La DEA complice des mondialistes et de l’État profond !
Filière khazare (Etat profond) – Réseau financier Bin Laden – Clearstream Luxembourg – etc.
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Bill CAMPBELL – William Hedgcock WEBSTER
Bill CAMPBELL a été agent de liaison de la DEA à l’ambassade des États-Unis à Berne, en Suisse, coordonnant les enquêtes conjointes américaines et suisses sur le blanchiment d’argent et la confiscation d’avoirs. Il n’est pas inutile de rappeler la corruption du Gouvernement Suisse, depuis l’escroquerie des royalties en 1991 et que certains Ministres étaient Administrateurs d’UBS SA lors de l’escroquerie… La dernière affectation de Bill CAMPBELL était à l’Unité des enquêtes financières du siège de la DEA.
William H. WEBSTER (Républicain). En 2020, il a fait partie des signataires d’une lettre de soutien au candidat démocrate corrompu Joe BIDEN, rédigée par 70 officiels républicains à la sécurité nationale, estimant que le président sortant républicain Donald TRUMP « n’était pas fait pour diriger ». On peut dès lors douter de l’intégrité de ces 70 « officiels » républicains !
L’escroquerie à partir de 1991, des quelque USD 3’600 milliards provenant de l’extinction et du blocage des puits de pétrole au KOWEIT, mais aussi de la vente des systèmes lors des deux « FRENCH TRADE WEEKS » de KOWEIT-City du 21 au 29 novembre 1991 et de Rio de Janeiro du 3 au 14 juin 1992, a été rendue possible uniquement grâce à la complicité de hauts responsables de la DEA (Drug Enforcement Administration), Institution du Gouvernement Fédéral des Etats-Unis d’Amérique, sous le contrôle direct du Département Fédéral de la Justice… N’oublions pas que les USA sont responsables de toute transaction opérée en Dollars…
Tentative d’assassinat au siège de la DEA à Paris
Pour « régler le problème » et faire disparaître les preuves, en décembre 1996 l’inventeur des systèmes Joseph FERRAYÉ, a fait l’objet d’une tentative d’assassinat par les responsables de la DEA. C’est en décembre 1996 que Bill CAMPBELL, Directeur de la DEA à l’époque et dont William H. WEBSTER était le mentor, a demandé à FERRAYÉ de contacter Patrick DAWSON (alias Dave ROWE), Chef de la DEA pour la France, pour le rencontrer et lui remettre des documents liés à l’escroquerie. Le rendez-vous a été fixé pour le lendemain à Paris, dans les bureaux de la DEA, entrée rue de la Boétie, à l’arrière de l’Ambassade des Etats-Unis.
FERRAYÉ en a informé son avocat Cyril ABECASSIS qui a souhaité l’accompagner. ABECASSIS et FERRAYÉ sont allés ensemble à la DEA où ils ont été reçus par Patrick DAWSON qui a laissé ABECASSIS attendre dans une pièce attenante.
Durant près de 4 heures, DAWSON a posé toutes sortes de questions pour savoir si FERRAYÉ détenait des pièces qui le citaient ou impliquaient la DEA.
A l’issue de cet interrogatoire, DAWSON a congédié les deux hommes et a refusé de s’entretenir avec l’avocat.
En ressortant de la DEA, ABECASSIS a conduit FERRAYÉ chez deux de ses amis avocats juifs à Paris. L’entretien commun a duré quelque 2 heures, après quoi les amis d’ABECASSIS ont souhaité s’entretenir seuls avec l’avocat.
A son retour, Cyril ABECASSIS avait la mine « déconfite » ! Le personnage avait totalement changé, ses propos antérieurs avaient disparu et il avait compris que son seul moyen de traiter ce dossier était de se rallier malgré lui aux escrocs pour recevoir sa part. Il faut noter qu’il figure aujourd’hui dans notre base de données, au Registre du Commerce de 552 sociétés d’investissement, dont 489 sont situées au Panama, en partie chez MOSSACK-FONSECA…
C’est probablement malgré lui, qu’ABECASSIS a rejoint Marc BONNANT dans le complot, car ABECASSIS voulait vraiment se venger de BONNANT et le faire condamner pour des raisons personnelles. Marc BONNANT lui avait piqué sa femme et pour un « cocu », devoir se soumettre ensuite à celui qui l’avait cocufié était insupportable pour ABECASSIS. C’est ce qui l’avait mis dans cet état « déconfit ».
CLEARSTREAM a opéré l’escroquerie des royalties en Dollars et sous le contrôle de la DEA
Suite à cet entretien de Paris, FERRAYÉ s’est souvenu qu’il avait entendu à plusieurs reprises que le détournement des royalties suivait également la filière juive, sans connaître encore les activités du « gouvernement mondial – Bilderberg – CFR, etc. », sur lesquelles il n’avait pas d’autres précisions. Ceci lui a été confirmé plus tard le 12 février 2002 par Ernest BACKES, un des fondateurs de CEDEL CLEARSTREAM (SWIFT) et auteur du livre REVELATION$. Il était aussi l’ex 3e responsable de CLEARSTREAM, par qui avaient transité tous les détournements électroniques en Dollars, pour le blanchiment des fonds liés à ce complot.
Le 11 février 2002, Ernest BACKES a demandé à FERRAYÉ de le rejoindre au Luxembourg pour lui remettre les listes des transactions de CLEARSTREAM, indiquant l’origine des fonds et leur destination finale.
Le lendemain à l’hôtel des Vignes à Luxembourg, lors de l’entretien avec BACKES, celui-ci a révélé l’implication de la Trilatérale, du Gouvernement mondial, du Bilderberg group, toutes des sociétés secrètes dont FERRAYÉ n’avait jamais entendu parler. BACKES a également confirmé lors de cette rencontre, qu’il allait lui remettre les documents promis (transactions CLEARSTREAM), le lendemain chez lui.
Le 13 février 2002, dans sa propre maison, BACKES a demandé à FERRAYÉ de transmettre ces documents au Procureur général de Genève Bernard BERTOSSA. Joseph FERRAYÉ qui ne savait pas que BACKES et BERTOSSA se connaissaient, a eu le mauvais réflexe de faire remarquer à BACKES qu’il ne fallait justement pas remettre ces documents au procureur genevois qui était un des principaux escrocs dans le détournement des fonds et membre du complot contre lui.
Cette remarque a contrarié Ernest BACKES qui pensait jusque là recevoir des indemnités versées par FERRAYÉ en compensation de son aide. Il a immédiatement vu dès lors une meilleure opportunité pour recevoir sa part, en choisissant de se rallier directement à BERTOSSA.
BACKES qui voulait toucher sa part du butin venait de décider de se rallier directement à BERTOSSA pour recevoir sa corruption et FERRAYÉ n’a rien pu faire pour obtenir les documents promis.
En mars 2003 (1 an plus tard), BACKES a fixé un rendez-vous à FERRAYÉ à l’aéroport de Genève et lui a présenté André STREBEL. BACKES a prétendu que STREBEL allait l’aider à obtenir la restitution ses droits. C’était bien entendu une fausse excuse comme on le verra plus bas.
André STREBEL a fixé plusieurs rendez-vous successifs à FERRAYÉ à Nyon pour obtenir des informations clé. Parallèlement STREBEL intervenait grâce à ses relations professionnelles et parvenait à sortir des documents des administrations et des banques suisses. STREBEL était Associé de BACKES dans IWR – Institut für Wirtschaftsrecherchen GmbH), société domiciliée en Allemagne,
Le rôle effectif de STREBEL était de nettoyer toute trace des trafics, là où les fonds FERRAYE avaient transité, de même que là où des documents compromettant existaient. Pour y parvenir, il devait savoir ce que FERRAYÉ avait comme documents et informations.
C’est ensuite à la demande de STREBEL que la télévision allemande ARD2 est venue enregistrer une émission sur FERRAYÉ à Genève, émission qui a été diffusée en Allemagne.
L’un des premiers documents sortis par STREBEL a été la preuve formelle de l’implication du Président du CREDIT SUISSE GROUP – Rainer E. GUT, dont la signature figure sur la carte des signatures de la Société écran EVERTON Enterprises Ltd.
STREBEL ne pouvait pas comprendre que le Président du CREDIT SUISSE Rainer E. GUT ait pu s’allier dans EVERTON avec des Criminels qui traitaient normalement avec la SBS (aujourd’hui UBS SA)…
C’est par Francis MAYORAZ à Genève que FERRAYÉ a vu la carte de signatures sur laquelle figurait effectivement celle du Président du CREDIT SUISSE Rainer E. GUT. Cette carte de signature était jointe au formulaire A avec entête du CREDIT SUISSE…
STREBEL a confirmé à FERRAYÉ qu’il avait raison et qu’il avait bien obtenu le document précité mais il a refusé lui aussi de le remettre à Joseph FERRAYÉ
Le 17 octobre 2003, STREBEL a convoqué FERRAYÉ à St-Prex VD et lui a montré 15 centimètres de documents desquels il avait enlevé les entêtes et les signatures. Il a demandé à FERRAYÉ de les lire. Mais Joseph FERRAYÉ a refusé, rétorquant à son interlocuteur qu’il n’allait pas s’intéresser à des documents sans identité que tout individu pouvait confectionner et qu’il était disposé à revenir le jour où STREBEL lui soumettrait des documents non trafiqués.
Lors de cet entretien, STREBEL a demandé à FERRAYÉ de noter le nom de l’avocat MEMBREZ à Genève. STREBEL allait obtenir un rendez-vous avec BONNANT et WARLUZEL dans les jours qui allaient suivre et FERRAYÉ allait avoir une proposition de 1 à 2 milliards de dollars en sa faveur. STREBEL a précisé, « vous n’allez pas les refuser. Vous les acceptez. On les prend et on réattaque ».
Le dimanche 26 octobre 2003, STREBEL a informé FERRAYÉ qu’il avait rendez-vous avec BONNANT et BERTOSSA à 14.00 H. Il a fixé un rendez-vous à FERRAYÉ au McDonald de Nyon à 16.00 H.
STREBEL est arrivé à 18.30 et a confirmé à FERRAYÉ qu’il allait recevoir 100 millions de dollars. FERRAYE a répondu qu’il était d’accord « on les prend et on réattaque » !
Cette réponse, qui était la propre formulation de STREBEL du 17 octobre 2003, l’a rendu ce jour-là complètement fou furieux. Il s’est mis debout en hurlant « ça va pas votre tête ? que voulez-vous faire avec plus de 100 millions de dollars ? Avec cet argent, vous pouvez vivre, vous, vos enfants et petits enfants, comme des rois. Vous allez recevoir 100 millions de dollars net pour vous, c’est votre part, je ne veux rien des ces 100 millions… C’est beaucoup d’argent que vous ne pourrez pas même dépenser… etc. »
Le 27 octobre 2003, lors de son appel téléphonique, STREBEL a communiqué à FERRAYÉ « si vous ne faites pas tout ce que je vous dit, je vous botte les fesses ». Par la suite, au cours de ses contacts avec STREBEL, FERRAYÉ ne faisait plus que se faire insulter !
Pourtant, on voit sur le projet de lettre qu’André STREBEL avait faxée à FERRAYÉ le 10 octobre 2003 (IWR – Institut für Wirtschaftsrecherchen GmbH), qu’il attaquait la juge d’instruction JUNOD. Il faut donc en déduire au vu de ce qui précède, qu’il ne voulait que mettre la pression pour se faire intégrer dans le complot et recevoir sa part.
Tullio PONZI – Ami et complice de William WEBSTER
Selon Tullio PONZI domicilié à Nyon VD, William WEBSTER alors Avocat (ancien chef du FBI et de la CIA), lui aurait révélé que Jean-Marie GHISLAIN – dénoncé pour sa complicité dans les détournements et le blanchiment des fonds provenant des royalties, au travers des sociétés écrans et plus particulièrement dans le cadre de WILDROSE et EVERTON – apparaissait dans le réseau de blanchiment appartenant à Oussama BEN LADEN. La BCCI (collaboration UBS SA) était aussi un réseau terroriste !
Par acte authentifié établi par le Notaire Pierre NATURAL, associé de MOTTU et complice dans le banditisme, Jean-Marie GHISLAIN a été nommé le 19 juin 1995 à la direction de WILDROSE, avec un mandat l’autorisant à agir sans aucune restriction. Rappelons que Jean-Marie GHISLAIN était au service de Patrick CHAMARRE (ELF, PASQUA et le Gouvernement français). Cette nomination était faite en prévision de l’escroquerie planifiée au travers de l’établissement des différentes conventions des 16 et 23 novembre 1995.
Le 3 octobre 1995, Pierre MOTTU, avec la participation du Notaire du Gouvernement français Eric de la HAYE ST-HILAIRE, a établi un acte authentifié liant Joseph FERRAYE et le Cabinet CIR à WILDROSE. Depuis les séquestres, il était indispensable pour MOTTU, d’obtenir des conventions signées par FERRAYÉ pour débloquer les fonds et faire les transferts.
Le 21 décembre 1995, Pierre MOTTU a établi un nouvel acte authentifié qui prorogeait le mandat ci-dessus conféré le
3 octobre 1995, en faveur cette fois-ci de LEVAVASSEUR, après avoir écarté WILDROSE. Ce même jour, Pierre MOTTU a établi l’acte authentifié déchargeant WILDROSE (Jean-Marie GHISLAIN) de son mandat.
Au moment où FERRAYÉ a terminé de signer ce document de décharge, Jean-Marie GHISLAIN s’est levé d’un bond, rouge comme une tomate mûre prête à exploser, ému au point de ne plus maîtriser son comportement et incapable de prononcer une parole. Cette attitude reflète le soulagement de GHISLAIN, d’avoir été déchargé de son mandat sans aucune conséquence. Cette réaction démontre aussi que les commanditaires du complot, agissant à travers MOTTU et BRUPPACHER en particulier, avaient déjà détourné les fonds au travers de WILDROSE et les sociétés qu’elle avait constituées.
Les faits précités sont les preuves de la responsabilité de GHISLAIN dans ces détournements opérés grâce au réseau financier du terrorisme d’Oussama BEN LADEN, mis à disposition à son insu ( ?) par son frère Yeslam BEN LADEN domicilié à Genève et Patrick DAWSON, chef de la DEA pour la France. Tout ceci corrobore les déclarations citées plus haut de William WEBSTER révélées à Tullio PONZI et celles d’André SANCHEZ.
Le Notaire genevois Pierre MOTTU a voulu ensuite désigner Michel VENEAU (ancien policier RIPOUX et assassin au service des escrocs du gouvernement français), en remplacement de WILDROSE et de LEVAVASSEUR. Devant l’opposition ferme de FERRAYÉ qui n’avait aucune confiance en VENEAU, MOTTU s’est mis à crier comme un putois ! Vu l’obstination de FERRAYÉ, LEVAVASSEUR a calmé le jeu en demandant à MOTTU d’établir l’acte authentifié à son nom, mais en précisant qu’il pouvait substituer à sa place toute personne de son choix, tout en restant solidaire. A cette condition, FERRAYÉ a accepté de signer, puisqu’il avait confiance en LEVAVASSEUR.
Ce document, par la mention « solidaire » est l’une des causes qui a été l’élément déclencheur de l’assassinat de LEVAVASSEUR. La cause principale étant due aux pressions exercées par LEVAVASSEUR sur la Juge d’Instruction Christine JUNOD et le Notaire parisien Eric de la HAYE ST-HILAIRE à partir du 26 août 2002. Suite aux attentats du 11 septembre 2001, l’intervention de LEVAVASSEUR qui voulait que FERRAYÉ touche ses droits, compromettait leurs plans.
Patrick DAWSON, chef de la DEA pour la France vivant à Gland CH, a été impliqué dans le blanchiment des fonds FERRAYÉ depuis 1991. Son rôle était d’apposer le sceau de la DEA sur tous les comptes provenant des systèmes, pour masquer leur origine frauduleuse et empêcher tout contrôle d’un autre organisme de police internationale.
DAWSON (surnommé Dave ROWE) a été condamné en Suisse pour activités financières illégales et blanchiment d’argent. Il a repris son rôle au sein du complot en 1996, en ralliant Yeslam BEN LADEN pour utiliser le réseau bancaire d’Oussama BEN LADEN.
Cette situation prouve qu’à partir de la rédaction de la plainte du 29 janvier 1996, les nouveaux conseils de FERRAYE, Marc BONNANT et son assistant Dominique WARLUZEL, au même titre que les procureurs genevois, avaient rejoint MOTTU, BRUPPACHER, ST-HILAIRE avec tous les commanditaires du complot de 1991.
Selon les événements précités, il semble évident que le passeport suisse accordé le 11 mai 2001, 4 mois avant les attentats du 11 septembre 2001, à Yeslam BEN LADEN par la République et Canton de Genève, n’est que le scellement des accords de soutien des autorités genevoises à ce complot pour le protéger en prévision des attentats planifiés.
La France a fait la même chose en accordant à BONNANT et WARLUZEL, la « Légion d’horreur », distinction réservée aux deux Criminels pour couvrir leur fuite en France en cas de nécessité… Qui toucherait en effet en France, à des « protégés » de Présidents successifs, eux-mêmes impliqués…
Nous devons ici nous souvenir que dans ses messages successifs de l’automne 2001, Oussama BEN LADEN accusait la CIA de « blanchir les comptes provenant des Pays pétroliers, qui sont des Pays musulmans. Cette révélation a disparu des archives de la RTS selon la même politique de blanchiment de l’information… Oussama BEN LADEN situait l’axe du mal reliant Genève ! Paris, Londres et New York
Selon ce que Tullio PONZI a transmis des révélations provenant de l’ex chef de la CIA William H. WEBSTER, le fait que le nom de Jean-Marie GHISLAIN figure dans le réseau bancaire de Oussama BEN LADEN, signifie que c’est au travers de ce réseau que les royalties escroquées ont été détournées et blanchies. Ainsi, en cautionnant les auteurs de ces détournements et le blanchiment des royalties, la République et Canton de Genève est directement liée aux conséquences de ce banditisme et porte une lourde responsabilité morale et financière dans les représailles de l’occident suite aux attentats du 11 septembre 2001 à New York !
Dans le même contexte que celui précité, pour masquer le lien de Yeslam BEN LADEN et des commanditaires du complot dans le blanchiment, Yeslam BEN LADEN avait réduit le capital social de sa Société Saudi Investment Company (SICO SA CH-660.0.214.980-1) de CHF 1’000’000.- à CHF 100’000.-, afin de d’éviter les soupçons des observateurs qui allaient immanquablement investiguer sur les avoirs de la famille BEN LADEN après les attentats. Une compagnie avec un capital social de CHF 100’000.- n’allait jamais susciter l’intérêt des enquêteurs, s’agissant d’une « petite » société jugée incapable de faire transiter des fonds par milliards. Le rapport de la CFB le prouve, mais d’autres éléments laissent aussi comprendre sa complicité.
On voit donc, que deux mesures préventives ont été prises. Le 25 janvier 2001, Yeslam BEN LADEN a réduit le capital de SICO et Le 11 mai 2001, l’Etat de Genève, sur pressions et après recours, lui a accordé la nationalité Suisse.
Me Pierre DE PREUX – Avocat de Yeslam BEN LADEN et du Notaire Pierre MOTTU
L’un des avocats de Yeslam BEN LADEN était Pierre DE PREUX, avocat également du notaire Pierre MOTTU…
Il est amusant de savoir que dans le recours du 9 février 2005 de FERRAYÉ contre le classement de la plainte visant Pierre MOTTU, le notaire avait désigné l’avocat Pierre DE PREUX pour sa défense. Me Alain MARTI (nouvel avocat de FERRAYÉ) a rencontré Me Bruno DE PREUX, associé de la même Etude, prétextant vouloir « s’informer sur la façon de réagir contre Pierre DE PREUX… », en précisant à FERRAYÉ que la personnalité de Bruno DE PREUX n’était pas la même que celle de Pierre…
Etant attaqué et pour contrer la plainte déposée contre lui, MOTTU a immédiatement porté plainte Etant attaqué et pour contrer la plainte déposée contre lui, MOTTU a immédiatement porté plainte auprès du Procureur général contre le nouvel avocat de FERRAYÉ, Alain MARTI, auprès du Procureur général ZAPPELLI.
ZAPPELLI, Chef du Ministère Public de la République et Canton de Genève, a joué le rôle de maitre-chanteur pour que l’avocat de Joseph FERRAYÉ trahisse son Client… Consultez la rubrique Daniel ZAPPELLI pour comprendre qui est le personnage du Procureur général que les Politiciens avaient fait élire, pour couvrir leurs CRIMES ! Et ce n’est pas mieux avec le Procureur général actuel Olivier JORNOT !