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Autorités politique

Autorités judiciaires

Corruption dans la constructions des autoroutes valaisannes

L’Affaire GIROUD Vins SA

Pouvoir Politique
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Conseil d’État législature 2021-2025

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DARBELLAY Christophe (PDC Le Centre)

Né le 7 mars 1971 à Martigny, il a été Conseiller National de 12.2003 à 11.2005, avant d’être élu au Conseil d’État le 1er mai 2017. Mais Christophe DARBELLAY a surtout été Président du PDC suisse de 09.2006 à 04.2016. Il avait succédé à Doris LEUTHARD élue Conseillère fédérale et a présédé le zougois Gerhard PFISTER.

Comme on peut le voir sur le lien personnel de Christophe DARBELLAY, en qualité de Président suisse du PDC Le Centre, il a contribué activement à la planification du blanchiment des USD 3’600 milliards escroqués sur les brevets FERRAYÉ.

Sa devise…

Lorsqu’un scandale politique éclate à l’instar des quatre milliards de francs dans les tunnels d’autoroutes du Valais, mais aussi pour les vingt milliards ou plus escroqués dans les fonds de pensions par les Assureurs-vie, pour Christophe DARBELLAY la seule devise à appliquer est :

Moins on en parle, plus vite les gens oublient… et ça fonctionne !

Raison pour laquelle les politiciens ont « acheté* les JOURNALEUX LOBOTOMISÉS par les subventions qui sont versées aux Médias.

FAVRE Frédéric (PLR)

Il est né à Genève le 16 juillet 1979, membre du PLR depuis 2017 et Conseiller d’État depuis 05.2017.

Il a travaillé à la MIGROS Valais comme Chef du département des ressources humaines de 2010 à 2017 et a été parallèlement juge assesseur au Tribunal du travail du Valais de 2014 à 2017.

Frédéric FAVRE a également été présent dans notre base de données du blanchiment des royalties, dans les RC suivants : Fondation de Prévoyance Valrhône SA Sion – Conférence des Directeurs cantonaux de Justice & Police CCDJP à Berne – CH Stiftung für eidgenössische Zusammenarbeit Solothurn – Fondation Divisionnaire F.K. Rünzi Bluche à Randogne VS. Il faut relever que certains individus inscrits dans ces sociétés (actifs ou non) ont contribué activement au blanchiment des royalties et que l’on rencontre beaucoup de membres des exécutifs cantonaux dans ces RC… Un moyen probable d’avoir le contrôle sur l’impunité de la corruption dans le Pays…

REYNARD Mathias (PS)

Né le 7 septembre 1987, il a été Député au Grand Conseil valaisan de 03 à 11.2011. Élu Conseiller National, il y a siégé de 12.2011 à 05.2021. Avec son accession au gouvernement valaisan en 05.2021, il a dû mettre un terme à sa profession d’enseignant.

Depuis octobre 2021, Mathias REYNARD siège au Conseil de la Fondation Pierre GIANADDA à Martigny au registre de laquelle on peut croiser des noms en liens d’intérêt avec l’escroquerie et le blanchiment des royalties. Il a siégé également de 2012 à 2017, comme membre de Bibliomedia Schweiz – öffentliche Stiftung » (BMS) à Bern qui était alors Présidée par le détenteur hors catégorie de la corruption suisse, le fribourgeois et vice-Président du PDC suisse Dominique DE BUMAN…

Au cours de son activité parlementaire fédérale à Berne, Mathias REYNARD a pu côtoyer de près le crime organisé au sein même de l’État et lié au blanchiment des royalties, à commencer par le fribourgeois ex-Président du PS Christian LEVRAT. Et dans la clique fribourgeoise, n’oublions pas le Directeur de FedPol Jean-Luc VEZ, grâce à qui l’escroquerie des royalties a été possible…

Je relève aussi que Mathias REYNARD était déjà Conseiller National, quand Dina BETI officiait comme Cheffe de l’AFF (Administration fédérale de finances). Rappelons que la privatisation des régies fédérales a pu avoir lieu grâce au blanchiment des royalties et grâce au parcours professionnel de Dina BETI, depuis la FINMA, jusqu’à la Présidence du Tribunal Cantonal de Fribourg, en passant par l’AFF !

Pour terminer, rappelons enfin que les Conseillers fédéraux socialistes ont joué un rôle capital dans l’escroquerie des royalties, qu’il s’agisse de Moritz LEUENBERGER ou encore de Micheline CALMY-REY, qui elle a été à la source de l’escroquerie !

Mathias REYNARD est au courant de toute cette corruption, je l’avais contacté personnellement. Il n’a même pas pris la peine de répondre… Comme tous les autres, il s’est fait élire pour abuser du système, par une propagande au service des plus faibles, tout en veillant à soigner ses intérêts personnels !

RUPPEN Franz (UDC)

Né le 24 février 1971, Avocat et Notaire de profession, il a été Député au Grand Conseil de 03.2005 à 11.2015. Il a siégé au Conseil National de 11.2015 à 04.2021. Il est Conseiller d’État de puis le 1er mai 2021.

Franz RUPPEN est membre de l’ASIN (Action pour une Suisse Indépendante et Neutre), dont le mouvement a été fondé par Christoph BLOCHER, l’un des initiateurs de l’escroquerie des royalties… C’est au moment de l’escroquerie alors que BLOCHER était Administrateur de la SBG (Schweizerische Bankgesellschaft) aux côté de Johann SCHNEIDER-AMMANN, que le Tribun zürichois a fait constuire 117 usines chimiques en Chine. A la même période, il rachetait à tour de bras des sociétés avec l’aide de son amis Martin EBNER, sans se préoccuper des conséquences de leurs actes et du fait que le blanchiment criminel qu’ils pratiquaient nuisaient aux finances de l’État et bien sûr de l’économie.

L’essor de l’UDC n’a été rendu possible que par les capitaux gigantesques que Christoph BLOCHER a escroqués et avec une partie desquels il a financé son parti.

Ce comportement aura un coût pour tous les adeptes de l’UDC et la responsabilité civile qui va en découler sera dans la mesure du crime qui a été commis…

SCHMIDT Roberto (CSPO) PDC Le Centre

Né le 16 juillet 1962 est marié à Christa SCHMIDT-GOTTET. Il a été juriste au sein de l’Administration cantonale. Roberto SCHMIDT a été Conseiller communal de la Commune de Loèche de 2000 à 2004, puis Président de la Commune jusqu’en 2017. Parallèlement il a été Conseiller National de 2008 à 2011 et de 2016 à 03.2017.
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Les anciens :

TORNAY Maurice PDC Le Centre

Après avoir achevé sa scolarité obligatoire, il a obtenu un certificat fédéral de capacité d’employé de commerce, puis un brevet d’expert-comptable et d’expert fiscal diplômé. Il a exercé la profession de caissier-comptable auprès de l’Office des poursuites à Sierre, puis auprès de la commune d’Orsières, avant d’ouvrir sa fiduciaire en 1989. La même année, il a été élu comme député suppléant au Grand Conseil du canton du Valais pour le Parti PDC. Extrait Wikipedia

Candidat non-élu à l’élection au Conseil national en 1995, Maurice TORNAY a été réélu comme député au Grand Conseil valaisan en 1997 et il a pris alors la direction du groupe démocrate-chrétien des 4 districts du Bas-Valais jusqu’en 2005. De 1998 à 2009, période de blanchiment des royalties FERRAYÉ, Maurice TORNAY présidait Alpes audit, la fiduciaire qui révisait les comptes de GIROUD Vins SA.

Maurice TORNAY a donc été le réviseur durant la période durant laquelle la progression du chiffre d’affaires de GIROUD Vins SA a été inexplicable si on la base sur de simples résultats de production… (voir aussi portrait Dominique GIROUD).

1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013

16’000.-
850’000.-
1’500’000.-
2’500’000.-
3’250’000.-
4’000’000.-
9’000’000.-
14’000’000.-
23’500’000.-
28’000’000.-
24’000’000.-
38’000’000.-
56’000’000.-
43’000’000.-
45’500’000.-
41’000’000.-
40’000’000.-
36’000’000.-

Si les Procureurs, juges et autres experts qui ont enquêté dans l’affaire GIROUD n’avaient pas été Francs-Maçons, il est certain qu’ils se seraient posé les questions évidentes sur la provenance des fonds qui ont contribué au financement de l’empire GIROUD… 1.5 Ha en 1991, pas même de quoi vivre décemment et une surface d’exploitation de 60 Ha en 1999 avec un chiffre d’affaires de CHF 16’000.- au départ et 3’500 fois plus 12 ans plus tard… Il fallait trouver un Procureur corrompu pour enquêter sur l’affaire et ça n’a pas été difficile. C’est sur le Procureur général vaudois Eric COTTIER que s’est porté le choix. Ce n’est pas pour rien que le Procureur de la Confédération Michael LAUBER, avait nommé Eric COTTIER (Procureur corrompu du Canton de Vaud, comme Procureur extraordinaire de la Conf. dans l’affaire de l’Ambassadeur PITTELOUD

Le dimanche 1er mars 2009, Maurice TORNAY avait obtenu la deuxième position dans le ballotage général au Conseil d’État et il est devenu le chef du département des finances, des institutions et de la santé.

Depuis le 1er février 2010, il était Président de la Conférence latine des directeurs cantonaux des finances succédant ainsi au sortant vaudois, Pascal BROULIS. Depuis le 27 janvier 2012, il a été également membre de la Conférence des directeurs cantonaux des finances. Après Pascal BROULIS, il est devenu le mieux placé pour synchroniser le blanchiment des royalties au niveau des Cantons romands.

En décembre 2014, Le Temps a révélé que, le 30 juin 2004, la Fiduciaire de l’Entremont, présidée par Maurice TORNAY, avait établi une déclaration fiscale pour l’entreprise de Dominique GIROUD avec un revenu imposable de 650 000 francs en 2003. Cette déclaration n’ayant pas été envoyée au service des contributions, ce dernier service a établi une taxation d’office sur un revenu estimé à 370 000 francs. Selon Le Temps, la fiduciaire de Maurice TORNAY est intervenue alors pour demander (et a obtenu) une taxation d’office finale sur un revenu imposable de 250 000 francs. Selon l’avocat fiscaliste Philippe KENEL « Il est évident que la défense de Maurice TORNAY pose un problème. Il devait absolument dire, voire prouver, quelle était sa conviction quant au revenu imposable réel de son client pour l’année 2003 ».

En janvier 2015, le Temps titrait « Affaire GIROUD : le ministre TORNAY disculpé ». Le président de la Commission de gestion, Narcisse Crettenand (PLR), déclarait qu’«aucun élément ne permettait de dire que Maurice TORNAY avait influencé ou tenté d’influencer le traitement du dossier GIROUD par le Service cantonal des contributions ». Cependant, Le Matin Dimanche publiait par la suite des courriels impliquant directement Maurice TORNAY dans l’affaire…

Toute cette situation nous démontre – au-delà de l’activité criminelle de Maurice TORNAY – que l’Etat du Valais, au travers du comportement de son Conseiller d’Etat, mais aussi du Président de la Commission de Gestion, qu’il s’agit d’une volonté d’Etat de continuer l’escroquerie et le blanchiment de nos royalties.

Dès lors, cette situation renforce la responsabilité de l’Etat du Valais dans le préjudice qu’il nous cause, selon la définition faite sous le portrait Dominique GIROUD.

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Politiciens valaisans : Corruption, copinage, blanchiment d’argent

OFROU – Office fédéral des routes / 4 milliards pour 35 Km de routes… et ce n’est pas fini, des milliards vont encore suivre… Corruption, copinage, politiciens corrompus, etc.

Temps Présent du 12 septembre 2022

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L’Affaire GIROUD Vins SA

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Dominique GIROUD PDC est issu d’une famille de viticulteurs dont il représente la quatrième génération. Il est né au Tchad en 1971 et a vécu à Madagascar de 2 ans à 8 ans pour revenir ensuite en Suisse. Il est le fondateur de feu GIROUD Vins SA, une des trois plus grandes caves du Valais. Il a été condamné pour soustraction fiscale (été 2014) et escroquerie en matière de contributions et de faux dans les titres (mars 2016), escroquerie en matière de contributions, fraude fiscale et délits fiscaux (octobre 2018) et pour « instigation à tentative de soustraction de données » (2021). Il a en revanche été acquitté dans l’affaire où il était accusé d’avoir coupé du St-Saphorin avec du fendant (décembre 2014) et le ministère public valaisan a classé la procédure concernant les pratiques vitivinicoles jusqu’à 2010 (avril 2020). Extrait Wikipedia

Dominique Giroud a vécu à Madagascar de 2 à 8 ans avant de revenir en Suisse. Il a suivi un apprentissage de caviste puis est entré à l’École d’ingénieurs de Changins à Nyon. Après un diplôme en œnologie obtenu en 1991, il a travaillé pendant trois ans comme œnologue. Il s’est associé ensuite avec son père, également viticulteur. Dominique GIROUD s’occupait spécifiquement des aspects œnologiques et commerciaux.

À cette époque, père et fils possèdaient un hectare et demi de vignes mais n’avaient pas d’outil de production. Ils ont décidé alors d’acquérir une cave à Chamoson, qu’ils qu’ils ont conservée plus de dix ans jusqu’à l’inauguration de celle de Sion en 2008. Lire la suite.

Philippe LATHION est titulaire des deux diplômes fédéraux d’expert comptable et de spécialiste en finance et controling.

Il a débuté sa carrière professionnelle auprès de GESTOVAL Société Fiduciaire SA à Genève, puis chez Révision Fiscalité Fiduciaire (RFF) SA, autre société genevoise, devenue par le jeu des fusions DUCHOSAL BERNEY SA. Pour ceux qui ont vut Temps Présent du 28 avril 2016 sur le scandale de la Construction de l’Hôtel du Parc au Mont-Pélerin VD, il faut noter que DUCHOSAL était le réviseur des Sociétés de construction SDG Swiss Development Group SA et SDG Capital SA. La plupart des personnes inscrites au registre du Commerce de ces sociétés figurent parmi les criminels qui ont contribué au blanchiment, voire à l’escroquerie des royalties FERRAYÉ.

Le fichier des liens du Registre du Commerce de Philippe LATHION nous démontre qu’il est au coeur même du blanchiment des centaines de milliards des royalties escroquées à Genève.

Souvenons-nous que Maurice TORNAY disait avoir été mis au courant des problèmes fiscaux de son ami GIROUD à la surprise d’une perquisition dans la fiduciaire de sa famille le 30 août 2011… Cela est parfaitement fantaisiste. Si nous avons bien lu les documents publiés jusqu’ici par le Tribunal fédéral et la presse, Dominique GIROUD a quitté la fiduciaire familiale des TORNAY en mai-juin 2010 après plus de dix ans, alors que l’Administration fédérale des contributions (AFC) venait de lancer son enquête contre lui.

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Mémoire du 24 octobre 2014 relatant l’escroquerie et le blanchiment des royalties FERRAYÉ et adressé au Tribunal Pénal Fédéral

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