Ils font partie de la MAFIA d’État

https://swisscorruption.info/mafia-d-etat

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Les Conseillers Fédéraux depuis 1991

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Jean-Pascal DELAMURAZ PLR VD (1984 – 1998) décédé 14.10.1998. Il a été syndic de Lausanne de 1974 à 1980, Conseiller d’Etat de 1981 à 1983 et Conseiller National de 1975 à 1983.

Le refus du Peuple souverain le 6 décembre 1992, d’entrer dans l’EEE (Espace Economique Européen), lui fera dire que ce jour de votation était « un dimanche noir » ! Mais noir pour qui ? Pour tous ceux qui avaient planifié le blanchiment des milliers de milliards des royalties provenant de la vente des brevets six mois plus tôt à Rio de Janeiro par son Collègue PDC Flavio COTTI ?

Comme Chef du Département fédéral de l’Economie (1987 -1998), Jean-Pascal DELAMURAZ a joué un rôle actif dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties, ainsi que dans le blanchiment au sein des régies fédérales.

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Kaspar VILLIGER PLR LU (1989-2003) a été élu à la succession d’Elisabeth KOPP. Tout d’abord à la tête du Département fédéral de la Défense, il a repris le Département fédéral des finances au 1er novembre 1995, juste au moment où le séquestre sur les royalties a été levé.

Sa carrière dans le blanchiment d’argent semble avoir débuté alors qu’il était Conseiller Fédéral et il n’a pas pu faire autrement que prendre une part active à la privatisation des régies fédérales par le blanchiment des royalties au côté de Flavio COTTI et Arnold KOLLER.

Au-delà des Conseils d’administration dans lesquels il a siégé ensuite (NESTLÉ – NZZ – Schweiz. Rückversicherung – UBS), notons tout particulièrement deux fondations : GLF Global Leadership Foundation Bern et Law and Economics Foundation St. Gallen. A l’instar de Micheline CALMY-REY et Pascal COUCHEPIN inscrits dans la première société, la plupart des membres inscrits dans ces deux fondations sont liés directement au noyau des individus qui ont commandité l’escroquerie et participé au blanchiment ou en lien avec le haut commandement de la Franc-Maçonnerie (BILDERBERG, CICR, etc.).

En outre, il a été Président d’UBS de 04.2009 à 05.2012. Beaucoup plus grave, il est inscrit au RC de la Banque miroir d’UBS SA Zürich GB-00F.C.021.146-0 au Royaume-Uni créée en 1998 au moment de la fusion avec SBS…

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Kaspar VILLIGER, c’est aussi le Grounding SWISSAIR du 2 octobre 2001.

On la surnommait « La Banque Volante » ! Moins d’un an avant le grounding du 2 octobre 2001, soit en 05.2000, la Présidence de SWISSAIR avait été transmise à Eric HONEGGER, administrateur de la société depuis 1993, aux côtés de Gerhardt W. FISCHER, Vreni SPOERRI, Paul-Antoine HÖFLIGER, Thomas SCHMIDHEINY, etc. Il avait succédé à Hannes GOETZ, le vrai patron de SWISSAIR qui avait planifié le Grounding avec les banquiers et les Autorités. Eric HONEGGER a dû ensuite céder sa place de Président à Mario CORTI (directeur de NESTLE contrôlé par Rainer E. GUT) en 03.2001. De fait, il est évident qu’Eric HONEGGER a été le fusible qui a sauté pour couvrir les vrais coupables !

Notre Société National portait le nom traduit en anglais, de « Swissair » Swiss Air Transport Company Limited, Hirschengraben 84 à Zürich. Elle était inscrite sous la référence RC CH-020.3.925.572-0 et a pris le nom de SAirGroup AG au 22 mai 1997.

Quelque cinq ans avant le « grounding » de la banque volante, j’avais lu un article de Presse qui estimait la fortune de SWISSAIR à quelque 17 milliards de francs. Ce serait pour un même montant correspondant à la soi-disant dette de SWISSAIR, que les banquiers n’auraient plus voulu couvrir les crédits au moment du « grounding » et auraient demandé la faillite.

Des milliers de personnes ont ainsi tout perdu… Les employés leur job, en partie leurs avoirs de vieillesse, les fournisseurs leurs créances, les sous-traitants leur activité, etc. Ainsi, 34 milliards se seraient volatilisés en quelque 5 ans… Mais cet argent a-t-il été perdu pour tout le monde ? Je n’y crois pas et le montage financier semble avoir été minutieusement préparé !

Lors de la faillite SWISSAIR, ce dont n’a jamais parlé la Presse complice des crimes politiques dans cette affaire, c’est que les Administrateurs de SWISSAIR avaient créé parallèlement, une autre société Swiss Air Transport Company Limited Hirschengraben 84 à Zürich, mais enregistrée cette fois-ci au Royaume-Uni. Ainsi, toutes les transactions financières pouvaient se faire en faveur de la même société, domiciliée à la même adresse, mais sur des comptes différents, enregistrés dans des juridictions différentes. Notons que les banques ont pratiqué de la même manière.

Il faut aussi relever que les Administrateurs de cette société anglaise ont presque tous été enregistrés également dans la société SBG/UBS CH-020.3.923.521-9 qui a permis à Christoph BLOCHER de capitaliser sa fortune, de développer l’UDC et de blanchir près de 200 milliards. Même le genevois Jean-Philippe MAÎTRE apparaît dans cette société ! UBS SA a escroqué des centaines de milliards provenant des royalties, au travers de cette société.

Notons encore et pour terminer avec Kaspar VILLIGER (on comprend mieux pourquoi il a été nommé ensuite Président d’UBS SA) qu’une société portant le nom de Union Bank of Switzerland, Bahnhofstrasse 45 à Zürich, a également été enregistrée au Royaume-Uni, selon le même principe que pour SWISSAIR.

Bien entendu, Hannes GOETZ Président de SWISSAIR en est administrateur, Bruno KALBERMATTEN pour le valais, François MILLIET (Philippe MILLIET est Directeur de la Poste Suisse), Stephan SCHIMDHEINY, Johann SCHNEIDER-AMMANN, Nikolaus SENN, Peter SPÄLTI et 18 autres individus impliqués dans le blanchiment.

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Pascal COUCHEPIN PLR VS (Chef du Département fédéral de l’Intérieur 1998 – 2009). Il a succédé à Ruth DREYFUSS dans ce département-clé lié à la vente et à l’escroquerie des royalties. Les liens de Pascal COUCHEPIN dans notre base de données du blanchiment des royalties, semblent confirmer cette situation… Conseiller National de 1979 à 1998. Il a figuré au RC de 32 sociétés selon notre base de données.

Le 19 Novembre 2011, Pascal COUCHEPIN a été fait Officier de la Légion d’honneur, comme l’ont été aussi les avocats qui ont trahi Joseph FERRAYÉ, Me Marc BONNANT et Me Dominique WARLUZEL ou encore Micheline SPOERRY Conseillère d’Etat à Genève. Tous pour services rendu au Gouvernement français dans le cadre de l’escroquerie des royalties.

Membre entre-autres de la Fondation ARDITI Dialogue Interculturel, où l’on retrouve aussi Micheline CALMY-REY, Pascal COUCHEPIN côtoie les proches de Pierre MOTTU, Notaire qui a rédigé les conventions ayant permis l’escroquerie des royalties.

En tant que chef du Département fédéral de l’économie, il a représenté la Suisse à l’Organisation mondiale du commerce et a occupé les fonctions de gouverneur à la Banque mondiale et à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Il est par ailleurs l’une des rares personnalités suisses à avoir participé en 2005 au groupe BILDERBERG. À la tête du Département fédéral de l’intérieur, il plaide pour une élévation progressive de l’âge de la retraite dès 2015 afin de compenser l’évolution démographique.

Notons ici que si Pascal COUCHEPIN n’avait pas trahi le Peuple Suisse, il aurait empêché le blanchiment des royalties et aurait fait imposer les capitaux escroqués. Il aurait alors pu abaisser l’âge de la retraite, compte tenu des montants colossaux d’impôts qui auraient été encaissés. Il a préféré servir ses propres intérêts…

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Hans-Rudolf MERZ PLR AR (2004-2010) Chef du Département fédéral des Finances.

Elu en 1992 au Conseil de la Banque cantonal d’Appenzell AR, il en devient le Président en 1993. Le 22 décembre 1995, alors que les séquestres sur les royalties sont levés, la banque est rachetée par la Société de Banque Suisse.

Lors de l’élection au Conseil d’Etat de 1997 (le séquestre des royalties a déjà été levé et le blanchiment a débuté), il ne fait pas partie des candidats officiels. Mais il reçoit le soutien de l’UDC, du PDC et de certaines sections radicales locales. À l’occasion de la dernière Landsgemeinde du canton d’Appenzell Rhodes-Extérieures, le 28 septembre 1997, il est finalement élu.

Au Conseil des États, il préside la commission des finances et siège à la commission de la politique étrangère et de sécurité. Il a également appartenu à la délégation de la Suisse à l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.

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Didier BURKHALTER PLR NE (2009 – 2017). Tout d’abord Chef du Département fédéral de l’intérieur, il reprend le Département fédéral des affaires étrangères au 1er janvier 2012. De 1991 à 2005, il a été membre du gouvernement de la ville de Neuchâtel. Il a exercé également le mandat de député au Grand Conseil neuchâtelois de 1990 à 2001, puis de conseiller national entre 2003 et 2007. Enfin, il a été conseiller aux États de 2007 à 2009.

En février 2011, lorsque Frederik PAULSEN fait venir le prestigieux ballet moscovite du Bolchoï au Théâtre de Beaulieu, la liste des invités est impressionnante. On retrouve deux anciens conseillers fédéraux, Pascal COUCHEPIN et Hans-Rudolf MERZ, les conseillers d’Etat vaudois Pascal BROULIS, Anne-Catherine LYON et Jacqueline de QUATTRO ou le fondateur d’Ikea, Ingvar KAMPRAD. La soirée jugée «époustouflante» est même l’occasion d’une rencontre tout ce qu’il y a de plus officielle entre le conseiller fédéral Didier BURKHALTER et le ministre russe de la Culture, Alexandre AVDEÏEV. La première dame de Russie de l’époque, Svetlana MEDVEDEVA, a même fait le déplacement pour l’occasion.

Didier BURKHALTER figure dans 13 sociétés dans notre base de données

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Johann SCHNEIDER-AMMANN PLR BE (2018 – 2018). Il a été Conseiller National de 2000 à 2010.

Johann SCHNEIDER-AMMANN est entré au Conseil d’Administration de SBG/UBS CH-020.3.923.521-9 le 1er septembre 1993. La vente des brevets en présence de Flavio COTTI avait été finalisée pour quelque 3’600 milliards de dollars et les séquestres des royalties n’avaient pas encore été prononcés. SBG/UBS a participé directement au transfert des capitaux escroqués, tout comme CREDIT SUISSE, HSBC et les banquiers privés.

Alors que la fusion SBG/UBS avec SBV/SBS a été réalisée en 1998, la SBG/UBS n’a été radiée que le 29 mars 2006, soit 8 ans après la fusion. Johann SCHNEIDER-AMMANN est resté inscrit comme Administrateur jusqu’à la fin en 2006. Quelles ont donc été les activités de cette banque illégale, durant ces 8 ans ? Il fallait laisser aux escrocs, le temps de planifier le blanchiment… Voir aussi dans ce cadre le parallèle avec Doris AEBI.

Dès 1990, il a été Président du Ammann Group. Selon l’historique de la Société, l’expansion du groupe à l’International s’est produite – comme par hasard – à partir de 1995. C’est probablement aussi par hasard que CHF 263 millions sont tombés du ciel en 2009, en provenance de Jersey et du Luxembourg… (sic!). Rappelons qu’il en a été de même pour EMS-Chemie de Christoph BLOCHER

Notons encore que Johann SCHNEIDER-AMMANN a participé au sommet de la Franc-Maçonnerie – les BILDERBERG – en 2017 et 2019.

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Ignazio CASSIS PLR TI (2017 – en fonction (2020) est le Chef du Département fédéral des affaires étrangères. Il a été Conseiller National de 2007 à 2017 et Président du groupe PLR à l’Assemblée fédérale de 2015 à 2017. Il a occupé la vice-présidence de la Fédération des médecins suisses de 2008 à 2012.

Ignazio CASSIS figure au RC de 16 sociétés dans notre base de données. Une société retient toutefois notre attention : « CURAFUTURA – Die innovativen Krankenversicherer à Bern ». Les membres inscrits au RC de cette société nous conduisent au noyau des individus qui ont contribué au blanchiment et à l’escroquerie des royalties. Ignazio CASSIS était Président de cette société avant son élection comme Conseiller Fédéral. C’est assurément ce qui a conduit les Chambres fédérales à l’élire, puisqu’une fois en fonction, il contribuerait à garantir aux élus leur impunité dans les crimes commis. Ignazio CASSIS a été un des initiateurs du blanchiment par les Caisses maladie, ce qui laisse comprendre pourquoi les Autorités fédérales se battent contre la Caisse unique…

Derrière ses airs de parfait incompétent, Ignazio CASSIS semble être un redoutable stratège dans le blanchiment des fonds escroqués. C’est en tout cas ce que démontre son entourage dans les sociétés dans lesquelles il a été inscrit !

Ignazio CASSIS est assurément le plus CRÉTIN des Conseillers fédéraux de l’Histoire suisse et nous présumons que si la décision de reprendre les mesures de l’Europe en faveur de l’Ukraine nazie contre la Russie, a été prise par le collège gouvernemental, il en est l’initiateur. D’autre part, par leur déclaration du 25 février 2022, on ne peut que constater que les membres du Conseil National ont clairement démontré leur manque de civisme, de maturité et de réflexion dans une telle décision à la tête du Pays https://swisscorruption.info/ukraine/#declaration_cn. Une incompétence inqualifiable à un tel niveau politique !

La Suisse était mondialement reconnue pour ses qualités de gestion des conflits, ses capacités à mettre face à face des belligérants, et pour offrir ses services diplomatiques…

Durant 14 ans, l’Europe et la Suisse ont fermé les yeux sur le génocide des populations russes dans le Donbass et l’est de l’Ukraine, par un Gouvernement ukrainien issu de Nazis Khazars.

Alors pourquoi les Autorités suisses s’associent-t-elles maintenant au Nazisme ? En décembre 2021, la Suisse s’est abstenue dans le vote d’une résolution de l’ONU condamnant le nazisme. Seuls les Etats-Unis et l’Ukraine ont voté contre cette résolution. 49 Pays dont la Suisse se sont abstenus… 130 Pays dont la Russie, ont voté pour la résolution… https://swisscorruption.info/confederation-ch/#onu1

Recevoir un guerrier Nazi sur tapis rouge au Parlement fédéral, lui faire une ovation, lui promettre la reconstruction de son Pays (reconstruction du nazisme), nous démontre que le Peuple suisse est en danger entre les mains d’un Gouvernement et d’un Parlement qui ont perdu toutes nos valeurs ancestrales.

Pour revenir à l’origine de notre Neutralité, il faut remonter à la guerre des 30 ans qui clôturait une longue tradition guerrière qui avait valu aux montagnards suisses, une réputation de redoutables et cruels combattants avides de pillages : https://swisscorruption.info/ukraine/#marignan.

Cette volonté de soutenir le nazisme relève peut-être alors de nos gênes de guerriers. N’oublions pas que les Ukrainiens sont issus des Khazars auxquels on associe les ROTHSCHILD et l’État profond qui ont besoin d’une troisième guerre mondiale, s’ils veulent subsister https://swisscorruption.info/deep-state

Selon Nathaniel et Lord Jacob ROTHSCHILD, « La voie actuelle, celle de l’absence d’action militaire, signifie que notre ordre mondial est mort sur pied. Je vous invite à déployer davantage de force contre la Russie et ses mandataires, à intensifier la « guerre de l’information » pour corriger l’opinion, notamment en ligne, et à envoyer des armes à nos amis en Ukraine. Sans l’Ukraine, l’ordre mondial pourrait ne pas survivre » https://swisscorruption.info/ukraine/#nwo.

On constate une fois de plus que l’allégeance de notre Gouvernement fédéral et de notre Parlement ne se fait pas en faveur du Peuple suisse, mais bien du Gouvernement mondial et des Khazars ! Tous trahissent leur Serment sur la Constitution https://swisscorruption.info/mafia-plainte/#app1. Ceci rejoint la volonté du Chef des Armées de vouloir se rapprocher de l’Otan et de prévoir même des manœuvres dans ce contexte, ce qui est totalement contradictoire avec notre NEUTRALITÉ.

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Rencontre Sergueï LAVROV et Ignazio CASSIS

ONU New-York 25.01.2024
Ignazio CASSIS à l’issue de l’entretien, la mine déconfite face à une Vérité qu’il doit assumer

À l’issue de son entretien avec Sergueï LAVROV notre Ministre suisse de la « diplomatie » s’est vu signifier le rejet de la proposition suisse d’un sommet pour la paix en Ukraine, la Suisse n’étant plus considérée comme un État neutre et impartial.

Rappelons comme on l’a vu dans le lien plus haut sur la Neutralité, que l’impartialité, c’est, lorsque l’on prend parti, le faire sans préférence personnelle. L’impartialité implique donc une décision, contrairement à la neutralité. En d’autres termes, l’impartial choisit, le neutre s’abstient de le faire. C’est bien là l’erre

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Karin KELLER-SUTTER PLR SG (2019 – en fonction 2020) est la Cheffe du Département fédéral de Justice et Police).

De 1996 à 2000, elle a été députée au parlement saint-gallois. Dans le même temps, de 1997 à 2000, elle a présidé le Parti radical-démocratique de son canton. Élue au gouvernement cantonal le 12 mars 2000, elle a pris en charge le département fédéral de la sécurité et de la justice ; elle a été aussi vice-présidente de la conférence des directeurs cantonaux de justice et police.

Notons que dans le cadre de son mandat (2005-2012) dans la société « Institut Suisse de Police à Neuchâtel » RC CH-645.1.002.446-6, Karin KELLER-SUTTER a côtoyé le Chef de FedPol Jean-Luc VEZ, qui a été complice de Bernard BERTOSSA pour faire disparaître « officiellement » le dossier à charge qui aurait permis de faire arrêter les Notaires et tous les Avocats de Joseph FERRAYÉ, au même titre que le Procureur général de Genève et ses complices dans la magistrature !.

Pour rester sur Genève, Karin KELLER-SUTTER a bien entendu côtoyé Pierre MAUDET dans le cadre de son mandat au sein de la Conférence des Directeurs cantonaux de Justice et Police. Mais à notre connaissance, elle n’était pas invitée à son anniversaire financé par le patron de MANOTEL Omar DANIAL à l’escobar 🙂

La Conseillère fédéral a d’autre-part siégé dans trois sociétés du Groupe Bâloise, à la NZZ et figure dans 15 registres dans notre base de données.

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Les Présidents du PLR (Libéraux + Radicaux) depuis 1991

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Franz STEINEGGER PLR UR (1989-2001). Il a été Conseiller National de 1980 à 2003. Il a donc été Président du Parti Radical et Conseiller National durant toute la période de l’escroquerie des royalties et 5 ans encore après la levée des séquestres, lorsque le blanchiment battait son plein !

Franz STEINEGGER figure au RC de 20 registres dans notre base de données (Simens, la NZZ et d’autres Médias, etc.). Il a aussi été Président de la SUVA.

Ils figurent au Registre du Commerce de Sociétés qui ont contribué au blanchiment des royalties et/ou ont occupé des postes de premier plan au sein du PLR :

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PLR – Suite

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