Translate this article

Accord antidaté ARAMCO CRUDE OIL
P.B.E. OIL – Paul Marc COLNE

Cet Accord du 26 juillet 1991 a été établi avec une date de validité à partir du 30 avril 1990 (article 8), alors que les puits de pétrole n’étaient pas encore en feu au KOWEIT. Souvenons-nous que l’armée de Saddam HUSSEIN a fait exploser les puits lors de sa capitulation et de sa fuite du KOWEÏT le 20 février 1991. La légalisation de l’accord le 25 septembre 1989 (9 mois avant son établissement) par le Directeur de la Chambre du Commerce et de l’Industrie du KOWEIT, Adel Mussad AL-KHARAFI confirme la complicité des Autorités Koweitiennes dans l’escroquerie des royalties. L’antériorisation de cet accord avait comme seul but de constituer une fausse antériorité sur les dates de priorité du système de blocage. (Voir traduction de l’Art. 9 plus bas).

.
Accord antidaté – Pièce 104 du mémoire du 11 septembre 2006

.


1

Cet accord a été signé le 26 juillet 1991, mais porte une date de validité à partir du 30 avril 1990 (art. 8). Il a été légalisé le 25.09.1989  par Adel Mussad AL-KHARAFI, Secrétaire général. Il comporte également le timbre du 15.11.1991 de la Chambre du Commerce, toujours légalisé par AL-KHARAFI. au travers d’une société qui avait cessé ses activités le 7 avril 1989 selon extrait KBIS. Il s’agissait de la Société P. B. E. Oil (Petrol Brokers Energy Oil) présidée par Paul Marc COLNE qui n’était qu’un prête nom et qui a été retrouvé mort dans sa cellule de la prison de Nice en décembre 1997


2

Les associés et mandataires de Joseph FERRAYÉ se sont alliés le 29 juillet 1991, dans cet accord antidaté de 2 ans, conclu par P. B . E . Oil SA, portant sur la vente du système de blocage «BLOCKING ROBOT FOR HIGH PRESSURE OIL WELL », par ARAMCO (Arabian Américan Company).

Selon Aurélien GARCIA, chargé de mission de la Premier Ministre française Edith CRESSON, la Société HORWELL a été constituée à parts égales par l’IFP, ELF et FORASOL, pour l’extinction des puits au KOWEIT. Jean-Claude BOURDON qui était directeur de l’Institut français du pétrole (IFP) a été désigné président de HORWELL. Maurice LE MAIRE (le père de l’actuel (2021) Ministre européen Bruno LE MAIRE ) était cadre du groupe TOTAL (ELF) qui a été l’une des sociétés principales impliquées dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties FERRAYÉ pour le compte du Gouvernement français. TOTAL portait à ce moment-là le nom de ELF. La succursale de ELF à Genève, dirigée par Alfred SIRVEN a été très impliquée dans les crimes organisés par le Gouvernement français pour corrompre les élus, en collaboration avec le Notaire genevois Pierre MOTTU !
.

3

Traduction littérale de l’anglais des 9 articles de l’accord antidaté par les Autorités du KOWEIT :

Article 1
Le vendeur déclare ARAMCO son seul représentant pour la vente et l’achat, du BLOCKING ROBOT FOR HIGH PRESSURE OIL WELL (qui est le titre du système de blocage).

Selon l’associé Christian BASANO, il existerait un contrat complémentaire détaillé de plusieurs dizaines de pages.

Article 2
Le vendeur s’engage à donner l’exclusivité de la commercialisation, vente, distribution, et encaissement, de sa production à ARAMCO.

ARAMCO accepte de s’engager à prendre l’exclusivité de la production selon l’article 1 par le vendeur.

Article 3
La représentation exclusive a été accordée et acceptée par les deux parties pour les territoires suivants: Koweït et pays du Moyen Orient, selon les termes du contrat de vente et d’achat du BLOCKING ROBOT FOR HIGH PRESSURE OIL WELL.

Article 4
Le vendeur s’engage à approvisionner les BLOCKING ROBOT FOR HIGH PRESSURE OIL WELL, dans les ports du Moyen Orient.

Les deux parties s’accommoderont à trouver la solution concernant l’approvisionnement d’un accord mutuel. Le surplus entrepris par ARAMCO est assujetti à la disponibilité des commandes.
(Explication Basano : Compensation du surplus du pétrole affrété en faveur de TOTAL FINA ELF couvrant les montants provenant des ventes des systèmes FERRAYE).

Article 5
Payement : 100% devant être payé par virement confirmé et irrévocable ouvert par la banque de ARAMCO, devant être reçus par le vendeur.

Article 6
Actionnaires :
KHARAFI          Adel M K       P.O.BOX 14012                Koweït
AL ADASANI    Mustapha      P.O.BOX 14523                Koweït
TILLIE               Etienne         La Colle sur Loup             France
COLONNA       François        Lecci                                 France
BASANO          Christian       Nice                                  France
ARAMCO Crude Oil Sales      P.O.BOX 31314 Dharan   Saudi Arabia (ne reconnaît pas la propriété intellectuelle)


Article 7
La société est représentée par son directeur général Adel M K Kharafi
Capital de la société               500.000 dinars koweïtiens
N° de registre                          N 858
Enregistrée à                          Curacao

Article 8                                                                                                             fausse date antidatée
Ce contrat est valable pour une période de 3 ans, à compter du 30 avril 1990, renouvelable par lettre, exceptant son arrêt par l’une des deux parties par lettre recommandée six mois avant l’expiration de son terme. (Remarque FERRAYÉ : En 1990 BASANO et TILLIE ne se connaissaient pas et Mustapha AL ADASANI ne les connaissait pas non plus. D’autre part, les puits au KOWEIT n’ont été explosés et incendiés que le 20 février 1991…).


Article 9
Tout litige sera soumis auprès de la Chambre internationale de commerce.

(Remarque FERRAYÉ : Cet accord qui a été signé le 29 juillet 1991, a été antidaté dans sa rédaction au 30 avril 1990. Ce qui est très bizarre, c’est qu’il a aussi été antidaté au 27 juillet 1989 par les autorités étatiques du KOWEIT comme reporté dans le fichier pdf cité plus haut. Comment est-il possible que cet accord ait été établi en 1990 et légalisé 9 mois avant son établissement, prouvant tous les aspects du complot avec préméditation et l’implication du Gouvernement KOWEITIEN ?

L’antériorisation de cet accord avait comme seul but de constituer une fausse antériorité sur les dates de priorité du système de blocage. La légalisation antidatée de cet accord implique directement la responsabilité des Autorités du KOWEIT, qui agissent avec certains membres du Gouvernement FRANCAIS dans le crime organisé, pour le compte de hauts responsables des Gouvernements respectifs, bénéficiaires de ce complot.


4

Autorités qui ont antidaté et légalisé cet accord :

Koweït Chamber of commerce and industry :25 septembre 1989
Mineral Organisation : 26 july 1409 année hégire correspondant au26 juillet 1989
Minister of Foreign Affair :27 septembre 1989
Ambassade de France signé R. Pratt attaché :
légalisant la signature de Majid AL SAMHAN
15 novembre 1991

5

L’accord précité a été légalisé par M. R. PRATT attaché à l’Ambassade de France au Koweït le 15 novembre 1991, soit 10 jours après la fin des extinctions. Il faut savoir, que le dernier puits explosé avait été maîtrisé le 5 novembre 1991, et que les systèmes ont été exposés du 23 au 29 novembre 1991 à la « FRENCH TRADE WEEK », à KOWEIT CITY où ils ont été vendus en tant que procédés stratégiques, à tous les autres pays producteurs de pétrole dans le monde…


6

Durant la période d’extinction des puits au KOWEIT, le gouvernement Koweitien assumait la responsabilité du détournement des systèmes, mais quand il s’est agi, après le 15 novembre 1991, de vendre les systèmes aux autres Pays pétroliers, le KOWEIT a voulu reporter la responsabilité du détournement des brevets sur le Gouvernement français.

C’est la raison qui justifie les « anti-datés » commis pas le KOWEIT et la légalisation par la France datée du 15.11.1991. 


7

Sociétés et personnes impliquées dans l’accord précité :

ARAMCO Crude Oil Sales DharanSaudi-Arabia (ne reconnaît pas la propriété intellectuelle)
Adel Mousad AL KHARAFIPO BOX 14012Kuweït
Mustapha AL ADASANIPO BOX 14523Kuweït
Majid AL SAMHANKuweït
R. PRATT attaché à l’ambassade de FranceKuweït
PBE OIL S.A. (Oil international officially joint venture)Epinal en France
Etienne TILLIELa Colle/Loup France
François COLONNA CESARILecci          France
Christian BASANONice        France
Fouad HOBEICH
Pièce 098 – Convention du 12.01.1996
Pièce 095 – Idem mais FAUX


8


Le 15.11.91 l’Ambassade de France a confirmé par le tampon officiel de l’ambassade et la signature de l’attaché R. PRATT, la validation du contrat.


9

C’est donc la France, pays dans lequel les brevets avaient été déposés 7 mois auparavant, qui a permis de légaliser la vente des systèmes de blocage, à l’insu de FERRAYÉ.

10

Non seulement, les commanditaires gouvernementaux français de ce complot ont violé les Droits de FERRAYE, mais ils se sont permis encore de promouvoir son système lors de deux foires spécialisées dans le cadre des FRENCH TRADE WEEKS à KOWEIT CITY du 23 au 29 novembre 1991 et à Rio de Janeiro du 3 au 14 juin 1992, ceci au bénéfice de ARAMCO, société étrangère à la France !


11

L’imbécillité des 3 associés de Joseph FERRAYE est sans limite ! Alors que dans l’accord qui précède ils figurent comme actionnaires, dans leur lettre du 10 août 1991, ils essaient de se blanchir mutuellement (eux-mêmes, la Premier Ministre et l’Ambassadeur), par une mise en scène en plusieurs points qui confirment l’implication d’Edith CRESSON et engagent la responsabilité de la France :

  • Ils ont créé une entreprise pour intervenir efficacement dans l’EXTINCTION et la FERMETURE CONTROLEE des puits de pétrole en feu.
  • La Sté CONIRA développait les systèmes depuis 12 ans (la preuve du contraire est formelle)
  • Ils sont restés au Koweit à la suite d’amitiés depuis 20 ans (en mai 1991 ils ne se connaissaient pas).
  • Leur offre a été rejetée et ils n’ont pas eu l’appui du Gouvernement.
  • L’ambassadeur BRESSOT a négocié les systèmes avec les Stés FORASOL et HOREWEL

12

Organigramme MOTTU

Il est nécessaire ici de comprendre pourquoi le Notaire genevois Pierre MOTTU était impliqué depuis longtemps dans « l’affaire ELF » et qu’il était facile pour ce notaire, de rédiger les conventions qui devaient être destinées à soi-disant restituer les Droits FERRAYÉ à l’inventeur, alors que dans les faits, celles-ci permettaient aux membres du complot d’obtenir les signatures de FERRAYÉ pour détourner les fonds à leur profit ! Ces points sont détaillés dans l’appendice 04 avec les pièces justificatives utiles :

13

  • Mustapha AL ADASANI était un proche ami des 3 mandataires de FERRAYÉ  (groupe B – GEBRANE, HOBEICH et REBOURS) qui avaient déjà escroqué le système d’extinction et n’étaient pourtant pas censés collaborer avec le groupe A (les Associés) – BASANO, COLONNA et TILLIÉ.

14

  • On constate cependant dans le présent accord antidaté, que Mustapha AL ADSANI figure parmi les actionnaires aux côtés de TILLIE – BASANO – COLONNA, ce qui prouve le ralliement des deux groupes.

15

  • Selon Mme Nagguy BRESSOT, épouse de Jean BRESSOT, ambassadeur de France à l’époque des faits au KOWEIT, suite à un litige entre les Ministres STRAUSS-KAHN et CRESSON, c’est François MITTERRAND, alors Président, qui avait rallié les deux groupes pour qu’il n’y ait pas de fuite et qu’ils maîtrisent l’escroquerie des deux systèmes.
  • Mme BRESSOT a révélé aussi que les Ministres JOXE, DUMAS (Christine DEVIERS-JONCOUR) etc. se réunissaient régulièrement chez elle et son mari concernant les extinctions.

16

  • L’authenticité de l’accord antidaté est démontrée clairement par différents détails. Au moment des faits vers le 30 juillet 1991 et non 1989, le désordre régnait au KOWEIT suite à la guerre.

17

  • TILLIE et BASANO ont révélé qu’ils avaient dû sortir de vieilles machines à écrire manuelles des caves, compte tenu des circonstances dues à la guerre.

18

  • L’accord qui est écrit en anglais comporte enfin de très graves fautes de d’anglais. On relève particulièrement en fin d’Art. 6, le nom de AMRACO CRUDE OIL SALES au lieu de ARAMCO.  Ce lapsus de TILLIÉ commis à plusieurs reprises démontre qu’il en est le rédacteur. Voir la page 6 de l’audition du 28.11.1996 d’Etienne TILLIÉ à Marseille où même devant le Juge, il a commis ce lapsus !

19

  • D’autre part, si ce document avait été établi en 1989, il aurait été rédigé par le secrétariat de l’ambassade ou par le ministère du pétrole, dans un parfait anglais..

Rappel du déroulement des faits et complicités au KOWEIT

En 1985, 5 ans avant l’invasion du KOWEIT par Saddam HUSSEIN, Joseph FERRAYÉ construisait une machine d’enduction et vulcanisation de latex pour tapis. A ce moment-là, il était chef d’entreprise avec son frère, de la Société Mont Fleuri Textile à Carros dans le Alpes Maritimes en FRANCE.

Au cours de la construction de cette machine, Joseph FERRAYÉ a conçu une pièce qui allait garantir le blocage de deux parties mécaniques de la machine. C’est là que l’Inventeur a eu l’inspiration spontanée que son procédé pouvait être appliqué efficacement là où il y a de très fortes pressions. Ça a été comme un flash, que de suite il a imaginé la relation avec le blocage des puits de pétrole.

En 1991, à l’annonce des puits explosés au KOWEIT, FERRAYÉ s’est souvenu de son idée de système de blocage, mais restait à trouver le système qui permettrait l’extinction des puits. La même nuit, le système lui est apparu et il a pu tester immédiatement son idée et avoir confirmation de son efficacité.

Ne restait alors plus qu’à construire les maquettes, ce qui a été fait par Dante FERRETTI, ami de longue date de l’Inventeur. Le 28 février 1991, les systèmes étaient prêts en maquettes.

Avant la capitulation de l’armée de Saddam HUSSEIN et sa fuite du KOWEÏT le 20 février 1991, 1’164 puits de pétrole sur 1’280 en production à l’époque, ont été explosés pour saboter l’économie du Pays.

Les experts étaient confrontés à une catastrophe écologique et économique sans précédent. Le 20 février 1991, les experts américains ont annoncé qu’il y avait 500 / 600 puits explosés (en réalité 1’164) et qu’il allait falloir au moins 6 ans pour les traiter. Suite aux difficultés rencontrées pour traiter ces puits soumis à de fortes pressions, les experts ont déclaré ensuite qu’il faudrait de 8 à 12 ans pour les condamner (kill well).

Le traitement se faisait à l’époque selon le principe du forage oblique pour atteindre la nappe de pétrole située entre 1’500 et 3’500 mètres de profondeur au KOWEIT. Par la suite, de nouveaux forages étaient nécessaires pour exploiter à nouveau les gisements. Ainsi, la condamnation d’un puits nécessitait plus de 6 mois et le nouveau forage de 3 à 4 mois.

Aucun puits ne pouvait être remis en production avant d’avoir éteint tous les feux de chaque champs pétrolier. Il y en avait 7. C’est ensuite des années qui auraient été nécessaires pour refaire les forages et reprendre la production des gisements.

La perte sur les réserves consumées durant une moyenne de 8 ans devait s’élever à plusieurs centaines de milliards de dollars. Quant à la perte d’exploitation due au retard de production, elle a été estimée à 90 milliards de dollars que le KOWEIT a facturé à l’IRAK. Ce sont les Irakiens qui ont financé cette corruption au détriment du Peuple, par le programme de l’ONU « pétrole contre nourriture » dirigé dès 2004 par l’ancien Procureur genevois cité plus bas, Laurent KASPER-ANSERMET (fils du célèbre fondateur de l’Orchestre de la Suisse romande, Ernest ANSERMET),

Les procédés de Joseph FERRAYE ont révolutionné 15 à 20 mille fois tous les procédés classiques de l’époque. Le processus a été nommé KILL SPOOL au lieu de KILL WELL, d’où la différence des deux procédés. En cadeau, ce procédé a permis la réutilisation des mêmes puits avec les intérêts financiers décrits ci-dessus.

André STREBEL (Clesrstream) avait confié à Joseph FERRAYÉ lors d’un entretien le 17 octobre 2003, qu’il (FERRAYÉ) avait été écarté des négociations et du voyage au KOWEIT, parce que les Gouvernements de la coalition avaient décidé d’augmenter par 2.6 les coûts des extinctions par rapport à l’offre que Joseph FERRAYÉ avait déposée par l’entremise de CONIRA dont il était le Président

C’est sur ces bases et compte tenu des économies réalisées par ces systèmes révolutionnaires, que l’offre FERRAYÉ de USD 30 millions par puits, avait été augmentée par 2.6

Ce double système révolutionnaire en 1991 consistait dans un premier temps à éteindre le feu et dans un deuxième temps à bloquer le flux.

Dès début mars 1991, Joseph FERRAYÉ a contacté les Ministères susceptibles de s’intéresser à ses systèmes d’extinction et de blocage des puits. Ministère de l’environnement – Protection civile – la Défense (Pierre JOXE) – Commerce extérieur (Martine AUBRY) qui l’ont renvoyé d’un service à l’autre, puis d’un Ministère à l’autre sans avoir pu trouver d’interlocuteur.

  • Toujours début mars, Roland VERVAT, juriste c/o Me Guerry VAN DIJK, a mis FERRAYÉ en contact avec Mario KONIALIDIS à Genève. C’est lui qui, après avoir étudié la proposition avec un Prince Koweitien, lui a transmis que les Koweitiens voulaient seulement bloquer leurs puits et ne s’intéressaient pas à leur réutilisation. Ils avaient dans l’idée d’accorder le marché de la réutilisation des puits aux américains en reconnaissance de leur implication militaire pour la restitution du KOWEIT.
  • Mario KONIALIDIS a ajouté que c’était à Joseph FERRAYÉ de réaliser les prototypes à ses propres frais pour leur démontrer l’efficacité des systèmes. Cette demande a poussé FERRAYÉ à simplifier le système de blocage au maximum et c’est ce qui a été la base du dépôt du brevet de blocage du 11 avril 1991.

le 30 avril 1991, l’IFP Institut Français du Pétrole, a déposé un brevet N°91 05440 de « contrôle de puits de pétrole en éruption », qui est un perfectionnement du procédé classique, mais ce système n’est applicable que sur les puits à basse pression et n’était pas applicable au KOWEIT ! Il n’apporte qu’une facilité de travail en rapport avec les systèmes antérieurs identiques, mais ne procure aucun gain de temps.

Concernant les puits à forte pression, selon l’article de mai 1991 publié par l’Institut français du pétrole dans le magazine SCIENCE et VIE, il n’y avait que le forage oblique pour traiter et condamner ces puits.

Le brevet précité du 11 avril 1991, prouve incontestablement qu’il n’y avait aucun autre procédé en application à l’époque. Seuls les systèmes FERRAYÉ dont les brevets avaient été déposés les 11 et 16 avril et 2 mai 1991, ont été utilisés avec succès au KOWEIT. Le brevet précité désuet de l’IFP ne supporte aucune comparaison.

diapo1
diapo2
diapo3
diapo4
diapo5
diapo6
diapo7
previous arrow
next arrow

.
Le 02 mai 1991 Ezzat JAAFAR, Conseiller de l’Émir du KOWEIT et Victor GEBRANE, mandataire de l’inventeur, ont pris Joseph FERRAYE dans un guet-apens dans la villa du second, située à la Colle sur Loup, en l’escroquant du système d’extinction dont il avait déposé le brevet le jour même. FERRAYE ignorait qu’ils allaient utiliser à son insu un système déposé, sachant encore que l’extinction des puits ne servait à rien, sans que le flux puisse être maîtrisé par le système de blocage qui lui, n’avait pas été révélé. Ils ont trompé l’Inventeur par des promesses, lui garantissant un contrat en bonne et due forme dans les heures qui suivaient, contrat qui n’est jamais arrivé.

De suite ils ont utilisé le système d’extinction, facile à réaliser. Son utilisation avec succès a crédibilisé le système de blocage à leurs yeux et ils s’y sont dès lors intéressés. Il ne servait à rien d’éteindre des puits sans pouvoir les maîtriser et inonder tout le désert par une mer de pétrole qui ne leur aurait plus jamais permis d’accéder aux puits pour les traiter.

Il faut savoir que JAAFAR collaborait avec les mandataires de FERRAYE,  GEBRANE, REBOURS et HOBEICH, qui avaient plusieurs dizaines de milliards de dollars provenant des systèmes, sur des comptes à leurs noms et qui ont été identifiés et séquestrés en avril 1995. L’existence de ces comptes à leurs noms a été démontrée à la justice lors de l’audition du notaire parisien Eric HAYE ST-HILAIRE et celle de Daniel LEVAVASSEUR.

Dans son audition du 24 novembre 1999 page 3 à Christine JUNOD, Présidente du Collège des Juges de Genève, Daniel LEVAVASSEUR précise que les mandataires précités de FERRAYE, « REBOURS, HOBEICH et GEBRANE, étaient directement liés avec des virements de plus de USD 100 milliards partis d’une banque du KOWEIT dans des succursales au Luxembourg de la BNP et de la BANQUE DU GOTHARD ».

LEVAVASSEUR, ex Agent de la DST (services secrets français), a été retrouvé « suicidé » le 2 février 2003, la veille de son rendez-vous avec Joseph FERRAYÉ, pour lui remettre l’ensemble du dossier et des comptes découverts après les détournements.

Les essais avec succès en date des 7/9 mai 1991 au KOWEIT de l’utilisation du système d’extinction – détourné par le groupe B – REBOURS – HOBEICH – GEBRANE, agissant avec la complicité de STRAUSSKAHN Ministre français qui contrôlait à la fois l’IFP (Institut Français du Pétrole), Elf et l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) – ont crédibilisé le système de blocage qui a été escroqué dans un deuxième temps.

Pour masquer l’implication du Gouvernement français, Michel ROCARD Premier Ministre français a signé le décret N° 91432 du 13 mai 1991, suppléant le Directeur de l’INPI au Ministre de l’Industrie Dominique STRAUSS-KAHN du contrôle de l’INPI, pour éliminer tous les liens. ROCARD et le Gouvernement voulaient par là faire disparaître tous les soupçons sur l’implication de STRAUSS-KAHN dans ce complot.

Michel ROCARD a été Premier Ministre du 9 mai 1988 – 15 mai 1991, juste après la signature de ce décret. François MITTERRAND a remplacé ROCARD par Edith CRESSON, essayant ainsi de tourner la page. CRESSON a été Premier Ministre du 15 mai 1991 au 2 avril 1992, le temps de boucler les escroqueries et organiser les foires française pour vendre les systèmes FERRAYÉ à tous les pays pétroliers. Les deux FRENCH TRADE WEEKS où ont été exposés et vendus les systèmes, se sont déroulées du 21 au 29 novembre 1991 à Koweit-City et du 3 au 14 juin 1992 à Rio de Janeiro avec la complicité du Gouvernement Suisse…

Comme on le voit sur les photos ci-dessus, l’affiche de la FRENCH TRADE WEEK est la même, sans la date de l’exposition, que la photo que tient Christian BASANO, Associé de Joseph FERRAYÉ, figurant sur la première page de l’offre officielle de la présentation des systèmes au KOWEIT, fin juillet 1991…

C’est une confirmation de plus, qu’avant fin juillet 1991, les pétroliers ne disposaient d’aucun moyen de mettre les puits sous contrôle.

Depuis mai 1991, les experts pétroliers éteignaient les feux avec le système d’extinction escroqué, mais ne pouvaient pas maîtriser les flux. C’est ce qui a provoqué les lacs de pétrole représentés plus haut, jusqu’au moment où le gouvernement français a détourné (escroqué) le système de blocage, après que les brevets aient été déposés à l’INPI….

Complicité de l’Émir du KOWEIT Sabah al-Ahmad al-Jaber al-Sabah

Grand allié des Etats-Unis et de l’Arabie Saoudite, le chef d’Etat koweïtien Sabah al-Ahmad al-Sabah
s’est éteint mardi 29 septembre 2020

Dans sa déposition du 11 août 2004, Ahmad Naser AL SABAH, Prince au KOWEIT (cousin de l’Emir) travaillait à l’époque à la Banque AL WATANI à Londres. Il a voulu faire croire à la justice, qu’un autre système avait été utilisé au KOWEIT et a déclaré en page 3 de son audition, qu’outre RED ADAIR qui a appliqué les systèmes FERRAYÉ, une société hongroise était intervenue.

Or, le système d’extinction hongrois est arrivé au KOWEIT le 22 octobre 1991 et le dernier puits a été éteint au KOWEIT le 5 novembre 1991. Le système hongrois a été testé sur quelques puits pour créer une diversion sur l’application des systèmes FERRAYÉ. Il s’agissait d’un système d’extinction seulement, mais qui ne bloquait pas le flux. Il consistait en un char d’assaut sur lequel étaient montés deux réacteurs de Mig qui propulsaient de l’azote sur le feu et créaient une véritable tempête d’azote durant quelque 20 minutes pour que le feu s’éteigne.

Le système FERRAYE quant à lui parvenait à éteindre le feu en moins d’une minute… !

Présentation des systèmes

Le 22 mai 1991, Joseph FERRAYE a contacté Guy TURCO, Doyen de la faculté des sciences de Nice pour lui soumettre l’affaire et tenter d’avoir l’appui du Gouvernement français. Guy TURCO lui a demandé alors de contacter Etienne TILLIE de sa part. Le même jour, TILLIE a demandé à FERRAYE d’envoyer dans un premier temps un fax comportant toutes ses coordonnées à Christian BASANO.

Joseph FERRAYE ne connaissait ni TILLIE, ni BASANO. Après l’envoi du fax, ces deux individus n’ont pas recontacté Joseph FERRAYE avant le 3 juin 1991 et ont tenté dans l’intervalle d’obtenir les brevets en se présentant auprès de l’INPI comme membres du CNRS (Centre national de recherches scientifiques). Ils ont chargé Guy TURCO de la Faculté des Sciences de Nice de faire la démarche. Mais leur action est restée sans succès puisque le Gouvernement avait déjà la mainmise sur les systèmes par l’intermédiaire du Ministre de l’Industrie Dominique STRAUSS KAHN. Bien entendu Joseph FERRAYE n’a eu connaissance de ces faits que beaucoup plus tard.

Le 3 juin 1991 Christian BASANO a appelé plusieurs fois FERRAYÉ pour le convaincre de le rencontrer. Vers 10.00 H, un rendez-vous a finalement été pris et c’est là que les deux individus qui deviendront par la suite des « associés », ont proposé à l’inventeur de constituer une Société dans laquelle il serait majoritaire. Il s’agissait de CONIRA (COmpagnie NIçoise de Recherche Avancée), qui n’a finalement jamais été enregistrée. A cette occasion, BASANO et TILLIE ont pris les copies des brevets déposés.

Le 4 juin 1991, Christian BASANO a compris la nécessité d’inclure dans cette affaire des membres du Gouvernement français qui pourraient avoir autorité sur Dominique STRAUSS KAHN, pour s’opposer à l’escroquerie déjà réalisée par STRAUSS KAHN. C’est là que BASANO a rencontré Aurélien GARCIA à Paris. GARCIA a été présenté à FERRAYE comme chargé de mission d’Edith CRESSON qui était alors Premier Ministre.

C’est lors de cet entretien que BASANO a eu confirmation par GARCIA que le Gouvernement français avait déjà entrepris le détournement des systèmes.

Pour rattraper l’affaire, BASANO a proposé de suite à GARCIA, pour le compte de CRESSON, FF 500’000.- sur chaque puits traités par les systèmes FERRAYE. Souvenons-nous que 1’164 puits avaient été explosés… Bien entendu ces démarches se faisaient à l’insu de l’inventeur !

Dans son livre « Jeu de Banques », Christian BASANO indique la légende suivante en rapport avec cette photo : 
 « Les inventeurs – 14 juin 1991 »

Le 5 juin 1991 au matin, BASANO a demandé à FERRAYÉ d’aller chez TILLIÉ et lui a donné son adresse à la Colle sur Loup. La rencontre devait permettre d’expliquer à TILLIÉ le fonctionnement des systèmes. La photo ci-dessus démontre FERRAYÉ expliquant les systèmes à TILLIÉ assis à son bureau du 5.6.1991 au 27 juillet 1991.

On sait que TILLIÉ était totalement étranger à la découverte des systèmes et n’était rien d’autre qu’un escroc comme l’a démontré la suite des événements. Une preuve supplémentaire s’il en faut, de la complicité de BASANO avec TILLIÉ qui, à de nombreuses reprises ont tenté de faire croire qu’ils n’avaient pas pu négocier les systèmes FERRAYÉ. Voir aussi l’accord antidaté rédigé par TILLIÉ.

Dans une lettre du 5 juin 1991 adressée à Jean-Michel BAROCH, responsable des négociations avec le KOWEIT, Edith CRESSON a confirmé son soutien aux échanges en cours. Elle y précise « J’ai pris connaissance du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et la maîtrise des puits de pétrole au Koweit ».

Nous voyons là qu’Edith CRESSON, comme l’avait planifié BASANO, a tenté de court-circuiter directement son Ministre de l’Industrie Dominique STRAUSS KAHN qui avait déjà escroqué les systèmes FERRAYE depuis l’INPI, au moment de la période de secret des brevets.

Par sa lettre précitée, Edith CRESSON a laissé croire qu’elle officialisait en toute légitimité l’appui de la SOFREMI. Elle y précise « J’ai pris connaissance du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et la maîtrise des puits de pétrole au Koweit ».

En réalité, cette société gouvernementale n’a pas été concernée par les accords, comme l’a confirmé la décision du 6 mars 2001 du Tribunal de Grande Instance de Paris.

.

Mohammed ben Salmane ben Abdelaziz Al Saoud – Prince Héritier d’Arabie Saoudite

Par l’accord antidaté de 2 ans cité en début d’article, on constate que les associés et mandataires de FERRAYÉ se sont alliés le 26 juillet 1991 avec les Autorités du KOWEIT et les familles royales du KOWEIT et de l’Arabie Saoudite pour escroquer les royalties. Cet accord a été conclu avec P. B . E . Oil et portait sur la vente du système FERRAYÉ de blocage «BLOCKING ROBOT FOR HIGH PRESSURE OIL WELL », par ARAMCO (Arabian American Company) dont la Société est propriété de la famille SAOUD…
.

Basano et Tillié au champagne dans le vol pour le KOWEIT. Ils fêtent déjà l’accord grâce à la lettre du Ministre de l’INPI Dominique STRAUSS-KAHN (DSK) qu’ils ont en poche

Basano et Colonna dans les rues de KOWEIT

Devant l’Ambassade de France au KOWEIT, Tillié félicite Colonna qui vient de remettre la lettre de DSK à l’Ambassadeur Jean BRESSOT.

L’escroquerie d’Edith CRESSON s’est faite par l’entremise de la Société P.B.E Oil SA à Epinal, qui avait été liquidée et avait cessé toute activité depuis le 7 avril 1989.

Il faut se souvenir que la SOFREMI avait été constituée en 1985 par Charles PASQUA qui était directement impliqué dans le complot.

Mme Nagguy BRESSOT, épouse de Jean BRESSOT, ambassadeur de France à l’époque des faits au KOWEIT, a déclaré que suite à ce litige entre les Ministres STRAUSS-KAHN et CRESSON, c’est François MITTERRAND, alors Président, qui a rallié les deux groupes pour qu’il n’y ait pas de fuite et qu’ils maîtrisent l’escroquerie des deux systèmes.

Le 2 août 1991, Christian BASANO Associé de Joseph FERRAYÉ, a communiqué à l’Inventeur depuis le KOWEIT, que le nouveau Président de l’INPI Jean-Claude BOURDON (suite au décret ROCARD), était lui aussi au KOWEIT et présentait les systèmes de FERRAYE. Ensuite, BASANO a demandé à FERRAYE de signer une cession de ses droits sur les systèmes au nom de CONIRA, pour qu’il puisse faire valoir les droits d’antériorité de FERRAYE sur ces systèmes. Il s’agissait là d’un plan diabolique – lié à l’accord antidaté – établi par TILLIE et COLONNA, agissants sous l’égide de la DGSE (services secrets français) et du Gouvernement français de l’époque. Dans ses déclarations, Christian BASANO, associé de Joseph FERRAYÉ au même titre que TILLIÉ et COLONNA, a fait savoir à l’Inventeur qu’ils allaient nommer COLONNA comme Président de CONIRA pour signer les accords avec le KOWEIT. Joseph FERRAYÉ qui détenait la majorité des parts avec sa nièce, n’a pas eu un mot à dire…

La lettre de AL BADER Trading Co du 5 août 1991 au Ministre du Pétrole Koweitien Hmoud AL RAQBAH confirme aussi que l’offre a été présentée officiellement par CONIRA, donc par les associés de FERRAYE, le samedi 3 août 1991 et ceci après les essais réussis de l’application du système de blocage.

A leur retour du KOWEIT le 13 août 1991, BASANO, TILLIE, COLONNA, ont déclaré à FERRAYÉ, que le ministre du pétrole Hmoud AL RAQBAH, allait leur envoyer le contrat dans les 15 jours qui suivaient, puis ils ont disparu des Alpes Maritimes. De septembre à novembre 1991, pour déstabiliser Joseph FERRAYE et pour gagner du temps ils ont manipulé l’Inventeur par des propos opposés et fait les fausses déclarations successives suivantes :

  • Heureusement que nous avons des amis (il s’agissait du général Mohamed AL BADER et de ses frères Youssef et Hamad, et Issam AL SAGER) au KOWEIT, qui surveillent les extinctions. Ces amis vont nous envoyer les preuves de l’utilisation des systèmes.
  • Nous avons perdu une bataille et pas la guerre (octobre 1991).
  • Nous avons perdu la guerre et nous devons accepter la défaite (novembre 1991).
  • Etc.

Depuis le 15 août 1991, après leur retour du KOWEIT, les associés de Joseph FERRAYÉ se sont retranchés durant 1 mois en Corse dans la propriété de François COLONNA. Ils interdisaient tout contact avec eux. Ils insultaient Joseph FERRAYE sans ménagement pour l’impressionner, l’éloigner et tenter de le décourager de venir au bureau de BASANO pour obtenir les renseignements auxquels il avait droit après leur voyage au KOWEIT.

Selon Daniel LEVAVASSEUR, Les secrétaires de BASANO, Arlette FOLCO, 62 ch. de Val Fleuri à Cagnes sur Mer et Marie-Rose SAHAKIAN, 2 rue Sévan à Nice, avaient chacune plus de USD 100 millions à leur nom sur les comptes retrouvés…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *