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.Elle est Juge Fédérale

Martha NIQUILLE Juge fédérale PDC Saint galloise, née le August 1954 (67 ans en 2021). Elle est éligible à la Présidence du Tribunal Fédéral au 1er janvier 2021.

Martha NIQUILLE est l’épouse de Christophe NIQUILLE-EBERLE, domicilié à St-Gall. Il figure au RC de 12 sociétés dans notre base de données, à savoir des sociétés du Groupe HELVETIA et du Groupe WINTERTHUR (AXA), mais aussi dans Vitodurum Rückversicherungs-Gesellschaft où apparaissent de nombreux hauts cadres de l’ancienne WINTHERTHUR. Parmi eux Peter SPAELTI, ex Président de WINTERTHUR-Assurances (voir lien ci-dessus).

Il faut ajouter que notre base de données comporte pas moins de 36 personnes portant le nom de « EBERLE » (nom de jeune fille de la Juge fédérale) et qui ont la même origine qu’elle. Ces personnes figurent au RC de sociétés diversifiées, allant de la production laitière jusqu’à BlackRock, en passant par le pharma, la banque (par exemple SBG/UBS), les assurances, etc. Ces sociétés ont contribué à blanchir des centaines de milliards de francs des royalties.

Il devient évident qu’en regard des activités de son mari, éventuellement de sa famille, la Juge fédérale NIQUILLE ne peut non seulement pas garantir l’impartialité et l’objectivité que tout Justiciable serait en droit d’attendre d’un membre de la plus haute Cour du Pays, mais qu’au contraire, elle est un rempart pour protéger les criminels ! Que la Commission judiciaire – dont fait partie Christian LUESCHER – veuille maintenant la proposer aux Chambres fédérales comme Présidente du Tribunal Fédéral, confirme la corruption de nos Institutions politiques.

C’est de cette manière que l’on comprend les raisons qui poussent les membres du Tribunal Fédéral à rejeter tous les recours dans le cadre des plaintes pour escroquerie et corruption dans lesquelles des politiciens ou hauts fonctionnaires ou encore leurs amis de l’économie et de la finance sont impliqués. La responsabilités de la Suisse à ce titre, dans le cadre de l’escroquerie et du blanchiment des royalties, pourrait se chiffrer en milliers de milliards de francs, compte tenu de l’attitude jusqu’au-boutiste des nos Autorités…

En cas de nomination de criminels à la Présidence du Tribunal Fédéral ou à sa vice-Présidence, une plainte pénale sera déposée auprès des Nations Unies contre la Suisse.

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Isabelle CHASSOT

Après l’obtention de son baccalauréat (type A) au Collège Sainte-Croix à Fribourg, Isabelle CHASSOT, originaire de Prez-vers-Siviriez /FR, a étudié le droit à l’Université de Fribourg où, après une licence en droit, elle a obtenu en 1992 le brevet fribourgeois d’avocate.

Elle a exercé la profession jusqu’en février 1995, tout d’abord auprès de l’Étude de René MONFÉRINI et Jean-Jacques COLLAUD (MONFÉRINI a été l’Avocat de Patrick LAMON dans l’affaire GROSSRIEDER). Elle a ensuite travaillé au sein de l’Étude PILLER. Rappelons que Damien PILLER occupe une place importante dans notre base de données sur le blanchiment des royalties…

Depuis 1991, Isabelle CHASSOT a été membre du groupe PDC au sein du Grand Conseil fribourgeois.

En mars 1995, elle a rejoint FedPol en qualité d’adjointe scientifique, au côté du Fribourgeois Markus DUCRET, aujourd’hui Juge Cantonal élu en 12.2018. La Police fédérale était alors et jusqu’en septembre 1999, sous l’autorité du Procureur général de la Confédération, à l’époque Carla DEL PONTE. Un coup d’œil au crime organisé au sein même du Ministère Public de la Confédération est intéressant à consulter https://swisscorruption.info/mpc/#procs

En août 1997, Isabelle CHASSOT est devenue la Conseillère personnelle du Conseiller fédéral PDC Arnold KOLLER (DFJ) jusqu’à son départ, puis en mai 1999, Conseillère personnelle de la Conseillère fédérale PDC Ruth METZLER. Relevons que cette dernière occupe elle aussi une place importante dans le blanchiment des royalties, dans notre base de données https://swisscorruption.info/pdc/#metzler

Commission d’Enquête Parlementaire (CEP)

Les Chambres fédérales ont jugé utile d’ouvrir une enquête Parlementaire à la suite du Hold-Up de CREDIT SUISSE par UBS SA… Il faut faire croire au Citoyens, que le système politique fonctionne et veille sur les intérêts de la Population…

La réalité est toute autre !

Il est primordial pour les élus qui forment nos Parlements et nos Gouvernements, que le Peuple ne soupçonne pas les crimes qu’ils commettent depuis plus de 30 ans maintenant dans l’affaire des royalties de Genève.

En mettant sur pied cette CEP, le bon Peuple se sent rassuré et évite de cogiter… Cependant, si le Peuple connaît Isabelle CHASSOT, plutôt charismatique, ce qu’il ne sait pas, c’est que le Parlement a mis à la Présidence de cette CEP, une tueuse de la Démocratie !

Une femme qui a fait toute sa carrière en suivant de très près l’escroquerie et le blanchiment des royalties sur les brevets FERRAYÉ, qui ont généré quelque 4’700 milliards de dollars en 1992. Une femme qui a côtoyé l’élite impliquée dans l’escroquerie de ces milliers de milliards…

Alors pensez-vous que nos Parlementaires mettraient à ce poste une femme qui ferait tomber toute la corruption qui règne depuis 30 ans et dans laquelle ils trempent ?

Isabelle CHASSOT a pour mission d’enterrer vite fait l’affaire CREDIT SUISSE et les milliers de milliards en cours de blanchiment dans ce Hold-Up, tout en laissant croire au bon Peuple que les Autorités font leur travail ! Consultez les banques miroirs mises en place pour l’escroquerie et le blanchiment… l’Argent n’est pas perdu pour tout le monde. Seuls les Citoyens sont les dindons de la farce !

À ce stade, il est utile de consulter le lien « La CEP pour piller le Peuple et servir le CRIME ORGANISÉ »

Consultez aussi le lien sur le Hold-Up de la Démocratie !

Réponse du PDC Flavio COTTI : « Est-elle prête à tuer » ?

Encart de la photo ci-contre :
En 03.1995 Isabelle CHASSOT était à FedPol sous la direction de Carla DEL PONTE. En août 1997 Conseillère d’Arnold KOLLER (DFJ), puis de Ruth METZLER en mai 1999, elle a été pressentie en 2000 pour le Conseil d’État à Fribourg. Flavio COTTI  s’est alors posé la question de savoir si « elle était prête à tuer »…  Ainsi va la Politique en Suisse.

Dans une interview du 22 février 2024 sur « La 1ère » dans l’émission « Drôle d’époque » de la Radio suisse romande, Isabelle CHASSOT bafouille quand elle tente d’expliquer une question du Conseiller fédéral PDC Flavio COTTI à son sujet, concernant sa candidature pour le Conseil d’État fribourgeois.

On remarque aisément qu’elle veut taire ou cacher le nom du Conseiller personnel de Flavio COTTI. Il s’agissait à ce moment-là du fribourgeois Alexandre FASEL qui est aujourd’hui Secrétaire d’État d’Ignazio CASSIS. Nous reviendrons plus loin sur son parcours dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties. L’extrait de l’interview du 22 février 2024 à la minute 49.40 est accessible par le lien suivant : https://swisscorruption.info/fr/chassot_2024-02-22.mp3 ou sur le Site de la RTS « Drôle d’époque » 22.02.2024.

On comprend bien au travers de cet extrait, que la chose publique et la défense des intérêts des Citoyens n’ont pas grande importance pour les dirigeants des Partis. Ce qui est primordial, c’est de conquérir le Pouvoir ! La question était donc de savoir si elle était prête à tuer… Il est clair qu’il était question de tuer politiquement ses adversaires, comme elle le précise du reste. Mais dans les faits, comprenons aussi qu’en réalité, c’est la Démocratie et l’État de Droit qu’ils tuent pour satisfaire leurs ambitions personnelles par leur arrogance et leur attitude prétentieuse et présomptueuse. Une manière pour tous ces arrivistes d’une médiocrité sans égale qui sont des traîtres à leur Patrie, de se prendre pour les « global leaders » du Gourou Klaus SCHWAB…

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Ils figurent au Registre du Commerce de Sociétés qui ont contribué au blanchiment des royalties et ont occupé des postes de premier plan au sein du PDC :

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Raymond LORETAN PDC a été Secrétaire général du Parti de 1993 à 1998. Il a été Président de la SSR jusqu’en 2015 et contrôlait ainsi la diffusion de l’information ou plutôt de la désinformation publique.

Quoi qu’en ait dit la Presse officielle, sur les révélations faites dans le cadre des Panama Papers, suite à l’utilisation du nom du CICR dans les sociétés de MOSSACK FONSECA, le nom du CICR ne s’est pas fait à l’insu de l’Organisation, mais bien avec l’accord de ses dirigeants… Suite LORETAN

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Jean-Philippe MAÎTRE PDC (décédé 1.2.2006), Avocat genevois, ex Conseiller d’Etat genevois (1985-1993), ex Conseiller National (1983-02.2005) a été Président du Groupe parlementaire PDC de 1998 à 2002. Il avait succédé au zougois Peter HESS (inscrit au RC de 138 sociétés dans notre base de données).

Jean-Philippe MAÎTRE a donc été Conseillé National durant tout le « règne » de Flavio COTTI, durant l’escroquerie des royalties et comme Chef du Groupe parlementaire, il était dans les secrets du Parti… Rappelons que Flavio COTTI était à Rio de Janeiro au « Sommet de l’environnement et du développement » où ont été vendus les brevets des royalties, du 3 au 14 juin 1992…

Notre base de données sur le blanchiment des royalties, laisse apparaître l’avocat genevois au RC de 39 sociétés en Suisse et une au Royaume-Uni. Cette dernière pourrait être en lien direct avec l’escroquerie réalisée lors du grounding SWISSAIR le 2 octobre 2001.

Jean-Philippe MAÎTRE a été Administrateur de la Banque Nationale Suisse qui a largement contribué au blanchiment des royalties. Il était en outre Administrateur de SWISSAIR (SAirGoup) aux côtés de la crème des escrocs qui ont planifié l’escroquerie et le blanchiment des royalties et organisé le Grounding de SWISSAIR après avoir vidé les sociétés du groupe de toute substance. Un blanchiment estimé à plus de 15 milliards de francs selon notre base de données…

Au RC de Zürich, « Swissair Schweizerische Luftverkehr-Aktiengesellschaft » est traduite en anglais par « Swissair Swiss Air Transport Company Limited« . La Société inscrite au Royaume-Uni porte aussi le nom de « Swiss Air Transport Company Limited », et elle est au surplus enregistrée avec une adresse à Zürich, qui correspond à l’adresse de SAirGroup… Il s’agit d’une Société miroir dans laquelle Rainer E. GUT est Director, selon le même principe réalisé pour les sociétés d’UBS et de CREDIT SUISSE. https://swisscorruption.info/credit-suisse. Le fichier tiré à partir de cette seule société, compte 8’535 pages de liens, dans lesquelles apparaissent le Gotha des individus liés à l’escroquerie et au blanchiment des royalties.

Ce fichier nous démontre l’envergure de l’escroquerie et du blanchiment réalisés par la disparition de SWISSAIR, avec la complicité du monde politique !

Vincent Maître Avocat PDC à Genève (fils de Jean-Philippe), ne voit pas l’utilité d’un contrôle des avocats dont la corporation a été dénoncée par Daniel THELESKLAF, ancien Chef du MROS (Bureau anti-blanchiment de la Confédération. Très mal à l’aise face au Journaliste, l’avocat genevois évite de parler des dérives des avocats pour ne porter son argumentation que sur les banques… Et le journaliste de la RTS le laisse faire… Voir l’interview :

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Le Conseiller National Christian LUESCHER, Avocat PLR à Genève et dont le père a été administrateur de quelque 335 sociétés à Panama, trompe lui aussi l’Opinion publique en déblatérant ses arguments selon lesquels la place financière suisse serait propre et que les avocats ne jouent aucun rôle dans le blanchiment… Voir l’interview :
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Maurice TORNAY PDC pour le Valais Romand, Expert-comptable. Avant d’être Conseiller d’Etat Chef du Département des finances et des Institutions (2009-2017), Maurice TORNAY a été Député au Grand-Conseil jusqu’en 2005. Lors de sa campagne 2009, il avait bénéficié d’un financement de Maurice GIROUD.

De 1998 à 2009, il a présidé la société Alpes audit, fiduciaire chargée de la révision des comptes de Giroud Vins SA (voir plus haut). La fiduciaire de l’Entremont, également présidée par Maurice TORNAY avait établi une déclaration fiscale pour l’entreprise de Dominique GIROUD, avec un revenu de CHF 650’000 en 2003. Cette déclaration n’avait pas été envoyée au service des contributions qui avait taxé la société GIROUD sur une estimation de CHF 370’000.-. La fiduciaire de Maurice TORNAY était alors intervenue et avait obtenu finalement une taxation d’office basée sur un revenu imposable de CHF 250’000.-.

A partir de 2015, à la suite de « L’affaire GIROUD », et suite aux affaires CLEUSIX, à l’Hôpital du Valais et à différentes demandes de démission, Maurice TORNAY ne s’est pas présenté à sa réélection en 2017. La Presse avait relevé que « […] en Valais, le bien commun passe après le bien-être électoral des partis… » !

Le 27 novembre 2019, il est nommé à la Commission fédérale des maisons de jeu (CMFJ) par le Conseil Fédéral, sur proposition des cantons, pour la période 2020-2023 (Wikipedia).

Les Casinos de Suisse jusqu’à Las Vegas, en passant par la France, ne sont-ils pas des endroits de blanchiment rêvés ? … L’homme a le profil …Voir la Suite TORNAY

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