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Affaire CREDIT SUISSE
Le Peuple suisse et Actionnaires escroqués
Les Autorités sont complices

Posons-nous la question… Et si CREDIT SUISSE n’avait jamais été en danger, mais que tout le stratagème mis en place ne soit en définitive, qu’une vaste opération de blanchiment d’argent monté par les deux grandes banques, avec la complicités des membres du Gouvernement et des Chambres fédérales ?

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INTRODUCTION

Comprendre comment les Banksters et les membres des Autorités suisses, escroquent les Victimes des banques, les actionnaires et le Peuple souverain !

DES BANQUES MIROIRS

Comment expliquer que CREDIT SUISSE et UBS disposent de sociétés dont l’adresse est à Bâle et Zürich, mais qui sont enregistrées dans le registre du commerce en Suisse ET PARALLÈLEMENT dans celui du Royaume-Uni, avec l’adresse suisse ?

Avec un tel montage, les Banksters ont pu transférer et blanchir des fonds dans une opacité absolue et en toute impunité. Notons que sans la complicité de la FINMA (Autorité suisse de surveillance des services financiers), de toutes les Sociétés de révisions, des Institutions fédérales et de la sacro-sainte « collégialité » à tous les niveaux (une collégialité qui devrait être considérée comme un crime en Démocratie), ces escroqueries n’auraient jamais été possibles.

On relève que la création de Credit Suisse AG UK (01.01.1993) correspond à la date de la fusion du CREDIT SUISSE avec la BPS / SVB qui a contribué à escroquer des dizaines de milliards de royalties dans l’affaire de Genève. Pour UBS AG UK (16.06.1998), il s’agissait de la fusion UBS AG avec SBS / SBV, là encore une banque très impliquée dans l’escroquerie. Pour Credit Suisse Group UK (26.05.2006), selon les statuts, cette société existait en fait depuis 1997, au moment où CREDIT SUISSE a pris le contrôle du Groupe WINTERTHUR et des dizaines de milliards de fortune en réserves latentes, avant de transmettre la coquille vide – en toute connaissance de cause – au français AXA !

Walter B. KIELHOLZ, Président CREDIT SUISSE (gauche) et
Henri de LA CROIX de CASTRIES, Président AXA (droite)

La disparition de CREDIT SUISSE est une opération d’escroquerie et de blanchiment d’argent de plusieurs milliers de milliards de francs, planifiée depuis des années avec la complicité des Autorités fédérales, de la FINMA, de la BNS (Banque Nationale Suisse), mais aussi des Gouvernements à l’International, qui ont été complices de lescroquerie des royalties sur les brevets FERRYYÉ au début des années 1990 (France, Allemagne, Italie, Luxembourg, Liechtenstein, USA, Canada, etc.).

Pour comprendre la situation suisse, il faut faire un retour en arrière jusqu’en 1991 quand le CREDIT SUISSE (BPS) et UBS (SBS) ont contribué à escroquer USD 3’600 milliards sur les royalties des brevets, un blanchiment estimé aujourd’hui à plus de CHF 77’000 milliards.

Les Administrateurs des banques, leurs organes exécutifs sont bien sûr les premiers responsables, mais il en est de même de tous les membres du Conseil fédéral et du Parlement (depuis 1991). Sont concernés bien évidemment aussi les hauts Fonctionnaires de la Confédération (FINMA- AFF, etc.), sans la complicité desquels rien n’aurait été possible ! Et rappelons que ce sont les membres du Conseil fédéral qui nomment les membres de la FINMA et les Hauts fonctionnaires ! Leur choix est minutieux pour garantir l’impunité des escrocs qui évoluent dans la haute finance criminelle en Suisse… !

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Conseil d’Administration CREDIT SUISSE
1991 – 1999

Tous sont directement coupables dans l’escroquerie des royalties !
Les disparitions de SWISSAIR et de Winterthur-Assurances ont fait partie du blanchiment…

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Conseil d’Administration CREDIT SUISSE
2023

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Conseil d’Administration BPS/SVB
1991 – 2003

CH-035.3.000.060-3 / CHE-105.841.036/a Schweizerische Volksbank – Bern
Inscrite au RC BE le 12.03.1993 / Radiée le 22.01.1997

CH-035.3.000.060-3 / CHE-105.841.036/a CREDIT SUISSE – Zürich
Inscrite au RC ZH le 11.12.1996 / Radiée le 22.01.1997

La Banque Populaire Suisse (BPS) / (SVB) Schweizerische Volksbank avait été rachetée par CREDIT SUISSE en janvier 1993 pour le prix de CHF 1.6 milliard, juste après la vente des brevets FERRAYÉ et l’escroquerie des royalties qui en ont résulté. Il était question à l’époque de quelque USD 3’600 milliards, alors que le cours du dollars était de CHF 1.46 pour USD 1.00. Le Conseiller Fédéral Flavio COTTI était alors présent lors de cette vente réalisée à Rio de Janeiro du 3 au 14 juin 1992. Son cousin Giranfranco COTTI Conseiller National PDC qui siégeait au Conseil d’administration de la BNS (1987-1999), a été nommé Président de BPS en 1992 et membre du CA de CREDIT SUISSE depuis 1977… Il a été également membre du CA de CROSSAIR (1992-1999).

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CH-020.9.901.113-6 / CHE-482.209.672 Succursale suisse de SVB/BPS à Zürich reprise sous le nom de CREDIT SUISSE comme succursale indépendante au 1er janvier 1993

Société inscrite au RC ZH le 11.12.1987 sous le nom de Schweizerische Volksbank / Radiée officiellement le 01.01.1992.

Le Registre du Commerce du Canton de Zürich a enregistré des mutations jusqu’au 20.06.2005 et la société a été définitivement radiée le 21.01.2009. Des mutations au sein de la direction et du Conseil d’Administration de la succursale ont donc eu lieu plus de 15 ans après la reprise de /SVB/BPS par CREDIT SUISSE, ce qui laisse imaginer des transactions hors bilan illégales. Compte tenu de l’importante activité de SVB/BPS lors de l’escroquerie des royalties, ont peut imaginer l’importance des opérations de blanchiment qui se sont déroulées durant ces 15 années, en toute impunité !

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CH-020.9.901.113-6 / CHE-397.617.217 Succursale suisse de SVB/BPS à Zürich reprise sous le nom de CREDIT SUISSE comme succursale indépendante, le 13.07.1994 seulement

Société inscrite au RC ZH le 11.12.23.02.1883 sous le nom de Schweizerische Volksbank / Radiée officiellement le 15.01.2009, soit 7 ans après la reprise par CREDIT SUISSE. Durant cette période, la société (indépendante) a probablement fontionné hors bilan du CS.

Le tableau du Conseil d’Administration est le même que ci-dessus. NOTONS QUE POUR CES DEUX SOCIÉTÉS INDÉPENDANTES, AUCUN RÉVISEUR N’EST INDIQUÉ AU RC.

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Conseil d’Administration UBS
2023

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William Chandler DUDLEY / Charles FIRMENICH (père Patrick) /

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Conseil d’Administration SBV/SBS
(Fusion avec SBG/UBS)
1991 – 1999

Au début des années 1990, la SBS/SBV Société de Banque Suisse / Schweizerische Bankverein, apparaissait comme la plus faible des « trois grandes » banques suisses (SBS – UBS et CREDIT SUISSE). Cependant, à la fin 1997, elle a été la force motrice de la fusion avec l’UBS. La raison officielle donnée, était que SBS avait été touchée par des pertes sur ses investissements immobiliers et une série de controverses mineures, malgré la posture historiquement conservatrice de la banque. La réalité était toute différente… SBS était la plus impliquée, après CREDIT SUISSE et au même titre que la BPS (BANQUE POPULAIRE SUISSE), dans l’escroquerie et le blanchiement des royalties. Il fallait donc que BPS et SBS disparaissent rapidement afin que l’opacité des bilans due aux rachats ou fusions puisse dissimuler les opérations illégales en cours. Nous verrons plus loin que les Banksters n’ont pas hésité à créer des sociétés « clone » des banques suisses, domiciliées en Suisse à l’adresse du siège des banques concernées, mais sous juridiction britanique, avec référence RC britanique… SBS a donc fusionné avec UBS et CREDIT SUISSE a repris BPS.

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Conseil d’Administration SBG/UBS
1991 – 1999

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Membres du Conseil Fédéral en 2023

qui, par ordonnance de nécessité, ont écarté les actionnaires des décisions afin de permettre l’escroquerie du patrimoine caché du CREDIT SUISSE et couvrir le blanchiment en cours.

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Anciens membres du Conseil Fédéral depuis 1991
Escroquerie des royalties

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FINMA
Autorité suisse de surveillance des marchés financiers

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Conseil d’Administration 2023

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Direction générale 2023

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Anciens membres de la FINMA
depuis l’escroquerie des royalties

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Plainte pénale contre CREDIT SUISSE / UBS SA
et les Membres du Conseil Fédéral.
Opposition à la fusion

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Recommandé
Ministère Public de la Confédération
M. Stefan BLÄTTLER
Guisanplatz 1
3003 Berne

Recommandé
Autorité de surveillance du
Ministère public de la Confédération
Madame Alexia HEINE, Présidente
Bundesgasse 3
3003 Berne


Yverdon-les Bains, le 30 avril 2023

Plainte pénale

Pour escroquerie en bande organisée et blanchiment d’argent avec la complicité des membres des Gouvernements et Parlements européens, tout particulièrement de France et de Suisse

UBS – CREDIT SUISSE / Interdiction de la fusion

La présente plainte pénale démontre que la disparition de CREDIT SUISSE au profit d’UBS SA, a été planifiée depuis des années avec la complicité des membres du Gouvernement suisse et qu’il ne s’agit en fait que d’une opération de blanchiment d’argent de milliers de milliards de francs. Une opération dans laquelle les Autorités suisses – Gouvernement et Parlement unis – n’ont pas hésité à sacrifier par des garanties d’Etat et de la Banque Nationale, plus de CHF 210 milliards de francs d’argent public dans le processus. Ceci au titre de « récompense » envers les Banksters, pour les risques qui sont liés à leur intervention dans l’escroquerie et le blanchiment dénoncés dans la présente plainte.

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Préambule

Un bref rappel historique est nécessaire pour situer l’appartenance depuis le début des années 1990, des membres du Gouvernement collégial suisse à une Organisation criminelle au sens de l’Art, 260ter CP. On constatera ainsi leur intervention active dans la disparition de fleurons de l’économie suisse au profit d’une Mafia sans scrupule à laquelle appartiennent les Banksters à l’international, des Banksters auxquels obéissent aujourd’hui les membres de nombreux Gouvernements. Il est question là de « l’Etat profond – Deep State », un pouvoir derrière le pouvoir…

Il s’agit (Wikipedia) « d’un pouvoir institutionnel pérenne qui survivrait aux alternances politiques et se maintient de façon cohérente ». Il est constitué soit par un noyau de la classe dominante, soit par des représentants d’intérêts, mais surtout comme la composante la plus agissante et la plus secrète de l’establishment. En Suisse, le Forum économique de Davos avec siège à Cologny/Genève et son fondateur Klaus SCHWAB en sont une image représentative https://swisscorruption.info/deep-state.

Si la corruption a toujours existé, sa croissance exponentielle a été constatée dans le milieu des années 1990. C’est au moment de la levée des séquestres sur les royalties escroquées qui avaient été mises sous contrôle de la justice, que la Franc-maçonnerie mondiale a créé une multitude de Clubs de services dont les statuts contraignent les adhérents au respect du secret. Un secret basé sur une « constitution » qui leur est propre et à laquelle ils sont soumis. Il s’agit-là d’un engagement pour la masse des élus membres de clubs, qui est contraire à nos Constitutions fédérale et cantonales et qui a grandement contribué à la perdition de l’Etat de Droit et de la Démocratie. Cet engagement anticonstitutionnel est au surplus l’élément moteur de la propagation de la corruption à travers le monde, la Suisse et ses systèmes financiers illusoirement contrôlés, est en tête du peloton, sachant que la FINMA agit contre l’objectif qui lui est fixé, l’ensemble de ses membres corrompus agissant en réalité, pour garantir l’impunité des criminels à tous les niveaux, banques, assurances, fiduciaires, avocats, agents d’affaires, etc… On constate cet engouement à rentrer dans la « cause publique », par la course effrénée des candidats pour obtenir un siège aux Chambres fédérales et l’exemple des dernières élections fédérales de 2019 dans laquelle 4652 candidats se sont présentés pour 250 sièges à pourvoir. Si ceci démontre l’enthousiasme des candidats à vouloir entrer dans le cercle fermé dans lequel est pratiquée la corruption en toutes impunité, il faut y voir aussi et surtout la perte des valeurs éthique et morales de nos élus et autres hauts Fonctionnaires. Le fichier https://swisscorruption.info/cs-ubs/rc1.pdf et le lien de l’ex-Directrice de l’AFF, sont significatif sur ce point https://swisscorruption.info/fribourg-corruption/#tc

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Introduction

bref historique / https://swisscorruption.info/royalties2

Tout a commencé lors de l’opération « Tempête du Désert » le 20 février 1991, lors de la capitulation de l’armée de Saddam HUSSEIN et sa fuite du KOWEIT vert l’Irak, lorsque 1’164 puits de pétrole sur 1280 en production à l’époque, ont été explosés pour saboter l’économie du Pays. 6 ans dans un premier temps, puis 8 à 12 ans par la suite, avaient été estimés pour venir à bout de ce sinistre aux conséquences environnementales et économiques sans précédent jusque-là.

C’est grâce aux procédés brevetés d’extinction et de blocage des puits de pétrole de Joseph FERRAYÉ, que les 1’164 puits explosés ont pu être éteints, bloqués et immédiatement remis en production. Les procédés ont été testés à partir du mois de mai 1991 et le dernier puits a été maîtrisé le 5 novembre 1991… https://swisscorruption.info/introduction  

Selon les anciens procédés « KILL WELL » (tuer le puits) à forage oblique, il fallait atteindre la nappe de pétrole située entre 1’500 et 3’500 mètres de profondeur au KOWEIT. La condamnation du puits nécessitait plus de 6 mois et un nouveau forage de 4 à 6 mois était nécessaire pour remettre en service le puits des kilomètres plus loin https://swisscorruption.info/historique.

Les procédés FERRAYÉ nommés « KILL SPOOL » (tuer les flux), ont révolutionné la pratique, non seulement l’extinction pouvait être effectuées en quelques minutes, mais au surplus, le puits pouvait être immédiatement remis en activité, sans nouveau forage comme on le voit sur le dernier lien.

Les procédés FERRAYÉ ont révolutionné 15 à 20 mille fois tous les procédés classiques de l’époque et en cadeau, ils permettaient la réutilisation des mêmes puits, avec les intérêts économiques qui en résultaient. Ceci hormis les gains sur le coût environnemental en regard des anciens procédés.

L’offre FERRAYÉ pour ses systèmes révolutionnaires était de 30 millions par puits, sachant que selon les anciens systèmes, les coûts avoisinaient quelque USD 90 millions et qu’il fallait plusieurs mois de forage oblique pour circonscrire un feu. C’était aussi sans compter le coût du nouveau forage pour remettre en service le puits.

Joseph FERRAYÉ et son offre de USD 30 millions /unité pour l’extinction et le blocage des puits ont été écartés des négociations, parce que les pays de la coalition avaient décidé de multiplier le coût de maîtrise des puits par 2.6 par rapport à l’offre de l’Inventeur, pour être plus proches des coûts facturés avec les anciens procédés. Ainsi, la facture de 1’164 puits à 30 mio * 2.6 = USD 90’792’000’000, a été mise à la charge de la population iraquienne au travers du programme de l’ONU « Pétrole contre nourriture »… https://swisscorruption.info/geneve-corruption/#onu-pcn

N’oublions pas que c’est par le vol des brevets qui étaient déposés auprès de l’INPI en France, sous l’autorité du Ministre Dominique STRAUSS-KAHN du Gouvernement de François MITTERRAND, que les membre du Gouvernement français ont bénéficié à titre personnel et individuel, de l’escroquerie des royalties… https://swisscorruption.info/france. Il est fort probable que les liens de famille de l’ex-Président Nicolas SARKOZY avec le Directeur de la CIA et sous-secrétaire d’Etat Frank G. WISNER, aient joué un rôle important dans le vol de ces brevets https://swisscorruption.info/usa/#sarkozy.

En outre, le lien http://www.worldcorruption.info/presidentielle.htm permet d’avoir accès au curriculum-vitae de Ministres français, impliqués dans l’escroquerie des royalties. Il suffit de cliquer la photo des Ministres pour obtenir le popup qui informe sur leur implication. Il est à noter que ce Site censuré en Suisse n’est plus tenu à jour et qu’il n’est accessible que depuis l’étranger ou en Suisse avec un VPN ou d’un proxy (https://kproxy.com/).

L’escroquerie des royalties sur les brevets s’est ainsi poursuivie. Au-delà de l’extinction des puits au KOWEIT, les membres du complot auquel participaient les membres des Gouvernements de la coalition, mais aussi de la Suisse, ont convenu de contraindre tous les Pays pétroliers à acheter le droit d’exploiter ultérieurement les procédés, contre le versement de royalties de USD 30 millions – correspondants cette fois-ci à l’offre FERRAYÉ –  et en fonction des puits en activité dans chaque Pays concerné. Il y avait à l’époque 120’000 puits en activité dans le monde, ce qui a généré un produit de vente de quelque USD 3’600 milliards, sachant que le taux d’échange du dollar à l’époque était de CHF 1.46 = 1.0 dollar.

Deux « French Trade Weeks » ont été organisées pour la vente des brevets. La première à Koweït-City du 21 au 29 novembre 1991 après l’extinction des puits, et la deuxième du 3 au 14 juin 1992 à Rio de Janeiro lors du sommet mondial de l’environnement et du développement. Le Conseiller fédéral Flavio COTTI du parti politique PDC (nouvellement Le Centre) https://swisscorruption.info/pdc s’était rendu sur place à cette occasion https://swisscorruption.info/pdc/#trade_rio .

L’opération « Tempête du Désert » durant laquelle les puits ont été éteints et bloqués grâce au vol des brevets, était sous contrôle des américains dont George H.W. BUSH était alors Président https://swisscorruption.info/usa. l’escroquerie des royalties et leur blanchiment se sont ensuite poursuivis sous la présidence de William Jefferson (Bill) CLINTON de 1993 à 2001. N’oublions pas que c’est Bill CLINTON, le dernier jour de sa présidence, qui avait gracié Marc RICH, alors condamné à 150 ans de prison, à la demande du Président de la Direction d’UBS SA Pierre DE WECK… https://swisscorruption.info/usa/#clinton et pièces 173a et 173b dans les « preuves).

C’est à partir de 1994 que des milliers de milliards ont été transférés par la FED (Federal Reserve) sur la Mafia Russe lors de la privatisation de l’économie de l’ancienne URSS, comme l’explique le dossier https://swisscorruption.info/moneyplane.

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Les banques RNB Republic National Bank à Genève et New York, propriété d’Edmond SAFRA, ont joué un rôle majeur dans l’exfiltration des capitaux gigantesques escroqués. Les deux liens https://swisscorruption.info/dea et https://swisscorruption.info/swissleaks permettent d’avoir une approche assez précise de la situation de l’époque. Rappelons que toutes les opérations financières se sont réalisées en dollars sous la responsabilité des Etats-Unis. Rappelons aussi que Donal H. RUMSFELD était secrétaire à la défense lors de l’opération « Tempête du Désert », https://swisscorruption.info/usa/#rumsfeld puis vice-Président lors de la Présidence de George W. BUSH (2001-2006), qu’il a aussi été PDG du groupe pharmaceutique G.D. Searle (devenu PFIZER), etc. Qu’il a été également Administrateur de la société suisse ABB Asea Brown Boveri Ltd à Zürich CH-020.3.900.058-8, au même titre que d’autres grands ténors de l’escroquerie comme Percy Nills BARNEVIK, Josef ACKERMANN (Deutsche Bank), Stephan SCHMIDHEINY, l’Officier des BILDERBERG David de PURY, Helmut MAUCHER chez Nestlé, à qui avait succédé Rainer E. GUT (CREDIT SUISSE), etc.

Notons que tous les membres des Gouvernements successifs US depuis 1991, contrôlés par l’État profond à l’exception du Gouvernement TRUMP qui veut anéantir cette Mafia – raison de l’acharnement médiatique jusqu’en Suisse contre lui – ont bénéficié de cette corruption et du blanchiment qui est toujours en cours. On va y revenir avec la fusion CS-UBS.

  • Concernant la désinformation médiatique à l’encontre du Président Donald J. TRUMP, Il est peut-être utile de faire une parenthèse pour rappeler que tous les membres des Gouvernements de l’Occident, là encore à l’instar de la Suisse, sont contrôlés par l’Etat profond. L’acharnement contre Vladimir POUTINE que les Médias occidentaux veulent condamner pour son Opération militaire en UKRAINE suit la même logique. La propagande de désinformation des Médias « mainstream » fait très bien son travail… Mais On échappe à cette manipulation politico-journalistique si l’on sait que l’UKRAINE – contrôlée par le psychopathe président fantoche du gouvernement BIDEN, Volodymyr ZELENSKY – est la patrie des KHAZARS desquels sont issus les représentants de l’état profond. Si l’on comprend aussi que nombreux laboratoires biologiques contrôlés par l’Etat profond, d’où ont été issus des virus sources de pandémies, ont été spécifiquement détruits par l’armée russe pour protéger les populations. Dès lors, il apparaît que les « méchants » ne sont pas ceux que l’on veut nous faire croire… C’est assurément ce qui justifie l’acharnement de notre Presse corrompue, contre les deux Présidents cités plus haut, dont les actions sauveront les Populations ignorantes et naïves qui se laissent manipuler… Voir les deux liens suivants : https://swisscorruption.info/royalties/2022-10-13_miller.pdf (pdf en français-anglais) et https://swisscorruption.info/ukraine/#etat_profond

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Planification de l’escroquerie des royalties par CREDIT SUISSE et Ernst & Young. Rainer E. GUT y a joué un rôle prépondérant

En 1991, au début de l’escroquerie des royalties, SKA (Schweizerische Kreditanstalt ou Crédit Suisse) (é) enregistré au RC suisse sous le N° CH-020.3.923.549-1était présidé par Rainer E GUT depuis 1982.

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En 1968, Rainer E. GUT avait été General Partner chez Lazard Frères & Co. à New York et en 1971 Président et CEO de la Swiss American Corporation à New York, une ancienne filiale US de l’époque SKA  À partir de 1973, il a été membre de la direction et Président en 1982.

De 1983 à 2000, Rainer E GUT a été respectivement président du conseil d’administration de SKA / Credit Suisse et entre 1986 et 2000 également président du conseil d’administration de Credit Suisse Group (anciennement CS Holding – renommé le 1er janvier 1997). De 2000 à 2005, il a été président du conseil d’administration de Nestlé AG à la succession d’Helmut O. MAUCHER. Il a occupé plusieurs postes d’administrateur dans des sociétés internationales, notamment Alusuisse https://swisscorruption.info/blocher, BAYER, SWISS Re, SWISSAIR https://swisscorruption.info/#swissair, Daimler Chrysler Suisse, Ciba Geigy / Novartis, Elektrowatt , Sulzer AG, etc. GUT a été président honoraire du Credit Suisse Group de 2000 jusqu’à sa démission en 2023 lors de la dernière Assemblée générale annuelle.

Dans le cadre de l’escroquerie des royalties, Rainer E. GUT disposait de la signature individuelle dans les sociétés « coquilles » mises en place par Ernst & Young pour escroquer les royalties :

https://swisscorruption.info/societes-ecrans
https://swisscorruption.info/royalties/024.pdf

Nous nous bornons dans l’immédiat, aux responsables (Administrateurs) du CS en place de 1991 à 1999 au moment de l’escroquerie et lorsque la fusion avec UBS a été annoncée, en 2023 (Administrateurs et Direction exécutive) : https://swisscorruption.info/credit-suisse/#cs

Depuis les premières plaintes déposées dans le cadre de l’escroquerie des royalties, les Banksters ont toujours prétendu que cette escroquerie n’avait jamais existé…

Les membres de l’Institution judiciaire, juges et Procureurs, ont été corrompus pour faire condamner les lanceurs d’alertes à de la prison ferme, comme en témoigne mon expérience dans cette affaire :

https://swisscorruption.info/#cottier  /  https://swisscorruption.info/royalties/2022-09-27_mpc.pdf

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Les sociétés « miroir » de CREDIT SUISSE et d’UBS SA
au RC du Royaume-Uni pour blanchir l’argent escroqué…

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CREDIT SUISSE AG

L’adresse des deux banques « anglaises » du CREDIT SUISSE, est à la Paradeplatz 8 à 8001 Zürich, mais avec des numéros d’enregistrement du Royaume-Uni :

Credit Suisse AG (01.01.1993)
Paradeplatz 8 – 8001 Zürich
FC007227 – UK Registration
Credit Suisse Group AG (26.05.2006)
Paradeplatz 8 – 8001 Zürich
FC026825 – UK Registration

Références pour les recherches sur le fichier https://swisscorruption.info/cs-ubs/rc1.pdf

CH-020.3.923.549-1 – en Suisse
GB-0FC.0.007.227-0 – au Royaume-Uni
CH-020.3.906.075-9 – en Suisse
GB-0FC.0.026.825-0 – au Royaume-Uni

Notons tout d’abord que jusqu’au 11.12.1996, la banque exerçait son activité sous la raison sociale Schweizerische Kreditanstalt (SKA – Crédit Suisse en français). Elle est devenue ensuite Credit Suisse First Boston jusqu’au 20 mai 2005. De 2005 au 13.11.2009 la banque a repris le nom de Credit Suisse, avant de devenir Credit Suisse AG jusqu’en 2023.

C’est donc alors qu’elle portait le nom de Schweizerische Kreditanstalt (Crédit Suisse en français), que la banque a créé sa société « miroir » au Royaume-Uni  sous le nom de « Credit Suisse » (sans accent) et les statuts le confirment. De cette manière la version française du SKA, mais sans accent dans la langue de Shakespeare n’attirait pas l’attention comme s’eût été le cas avec SKA, dans les opération criminelles…

L’extrait du Registre du commerce ci-dessous, démontre que du 18.09.1991 au 01.04.1993, le capital-actions du SKA se montait à CHF 1’850’000’000.- C’est donc bien le capital repris dans les statuts de la nouvelle société enregistrée au Royaume-Uni.

On constate sur le Registre du commerce (RC) anglais, qu’une société au nom de CREDIT SUISSE (sans le « AG ») existait déjà sous le même numéro de référence FC007227 depuis le 16.12.1971 et qu’elle a perduré jusqu’au 14.12.2009, soit 16 ans après la société la création de CREDIT SUISSE AG.

https://find-and-update.company-information.service.gov.uk/company/FC007227

Mais il est aussi fait mention que la société a été créée pour la première fois  le 1er janvier 1993 (First UK establishment opened on 1 January 1993).  

L’escroquerie initiale des royalties – par l’essai des brevets, les USD 100 milliards pour les extinctions et blocages des puits et les quelque USD 3’600 milliards provenant de la vente des brevets lors des « French Trade Weeks » – s’est déroulée entre fin 1991 et 1992. Il est alors fort probable que l’ancienne société FC007227 active de 1971 à 2009 ait contribué à escroquer les royalties et que ce soit la raison pour laquelle, à partir de 1993 lors de la fusion BPS, la « nouvelle » société parallèle FC007227 a été ouverte… J’ai donc enregistré les Administrateurs de la société en vigueur de 1971 à 2009, sous la référence fichier GB-0FC.0.007.227-01. Il restera à comprendre maintenant comment, deux sociétés enregistrées sous le même numéro de référence dans un registre du commerce, ont pu exercer parallèlement. https://swisscorruption.info/cs-ubs/docs_registered.pdf.

Dans tous les cas, il faut tenir compte de la responsabilité civile des Administrateurs en fonction dans la société initiale entre 1991 et 2009 et s’ils sont décédés, il appartiendra à la succession des intéressés, de nous indemniser et de restituer le produit du crime. D’ores et déjà, au sens des Art. 70 à 72 CP, je demande la saisie de tous les avoirs et patrimoines en Suisse et à l’étranger des personnes concernées, sachant que la responsabilité civile globale atteint déjà plus de CHF 77’000 milliards de dollars et qu’elle pourrait être finalement jusqu’à cinq fois supérieure https://swisscorruption.info/responsabilites

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CREDIT SUISSE GROUP AG

Au moment de l’escroquerie des royalties au début des années 1990, force est de constater que la situation qui ressort du Registre du Commerce, est confuse. On est en droit de se demander jusqu’à quel point les Autorités du Canton de Zürich ne sont pas complices de CREDIT SUISSE…

Voyons quelques extraits du RC en ligne. Il faut savoir tout d’abord que CREDIT SUISSE GROUP portait le nom initialement de CS Holding créée selon l’image ci-dessous au 01.01.1987 et radiée le 30.05.1991.

La référence de la société est CHE-105.884.494/a (CH-020.3.906.075-9)

Sur l’image suivante, la société CHE-105.884.494/b aurait maintenant été créée le 03.03.1982, soit 5 ans avant CS Holding. Le chiffre 42 à gauche, indique une date de journal du 06.01.1997 et en face, le nouveau nom de la société. On observera encore le capital-actions qui se monte à CHF 2,488 milliards qui correspond à la date de journal du 05.04.1991

Tout comme pour CREDIT SUISSE, n’oublions pas que CREDIT SUISSE GROUP a mis en place une société « miroir » sous la référence FC026825 constituée le 26 mai 2006. Le nom de la société a été changé en CREDIT SUISSE GROUPE AG à partir du 06.06.2008.

Selon les statuts version du 09.02.2006 de la société anglaise FC026825, il est précisé à l’Art. 3, que le capital-actions se montait à CHF 623’876’083.- sous la forme de 1’247’752’166 actions de CHF 0.50, ce qui correspond à la situation de la société suisse à ce moment-là.

Cependant, la suite de la lecture des statuts nous apprend que la société a été active avant sa constitution le 26 mai 2006. Elle a manifestement déjà été active en 1997 lors de la reprise du groupe WINTERTHUR-ASSURANCES par le CREDIT SUISSE. Une escroquerie gigantesque au travers de laquelle les Banksters de la Paradeplatz 8, ont escroqué des centaines de milliards de francs provenant des réserves latentes du Groupe WINTERTHUR https://swisscorruption.info/#spaelti

La preuve en est donnée à partir du point VIII (Art. 28c et suivants)

  • Art. 28c
    In accordance with the agreement on non-cash capital contributions dated 8 December 1997, the Company has acquired from Credit Suisse First Boston, Zurich, 9,651,170 registered shares of the « Winterthur » Swiss Insurance Company, Winterthur, with a par value of CHF 20 each, and 35,694 rights to new registered shares resulting from the invalidation of the remaining 35,694 registered shares of the « Winterthur » Swiss Insurance Company (Articles 54 and 33, SESTA), with a total value and at a total price of CHF 1,414,282,140. Settlement has been effected by transfer to Credit Suisse First Boston of 70,714,107 fully paid- in registered shares of the Company with a par value of CHF 20 each. The issue price per share is CHF 20.
  • Art. 28d
    In accordance with the agreement on non-cash capital contributions of 31 July 1998, the Company has acquired from Credit Suisse (Bahamas) Limited, Nassau (Bahamas), 16,916,518 common stock of Garantia Banking Limited, with a par value of USD 1.00 per share, with a total value and at a total price of CHF 706,325,400. Settlement has been effected by transfer to Credit Suisse (Bahamas) Limited as exchange agent of 1,938,708 fully paid-in registered shares of the Company with a par value of CHF 20 per share. The issue price per share is CHF 364.3278. The sum of CHF 667,551,240, being the amount by which the price paid exceeds the par value of the new shares (CHF 38,774,160), is retained by the Company as a share premium.

À partir de l’Art. 29 des statuts, on retrouvent des transactions mentionnées aux dates spécifiées dans la Société suisse, mais les accords convenus ne sont pas les mêmes en Suisse qu’au Royaume Uni. Au surplus, il ne faut pas perdre de vue que la société anglaise a une date de création au 26 mai 2006 et qu’elle n’existait donc pas officiellement au moment des transactions…

Art. 28e
In accordance with the agreement on non-cash capital contributions of 15 April 1999, the Company has acquired from Reinsurance Derivatives Holding AG, Zurich, 30,470,235 Perpetual Non-Cumulative Class A Preference Shares, with a par value of USD 1.00 per share, and 83,162,370 Participating Shares, with a par value of USD 1.00 per share, of Credit Suisse Financial Products, London, with a total value and a total price of CHF 486,000,000. Settlement has been effected by transfer to Reinsurance Derivatives Holding AG, Zurich, of 1,800,000 fully paid-in registered shares of the Company with a par value of CHF 20 per share. The issue price per share is CHF 270. The sum of CHF 450,000,000, being the amount by which the price paid exceeds the par value of the new shares (CHF 36,000,000), is retained by the Company as a share premium.
Réf. 60 – Journal 8196 – 15 avril 1999

Sacheinlage: Die Gesellschaft übernimmt bei der Kapitalerhöhung vom 15.04.1999 gemäss Sache-inlagevertrag vom 15.04.1999 30’470’235 Perpetual Non-Cumulative Class A Preference Shares von je US$ 1.00 Nennwert und 83’162’370 Participating Shares von je US$ 1.00 Nennwert der Credit Suisse Financial Products, in London, wofür 1’800’000 Namenaktien zu CHF 20.– ausgegeben werden.
Art. 28f
In accordance with the agreements on non-cash capital contributions of 3 November 2000, the Company has acquired from AXA, Paris, AXA Financial, Inc., New York, The Equitable Life Assurance Society of the United States, New York, and AXA Participations Belgium, Brussels, 64,029,782 Common Shares, with a par value of USD 0.10 per share, of Donaldson, Lufkin & Jenrette Inc., Delaware, with a total value and a total price of CHF 8,502,828,693.50. Settlement has been effected by transfer to AXA, AXA Financial, Inc., Equitable Life Assurance Society of the United States and AXA Participations Belgium of 25,727,167 fully
paid-in registered shares of the Company with a par value of CHF 20 per share. The issue price per share is CHF 330.50. The sum of CHF 7,988,285,353.50, being the amount by which the price paid exceeds the par value of the new shares (CHF 514,543,340), is retained by the Company as a share premium.
Réf.72 – Journal 26257 – 03.11.2000

Sacheinlage: Die Gesellschaft übernimmt bei der Kapitalerhöhung  vom 03.11.2000 gemäss Sache-inlagevertrag vom 03.11.2000 64’029’782 Common Shares der Donaldson, Lufkin & Jenrette, Inc., Delaware, von je USD 0.10 Nennwert, wofür 25’727’167 Namenaktien zu CHF 20.– ausgegeben werden.
 


NO COMMENT !!!

Notons encore concernant CREDIT SUISSE GROUP, que les Pays du Golfe détiennent quelque 20 % du capital-actions de CREDIT SUISSE répartis à raison de ~5 % pour le Qatar, près de 10 % pour la Saudi National Bank contrôlée par les SAOUD. et 5 % pour la société d’investissement familiale saoudienne OLAYAN. Souvenons-nous que ARAMCO est la propriété de la Famille royale SAOUD d’Arabie Saoudite et que cette société avait été chargée de négocier l’utilisation et la vente de brevets FERRAYÉ pour l’extinction et le blocage des puits de pétrole https://swisscorruption.info/#saoud. Une vente qui avait généré quelque USD 3’600.- milliards…

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CREDIT SUISSE une faillite planifiée et programmée de longue date dont l’objectif est un pur blanchiment d’argent

La Presse a révélé depuis l’annonce de la fusion de CREDIT SUISSE – UBS SA, que la banque loue les locaux dans lesquels elle exerce son activité… Des biens immobiliers à Zürich et à travers la Suisse qui valent assurément globalement des dizaines ou centaines de milliards.

Comme l’ont confirmé les Banksters, le besoin de liquidités n’a jamais été le souci de CREDIT SUISSE et pour cause… Alors pourquoi avoir réalisé la valeur d’un patrimoine immobilier, si ce n’est pour en soustraire le produit des ventes lors des transactions qui vont avoir lieu avec la fusion ? Ceci nous démontre que la disparition de CREDIT SUISSE a été planifiée depuis quelques années et que les actifs ont été soustraits au profit de criminels en cols blancs.

Intéressons-nous à la société suisse Credit Suisse PSL GmbH à Zürich CH-020.4.041.006-2 et à l’opération de nettoyage qui l’a concernée à fin 2021. Cette société avait été constituée le 29.09.2009 avec un capital de CHF 20’000.-, pour reprendre près de USD 8.7 milliards d’actifs… Une société ayant pour objet l’acquisition, la détention, la gestion et la vente de participations financières d’autres sociétés. On remarque dans les « Faits spécifiques » qu’elle est prévue pour faire une acquisition en nature :

Die Gesellschaft beabsichtigt, nach der Gründung insgesamt 3’733’000’000 Preference Shares (Class C, D, E, H, I und J) der Credit Suisse International, in London (UK) zu USD 1.00 zum Preis von USD 3’733’000’000.00 sowie Forderungen in der Gesamthöhe von USD 4’966’577’337.00 zum Preis von USD 4’966’577’337.00 zu übernehmen.
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La société a l’intention d’acquérir un total de
3 733 000 000 actions privilégiées (Classes C, D, E, H, I et J) de Credit Suisse International, à Londres (Royaume-Uni) à 1,00 USD au prix de 3 733 000 000,00 USD et des réclamations d’un montant total de 4 966 577 337,00 USD au prix de 4 966 577 337,00 USD.

On peut consulter les Administrateurs de Credit Suisse International de Londres, sur le lien en ligne https://swisscorruption.info/cs-ubs/rc1.pdf avec le critère de recherche « GB-000.2.500.199-0 ».

Le 29.10.2021 la société suisse a été radiée et reprise par CREDIT SUISSE AG, selon les termes suivants : « Fusion : Acquisition des actifs et passifs de Credit Suisse PSL GmbH, à Zurich (CHE-115.107.222), conformément à l’accord de fusion du 28 octobre 2021 et bilan au 30 juin 2021. L’actif de CHF 2 117 284 413,00 et le passif (capital de la dette) de CHF 2 962 233 936,00 sont transférés à la société absorbante. Selon la confirmation de la société d’audit publique, il existe des fonds propres librement utilisables dans la mesure du sous-financement et du surendettement de la société apporteuse. La société absorbante détenant la totalité des actions de la société apporteuse, il n’y a ni augmentation de capital ni attribution d’actions. A qui ont donc profité les USD 8.7 milliards initiaux et les CHF 2.962 milliards de dette ?

Notons quand même que pour une petite société à responsabilité limitée, constituée avec un capital social de CHF 20’000.-, trois grands organes de révisions ont assuré le travail « d’auditeurs », assurément pour verrouiller les malversations commises ! Il s’agit de BDO Zürich, KPMG Zürich et PricewaterhouseCoopers Zürich, les principaux planificateurs de l’escroquerie des royalties à l’instar de Ernst & Young qui se sont assurés que personne ne mette jamais son nez dans les sociétés qu’ils révisaient…

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SCHWEIZERISCHE VOLKSBANK (SVB) / BANQUE POPULAIRE SUISSE (BPS)

La Banque Populaire Suisse a joué un rôle important lors de l’escroquerie des royalties et de nombreux transferts de fonds ont eu lieu par ses services. On constate en outre que la plupart des Banksters de CREDIT SUISSE figuraient au Conseil d’administration de la BPS.

Il suffit ensuite de consulter le fichier pdf des liens de notre base de données, pour voir leur implication avec le blanchiment des royalties.

Pour une raison de timing, je ne vais pas détailler ici davantage l’implication de la BPS ce qui n’a du reste aucune importance dans le cadre de ma demande d’empêcher la fusion CREDIT SUISSE / UBS AG, mais je me réserve le droit d’y revenir ultérieurement. Tout comme sur la prise de contrôle des banques cantonales par CREDIT SUISSE.

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UBS AG

UBS AG
Aeschenvorstadt 1 – 5051 Basel
CH-270.3.004.646-4
UBS AG
Aeschenvorstadt 1 – 5051 Basel
FC021146 – UK Registration

On remarquera que pour UBS AG, si le siège est enregistré à Zürich et Basel (comme pour la banque originale), c’est le siège de Aeschenvorstadt 1 – Basel qui a été enregistrée comme adresse de correspondance au RC du Royaume-Uni. C’est donc le siège de l’ancienne SBV / SBS, banque qui a été la plus impliquée dans l’escroquerie des royalties, qui a été retenu.

On peut prendre connaissance des « Administrateurs/Banksters » mis en place dans la société miroir, par une recherche automatique sur le fichier https://swisscorruption.info/cs-ubs/rc1.pdf  avec le critère correspondant au numéro de la société anglaise FC021146, à savoir au format du fichier de notre base de données : GB- 0FC.0.021.146-0. Vous serez peut-être étonnés (ou pas), de constater qu’au travers de grands noms de l’économie suisse, on y trouve celui de l’ancien Conseiller Fédéral Kaspar VILLIGER… Ceci pour relever l’éthique des membres du Conseil Fédéral et leur complicité « collégiale » dans le crime organisé des « cols blancs ». Il faut se souvenir que comme Conseiller Fédéral, Kaspar VILLIGER avait géré au niveau de l’Etat, le GROUNDING de notre Société nationale SWISSAIR, qu’on surnommait « la banque volante » et qu’il était devenu « Président » d’UBS AG !

Pour en revenir à UBS AG UK, les premières démarches retrouvées sont datées de 12.1997. Selon l’Art. 2 des statuts, la Société a pour objet de prendre le relais dans le cadre d’une fusion selon l’art. 748 CO, de tous les actifs et passifs de « Union Bank of Switzerland (UBS/SBG) » à Zurich, et de « Société de Banque Suisse » à Basel, après autorisation des autorités compétentes et par la suite, pour exploiter une banque polyvalente. https://swisscorruption.info/cs-ubs/status_ubs_uk.pdf

La Société est autorisée à acquérir, hypothéquer et vendre des immeubles et des droits à bâtir en Suisse et à l’étranger.

  • Précision dans le cadre de la remarque « après autorisation des autorités compétentes », qu’il faut comprendre après autorisation de la FINMA (anciennement Commission Fédérale des Banques – CFB) dont le fichier là encore laisse songeur… Le critère de recherche pour la FINMA est : CH-000.0.000.001-0.
  • On peut ainsi constater par cette recherche, que la grande majorité des acteurs de la FINMA ont été, à un moment donné, directement liés au blanchiment ou à l’escroquerie des royalties. On le constate par leur inscription au RC de sociétés qui sont impliquées soit dans l’escroquerie, soit dans le blanchiment.

Il est donc bien question dans les statuts précités, de la fusion de SBS/SBV avec UBS/SBG en 1997/1998, les deux banques suisses principales, qui avaient escroqué des centaines de milliards de royalties. Souvenons-nous alors que lors de l’escroquerie des royalties, le futur Conseiller Fédéral Christoph BLOCHER était administrateur d’UBS/SBG, tout comme du reste son collègue du Conseil Fédéral, Johann SCHNEIDER-AMMANN. C’est à ce moment-là que Chrisoph BLOCHER a fait construire 117 usines chimiques en Chine, selon ses propres déclarations et comme on peut le voir sur le lien le concernant https://swisscorruption.info/blocher (1ère vidéo). Christoph BLOCHER a ensuite été Ministre suisse de la Justice (sic !), de 12.2003 à 12.2007.

L’Art. 5 des statuts concerne la gestion de la société et mentionne la convocation de l’Assemblée Générale Ordinaire chaque année, au plus tard six mois après la clôture de l’exercice. Il est précisé que les assemblées générales ont lieu à l’un des sièges sociaux de la société ou à un autre lieu à déterminer par le conseil d’administration.

Il est évident alors qu’il n’est pas question de l’assemblée générale d’UBS AG en Suisse, puisque le capital action de la société ouverte au Royaume-Uni, selon l’Art. 4 des statuts, fait état d’un capital-actions de CHF 50’000.- sous la forme de 2’475 actions nominatives valeur nominale de CHF 20.-, de 6 actions nominatives classe B valeur nominale de CHF 20.- et enfin de 19 actions nominatives classe C valeur nominale de CHF 20.-. Le capital-actions étant entièrement libéré.

Force est donc de constater que les BANKSTERS d’UBS SA, à l’instar de l’ensemble des membres du Conseil d’Administration actuel de la banque, mais aussi de sa Direction générale, sont des criminels en cols blancs restés impunis depuis des décennies par le seul fait de la corruption des membres de l’Institution judiciaire à tous les niveaux, jusqu’au Ministère Public de la Confédération comme on l’a vu plus haut et comme le confirme le lien personnel de l’ancien Procureur général de la Confédération Michael LAUBER https://swisscorruption.info/lauber

Voir aussi https://swisscorruption.info/#cottier  et  https://swisscorruption.info/mottu
https://swisscorruption.info/geneve-corruption

Les BANKSTERS n’ont aucune intention de restaurer une quelconque situation. Bien au contraire, ils n’ont pour objectif que de poursuivre le crime organisé dans lequel ils se sont lancés et la preuve en est donnée une fois de plus par la consultation du fichier https://swisscorruption.info/cs-ubs/rc1.pdf.

On constatera donc aussitôt, que le Président d’UBS SA Colm KELLEHER figure dans la société citée plus haut, enregistrée aux Royaume-Uni, quant au Directeur général exécutif Sergio ERMOTTI, les RC dans lesquels il figure, tant en Suisse, qu’au Panama ou encore aux USA peut rassurer tous les Banksters, dans le sens qu’ils seront bien protégés…

On dit souvent que l’argent est le moteur de tous les crimes. L’implication des Banksters cités dans la présente plainte nous aide donc à comprendre POURQUOI les CEO et autres Présidents de banques reçoivent des salaires et des bonus indécents. Il devient ainsi évident que compte tenu des risques que ces individus prennent dans le crime organisé qu’ils gèrent pour le compte d’autres criminels, ils attendent en retour des revenus à hauteur des crimes qu’ils gèrent…

Cependant, cette fois-ci ils doivent se retrouver sur la case prison, sans passer par le start et sans toucher de prime. Et si les membres de l’Institution judiciaire n’effectuent pas leur travail, le Peuple suisse va devoir assumer des dizaines de milliers de milliards de francs, au titre de responsabilité civile que nous faisons valoir ici.

Ce que nous attendons 

  1. L’abandon immédiat de l’idée criminelle de la fusion CREDIT SUISSE / UBS

  2. Prendre le contrôle de toutes les actions financées par les royalties, tant sous le contrôle de personnes physiques que morales, qui auront financé leur achat par le blanchiment des royalties

  3. Prendre possession de tous les patrimoines en Suisse et à l’étranger, de biens immobiliers, mobiliers, monétaires, métaux précieux et autres, financés par le blanchiment des royalties.
    J’attire l’attention sur les liens BOSCARDIN Ricardo – SERAFINI Enrico – etc., sur « rc1 »

  4. Prendre le contrôle ou les participations correspondantes dans toutes les sociétés en Suisse et à l’étranger dont le fichier « rc1 » cité plus haut, démontre qu’elles ont été refinancées par le blanchiment des royalties

  5. L’ouverture IMMÉDIATE d’enquêtes pénales à l’encontre des personnes physiques et morales qui ont directement ou indirectement participé à l’escroquerie et au blanchiment des royalties.


  6. L’arrestation immédiate des Magistrats, Procureurs, Juges, élus politiques ou toute autre catégorie de personnes qui ont abusé de leur autorité pour priver les lanceurs d’alertes comme ce fût mon cas ou comme c’est le cas actuellement pour M. Daniel CONUS sur ordre des Autorités neuchâteloises. Voir les liens suivants :

    https://swisscorruption.info/burdet
    https://swisscorruption.info/daniel-conus
    https://swisscorruption.info/jakob-gutknecht
    https://swisscorruption.info/herzog
    https://swisscorruption.info/merinat
    https://swisscorruption.info/rathgeb-rennaz
    https://swisscorruption.info/birgit-savioz
    https://swisscorruption.info/attalens
    https://swisscorruption.info/fribourg-corruption
    https://swisscorruption.info/geneve-corruption
    https://swisscorruption.info/valais-corruption
    https://swisscorruption.info/vaud-corruption

  7. L’arrestation immédiate des Magistrats, Procureurs, Juges, élus politiques ou toute autre catégorie de personnes qui ont abusé de leur autorité pour avoir refusé d’entrer en matière sur les plaintes déposées dans le cadre de l’escroquerie et du blanchiment des royalties, en regard des 182 preuves accessibles sur https://swisscorruption.info/preuves

  8. L’arrestation immédiate du Notaire Pierre MOTTU, auteur des conventions de détournement des capitaux (voir lien précité) et plaignant contre moi, qui a fait ordonner mon arrestation à la lecture du jugement https://swisscorruption.info/mottu

  9. L’arrestation immédiate de l’Avocat Marc BONNANT, rédacteur de la plainte du 29 janvier 1996 sur la base de laquelle les royalties ont tout d’abord été séquestrées, avant qu’il rejoigne le complot et contribue à leur escroquerie https://swisscorruption.info/bonnant

  10. L’arrestation immédiate de l’ancien Procureur général Michael LAUBER et de ses deux suppléants Ruedi MONTANARI et Jacques RAYROUD qui ont refusé d’instruire sur les plaintes déposées https://swisscorruption.info/lauber

  11. L’arrestation immédiate de l’ex-Procureur général de Genève Bernard BERTOSSA, complice direct de l’escroquerie des royalties https://swisscorruption.info/geneve-corruption

  12. L’arrestation immédiate de l’ex-Conseiller Fédéral Christoph BLOCHER Administrateur de SBG / UBS AG et complice de l’escroquerie et du blanchiment des royalties https://swisscorruption.info/blocher

  13. L’arrestation immédiate de l’ex-Conseiller Fédéral Johann SCHNEIDER-AMMANN, Administrateur de SBG AG lors de l’escroquerie des royalties, voir lien précité

  14. L’arrestation immédiate de l’ex-Conseiller Fédéral Kaspar VILLIGER, ex-Président d’UBS SA et complice de l’escroquerie des royalties.

  15. L’arrestation immédiate de l’ex-Conseiller National et vice-Président du PDC, ancien Syndic de Fribourg Dominique de BUMAN, qui après avoir dénoncé la complicité de l’Etat dans le crime organisé, s’est rétracté https://swisscorruption.info/debuman

  16. La réouverture immédiate de la plainte du 30.10.2017 suit au décès de Jean-Luc DEBUMAN https://swisscorruption.info/politique/2017-10-30_succ_debuman.pdf

  17. La réouverture immédiate de la plainte du 11 janvier 2018 suite au décès de Jean-Luc VEZ, ex-Directeur de FedPol https://swisscorruption.info/fedpol La plainte est accessible sur le lien des preuves cité au point 7

  18. La réouverture immédiate de la plainte 27 avril 2022 suite au décès de Lily SAFRA, épouse de feu Edmond SAFRA https://swisscorruption.info/swissleaks
    https://swisscorruption.info/mpc2/2022-04-27_deces_lily_safra.pdf

  19. La mise en examen et l’arrestation de toute personne en fonction des faits décrits dans la présente plainte et dans l’ensemble des liens qui y figurent.

  20. Les membres des Autorités compétentes et la Confédération Suisse seront tenus responsables de tout acte qui contribuera à aggraver le préjudice que nous avons déjà subi de par la corruption qui règle au sein de l’état.

  21. Nous nous réservons le droit de compléter cette plainte en fonction de l’évolution de la situation, des éléments que nous trouvons chaque jour et pour traiter l’aspect de la FINMA et de la Banque Nationale, dans le cadre de l’escroquerie des royalties.

  22. Nous demandons expressément et immédiatement la destitution du Conseil Fédéral et des Chambres fédérales.

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Ministère Public de la Confédération, Berne
M. Stefan BLÄTTLER, Procureur général
UBS SA – M. Sergio Pietro ERMOTTI, Zürich
Président de la Direction générale
Le 30.08.2023

Plainte pénale et Dépôt de réserves civiles

pour un montant provisoire de CHF 70’000 milliards
contre l’ensemble des Administrateurs et membres de la direction
d’UBS SA et CREDIT SUISSE et leurs entités en Suisse et à l’étranger depuis 1991
https://swisscorruption.info/credit-suisse

Mais aussi contre tous les Conseillers/ères fédéraux depuis 1991
contre tous les membres des chambres fédérales depuis 1991
contre tous les membres de la direction de la FINMA, de la BNS, du DFF, de FedPol et du Ministère Public de la Confédération

Contre tous à titre personnel et individuel, solidairement entre eux et subsidiairement contre la Confédération suisse et les Cantons

La présente plainte avec dépôt de réserves civiles fait suite à :
la Plainte pénale adressée au MPC le 30 avril 2023 ainsi qu’à la Plainte complémentaire du 23 mai 2023, toutes deux restées sans réaction du MPC
(À consulter par le lien ci-dessus)

Chefs d’accusations :

Complicité de crime organisé Art 260ter CP, complicité d’escroquerie Art. 146 CP,
complicité de blanchiment d’argent Art. 305bis CP, Déni de justice Art. 94 LTF
Abus d’autorité Art. 312 CP, entrave à l’action pénale Art. 305 CP,
Crimes contre l’État : Atteinte à l’indépendance de la Confédération Art. 266 CP
Mise en danger de l’ordre constitutionnel : Atteinte à l’ordre constitutionnel Art. 275 CP
Infractions contre l’Autorité publique : Violence ou menace contre les autorités et les Fonctionnaires Art. 285.1 CP et tout autre chef d’accusation en fonction des crimes dénoncés

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La Presse helvétique a rapporté que le patron d’UBS SA  Sergio Pietro ERMOTTI allait annoncer le jeudi 31 août 2023, qu’UBS SA absorbera entièrement le CREDIT SUISSE.

Nous nous opposons formellement à cette mesure et déposons les réserves civiles citées plus haut contre tous les BANKSTERS et leurs complices, qui ont œuvré dans l’escroquerie et le blanchiment des quelque USD 3’700 milliards générés en 1991 par l’extinction et le blocage des puits de pétrole au KOWEIT et la vente des brevets lors des deux French Trade Weeks, la première, vente juste après l’extinction des puits de pétrole à Koweït-City du 23 au 29 novembre 1991. la 2ème vente lors du « Sommet de l’environnement et du développement » qui s’est déroulé à Rio de Janeiro au Brésil, du 3 au 14 juin 1992, sous l’œil attentif du Conseiller Fédéral PDC Flavio COTTI https://swisscorruption.info/pdc/#trade_rio.

Selon les explications fournies sur le lien https://swisscorruption.info/responsabilites, la valeur du blanchiment de ces royalties est estimée à ce jour à CHF 70’000 milliards, mais pourrait être jusqu’à cinq fois supérieure https://swisscorruption.info/royalties2.

Nous sommes bénéficiaires par mandats de Monsieur Joseph FERRAYÉ, du 50 % des royalties escroquées sur les brevets d’extinction et de blocage de l’inventeur.

Au début des enquêtes sur plaintes de Joseph FERRAYÉ et jusqu’en 1999, le MPC (Ministère Public de la Confédération) était dirigé par Carla DEL PONTE (1994-1998). FedPol était alors sous la direction du MPC et Michael LAUBER https://swisscorruption.info/lauber était Chef de la division de lutte contre le crime organisé et le blanchiment d’argent. Il était donc sous la direction de Carla DEL PONTE. https://swisscorruption.info/lauber/#procs.

Valentin ROSCHACHER a succédé à Carla DEL PONTE au 1er mars 2000 après avoir été suppléant des Offices centraux de la Police criminelle (FedPol qui dépend depuis 01.2000, du Département fédéral de Justice et Police). Á l’époque, Valentin ROSCHACHER était suppléant de Michael LAUBER, sous la Direction de Carla DEL PONTE… Il a exercé sa fonction jusqu’en 2006.

De 2007 à 2011, le Ministère Public de la Confédération a été dirigé par Erwin BEYELER qui occupait précédemment la fonction de Directeur adjoint de FedPol depuis 2001.

Michael LAUBER a repris la direction du MPC en 2012 après avoir été Chef de la division de lutte contre le crime organisé et le blanchiment de FedPol (1995-2000), Avocat (2001) et directeur du Bureau de communication en matière de blanchiment d’argent du Liechtenstein (2001 à 2004). Pendant les six années suivantes (2005-2011), il a été à la tête de l’association des banquiers de la principauté, une importante place financière impliquée dans le blanchiment des royalties.

FedPol – Une Institution fédérale de Police à la source du Crime organisé en Suisse et dont les objectifs sont de préserver l’impunité de criminels proches de l’État !

De 1994 à 2000, lors des enquêtes sur l’escroquerie des royalties, FedPol était sous le contrôle du MPC (Carla DEL PONTE) et dirigé par Anton WIDMER. Jean-Luc VEZ, sous-Directeur est devenu ensuite Directeur de FedPol de 2001 à 2014, avant de rejoindre le World Economic Forum (Klaus SCHWAB) à Cologny GE https://swisscorruption.info/fedpol.

Le lien de Dina BETI https://swisscorruption.info/fribourg-corruption/#tc, aujourd’hui juge cantonale à Fribourg, aide à comprendre comment les Autorités fédérales ont contribué au blanchiment des royalties, lors de la privatisation de toutes les régies fédérales.

Un Ministre suisse de la Justice et un Conseiller fédéral au Conseil d’administration d’UBS SA (SBG), lors de l’escroquerie des royalties par les Banksters

Le lien de Christoph BLOCHER https://swisscorruption.info/blocher, met en évidence la manière par laquelle le Tribun zurichois a constitué sa fortune… Fauché à l’époque, grâce à son mandat d’Administrateur de la SBG/UBS et avec la complicité de la banque, il a réussi à blanchir des dizaines de milliards de francs provenant de l’escroquerie des royalties, en faisant construire 117 usines chimiques en Chine.

Il en a été de même pour le Conseiller fédéral Johann SCHNEIDER-AMMANN.

Le lien https://swisscorruption.info/implications démontre aussi l’implication des membres du monde politique, tous plus corrompus les uns que les autres. Près de 6’000 candidats se pressent au portillon des élections fédérales en 2023, pour 250 sièges disponibles. Tous veulent une part du gâteau dans la corruption, depuis qu’ils ont compris qu’ils bénéficient d’une impunité absolue, par le fait que les Autorités judiciaires sont elles-mêmes corrompues et ont prêté allégeance aux BANKSTERS.

Il est intéressant de constater le fonctionnement des chambres fédérales au regard de la Commission d’Enquête Parlementaire (CEP) qui vient d’être nommée à la suite de la débâcle CREDIT SUISSE, une pseudo débacle qui n’est en réalité qu’une opération de blanchiment de milliers de milliards de francs https://swisscorruption.info/merinat/#chassot.

Conclusion

Les situations décrites plus haut démontrent que les membres des Autorités fédérales, à tous les échelons, ont violé leurs devoirs de fonctions, pour se mettre au service de CRIMINELS  et autres BANKSTERS, contre les intérêts des détenteurs réels de fonds et contre l’intérêt public, compte tenu que des milliers de milliards n’ont pas été imposés.

Nous réitérons donc notre opposition au fait qu’UBS SA veuille absorber CREDIT SUISSE qui, à l’instar de SBG/UBS, SBV/SBS ou encore de SVB/BPS, a été impliqué dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties dès 1991 https://swisscorruption.info/royalties2.

Nous attendons du Ministère Public de la Confédération ou de toute autre Autorité compétente, que des mesures d’extrême urgence soient ordonnées, pour interdire la procédure envisagée par UBS SA et que tous les protagonistes soient arrêtés et mis sous enquête pénale, en fonction des Chefs d’accusations cités plus haut..

Fait à Yverdon-les-Bains, le 30 avril 2023

Marc-Etienne BURDET

Daniel CONUS

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Plainte complémentaire
contre la FINMA, la BNS, le Conseil Fédéral et la Presse

Cette plainte en relation avec la Commission d’enquête parlementaire sur l’affaire CREDIT-SUISSE, sera mise en ligne ultérieurement.

RTS – Temps Présent 15.06.2023
CREDIT SUISSE – Le naufrage d’un paquebot en perdition