Un « contrepouvoir » pour garantir le bon fonctionnement de la Démocratie.
Constitution fédérale du 12 septembre 1848
La Confédération Suisse, voulant affermir l’alliance des Confédérés, maintenir et accroître l’unité, la force et l’honneur de la Nation suisse, a adopté la Constitution fédérale du 12 septembre 1848. Celle-ci garantissait déjà la Liberté de la Presse, dans son Article 45.
Ainsi, les Pères Fondateurs ont assuré à notre Presse, la protection indispensable pour pouvoir jouer son rôle essentiel à notre Démocratie.
La mission de la Presse était dès lors de servir les Gouvernés et non les Gouvernants, en agissant comme contrepouvoir des Autorités politiques et judiciaires en place. C’est en respectant la Constitution fédérale que les représentants de la Presse devaient montrer leur respect envers le Peuple souverain qui leur avait octroyé et garanti ce privilège en signe de rappel que le Pouvoir appartient à l’ensemble des Citoyennes et Citoyens.
Constatons aujourd’hui que les Journalistes ont failli à leur Devoir !
Pour mieux le comprendre, mettez la « Déclaration des DEVOIRS et des DROITS des Journalistes« , en regard des travaux quotidiens des représentants des Médias de tout bord.
La PRESSE devait être le 4e Pouvoir dont l’indépendance était garantie par la Constitution, à l’instar du 3e Pouvoir JUDICIAIRE (qui en réalité n’est pas un pouvoir, mais une AUTORITÉ). Les deux premiers Pouvoirs EXÉCUTIF et LÉGISLATIF étant purement POLITIQUES.
Les 1er et 2e Pouvoirs politiques ont pris le contrôle, en violation de la Constitution fédérale, des 3e et 4e Pouvoirs (Autorité Judiciaire et la Presse). Pour le Pouvoir Judiciaire, ils nomment les Magistrats et exigent que ceux-ci restituent une partie de leurs salaires aux Partis qui les ont fait élire. Pour la PRESSE, ils subventionnent généreusement les Organes de Presse pour ensuite contrôler que l’information ne leur soit pas défavorable….
L’information est dès lors censurée, elle manque de toute objectivité, elle trompe trop souvent les Citoyens et elle n’assure plus son rôle constitutionnel de contre-pouvoir, consistant à garantir le fonctionnement de la Démocratie.
Nos journalistes sont aujourd’hui les Larbins du monde politique corrompu qui escroque depuis des décennies le patrimoine populaire et privé.
Ils sont les ennemis du Peuple.
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Qui sont nos Médias ?
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TX Group (Tamedia) – Anciennement Tages-Anzeiger
TX Group connu sous le nom de Tamedia jusqu’en 2020, est le plus grand groupe de médias privé de Suisse, sous contrôle de la famille CONINX qui détient plus de 71 % du capital. Fondé en 1893, TX Group emploie environ 3’400 collaboratrices et collaborateurs en Suisse, au Danemark, au Luxembourg, en Autriche et en Allemagne. Le groupe est coté à la bourse suisse depuis l’an 2000. Le président du Conseil d’administration et éditeur est Pietro SUPINO. Anciennement, TX Group était présidé par Hans Heinrich CONINX-PELTZER dont la présence dans les société qui ont contribué à l’escroquerie et au blanchiment des royalties, vaut le détour.
Relevons qu’hormis des sociétés en lien avec la Presse, Hans Heinrich CONINX-PELTZER figure au RC de Rothschild Bank, de sociétés de participations, de transactions financières, etc., mais aussi de la « Tagblatt der Stadt Zürich AG » où l’on relève aussi le nom de Christoph BLOCHER et de sa fille Rahel.
Ceci nous démontre qu’au-delà des noms des groupes de médias, il n’y a aucune indépendance journalistique !
TX Group trouve son origine dans la fondation du Tages-Anzeiger, le 2 mars 1893 à Zurich.
En 1993, la société «Tages-Anzeiger für Stadt und Kanton Zürich AG» a adopté la nouvelle raison sociale «TA-Media AG». Sept ans plus tard, en 2000, l’entreprise est baptisée Tamedia. Le 2 octobre de la même année, Tamedia AG entre en bourse.
En 2007, Tamedia a fusionné avec Berner Espace Media Groupe et en 2011 a repris intégralement Edipresse Suisse, qui édite alors les principales marques médias en Suisse romande. Notons que la famille LAMUNIÈRE, propriétaire d’Edipresse avait contribué activement au blanchiment des royalties et que Pierre LAMUNIÈRE siège au Conseil d’Administration de TX Group. Au surplus, Edipresse avait surtout contribué à désinformer l’Opinion publique lorsque l’escroquerie et le blanchiment des royalties avaient été portés à la connaissance des « journalistes ».
En 2015, Tamedia a regroupé des journalistes de 24 Heures, La Tribune de Genève, Le Matin et 20 Minutes au sein de Newsexpress (NXP), une unité de rédaction commune chargée d’alimenter les sites internet du groupe en alertes informations, dépêches d’agences de presse, reportages photos et comptes-rendus en direct « Live-ticker ».
Le 1er janvier 2020, Tamedia se réorganise et devient TX Group, en référence à « Technology Exchange ».
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ooo Ringier
En Suisse, Ringier édite deux quotidiens :
- Le Temps (francophone) et
- Blick (germanophone),
- un journal du dimanche (Sonntags-Blick)
- ainsi qu’un titre (CASH) et un portail financier.
Le groupe prévoit qu’à terme, tous les quotidiens et hebdomadaires seront imprimés par le groupe TAMEDIA (TX Group). Wikipedia
L’activité numérique du groupe est réalisée par la filiale Admeira (dont les parts de la Société suisse de radiodiffusion et télévision et Swisscom ont été rachetées en juin 2018 et en février 2020).
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Marc Walder (1965) a pris en charge la présidence du Group Executive Board de RINGIER SA en avril 2012. Il est aussi administrateur de plusieurs entreprises: Swiss Marketplace Group, JobCloud SA, RingierAxelSpringer Pologne, Ringier Serbie, etc. M. Walder est président du Conseil d’administration d’Admeira SA, Ringier Africa AG, onelog SA et vice-président de Ticketcorner SA. Il est également membre du Conseil d’administration de sportradar, l’entreprise technologique leader du secteur des sports dans le monde. Il est par ailleurs membre du Conseil consultatif exécutif de WORLD.MINDS. Marc Walder est le fondateur de digitalswitzerland, une initiative intersectorielle qui vise à ancrer et à renforcer la Suisse en tant qu’emplacement mondial de premier plan pour l’innovation numérique. L’association compte 240 membres. Il est membre de l’organe consultatif sur la transformation numérique du Conseil fédéral. A la Digital Economy Award Night 2019, M. Walder s’est vu décerné le titre honoraire de «Digital Economy Ambassador». Il a été honoré pour son engagement en faveur de l’économie suisse et du secteur des TIC. Sous sa houlette, Ringier SA s’est résolument engagée dans la diversification et dans la numérisation en consentant d’importants investissements dans des écosystèmes numériques. En 2008, Marc Walder a suivi l’Advanced Executive Management Program de la Harvard Business School à Boston. M. Walder détient une part de 10% dans Ringier SA depuis janvier 2018. Marié et père de deux filles, il réside près de Zurich.
Avec un individu comme Marc WALDER à la tête de sociétés technologiques de numérisation en Suisse, les Clients auraient tout intérêt à rechercher des alternatives dans le domaine à l’étranger, s’ils ne veulent pas être observés par un état fouineur corrompu.
La preuve en est la soumission de Marc WALDER aux Autorités gouvernementales suisses comme on le voit dans l’audio ci-dessous.
Comme si la cas de CRYPTO de coopération Suisse avec la CIA n’avait pas suffit… !
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RTS – Radio Télévision Suisse
Complicité de la RTS dans le blanchiment des Royalties
Dans une émission « Pardonnez-moi » de Darius ROCHEBIN, Yeslam BEN LADEN, frère d’Oussama, avait révélé les 3 situations suivantes :
- Qu’il gérait les comptes de toute sa famille, y compris les comptes appartenant à Oussama BEN LADEN
- Qu’il avait descendu le capital social de SICO après les attentats du 11 septembre 2001. (Mensonge absolu)
- Que suite aux attentats, il se voyait contraint de devoir se déplacer avec 2 gardes du corps.
Ces 3 déclarations qui laissaient planer des soupçons ou liens entre Yeslam BEN LADEN et les attentats du 11 septembre 2001, ont été ensuite censurées par la Télévision Suisse Romande…
Les dirigeants d’IDEE SUISSE, propriétaires Francs-Maçons de la RTS, semblent donc blanchir l’info à l’instar des royalties et se faire complices, eux aussi, de la couverture du complot.
La TSR se prête avec obstination à la désinformation publique et au blanchiment de l’information dans tous les domaines. Peu avant le départ de BERTOSSA de Genève, la TSR avait présenté une émission de « DUEL » dans laquelle Dominique WARLUZEL interviewait Bernard BERTOSSA… Grandiose ! Les Téléspectateurs ont dû penser qu’il étaient face à des « perles » du Droit Suisse, du moins pour les auditeurs les plus naïfs…
Tant le Procureur général BERTOSSA, que l’Avocat Dominique WARLUZEL ont fait de fausses déclarations et ont menti avec un aplomb déconcertant ! Il sont même parvenus sur le plateau, à tourner en dérision l’escroquerie dans laquelle ils sont tous les deux impliqués, quand BERTOSSA a déclaré : « Si les places financières suisse et genevoise se portent bien, c’est grâce à la politique que nous avons suivie… ». Même WARLUZEL, qui avait face à lui son complice dans l’escroquerie, a dû rire de cette réponse cynique de BERTOSSA !
Voyons encore quelques autres passages de cet enregistrement sur le plateau de la RTS, des deux MAFIEUX à la tête du complot :
« A l’époque, la MAFIA assassinait les procureurs, elle a compris que ce comportement finissait par lui nuire… ». En fait aujourd’hui, cette MAFIA se porte mieux, depuis qu’elle les achète !
Au-delà des 3’600 milliards provenant de la vente des brevets, les détournements par BERTOSSA et ses complices, de plus de 100 milliards de dollars au détriment du Peuple Irakien, ont été et sont toujours les causes de drames humanitaires journaliers et pourtant BERTOSSA avait déclaré : « Mon engagement est motivé par une nécessité humanitaire, quand je vois dans des rues de Moscou des dizaines de milliers d’enfants qui n’ont pas de toit, des gens qui meurent de faim, la lutte contre la criminalité c’est aussi avoir à l’idée qu’à cause de la corruption de certains dirigeants, il y a des phénomènes de violence qui existent… […] Ma politique (Bertossa) est de poursuivre tout le monde, aussi ceux qui sont toujours en place… Le Crime organisé utilise la Suisse à cause de sa place financière… […] Pour éviter d’être instrumentalisés, faisons toujours la même chose… […] «L’utilisation des MEDIA dans le cadre de « L’appel de Genève – La justice ou le chao » devait permettre une concertation des juges européens…».
En réalité, cette concertation dans le cadre de l’Appel de Genève, ne visait qu’à fédérer les Procureurs de toute l’Europe, en utilisant la corruption, pour qu’ils se rallient au complot et n’interviennent JAMAIS dans les plaintes qui seraient déposées pour que Joseph FERRAYÉ puisse faire valoir ses Droits !
La Presse sous contrôle de la Franc-Maçonnerie, a joué un rôle majeur dans la dégénérescence des Institutions politiques et économiques. Notons au passage, que l’émission Pardonnez-moi de Darius ROCHEBEN, a contribué à blanchir l’image d’une quantité de criminels et d’escrocs, face à l’Opinion publique !