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Victime d’un crime crapuleux, Jakob GUTKNECHT s’est fait condamner pour couvrir les abus d’autorité de fonctionnaires vaudois qui évoluent dans le crime organisé en bande avec le cautionnement des Institutions et de leurs dirigeants administratifs et politiques
Complot Maçonnique avec la complicité de l’Etat, au service du « Frère » Claude BUDRY
Le dossier de Jakob GUTKNECHT a été analysé et établi sous la plume de « Gerhard ULRICH »
- Dénonciation de l’inspecteur de la Sûreté VD Daniel KOLLY et de ses complices, pour abus de pouvoir en bande organisée
- L’incendie de Nonfoux VD du 31.08.2002
- Les incohérences du dossier judiciaire
______a) Les imbécilités démentes de l’Inspecteur KOLLY
______b) Les tricheries KOLLY deviennent des « vérités » procédurales - Les complices de l’Inspecteur Daniel KOLLY
- L’emprise de la Franc-Maçonnerie en général et dans le cas d’espèce en particulier
______a) Mes contacts avec les Francs-Maçons
______b) Le tournant : l’analyse de l’affaire scandaleuse de Jakob GUTKNECHT
______c) Omertà helvetica / Les Merdias et leurs Journaleux Lobotomisés que nos politiciens tiennent à subventionner… On se demande pourquoi…
______d) La complicité des politiciens - Le crime crapuleux couvert par les Francs-Maçons
- Comment venir à bout des pouvoirs occultes
I
Dénonciation de l’inspecteur de la Sûreté VD Daniel KOLLY et de ses complices pour abus de pouvoir en bande organisée
Dans son courrier du 2 novembre 2016 adressé au Procureur général vaudois Eric COTTIER, Gerhard ULRICH dénonce l’Inspecteur de la Sûreté vaudoise Daniel KOLLY pour sa complicité en faveur du Franc-Maçon Claude BUDRY, qui a conduit à l’escroquerie et à la ruine de Jakob GUTKNECHT.
Le dossier ci-dessous va permettre de se convaincre d’un crime crapuleux organisé par des Fonctionnaires de l’Etat de Vaud, dont deux Commandants de la Police vaudoise, non seulement au détriment de la Victime Jakob GUTKNECHT, mais aussi au détriment de biens publics, puisque l’ECA (Etablissement Cantonal d’Assurance incendie) dans le Canton de Vaud est un établissement public !
La complicité s’est étendue jusque dans les plus hautes sphères de la hiérarchie judiciaire, du Tribunal d’Arrondissement jusqu’à la Cour Européenne de Justice, en passant par le Tribunal Cantonal vaudois et le Tribunal Fédéral suisse.
La gravité de la situation n’est même plus étonnante quand l’on voit que de hauts Fonctionnaires n’ont plus aucun scrupule à trahir leur devoir de fonction dans le cadre d’intérêts personnels… Pour preuve le dossier du Juge Fédéral Roland Max SCHNEIDER et le dossier FedPol la Police fédérale suisse.
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II
L’incendie de Nonfoux VD du 31.08.2002
Le samedi 31 août 2002, l’agriculteur Jakob GUTKNECHT (né en 1946) a donné l’alerte au 118 (service d’appels d’urgence incendie) à 11.40 H, signalant l’incendie qui a détruit par la suite sa ferme comprenant deux logements, et l’immeuble adjacent de Claude BUDRY (né en 1936, ingénieur génie civil). Ces immeubles son sis au hameau de Nonfoux sur la commune d’Essertines-sur-Yverdon VD (2002-08-31rapport_police.pdf).
Entendu le lendemain du sinistre, Jakob GUTKNECHT a rapporté avoir été derrière sa maison sous un toit, lorsqu’il a entendu des craquements. Intrigué, il s’est rendu dans sa grange, où il a vu des flammes dans le canal d’aération de l’écurie. Après avoir alerté le 118, il a sauvé son bétail, sauf 2 veaux qui ont péri. (2002-09-01pv_gutknecht.pdf).
Ci-dessous sont reproduites 4 photos prises par le photographe du 24 Heures d’Yverdon-les-Bains, à divers stade de l’incendie. L’incendie a été maîtrisé vers 13.30 H. (2002-09-05_rapportFlueckiger.pdf).
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Pendant toute la durée de l’incendie, l’atmosphère était calme (pas de vent), puisque la fumée montait verticalement comme on le voit sur le diaporama ci-dessous
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La nouvelle construction offerte à BUDRY par l’ECA (Etablissement Cantonal d’Assurance incendie)
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III
Les incohérences du dossier judiciaire
Le 18 août 2003, le « juge d’instruction » du Nord vaudois, Christian BUFFAT (aujourd’hui procureur au Ministère public central à Renens VD) a condamné Jakob GUTKNECHT à 20 jours d’emprisonnement avec sursis pour incendie par négligence. Il a été accusé d’avoir engrangé du foin mal séché et, par cette négligence, aurait provoqué une auto-ignition suite à une fermentation du fourrage. Pour s’être opposé à cette condamnation, Jakob GUTKNECHT a été renvoyé devant le Tribunal d’Eric ECKERT, qui a confirmé ladite condamnation par le jugement du 05 mars 2004. Outre les frais de justice mis à sa charge, M. GUTKNECHT a subi un dommage matériel énorme, le ruinant financièrement, l’ECA (Etablissement cantonal d’assurance Incendie et éléments naturels) ayant retardé son dédommagement et fortement diminué l’indemnité.
Le sinistré, conscient de son innocence, a déclaré que l’enquête avait été complètement bâclée et fut blâmé par ECKERT pour son « impertinence ».
A la page 10 in initio du jugement ECKERT on lit: « (Le foin) de 2002 avait été bottelé les 29 mai, 14 et 15 juin. Quant au regain, il avait été bottelé le 27 juillet, voir le 28 ou le 29.» (2004-03-05 jugement Eckert).
De souche paysanne, ayant eu une formation agricole à la base, ce passage m’a instantanément interpelé, car le risque de fermentation du foin n’est élevé que pendant les 2 à 3 semaines après l’engrangement. En l’espèce, même le regain avait été bottelé 5 semaines avant l’incendie. L’hypothèse de l’auto-ignition est en conséquence purement académique.
Comme pour toutes les condamnations erronées, cette enquête a été un désastre. L’inspecteur de la Sûreté en charge Daniel KOLLY n’a rien instruit, ignorant avec entêtement les déclarations de Jakob GUTKNECHT.
KOLLY a rédigé 2 rapports – l’un du 1er avril 2003 (2003-04-01 Rapport Kolly) de 4 pages, et le second du 24 juin 2003 (2003-06-24 Rapport Kolly) avec d’autres maigres 4 pages.
Les « enquêteurs » ont renoncé à faire appel à des experts en la matière. Ils ont juste envoyé des échantillons de foin pour analyse au service scientifique de la Sûreté de la Ville de Zurich. Nous y reviendrons plus loin. Cependant, aujourd’hui (2005) nous disposons entre autres de deux expertises sérieuses, celle de Pierre AEBY de l’Institut agricole de l’Etat de Fribourg (2005-06-28 Aeby) et celle du Laboratoire LAVOUÉ F (2010-10-19 Expertise Lavoue).
Si le lecteur attentif compare les rapports KOLLY avec les deux expertises précitées émanant de professionnels compétents, il comprendra tout de suite que cet inspecteur de la Sûreté Vaudoise est un charlatan en matière d’incendie, en tout cas en ce qui concerne les sinistres provoqués par la fermentation de foin. Et il est surtout un homme de main au service des Francs-Maçons !
a) Les imbécilités démentes avancées par l’Inspecteur Daniel KOLLY
Il faut commencer par ses omissions, devenues mensonges par omission :
- Ses rapports n’ont indiqué nulle part à quelles dates le foin et le regain ont été bottelés, puis engrangés.
- KOLLY dissimule dans ses rapports, autant qu’il le peut, les dates précises de la prise d’échantillons de foin, envoyés pour analyse au service scientifique de la Police de la Ville de Zurich. Voir détails ci-dessous.
- Il tait soigneusement l’existence de croquis des lieux du sinistre, à savoir, où précisément avaient été stockés le foin et la paille par exemple. (2002-09-01 Esquisse Gutknecht Jean-Christophe)
- Il ne mentionne nulle part qu’aucun habitant du hameau n’avait signalé des odeurs de fermentation, phénomène qui n’aurait pas pu échapper aux voisins.
- Ignorant les indications de Jakob GUTKNECHT qui a signalé que le feu était parti du canal d’aération à l’étage supérieure à l’écurie, KOLLY a omis d’examiner cet emplacement. On y reviendra plus loin.
- Des témoins ont parlé de fumée très noire, ce qui suppose un départ de feu avec un hydrocarbure. Claude BUDRY s’est même trahi, parlant d’une explosion (2002-09-01 PV Budry) ; KOLLY a soigneusement omis de retenir ces observations dans ses rapports.
- Nulle part, les « enquêteurs » n’ont retenu le témoignage d’Amandine BÉGUELIN (aujourd’hui PRADERVAND), âgée de 15 ans à l’époque, qui se trouvait juste derrière la grange de GUTKNECHT (à l’est), quand l’incendie s’est déclaré. Elle avait signé une photo des immeubles GUTKNECHT / BUDRY avant l’incendie, indiquant avec une flèche où l’incendie était parti : soit du canal d’aération de l’écurie. Elle avait également confirmé que la première fumée fut très noire. Cette pièce a disparu du dossier. Voir détails plus bas.
En outre, l’Inspecteur Daniel KOLLY a formulé dans ses deux rapports, le mensonge selon lequel « Le témoignage de M. GUTKNECHT permet de situer l’origine du sinistre dans la grange de sa ferme, soit à l’étage supérieur du rural ». Il ne s’agit que d’une demi-vérité : Jakob GUTKNECHT a affirmé avec constance avoir vu les premières flammes dans le canal d’aération à l’étage supérieur de l’écurie (2002-09-01 PV Gutknecht).
Autres fourberies de KOLLY dans son premier rapport :
« La progression des flammes, la direction du vent au moment du sinistre et le témoignage des pompiers ont dirigé nos investigations dans la partie ouest de la grange sans pouvoir situer avec plus de précision l’origine du sinistre.» Il a répété ce mensonge dans son deuxième rapport.
C’est FAUX. Il n’y avait pas de vent pendant l’incendie, le 31 août 2002. Pour preuves les photos prises par le photographe de 24 Heures d’Yverdon-les-Bains – à tous les stades de l’incendie. La fumée montait droit dans le ciel comme on le voit plus haut. KOLLY n’a bien sûr pas cité les noms des pompiers qui lui auraient parlé de ce vent imaginaire.
Il va de soi que KOLLY s’est borné à ne prendre en considération que la fermentation du foin, comme origine de l’incendie.
Selon KOLLY « L’auto-ignition par fermentation exige un laps de temps compris entre 3 semaines et 3 mois environ car la température ne croît que très lentement ».
C’est encore FAUX. Les experts Pierre AEBY et Frédéric LAVOUÉ affirment que le risque d’auto-ignition n’est que théorique après 6 semaines de stockage du foin, et que les dates d’engrangement du foin/regain excluent en l’espèce cette cause d’incendie. Quand la fermentation du foin cause un incendie, l’augmentation de la température se développe assez rapidement (question de jours, et non de mois).
Selon KOLLY, « Sous la pression des gaz dégagés par la fermentation d’une part et à cause de leur combustion lorsqu’ils se sont enflammés d’autre part, des cheminées se sont alors creusées depuis le foyer initial jusqu’à l’air libre ».
LAVOUÉ explique de son côté la formation de ces cheminées, par la propagation du feu dans les interstices des balles rondes du foin, là où le feu a été attisé par la présence d’oxygène, ce qui relève de la logique même.
KOLLY omet au surplus de préciser dans ses rapports, la date exacte du prélèvement des échantillons de foin, qui ont été analysés ensuite. L’expert LAVOUÉ, en possession des pièces essentielles du dossier n’a pas compris que les échantillons de foin à analyser n’ont été prélevés que 3 ou 4 jours après l’incendie. C’est du reste KOLLY lui-même qui a apporté indirectement le fait qu’il a prélevé ces échantillons seulement 4 jours après l’incendie, quand il cite GUTKNECHT à la page 4 de son deuxième rapport, en faisant état de ce retard. KOLLY n’a pas contesté avoir prélevé les échantillons avec 4 jours de retard, mais il en minimise la portée (2003-06-24 Rapport Kolly).
Toujours selon le rapport KOLLY du 1er avril 2003, « Le conditionnement du foin et du regain en grosses balles cylindriques de plus de 500 kg est relativement récent. » Dans la réalité, ces balles rondes ne pèsent en fait qu’environ 250 kg.
A la fin de son premier rapport, KOLLY palabre sur ½ page, au sujet de l’analyse du Dr. BRÜSCHWEILER. On comprend tout de suite qu’il ne connait rien en la matière. Et il conclut avec témérité : « Le résultat indique qu’un échauffement spontané a eu lieu dans plusieurs zones du fourrage ».
Dans son deuxième rapport, KOLLY a ajouté les contre-vérités suivantes :
«… La couche extérieure de la balle (ronde) forme ainsi une protection imperméable à l’eau et à l’air. De ce fait, si le foin avait un taux d’humidité élevé au moment de la mise en botte, il ne va pas sécher, même si les balles restent à l’extérieur plusieurs jours ».
« […] Cette compression rend les balles étanches à l’eau, mais également à l’air. De ce fait, si le foin est humide au cœur de la balle, il restera humide, même en laissant la balle plusieurs semaines à l’extérieur ».
KOLLY est contredit par l’agronome AEBY : « Les balles rondes ont été laissées dans le champ sur la partie arrondie, ce qui permet au cœur de se ressuyer, et de ne pas surchauffer. La densité élevée pour sa part, empêche que l’eau de pluie ne pénètre dans la balle, comme on peut l’observer avec les toits de chaume. Cependant il est inexact, comme cela est prétendu dans le rapport de police, de penser que ce stockage empêche une évacuation de l’eau ; si l’eau liquide ne peut effectivement ni sortir, ni pénétrer, ce n’est pas le cas de l’eau sous forme de vapeur, qui peut s’évacuer, en particulier si les balles sont aérées. La chaleur dégagée lors de la fermentation accélère l’évacuation de cette eau résiduelle. Le stockage durant les trois semaines en extérieur comme l’a pratiqué M. GUTKNECHT constitue donc bien une solution efficace pour évacuer une grande partie de l’humidité excédentaire présente dans le foin récemment pressé. Cette démarche n’est pas non plus un signe de négligence ».
KOLLY écrit une page et demi sur les principes de la fermentation du foin, se vantant bêtement d’être expert en la matière.
Pour contrer l’observation de Jakob GUTKNECHT qui avait vu les premières flammes dans le canal d’aération de l’écurie, KOLLY prétend que GUTKNECHT n’aurait pas vu que les parties supérieures du tas de foin avaient été les premières en flamme, et il affabule ainsi : « […] et les courants de convection ont rabattu les flammes dans la partie est, où était entreposée de la paille et où se trouvait le canal d’aération de l’écurie. Il est dès lors normal que M. GUTKNECHT ait vu des flammes sortir par ce canal sans s’apercevoir que c’était le foin entreposé dans la partie ouest du rural qui avait brûlé en premier »… C’est vraiment du n’importe quoi !
Là, KOLLY a commis plusieurs erreurs de logique sur ce point :
- LAVOUÉ le contredit : « On notera que Monsieur GUTKNECHT déclara se trouver dans un hangar situé à l’arrière de la propriété. Depuis cet endroit, l’agriculteur pouvait manifestement apercevoir un pan de toiture surplombant le fourrage. Si l’incendie avait pris à cet endroit, la toiture aurait rapidement éclaté à son aplomb. M. GUTKNECHT aurait alors aperçu les flammes se développer en partie haute de la grange […] ».
- KOLLY ne peut pas prouver non plus que le feu ait commencé dans les parties supérieures de la ferme. Son allégation est donc pure spéculation.
- De la paille, et non pas du foin, a été stockée au-dessus du canal d’aération de l’écurie. Si la spéculation de KOLLY était confirmée, le départ du feu aurait donc eu lieu dans la paille, et non pas dans le foin.
- Selon LAVOUÉ, le témoignage de M. GUTKNECHT est incompatible avec la thèse de KOLLY. « Ce phénomène tel qu’il est décrit est toutefois impossible dans le cas présent.
[…] Une propagation du feu de haut en bas est en outre un phénomène relativement rare, l’incendie se propageant naturellement de bas en haut (phénomène de convexion) ».
KOLLY continue son œuvre :
Il prétend que la collecte tardive des échantillons de foin prélevés après l’incendie et l’arrosage par les pompiers, n’aurait aucune influence sur les résultats d’analyses.
C’est FAUX ! BRÜSCHWEILER précise : « […] la prise d’échantillons doit se faire aussi vite que possible, c’est à-dire dans les heures qui suivent l’incendie […] » (à cause justement du risque de résultats faussés), (traduction 1982 Arch.Kriminol170_106-117, page 114).
AEBY dit de son côté sur ce même sujet à la page 3 de son expertise : « Mais dans le rapport final (de KOLLY) il est prétendu que le délai de 3 jours entre l’incendie et le prélèvement d’échantillons ne suffit pas pour modifier les populations de micro-organismes, ce qui est partiellement FAUX […]. » (2005-06-28 Aeby).
LAVOUÉ précise à la page 19 : « […] ce type d’analyse ne peut pas être considéré comme fiable lors d’investigation en matière d’incendie (Sauf dans le cas où une partie du foin a été totalement épargnée par les flammes et n’a pas été humidifiée par les eaux d’extinction, ce qui n’est pas le cas ici.), … l’utilisation de ces analyses et l’interprétation qui en est faite sont inappropriées et abusives ». (2010-10-19 Expertise Lavoue).
Pour contrer l’argument de Jakob GUTKNECHT qui déclarait qu’un échantillon avait été prélevé dans une zone où le foin avait été engrangé l’année précédente, KOLLY a avancé la spéculation fantasque selon laquelle, « la balle ronde dans laquelle le prélèvement a été effectué provenait d’une zone plus au nord, soit dans la partie supérieure du tas et qu’elle serait tombée pendant l’incendie dans la partie plus au sud »…
Selon KOLLY encore, un incendie dû à l’auto-ignition du foin produirait « des gaz de combustion chauds qui arrivent à l’air libre » et produiraient généralement des fumées très noires…
C’est FAUX ! Il est contredit par LAVOUÉ (page 14) en ces termes : « Cette couleur (noire) de la fumée peut être due à la combustion d’un hydrocarbure, d’un solide liquéfiable (matériau plastique) ou d’une mauvaise combustion due à un manque d’oxygène. Du fait du volume important de la grange […] cette dernière hypothèse ne semble pas plausible ». En fait, en cas d’auto-ignition de foin, la fumée est blanche. (Lettre Elkhazen AFEP 2009-02-18).
b) Les tricheries de KOLLY deviennent des vérités procédurales
KOLLY a continué de mener le bal lors du procès devant les tables d’ECKERT, car il y a joué le rôle d’accusateur. Incroyable mais vrai ! Les trouvailles fantasques de ce « fin limier » ont été reprises telles quelles par le « juge » écrasant sans pitié les tentatives de défense du paysan.
Evidemment, ECKERT ne disposait pas des expertises utilisées pour l’analyse présentée ci-contre, mais il a tout fait pour rejeter la requête de sa victime, de mandater un expert en l’espèce (2004-03-05 jugement Eckert, pages 5-7).
Ces « vérités » procédurales, une fois établies en première instance, ont passé comme une lettre à la poste jusqu’au niveau de la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Il est de rigueur que les instances supérieures reprennent les dires des premiers « juges » par un « copier / coller », sans jamais réaliser le moindre test de plausibilité (voir mon livre « L’Etat de droit » démasqué, éditions Samizdat 2016).
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IV
Les complices de l’Inspecteur Daniel KOLLY
Le patron de KOLLY s’appelait à l’époque Eric LEHMANN, Commandant de la Gendarmerie vaudoise (ex Directeur de la TSR (Télévision Suisse Romande, Provins, etc.). LEHMANN a défendu les agissements illicites de son subordonné sans hésitation, comme l’a fait d’ailleurs son successeur, Jacques ANTENEN, précédemment 1er Juge d’Instruction du Canton de Vaud (Evaluation Antenenen.pdf). Pour preuve, leurs correspondances avec le frère de Jakob, Johann GUTKNECHT. KOLLY était également fortement épaulé par son collègue, l’IPA FIAUX (2003-04-29_rapport_Fiaux.pdf).
Interpelé par un journaliste, ANTENEN a prétendu qu’il « serait illégal et contraire à toute déontologie » s’il était intervenu autrement qu’en défendant les tricheries de ses subordonnés… « Rallumer le feu » Vigousse du 12.09.2014. Voir aussi l’édition du 22 juin 2012 « Le Poulet flambé ».
Le «juge» d’instruction Christian BUFFAT (aujourd’hui procureur) a violé son devoir de fonction, de façon inexcusable. On s’étonne que « l’enquête » ne lui ait été attribuée que deux jours après l’incendie, soit le lundi 2 septembre 2002. C’était le olé-olé vaudois, caractérisant aussi la décision de BUFFAT du même jour, selon laquelle « La présente enquête est instruite en la forme sommaire ». On se fiche des détails.
Le 4 septembre 2002 déjà, l’inspecteur FIAUX a mis en place les aiguillages permettant de poursuivre l’itinéraire à suivre en sens unique pour que seule soit suivie : « […] l’hypothèse la plus vraisemblable, soit celle d’un incendie consécutif à la fermentation ». A ce moment-là, il n’y avait aucun indice autorisant une telle hypothèse.
Mais il y a pire : BUFFAT a ignoré l’appel téléphonique du 5 septembre 2002 enregistré au dossier selon les termes suivants : « Jakob GUTKNECHT a téléphoné au juge pour lui faire part de son mécontentement par rapport au travail des enquêteurs. Il se déclare convaincu que l’hypothèse de la fermentation devait être écartée […]. Il reproche aux policiers d’avoir négligé les témoignages faisant état d’une explosion dans le rural, à l’opposé de l’endroit où le fourrage était entreposé. Le juge prend acte de ce qui précède. […] ». Pour quelles raisons, ce « juge » a-t-il commis la faute fatale de ne pas faire poursuivre cette piste ? (2002-09-02 PV operations).
Sur le conseil du directeur de l’organisation paysanne VD Prometerre, Daniel GAY (Franc-Maçon présumé), Jakob GUTKNECHT a mandaté l’avocat Paul MARVILLE pour sa défense. L’hôpital se foutait de la charité: le Franc-Maçon MARVILLE a été de son vivant le champion dans la trahison de ses clients et a terminé ses jours par « la pilule des francs-maçons ».
Le « juge » Eric ECKERT est évidemment un magouilleur clé dans cette affaire, ayant sciemment fermé les yeux pour laisser KOLLY réaliser son jeu de tricheur.
Hélas, le who is who de la magistrature vaudoise s’est associé pour corroborer la condamnation parjure de Jakob GUTKNECHT :
Par arrêt du 12 mai 2004, les « juges » cantonaux Laurent DE MESTRAL (12 références négatives dans notre base de données), Bernard ABRECHT (4 références négatives) et François DE MONTMOLLIN (23 références négatives) ont confirmé le jugement de première instance. (2004-05-12 Rejet-recours TC).
Le 12 janvier 2005, le Tribunal cantonal, sous la présidence du Vénérable François JOMINI (33 références négatives dans notre base de données), avec la collaboration de deux autres juges cantonaux, Jean-Luc COLOMBINI (7 références négatives) et Blaise BATTISTOLO, a rejeté la première requête en révision de GUTKNECHT.
Par ordonnance du 11 septembre 2009, le « juge » d’instruction de la Broye et du Nord vaudois Christian BUFFAT (aujourd’hui procureur) a refusé de suivre une plainte de Jakob GUTKNECHT, soutenu ensuite par les « juges » cantonaux Jean-François MEYLAN, Joël KRIEGER et Bertrand SAUTEREL – voir aussi SAUTEREL-2. / (2009-10-29 Refus Plainte).
Par arrêt du 10 février 2010, les « juges » cantonaux Pierre HACK (5 références négatives), Sylvie GIROUD WALTHER (1 référence négative) et Fabienne BYRDE (3 références négatives) ont rejeté dans un délai record, la requête de révision du 29.01.2010. HACK et consorts se ridiculisent en prétendant que les experts invoqués par GUTKNECHT, Messieurs LAVOUÉ et ELKHAZEN seraient des nullités en comparaison de l’inspecteur KOLLY, disposant « d’une longue expérience et d’une formation particulière en matière d’incendie » (page 6, 2002-02-10 Rejet Révision). En fait, KOLLY disposait à l’époque déjà, de 22 années d’expérience dans l’art de tricher et de magouiller. D’ailleurs, il a aussi œuvré de façon désastreuse dans l’affaire SÉGALAT (voir mon livre « L’Etat de droit » démasqué, Editions Samizdat, 2016).
De connivence avec le juge d’instruction cantonal Jacques ANTENEN à cette époque-là, HACK et consorts ont refusé la requête de GUTKNECHT selon laquelle la témoin Amandine BÉGUELIN (PRADERVAND après mariage) soit enfin entendue. Elle s’était trouvée juste derrière la grange de GUTKNECHT au moment où l’incendie s’est déclaré, et avait signé une photo des immeubles détruits, avec l’indication où le feu avait commencé. 2008-04-21 Béguelin Amandine. Cette preuve a disparu du dossier, et elle n’avait pas pu être entendue au procès de mars 2004, suite à une absence à l’étranger. Cette témoin aurait aussi pu confirmer que la première fumée fut noire. Dès lors, les « juges » ANTENEN et HACK ont manifestement entravé la justice, en refusant d’entendre ce témoin.
Les « juges » cantonaux Pierre-Henri WINZAP, Yasmina BENDANI, Philippe COLELOUGH (ces deux derniers étant liés par une relation intime) ont prêté main forte pour étouffer une nouvelle requête en révision, par arrêt du 20.08.2012 (2012-08-20 TC VD rejet demande révision.pdf).
Malheureusement, Jakob GUTKNECHT a constaté trop tard qu’il avait confié sa demande en révision à un avocat Franc-Maçon, en la personne de Stefan DISCH (voir mon livre: « L’Etat de droit » démasqué, éditions Samizdat, 2016).
Finalement, la correspondance de Johann GUTKNECHT (frère de la victime) fait clairement apparaître que les magistrats vaudois suivants sont également complices de ce crime judiciaire :
Eric COTTIER, Procureur général vaudois corrompu
Béatrice MÉTRAUX, Conseillère d’Etat VD (2016-06-17 Gutknecht_à Metraux)
Pierre-Yves MAILLARD, Président du Conseil d’Etat (2016-09-17 Gutknecht à Maillard)
Ces 2 politiciens ont participé passivement, en ne donnant aucune suite à leurs interpellations.
Sur le plan fédéral, les « juges » fédéraux Hans MATHYS, Laura JACQUEMOUD-ROSSARI et Christian DENYS se sont mouillés par leur ATF 6B_601/2012 du 29.01.2013 (2013-01-29ATF6B_601-2012.pdf).
Et finalement, le Procureur général de la Confédération, Michael LAUBER, ingénieur en chef de la corruption dans ce pays, a également toléré ce crime judiciaire (2016-08-27 Gutknecht Lauber.pdf).
A la Cour Européenne des Droits de l’Homme, le « juge » du Monténégro Nebojša VUCINIC a livré le module de texte standard pour prétendue l’irrecevabilité, violant comme d’habitude l’obligation de motiver les décisions. 2013-09-23CEDH.pdf
Pour terminer ce chapitre, précisons que 3 avocats ont tenté de faire un travail honnête en l’espèce. Il s’agit de Madame Malek BUFFAT, Donovan THÉSAURY et Me Samuel THÉTAZ qui avaient pris le relais après « Maître Magouille » (Paul MARVILLE); BUFFAT, ayant compris l’influence de la Franc-Maçonnerie a déclaré qu’on ne pouvait plus rien faire. Donovan TÉSAURY, (2010-01-29 Requête révision Tesaury) qui avait formulé une requête en révision valable, fut neutralisé : on lui offrit une prébende comme procureur du Nord vaudois. Et THÉTAZ abandonna à bout des nerfs. Pour finir, deux autres avocats renoncèrent à reprendre le combat, ayant compris la situation après étude du dossier, et après avoir discuté l’affaire lors des réunions de l’Ordre des Avocats.
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V
L’emprise de la Franc-Maçonnerie en général et dans le cas d’espèce en particulier
a. Mes contacts avec les Francs-Maçons
Certains critiques de la tyrannie judiciaire expliquent les dysfonctionnements de l’appareil judiciaire depuis longtemps, exclusivement par l’influence de la Franc Maçonnerie. Personnellement, j’ai conservé longtemps une appréciation plus nuancée bien qu’il soit historiquement prouvé que tous les Vaudois qui ont accédé au Conseil fédéral, jusqu’à Jean-Pascal DELAMURAZ, ont pu le faire grâce à leur appartenance aux Francs-Maçons. Ceci s’applique très probablement aux autres postes clés de l’Etat, comme celui de Procureur général.
En 1990, l’un de mes amis voulait me recruter pour sa loge. D’un côté, je me sentais flatté, mais de l’autre, j’étais sceptique. J’ai d’abord voulu en savoir plus ; j’ai été invité à participer à une conférence ouverte des Francs-Maçons, à leur loge de Beaulieu à Lausanne. Un ancien Garde des Sceaux français tint un discours sur la peine capitale. Mon ami ne cessait de m’expliquer la composition de cette assemblée. Parmi les gens présents, il y avait beaucoup de juges et d’avocats. Leur arrogance apparente, lors des débats animés qui s’ensuivirent, ma dégoûté. On n’y sentait rien qui puisse s’apparenter à un dévouement pour l’idéal de la justice ou pour le bien public. Je ne suis donc pas devenu Franc-Maçon, mais je sais avec certitude que beaucoup d’hommes de loi vaudois appartiennent à cette association secrète.
L’arrogance des Francs-Maçons reflète leur conviction d’appartenir à l’élite de la société, d’être des illuminés.
Malgré tout, je n’ai pas eu de preuve que la Franc-Maçonnerie ait joué un rôle déterminant dans une affaire donnée. On peut supposer que des Francs-Maçons aient été protégés par les leurs, par exemple dans l’affaire de François LÉGERET (L’affaire LÉGERET – Un assassin imaginaire. Jacques SECRETAN, éditions Mon Village 2016), dans celle du chirurgien Gaston-François MAILLARD et peut-être même dans celle de Skander VOGT. Mais je n’ai pas pu le prouver concrètement. Cependant, les Francs-Maçons eux-mêmes entretiennent en permanence les soupçons, par leur comportement cachottier.
J’ai aussi connu des Francs-Maçons devenus victimes judiciaires. Les choses ne me semblaient donc pas si simples. Il existe d’autres réseaux de copinage, comme par exemple les officiers de l’armée suisse ou les Zofingiens, ou tout simplement le corporatisme entre juristes, avides de dominer la société en tyrans.
b). Le tournant dans mes convictions aura été l’analyse de l’affaire scandaleuse de Jakob GUTKNECHT.
Longtemps, j’ai maintenu l’idée selon laquelle le 80 % du dysfonctionnement judicaire était dû à la sottise et que la corruption était exceptionnelle. Dans mon livre « L’album de la honte », terminé le 30 août 2016, j’ai évité l’emploi du terme complot, indiquant que dans le canton de Vaud il s’agissait plutôt de copinage généralisé.
Il faut toujours tenir compte du fait que mes connaissances de ce qui se passe « en Justice » sont très limitées. Objectivement, je ne connais que la pointe de la pointe de l’iceberg. C’est la persévérance, en ayant systématiquement noté toutes mes observations depuis 16 ans, qui m’amène aujourd’hui à présenter une nouvelle appréciation de la situation du régime en place. En fait, si j’ai longtemps évité le mot complot, j’ai par contre souvent parlé de complices. Or, s’il y a des complices, il y a forcément complot.
Ci-dessous je vais convaincre le Lecteur que nous sommes vraiment victimes de la dictature d’une oligarchie occulte.
L’affaire de l’incendie du hameau de Nonfoux dans la commune vaudoise d’Essertines-sur-Yverdon le 31 août 2002, porte sans aucun doute les traits d’un complot maçonnique : l’un des leurs, Claude BUDRY né en 1936, a été bénéficiaire d’un crime crapuleux sur le dos d’un simple paysan, Jakob GUTKNECHT, né en 1946.
Le fait que le quatuor FIAUX, Daniel KOLLY, Christian BUFFAT et Eric ECKERT ait osé concocter ce crime judiciaire aux dépens de GUTKNECHT, dans une affaire où son innocence coule de source, démontre que ces individus se sentent protégés par les instances supérieures. En l’occurrence, la preuve en a été apportée jusqu’au niveau de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Les tricheurs de longue date, FIAUX et KOLLY, ont été protégés à tour de rôle par les Commandants de la Gendarmerie vaudoise, Eric LEHMANN (parti à la retraite anticipée en 2009) et Jacques ANTENEN (le patron actuel). Le premier est un franc maçon genevois, et Jacques ANTENEN a été pistonné par le E Procureur général corrompu Eric COTTIER et la Conseillère d’Etat Jacqueline DE QUATTRO (voir lien précité ANTENEN)… Ces deux personnages sont des Francs-Maçons présumés ; leur protégé ANTENEN l’est donc probablement aussi.
Autour du Franc-Maçon Claude BUDRY, toute une trimballée d’autres Francs Maçons sont en orbite : Quand il a fait marcher l’assurance responsabilité de Jakob GUTKNECHT – la Zurich assurances (voir dossier SCHNEIDER), l’expert choisi pour déterminer si ces velléités étaient bien fondées, était l’architecte et “Frère” Franc-Maçon Jean-Marc LÉGERET de Vevey. En passant, c’est ce même LÉGERET qui a délivré la fausse attestation, selon laquelle BUDRY aurait reconstruit un objet équivalant voir photos ci-dessous) que le Président de l’ECA Georges BURDET, lui même paysan à Ursins VD – commune voisine – n’a jamais contesté. 2006-07-11 Zurich Assurances.
C’est FAUX. Avant l’incendie, BUDRY possédait une vielle ferme avec un appartement. Ce qu’il a construit avec les indemnités d’assurances escroquées ressemble plutôt à un château, contenant 3 appartements. Il faut aussi savoir, que son habitation n’avait pas été détruite par les flammes, que c’était seulement le cas de son grenier… Elle avait été séchée après l’intervention des pompiers, et aurait été habitable. BUDRY a réussi par astuce à faire tout de même raser le tout.
Bien qu’il ait conclu que Claude BUDRY avait été déjà pleinement indemnisé par l’ECA, l’avocat Franc-Maçon Eric HESS (fils d’un ancien bâtonnier et Président du Grand Conseil genevois) a pris soin, en qualité de membre du Conseil d’administration de la Zürich Assurances, d’obtenir que celle-ci verse encore CHF 280’000.- à son Client BUDRY…
BUDRY s’est ainsi fait construire avec les indemnités versées par l’ECA, non pas un bien immobilier équivalent à l’objet détruit, mais carrément un château, contenant 3 appartements, le tout conçu par l’architecte et “Frère” Franc-Maçon Christian FERRARI de Vevey.
C’est Daniel GAY (Franc-Maçon présumé) et directeur de l’association des paysans vaudois Prometerre, qui a recommandé à Jakob GUTKNECHT de choisir comme défenseur l’avocat Franc-Maçon Paul MARVILLE… Un choix fatal, sachant que le client de MARVILLE était vendu d’avance. Pour préparer le procès du 5 mars 2004, qui allait bouleverser le destin de son client, MARVILLE n’a eu qu’un seul court entretien avec GUTKNECHT. Les dés étaient pipés et les accords entre « Frères » convenus par avance…
A l’époque, l’agriculteur Georges BURDET d’URSINS VD – un Franc-Maçon – (presque un voisin de GUTKNECHT comme on vient de le voir) siégeait aussi au Conseil d’administration de la Banque Cantonale Vaudoise et présidait le conseil d’administration de l’assurance incendie de l’Etat de Vaud, l’ECA. Il serait étonnant, outre sa complaisance dans l’indemnisation versée par l’ECA, que l’innocence de GUTKNECHT ait pu lui échapper, mais en tout cas, il n’a strictement rien entrepris pour prévenir l’amputation des indemnités de l’ECA aux dépens de son confrère paysan.
Dans ce complot nous retrouvons quinze « juges » cantonaux vaudois. Mes connaissances actuelles me permettent de désigner seulement 4 d’entre eux comme « Francs-Maçons présumés ». Il s’agit de François JOMINI (Vénérable de la loge Alpina), Bertrand SAUTEREL, Pierre-Henri WINZAP et du Président du Tribunal cantonal (–>2017), Jean-François MEYLAN.
Cependant, je puis affirmer que 13 de ces 15 « juges » cantonaux ont couvert la corruption dans d’autres affaires. Il s’agit de François JOMINI, Blaise BATTISTOLO, Jean-Luc COLOMBINI, Laurent DE MESTRAL, Bernard ABRECHT, François DE MONTMOLLIN, Jean-François MEYLAN, Joël KRIEGER, Bertrand SAUTEREL, Pierre HACK, Fabienne BYRDE, Pierre-Henri WINZAP et Philippe COLELOUGH.
Toujours conscient que mes connaissances sont objectivement modestes, on conclura que le Tribunal Cantonal du Canton de Vaud est devenu une pépinière de malfrats, agissant en bande organisée. Cet état de délabrement de l’ordre judiciaire ne s’explique que par l’existence bien réelle d’une oligarchie occulte : la Franc-Maçonnerie et ses organes affiliés, c’est-à-dire les Clubs de services, tels que le Rotary, le Lions Club, le Kiwanis, l’Ambassador Club, etc.
En l’espèce, « seulement » 3 « juges » fédéraux ont soutenu cette affaire de corruption. Il s’agit de : Hans MATHYS, Laura JACQUEMOUD-ROSSARI et Christian DENYS. Certes, jusqu’à présent, je les ai classés dans la catégorie des « idiots utiles » au Tribunal fédéral, voire d’être des magistrats démentiels. Hélas, tous les trois ont couvert d’autres affaires de corruption.
Ici, je reviens sur le scandale du « juge » fédéral corrompu et escroc Roland Max SCHNEIDER. C’est le seul juge suisse, dont on peut prouver factuellement la corruption. Tous les « juges » fédéraux ont été avertis de ce fait. Aucun n’a lâché SCHNEIDER. La chambre noire de la nation (le triangle Office des juges d’instruction fédéraux, Ministère public et Tribunal pénal fédéral) a préféré couvrir ce criminel, ainsi que le Procureur général de la Confédération (–> 2020) Michael LAUBER. Voir ma lettre du 3 juin 2016 restée sans réponse. LAUBER n’a pas réagi non plus au courrier de Johann GUTKNECHT, frère de Jakob. 2016-08-27 Gutknecht Lauber.
L’inertie des instances judiciaires fédérales n’a qu’une cause possible: l’oligarchie occulte a ordonné la chape de plomb sur certaines affaires, comme celle de Jakob GUTKNECHT et celle concernant la vénalité du «juge» fédéral Schneider
L’inertie des instances judiciaires fédérales n’a qu’une cause possible : l’oligarchie occulte a ordonné la chape de plomb sur certaines affaires, comme celle de Jakob GUTKNECHT et celle concernant la vénalité du « juge » fédéral SCHNEIDER !
c) Omertà helvetica / Les Merdias et leurs Journaleux Lobotomisés que nos politiciens tiennent à subventionner… On se demande pourquoi…
Un initié a fait savoir que le scandale dont Jakob GUTKNECHT est victime, occupe depuis des années les débats des Francs-Maçons vaudois, alors que par contraste, ce sujet n’est pas vraiment l’objet des médias… A part deux articles dans Vigousse des 22 juin 2012 et 12 septembre 2014, ce scandale n’a été rapporté par aucun journaliste de ce pays. Cela ne surprend pas les milliers de victimes judicaires suisses qui ont fait la même expérience : les médias ont refusé de parler de leur vécu.
Ce phénomène aussi n’a qu’une explication : une oligarchie occulte extrêmement puissante ordonne cette omertà helvetica. Ma lettre au censeur suprême de la Radio/Télévision étatique suisse, Roger DE WECK du 05 septembre 2016 démontre que cette censure est voulue entre autre aussi par les parlementaires fédéraux. Les journalistes, ne voulant pas risquer leur emploi, se soumettent à l’autocensure. Pour préserver les apparences, ils prétendent que ces affaires seraient trop complexes, pas actuelles, etc. Ils ne peuvent tout de même pas admettre qu’ils la bouclent par couardise.
Le tout est bétonné par la censure du Web. Depuis longtemps, le « procureur » VD Yves NICOLET (promu au poste de « procureur » fédéral) a censuré les sites Internet de Marc-Etienne BURDET et de Gerhard ULRICH par des ordonnances illicites secrètes, soutenu dans ses efforts par les juges cantonaux, le Procureur général VD corrompu Eric COTTIER et par les « juges » fédéraux, eux aussi intéressés à étouffer les critiques à leur égard. Depuis le 5 octobre 2016, le successeur de NICOLET, Stéphane COLETTA exerce cette censure illégale par une ordonnance enfin envoyée aux parties et contre laquelle des oppositions ont été déposées. Elle n’est donc pas entrée en force à début novembre 2016, pourtant SWISSCOM l’applique déjà.
J’ai dévoilé cette censure, son mécanisme et son ampleur à 200 journalistes. Aucun écho dans les médias ! Nous détenons les preuves que le peuple suisse est censuré, donc manipulé durablement et efficacement par une oligarchie occulte à un degré qui doit faire envie au dictateur de la Corée du nord Kim JONG-UN. Le comble de la réussite de cette censure réside dans le fait que les habitants de ce pays ignorent béatement qu’ils sont censurés. Ils n’imaginent même pas une telle situation…
L’oligarchie occulte, c’est-à-dire la Franc-Maçonnerie et ses Clubs de services affiliés, ont besoin d’éviter toute transparence pour conserver leur pouvoir.
d) La complicité des politiciens
Nous avons vu plus haut que le Président socialiste du Conseil d’Etat VD Pierre-Yves MAILLARD (–> 2019) et sa collègue au gouvernement, responsable des institutions et de la sécurité, Béatrice MÉTRAUX (Les Verts) tolèrent tacitement ce crime judiciaire. C’est qu’ils sont Francs-Maçons. Les 3 représentants des radicaux au Conseil d’Etat sont également des illuminés. Le plus dangereux d’entre eux est probablement Philippe LEUBA (Zofingien et ROTARY). Le petit entrepreneur Gil BEURET/La Fourmi raconte comment il a été carrément menacé par cet individu, suite à ses démêlés avec la mafia vaudoise.
Pascal BROULIS a été mis à maintes reprises au courant des irrégularités fiscales du requin de l’immobilier Patrice GALLAND (pages 3 ss). Voir aussi le dossier de Michèle HERZOG concernant Patrice GALLAND. Pascal BROULIS aurait dû intervenir dans l’intérêt de l’Etat. Il est resté muet. Des députés vaudois de gauche expliquent cette inaction par l’intérêt du parti radical d’avoir des financiers occultes – GALLAND est donc probablement un donateur du PLR, récoltant en retour l’indulgence fiscale.
Le Président socialiste et Franc-Maçon, du gouvernement (–> 2019), Pierre-Yves MAILLARD, ferme à son tour les yeux, profitant des arrangements obtenus pour sa clientèle.
La Conseillère d’Etat radicale Jacqueline DE QUATTRO n’est pas seulement membre de la Franc-Maçonnerie. En tant qu’avocate, elle est bien renseignée sur les dysfonctionnements de l’appareil judiciaire, mais jamais on n’a entendu la moindre critique de sa part et pour cause…
Et les deux membres du collège régnant restants ? Pour Nuria GORRITE (socialiste), elle est irradiée par sa relation intime avec le Franc-Maçon Olivier FELLER (Conseiller national radical et proche du vice-Président suisse du Parti, Christian LUESCHER, qui est aussi membre de la Commission Judiciaire fédérale).
Quant à Anne-Catherine LYON, socialiste, ses échecs successifs l’ont poussée vers la sortie. Elle aura été celle qui aura conduit l’école vaudoise à la déchéance.
VI
Le crime crapuleux couvert par les Francs-Maçons
Il est sûr et certain que l’incendie de la ferme de Jakob GUTKNECHT n’a pas été causé par la fermentation du foin. Il faut donc chercher ailleurs.
Les seules vérifications sérieuses entreprises en l’espèce par les enquêteurs, dans le but d’accabler Jakob GUTKNECHT, les ont amenés à exclure la foudre et le court-circuit électrique comme causes du sinistre. Par contre, l’Inspecteur Daniel KOLLY et ses complices ont faussé l’enquête, en ne tenant compte ni de la déclaration de Jakob GUTKNECHT ayant vu le début de l’incendie dans le canal d’aération de l’écurie, ni des témoignages citant une détonation. Le crime crapuleux a donc été exclu d’office.
A qui a profité ce crime ?
Johann GUTKNECHT, le frère de Jakob a calculé que Claude BUDRY a profité d’un total d’indemnités d’assurances de CHF 2’103’685.10. Voir Décompte escroquerie.
Mais BUDRY (Franc-Maçon) n’a jamais fait l’objet du moindre soupçon de la part de la mafia vaudoise… Jakob GUTKNECHT a signalé que Claude BUDRY avait perforé le mur mitoyen séparant les deux propriétés, 3 jours avant l’incendie, au moment de la traite des vaches du mercredi soir (28.08.2002). Deux de ces perforations ont abouti dans le canal d’aération de son écurie… au-dessus de la dalle de l’écurie. Le troisième trou se situait environ 3 m plus loin, à la même hauteur, vers l’ouest. Les trous, côté canal d’aération, sont bien visibles sur les photos suivantes.
L’expertise LAVOUÉ discute la probabilité du crime crapuleux aux pages 14 à 16 – voir: 2010-10-19 Expertise Lavoué, avec photos à l’appui. LAVOUÉ remarque l’impact thermique du « clean burn » (la grande chaleur d’une explosion d’hydrocarbure qui a consommé la suie), laissant des taches blanches visibles à l’endroit où Jakob GUTKNECHT a découvert le départ de l’incendie.
Sentant la partialité des enquêteurs, GUTKNECHT n’a pas osé parler ouvertement de ses soupçons. Il jugeait plus prudent de démontrer la réalité aux inspecteurs de la Sûreté, en les guidant et les aidant par des précisions concrètes, pour qu’ils découvrent eux-mêmes le pot aux roses. Ceux-ci sont restés sourds. On lui répondait qu’il avançait des gamineries ou qu’on travaillait avec des méthodes modernes. Ou encore, on lui disait carrément qu’ils avaient ordre de prouver que la fermentation du foin était à l’origine du sinistre.
La photo ci-dessus, prise par un villageois, prouve que la première fumée était noire au départ du feu, signifiant que cette couleur de fumée peut être due à la combustion d’un hydrocarbure (page 14 expertise LAVOUÉ). BUDRY a pris soin de faire disparaître la photo originale, mais de bonnes photocopies sont restées en circulation.
Il est expliqué encore en page 12 de la même expertise, « qu’il faut que le fourrage atteigne une température supérieure à 250° C pour avoir un risque d’auto-ignition. A cette température, la grange aurait été une fournaise et l’occupant ainsi que les animaux auraient nécessairement ressenti une chaleur anormale ».
Au surplus, Jakob GUTKNECHT avait signalé avoir vérifié les températures de ses bottes jusqu’à environ une semaine avant la survenance de l’incendie. Il avait relevé des valeurs inférieures à 33°C.
Après l’incendie, Jakob GUTKNECHT a signalé ses observations à des experts de l’EPFL, les Dr. Marcos RUBINSTEIN et Rachidi MAÎTRE. Ces scientifiques étaient disposés à examiner les lieux du crime. Preuve : 2006-04-12 EPFL. Mais Jacques ANTENEN (à cette époque-là juge d’instruction cantonal) ne leur a pas permis d’intervenir. Pour ces spécialistes, l’origine de cet incendie ne faisait pas de doute, car ils ont posé les bonnes questions à Jakob GUTKNECHT.
Détonateur trouvé sous la paille, à l’opposé d’où avait été entreposé le foin incriminé selon l’Inspecteur KOLLY, mais là où était le canal d’aération mitoyen avec le rural BUDRY et où avaient été entendus les percements la veille…
Jakob GUTKNECHT a aussi fouillé à l’endroit où il a vu le feu prendre son départ. Sous le trou solitaire, au niveau de la dalle, il a trouvé sous de la paille qui n’avait pas brûlé, un amas de gravats, et dessous un objet métallique suspect. Ayant servi comme mineur dans l’armée, il était sûr d’avoir découvert le détonateur. D’ailleurs la fonction de ce trou était de faire propager l’incendie à travers le mur coupe-feu à l’intérieur du bâtiment de BUDRY, alors que les habitations du côté des GUTKNECHT restaient partiellement épargnées.
Les GUTKNECHT ont envoyé ce présumé détonateur (photo ci-dessus) au Laboratoire Central de la Préfecture de Police (LCPP), Département Déminage et Interventions à Paris. Ils ont commis l’imprudence de donner trop de détails de leur cas. Il faut savoir que les services de police des pays européens entretiennent des contacts étroits entre eux. En tout cas, un nommé Daniel LAMIRAUX du LCCP a conclu le 13.04.2007 qu’il « paraît peu probable que ce dispositif soit à l’origine d’un incendie ». Il a omis de préciser ce que cet objet pouvait bien être. On voit que la Franc-Maçonnerie a le bras long et n’a pas de frontières nationales.
Tout ceci, en combinaison avec les témoignages parlant d’une explosion et d’une fumée noire (comme l’inflammation d’un hydrocarbure la provoque), ne laisse plus de place au hasard : il y a eu crime crapuleux, couvert par les Francs-Maçons pour avantager illicitement l’un des leurs, aux dépens du paysan Jakob GUTKNECHT.
Puisque les tricheurs KOLLY et consorts ont omis de soumettre l’emplacement du départ du foyer de l’incendie à un examen chimique, pour prouver l’emploi d’un hydrocarbure ayant déclenché l’incendie, il sera difficile, plus de 14 ans après les faits, de confondre formellement le coupable de ce crime crapuleux.
La santé de Jakob GUTKNECHT a été ruinée et il est décédé le 14 décembre 2019. Pour sauver son bétail, ses poumons ont été irrémédiablement endommagés par la fumée et son cœur en a pris un coup. Il a vécu dans une pauvreté que nos concitoyens suisses contemporains ne peuvent même pas imaginer.
Le crime judiciaire subi par Jakob GUTKNECHT est l’œuvre d’un complot Franc-Maçon. Du coup, j’ai compris que beaucoup de dysfonctionnements judiciaires sont le résultat des actions de cette oligarchie occulte. Ils osent ! Sans scrupules !
VII
7. Comment venir à bout des pouvoirs occultes ?
Le Citoyen qui n’a pas enduré les magouilles des pouvoirs de ce pays, peine à y croire. La Suisse offre pour le Citoyen moyen un encadrement de bien-être inégalé. Hélas, nos chers concitoyens se trompent s’ils pensent d’être à l’abri du broyage judiciaire. Selon mes estimations prudentes, ce pays produit actuellement au moins 6’000 victimes judicaires par an, soit 80 x 6’000 = 480’000 victimes accumulées pendant la durée d’espérance de vie moyenne d’une personne, actuelle de 80 ans. Cette tendance est en nette augmentation. Ce nombre de personnes représenterait donc plus de 5% des habitants, dans l’hypothèse où la population et les dysfonctionnements stagneraient. Autrement dit, 1 habitant sur 20 risque un jour d’être happé à un degré variant d’une bûche jusqu’à une incarcération injustifiée.
Evidemment, ce sont ceux qui ont déjà été broyés par la machine emballée qui réfléchissent le plus, pour savoir comment prévenir ces désastres humains. Moi-même, je ne suis pas adepte de production de nouvelles lois, pensant qu’on peut très bien vivre en faisant appliquer les lois existantes. Pour cela, il faut soumettre le pouvoir judiciaire à une surveillance de l’extérieur, exercée par des non-juristes.
D’autres victimes pensent qu’il faut changer la loi. Le petit entrepreneur Gil BEURET, victime de l’oligarchie occulte vaudoise, et emprisonné durant des années pour couvrir les escrocs de son patrimoine, propose d’inscrire dans une loi fédérale :
- Interdiction de siéger dans les conseils d’administration des sociétés privées dès l’élection à un poste équivalant à la municipalité ou autre exécutif, idem pour la nomination pour un organisme d’Etat tel que police du commerce, service des eaux, police des constructions;
- Sur le plan fédéral, la règle selon laquelle l’interdiction pour les fonctionnaires de se faire élire membres des Chambres fédérales, doit être réactivée selon les dispositions de l’ancienne Constitution fédérale
- L’interdiction des sociétés et fondations à capitaux mixtes (Etat / sociétés privées) ;
- L’obligation pour les élus et les magistrats de dévoiler leur appartenance à des sociétés secrètes : francs-maçons, clubs de services comme Rotary, Lions Club, Kiwanis, Zofingiens, etc.**
- Obligation de transparence du financement des partis politiques
La combinaison des deux approches, soit le contrôle de la magistrature de l’extérieur et une nouvelle législation appropriée, sont compatibles et concevables, et permettraient de stopper l’hécatombe actuelle.
** Avis de Michèle HERZOG :
La transparence concernant les liens avec la Franc-Maçonnerie et les clubs de service devrait être obligatoire :
- Pour les procureurs, pour les juges mais aussi pour les experts.
- Pour les avocats et pour les notaires.
- Pour tous les fonctionnaires.
- Pour tous les politiciens.
- Et pour toutes les personnes impliquées dans un procès.
Les Citoyens doivent pouvoir savoir rapidement si tel avocat, tel notaire, tel expert, tel magistrat, tel fonctionnaire, tel politicien, est Franc-Maçon et de quel club de services il fait partie. Et cela surtout avant les votations ou au début d’une procédure judiciaire ou administrative.
Cette transparence doit être rétroactive pour que l’on puisse savoir exactement quels Francs-Maçons se sont concertés pour que la vérité ne soit jamais recherchée dans certaines affaires ces 20 dernières années.
Marc-Etienne BURDET présente ses idées dans une requête adressée le 23 mai 2015 au Conseil Fédéral