRAYÉ, BASANO, TILLIÉ et COLONNA, des conséquences de ce complot. AL RAHMANI prouve ainsi la  complicité active de la KUWAIT PETROLEUM Corp. dans ce crime organisé. Pièce 080 Lettre KUWAIT PETROLEUM Corp. du 19 août 1991.

41.

Septembre 1991 FERRAYÉ a mandaté Me Guerry VAN DIJK, avocat international à Nice qui s’est mis en contact avec l’Etude AL SALEH, GRAHAM & JAMES au KOWEIT.

L’Etude Koweitienne a confirmé qu’elle pouvait bloquer les extinctions jusqu’à ce qu’une solution puisse être trouvée. Une semaine plus tard, VAN DIJK s’était fait corrompre. Son capital est aujourd’hui utilisé pour financer des villas aux Bahamas…

42.

12.11.1991 Joseph FERRAYÉ a voulu obtenir un compte rendu de ses associés BASANO, COLONNA et TILLIÉ, sur leur mission du 28 juillet au 13 août 1991 au KOWEIT. Il s’agissait de comprendre quelles personnes ont été contactées et pourquoi le résultat escompté n’était pas atteint. FERRAYÉ était conscient qu’il était trompé mais n’avait pas encore les éléments en main pour réagir.

Les 3 associés qui se sont sentis piégés, ont riposté par la menace, sous forme d’une mise en demeure datée du 12 novembre 1991, dans laquelle ils demandent à l’Inventeur plus de 650 mille francs d’honoraires et frais pour leur travail au KOWEIT… Ils tentent maladroitement de faire croire que les démarches ont échoué et ils dissimulent toutes les transactions conclues et le détournement des royalties à leur partenaire principal. (Voir appendice 03 – transctions relatives à l’accord antidaté et appendice 01 concernant les principaux interveants dans l’escroquerie).

43.

En novembre 1991 toujours, la KUWEIT Petroleum Corporation a envoyé une liste à l’avocat de Joseph FERRAYÉ, Guerry VAN DIJK, qui comporte les noms des Sociétés avec le nombre des puits traités par chacune. Cette liste fait abstraction des 320 puits maîtrisés par HALLIBURTON selon leurs propres déclarations sur leur Site Internet. Rappelons que le président de HALLIBURTON n’était autre que Richard Burce alias Dick CHENEY, vice-président de George W. BUSH. Il avait du reste aussi été Secrétaire de la Défense sous la Présidence de BUSH Senior…
Pièce 081        07.03.1997 KUWEIT Petroleum Corporation confirme 695 puits (page 1)
Pièce 082        Extrait du Site HALLIBURTON

Contrairement à cette liste établie pour détourner les royalties au profit de membres du Gouvernement US, le Centre de Recherches et d’Etudes du KOWEIT déclarait dans un livre officiel intitulé « La destruction des puits de pétrole au KOWEIT » que 1’164 puits ont été explosés, représentant 91.8 % des 1268 puits en production à cette époque au KOWEIT.
Pièce 083        07.03.1997 Traduction centre recherches KOWEIT 1’164 puits (page 2 ss)

Si l’on ajoute les 320 puits de HALLIBURTON aux 695 puits de la liste, ont obtient 1’015 puits sur les 1’164 explosés. La différence de 149 puits doit être attribuée à HORWELL France  qui n’en a frauduleusement déclaré que 8, les 141 puits restants ayant certainement servi à corrompre les membres du Gouvernement français…

Il faut se souvenir que l’offre FERRAYÉ (CONIRA) pour l’extinction et le blocage des puits était de USD 30 millions l’unité et qu’elle a été majorée de 2.6, ce qui correspond à un motant payé par puits, par le KOWEIT, de USD 78 millions ! Soit au total pour les 1’164 puits : USD 90’792’000’000.-. Quant à la vente des brevets à tous les produits pétroliers – 120’000 puits étaient en activité dans le monde à l’époque – elle a été négociée à hauteur de 30 millions (offre FERRAYÉ l’unité…

Il s’agissait là pour les commanditaires du complot, de laisser paraître la France comme étrangère au détournement des systèmes. Le Ministère de l’Industrie dirigé par STRAUSS-KAHN a du reste fait une fausse déclaration dans sa correspondance du 21 mai 1992 à FERRAYÉ, signée par H. LOISELEUR des LONGCHAMPS :

« Comme vous le savez, le gouvernement du Koweit a accordé une faible place aux sociétés françaises dans les opérations d’extinction des puits en feu dans l’Emirat. Il n’a, en particulier, conclu aucun contrat avec les divers et nombreux indépendants qui ont offert leurs services. Il est apparu que les autorités de l’Emirat s’étaient fixé deux critères de sélection des entreprises : leur taille et le caractère classique des méthodes d’extinction ». Il s’agit d’un mensonge !
Pièce 084        21.05.1992 Ministère industrie DSK – Systèmes classiques

Souvenons-nous qu’Evelyne DUVAL, secrétaire de STRAUSS-KAHN a été accusée de travailler pour Alfred SIRVEN alors qu’elle touchait son salaire du Ministère de l’Industrie. En réalité,  Evelyne DUVAL n’était employée chez SIRVEN, que pour comptabiliser les parts de STRAUSS-KAHN provenant de ce complot ! C’est le contribuable français qui payait les comptabilisations des détournements de STRAUSS-KAHN !

Les preuves ci-dessus démontrent les flagrantes fausses déclarations du Ministère de l’Industrie et de ses proches collaborateurs. Relevons au passage que les mensonges dans le monde politique français sont récurrents, si l’on ne veut pas parler d’une « idéologie » politicarde…  Voir Appendice 11

44.

La preuve du contraire de « l’utilisation de système à caractère classique des méthodes d’extinction », à savoir que les extinctions ont bien eu lieu par de nouveaux procédés, est fournie au points 2 du présent historique.

45.

Je le répète, dans cette même liste de la KUWEIT PETROLEUM Corp., le fait qu’il soit annoncé que la France aurait participé à ne maîtriser que 8 puits par HORWELL, qui s’est d’ailleurs déclarée perdante dans cette opération au KOWEIT, n’était qu’une manipulation pour éloigner FERRAYÉ dans ses recherches. C’est pour cette raison que BASANO – TILLIÉ – COLONNA renvoyaient l’Inventeur à cette Société précise !

Il faut se référer ici au point 2 de l’appendice 3 concernant l’accord antidaté, pour comprendre que les pertes démontrées dans le cadre de HORWELL ne sont que fictives et que les réels bénéficiaires des traitements des puits au KOWEIT ont été les Sociétés fondatrices de HORWELL, à savoir l’IFP, ELF et FORASOL qui agissaient avec les commanditaires du complot..

46.

Décembre 1991   Issam AL SAGER, Président de la Bank AL WATANI à Koweit-City, a déclaré à FERRAYÉ que ce sont BASANO – TILLIÉ – COLONNA qui avaient obtenu les accords au Koweït, en ajoutant qu’ils avaient l’appui total du Gouvernement. L’entretien téléphonique a été enregistré.

47.

Les systèmes d’extinction et de blocage ont été déclarés « procédés stratégiques » en toute illégalité, par l’ensemble des Pays de la coalition. Voir Appendice 15 « Procédés stratégiques et secret défense ».

Les revenus de ces systèmes, outre les milliards partagés entre les associés et mandataires de FERRAYÉ, mais aussi de tous les commanditaires du complot, ont constitué un butin de guerre en augmentant par 2.6 le coût fixé pour les extinction, en sachant que ce butin relèvait des droits de FERRAYÉ. Par peur de devoir tout rendre et apparaître comme de minables escrocs dans le complot, les commanditaires ont préféré corrompre les 54 avocats successifs de FERRAYÉ par des dizaines de milliards de dollars, plutôt que, ne serait-ce que tenir leurs engagements pris dans les différentes conventions qu’ils avaient signées pour l’extinction et le blocage des puits au KOWEIT… (Appencide 13). Il n’est pas là question du produit de la vente des systèmes…

48.

Dès lors, Joseph FERRAYÉ n’avait plus que la possibilité de faire valoir ses Droits par la justice sans imaginer que celle-ci allait aussi être corrompue par les commanditaires du complot et que toutes les procédures seraient viciées par la corruption.

49.

En décembre 1991 Me MANCILLA, avocat de Joseph FERRAYÉ, a déposé une plainte à Nice contre les associés de l’inventeur. MANCILLA n’a pas poursuivi son mandat, sans honoraires.

Deux jours après le dépôt de cette plainte, FERRAYÉ a été appelé par Serge REBOURS qui est venu à son domicile et a souhaité voir le dossier pour l’aider.

REBOURS a proposé à FERRAYÉ de le conduire chez l’un de ses amis policier, Michel GARNIER à Nice. GARNIER a demandé de transférer la plainte à Grasse, afin de pouvoir intervenir auprès des juges qui étaient ses amis.

C’est suite à l’intervention de GARNIER et de son copain REBOURS que la première plainte du
4 mars 1992 contre BASANO, TILLIÉ et COLONNA a été classée le 6 avril 1992, par le procureur de  Grasse (affaire N° 92/5001 – BO/PF/TM).

Dans cette procédure Daniel LEVAVASSEUR avait reçu la preuve formelle que l’affaire N° 92/5001 avait été classée avec la « justification » du SECRET DEFENSE…

50.

Mai 1992 FERRAYÉ a rencontré Me René BLANCHOT de Marseille et son neveu Olivier ARNAUBEC avocat à Nice qui a déposé une nouvelle plainte à Nice. Il a en même temps, informé la Presse qui a conduit à plusieurs articles de parts et d’autres. Cette nouvelle plainte a été classée par la juge Christine LORENZINI avec la mention « refus d’informer » !

51.

Décembre 1992 BLANCHOT et son neveu ARNAUBEC déposent une nouvelle plainte, à nouveau à NICE.

Cette fois-ci, c’est le juge Joël ESPEL qui a été chargé de l’instruction. Dans cette procédure, contrairement aux précédentes, l’avocat de FERRAYÉ ARNAUBEC qui assistait le plaigant aux auditions, travaillait de manière flagrante, contre l’intérêt de son Client.

Dans un premier temps, c’est même le juge qui est intervenu pour que FERRAYÉ présente Géraud VITRAC, ingénieur pétrolier, pour cautionner sa thèse. Cette intervention du juge a contrarié l’avocat.

Le lendemain, lorsque VITRAC et FERRAYÉ sont arrivés au Palais de Justice avec ARNAUBEC, ce dernier a insisté pour voir le juge en privé et a fait attendre le plaignant et son témoin en dehors de la salle.

Quand ils sont rentrés, le juge Joël ESPEL a refusé de recevoir VITRAC, malgré le fait que c’était lui-même que avait demandé cette audition… BLANCHOT et ARNAUBEC l’avaient déjà corrompu ! Le juge ESPEL a classé la plainte par non-lieu…

08.09.1993 Géraud VITRAC, ingénieur pétrolier, a fait enregistrer les aveux de TILLIÉ sur l’escroquerie, le transfert de USD 10 milliards en son nom en Amérique du Sud. Il précise aussi la « corruption des Partis politiques de façon magnifique. Ajoutant menaçant, que tout ceci sera prouvé ». Extrait enregistrement sur Appendice 17.

Suite à la remise à René BLANCHOT qui avait lourdement insisté pour obtenir une copie de cet enregistrement dans lequel il était question de 10 milliards de dollars, celui-ci a assuré que grâce à cette pièce, les escrocs étaient piégés.

En réalité, BLANCHOT et ARNAUBEC n’avaient voulu obtenir la copie de cet enregistrement, que pour négocier une surenchère de la trahison de leur Client, en fonction de la dizaine de milliards dont ils avaient soudain confirmation…

52.

Novembre 1993 Lors du recours auprès de la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence, selon ARNAUBEC et BLANCHOT, les deux déclaraient à FERRAYÉ que BLANCHOT allait brandir la cassette des aveux de TILLIÉ devant le Tribunal.

Lors de l’audience, FERRAYÉ a attendu ses avocats qui ne se sont pas présentés… L’Ordre des Avocat d’Aix-en-Provence a alors mandaté une avocate commise d’office qui est intervenue sans connaître le dossier, mais qui disposait de la plaidoirie d’ARNAUBEC remise par FERRAYÉ. Joseph FERRAYÉ n’avait pas compris que si ses avocats lui avaient remis leur plaidoirie la veille, c’était qu’ils avaient prémédité de le laisser seul à l’audience !!!

Suite à cette audience, FERRAYÉ n’a plus pu joindre ses avocats. Au cours des dizaines d’appels de FERRAYÉ, la secrétaire de BLANCHOT ne faisait que répondre que son patron n’était pas là, alors qu’en réalité il occupait son bureau. Finalement, la secrétaire a proposé à FERRAYÉ d’appeler à une heure précise et qu’elle dévierait automatiquement l’appel sur sa ligne personnelle.

Lorsque FERRAYÉ a enfin eu BLANCHOT qu’il a reconnu en ligne, celui-ci était tellement mal à l’aise
qu’il s’est fait passer pour un agent de France TELECOM… Heureusement pour lui, le ridicule ne tue pas !

Là encore, la plainte a été classée sans suite par la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence.

Depuis quelques années (2003), José BERTOZZI, avocat de GRBRANE, HOBEICH et REBOURS, occupe la même étude qu’Olivier ARNAUBEC, place du Palais 1 à Nice… Comme quoi l’escroquerie tisse des liens durables…

53.

Suite à la plainte suisse du 29 janvier 1996 de Joseph FERRAYÉ, l’UNCC (United Nation Compensation Commission) a diminué les coûts officiels des extinctions et blocages à USD 610 millions, correspondants aux montants versés aux Sociétés de services (HALLIBURTON, Red ADAIR, WILD WELL CONTROL, SAFETY BOSS, BOOTS & COOTS etc.) et reporté la différence sur des réclamations fictives, mais toujours à charge de l’Irak selon détail :

1’164 puits * 30 millions = 34,920 milliards * 2.6 = 90,792 milliards de dollars.

La surfacturation a été révélée par Daniel LEVAVASSEUR ancien membre de la DST (services secrets français) qui avait identifié les comptes pour des montants importants, selon la déposition officielle du 24.11.1999 à Christine JUNOD, présidente du Collège des juges de Genève. En fait, il s’agissait des quelque USD 91 milliards de l’indemnisation pour l’extinction et le blocage des puits au KOWEIT et des quelque USD 3’600 milliards pour la vente des brevets. Le taux de 2.6 a quant à lui été révélé par André STREBEL, sur information obtenue du Procureur général de Genève Bernard BERTOSSA devenu ensuite vice-président du Tribunal Pénal Fédéral, pour mieux maîtriser le classement des plaintes en Suisse, au niveau fédéral…

54.

Rappelons que Daniel LEVAVASSEUR a été retrouvé assassiné le 2 février 2003, la veille où il devait rencontrer FERRAYÉ pour lui remettre l’ensemble du dossier, dont les preuves bancaires dont il est question plus haut.

55.

Le 23 août 2002, Daniel LEVAVASSEUR voulait déjà remettre des documents bancaires à FERRAYÉ, concernant 24 milliards de dollars provenant de ses systèmes, mais quand il a appris que 3 jours plus tard, FERRAYÉ avait une audition chez la Juge Christine JUNOD, il a renoncé à lui remettre les documents pour sa sécurité et lui a dit « faites moi confiance, c’est mieux de rappeler dans un premier temps à JUNOD que je lui ai remis les documents bancaires en question en novembre 1999 ».

56.

Joseph FERRAYÉ a déclaré dans son audition à la Juge JUNOD ce qui précède, en présence de son avocat du moment, Me André CLERC. La Juge n’en a pas pris note dans son procès-verbal. Cependant, la Juge JUNOD a déclaré à son tour à Joseph FERRAYÉ et à son avocat, qu’elle avait bien reçu les documents bancaires concernant 24 milliards de dollars de LEVAVASSEUR et ceci lors de son audition de 1999.

57.

La Juge JUNOD était prête à ce moment-là à répondre favorablement à FERRAYÉ sur une demande d’avance de CHF 250’000.- à verser à l’hôpital de Genève pour sauver son frère qui devait être opéré sans délai par le Pr. Philippe MORREL.

58.

André CLERC a compris qu’un tel accord constituait une reconnaissance des droits de Joseph FERRAYÉ et il s’est déplacé pour aller allumer la lumière alors que la salle était claire et que nous étions en août, en s’adressant à la Juge JUNOD il a dit : « Faisons un peu de lumière ».

De suite, la Juge a immédiatement compris sa gaffe et il n’a plus été question de poursuivre la conversation sur ce point. Cependant, une confirmation écrite de André CLERC, du 4 mars 2004 confirme ce qui précède.
Pièce 059        04.03.2004 CLERC – JUNOD confirmation des documents en sa possession 24 milliards
Pièce 060        06.08.2004 Idem

59.

Le frère de Joseph FERRAYÉ est décédé 21 jours plus tard le 17 septembre 2002, parce que les soins nécessaires n’avaient pas pu lui être prodigués par manque de l’avance de frais… Le Pr. MORREL avait quant à lui assuré que le frère de Joseph FERRAYÉ aurait pu être sauvé s’il l’avait opéré. L’hôpital de Genève a refusé l’opération sans qu’elle soit financée préalablement. Nous constatons là une non assistance à personne en danger évidente, avec la responsabilité civile qui en découle, compte tenu du contexte qui a conduit à ce décès !

60.

Le PV de l’audition de LEVAVASSEUR qui devait faire mention de la remise des documents précités à la Juge Christine JUNOD, n’a pu être obtenu qu’en août 2004. Il n’y a aucune trace mentionnant la remise de ces comptes. Ceci démontre la complicité de la Juge Christine JUNOD !

61.

Enfin et pour terminer, les preuves suivantes démontrent incontestablement l’application frauduleuse des systèmes FERRAYÉ en 1991 au KOWEIT :

  • L’article « How well control techniques were refined in KUWAIT » transcrit par « comment les techniques de contrôle des Puits ont été perfectionnés au KOWEIT », du magazine WORLD OIL  de mai 1992 écrit par Larry FLAK, ingénieur qui a coordonné les travaux des extinctions des puits du 19 mars au 15 novembre 1991 : Pièce 085  FLAK Larry – Description des techniques KILL SPOOL.
  • L’article décrit les caractéristiques techniques des nouveaux systèmes, mais les attribue à ABB VETCO GRAY, dont le PDG n’est autre que Percy BARNEVIC, membre du BILDERBERG Group (Gouvernement mondial – BUSH et le reste de ma Mafia de l’Etat profond, où l’on retrouve aussi Dominique STRAUSS-KAHN, Patrick DEVIDJIAN (pétrole) Loïc Le FLOCK PRIGENT ELF, Philippe JAFFRE ELF, Lionel JOSPIN restitué 16 mia à KOWEIT en 2000, Bernard KOUCHNER Ministre de MITTERAND à cette époque, TOUBON Jacques Ministre avec MITTERAND à l’époque des faits, ETC…)
  • Traduction littérale du début de l’article : « ABB VETCO GRAY, qui a dirigé l’atelier mécanique de KOWEIT Oil Company à Ahmadi, a été capable de réaliser des procédés géométriques. Dès ce moment, FLAK rentre techniquement dans la description des caractéristiques techniques des nouveaux systèmes appartenant à FERRAYÉ.
  • Cette note est en contradiction totale avec les déclarations du Ministère de l’intérieur et ne correspond en rien au brevet déposé par l’INPI le 30 avril 1991.
  • Pièce 085        Flak Larri –  Description kill spools traduction
  • Pièce 068        30.04.1991 Brevet IFP selon ancien système Il s’agit là d’une fausse déclaration flagrante du Ministère de l’Intérieur pour faire diversion sur la vérité. Voir aussi le point 5 plus haut

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Une facture d’indemnisation pour escroquerie, a été adressée le 30 août 2017 à la Confédération Helvétique, pour un montant de CHF 54’379,071 milliards. Cette facture couvre la responsabilité civile que devront assumer solidairement les Etats Suisse, France, USA (liste non exhaustive), les auteurs du crime et leurs complices (Banquiers, Ministres, Politiciens, Capitaines d’entreprises, etc. – Personnes physiques et morales) qui ont escroqué et blanchi les quelque 3’600 milliards issus des royalties de la vente des brevets d’extinction et de blocage, déposés par Joseph FERRAYÉ. Au 31 décembre 2022, la mise à jour de cette responsabilité atteint CHF 72’401’834’559’038.-.

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