https://swisscorruption.info/crimes-d-etat

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Gestion du Fonds AVS en mains américaines

State-Street – Quand des MAFIEUX gèrent l’argent des Suisses

Big three – BlackRock – Vanguard – State-Street

Le Conseil Fédéral prête son image au Crime organisé

World Economic Forum (Cologny GE) – Klaus SCHWAB
Vous ne posséderez rien et vous serez heureux

WINTERTHUR

SWISSAIR

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Gestion du Fonds AVS en mains américaines

À la demande du Conseil fédéral suisse, contrôlé par les Sionistes, le mandat de gestion du fonds AVS de retraite des Suisses a été mis au « concours »UBS SA a perdu le mandat de gestion du fonds AVS, de CHF 48,6 milliards, au profit de la Société américaine State Street dont le siège est à Boston (Massachusetts) USA.

JAMAIS un tel fonds dont dépend toute la Population suisse, n’aurait dû être mis en mains étrangères ! Comme le fait MACRON avec la France, nos Conseillers fédéraux trahissent leurs devoirs de fonction en suivant les ordres des Sionistes qui veulent appauvrir le Peuple !

Le Peuple suisse a toujours eu sa destinée en mains grâce à un pouvoir d’achat parmi les plus élevés au monde. En perdant son pouvoir d’achat et sa fortune, en perdant son identité, les Citoyens deviennent soumis et obéissants… Souvenez-vous des déclarations de Nicolas SARKOZY : « Si nous n’obtenons pas ce que nous voulons, nous utiliserons des moyens contraignants… »
Vidéo sur : https://swisscorruption.info/immigration

C’est un coup monté, comme ils l’ont fait avec CREDIT SUISSE, pour détourner des dizaines de milliards de francs et ils viendront ensuite nous parler d’un crash boursier… https://swisscorruption.info/credit-suisse

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Le Président de State Street, Ronald P. (Ron) O’HANLEY semble être au cœur des sociétés de blanchiment des royalties, dans l’Affaire de Genève. Il apparait dans McKinsey, dans la Federal Reserve Bank of New York – celle-là même qui transférait des centaines de milliards de dollars par avions-cargos à la Mafia Russe https://swisscorruption.info/moneyplane. De l’argent qui était transféré par la Republic National Bank of New York succursale de Genève, au siège de New York… https://swisscorruption.info/swissleaks.

À ce sujet, il est important de relever que le Ministère Public de la Confédération, le Tribunal Pénal fédéral, le Tribunal Fédéral et le Conseil Fédéral, ont rejeté toutes les plaintes déposées pour l’escroquerie des royalties… https://swisscorruption.info/royalties2 et tous les liens relatifs à cette escroquerie dans laquelle la plupart des Gouvernements occidentaux ont été corrompus, à commencer par la Suisse et la France grâce aux liens de SARKOZY avec la CIA… https://swisscorruption.info/usa/#sarkozy

Notons encore que Ronald P. (Ron) O’HANLEY apparait aussi dans la Bank of New York / BNY Mellon, BNY Mellon Investments Switzerland GmbH Zürich, etc. et dans le Crime organisé par la haute finance qui transite par la Suisse.

POURQUOI avoir alors confié le Fonds AVS à une société étrangère dirigée par des individus qui apparaissent dans le Crime organisé et qui n’auront aucun scrupule à escroquer les avoirs vieillesse du Peuple suisse ?

Soyons certains que si cet argent « disparaît en bourse », tout comme pour CREDIT SUISSE, il n’aura pas disparu pour tout le monde… Le dossier du Hold-up UBS, au même titre que SWISSAIR, WINTERTHUR, etc., nous démontre qu’avant de mettre en faillite ou de fusionner une société qui détient des valeurs considérables, les dirigeants de ces sociétés s’arrangent pour transférer toute la fortune de ces sociétés… Ce fût le cas pour les sociétés précitées, sur les comptes de « sociétés miroirs » offshore…

Souvenons-nous que l’ex Conseiller fédéral Kaspar VILLIGER, qui a aussi été Président d’UBS SA banque co-responsable avec CREDIT SUISSE du grounding de SWISSAIR, a été Président d’UBS et qu’il figure parmi les Administrateurs de la Banque miroir UBS Zürich à Londres… Vous comprenez pourquoi toutes les plaintes sont classées systématiquement ?

State Street cité plus haut fait partie de ce que l’on nomme les « big three » (les trois plus grands) qui comprennent Black Rock, Vanguard et State Street. Il est intéressant de jeter un coup d’œil au pédigré de ces trois sociétés dirigées par des criminels…

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Les « Big three »

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https://swisscorruption.info/ennemis2/#big-three

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Une fois de plus, on constate que ces trois gigantesques fonds d’investissements, ont été créés au moment où la finance mondiale, avec comme initiateurs entre autres les banquiers suisses, escroquaient les milliers de milliards provenant des royalties dans l’affaire de Genève… Tout ça grâce à une « justice » et à des Autorités cantonales et fédérales complices et complètement corrompues comme on le voit ci-dessous :

Flavio COTTI https://swisscorruption.info/pdc/#cotti (ex Conseiller Fédéral au DFAE présent lors de la vente des brevets)

Bernard BERTOSSA https://swisscorruption.info/bertossa (ex Procureur général Genève / Complicité avec FedPol)

Micheline CALMY-REY https://swisscorruption.info/ps/#calmy-rey (ex Conseillère d’État lors de l’encaissements de dizaines de millions pour les droits de timbres sur les conventions qui ont permis l’escroquerie des royalties, devenue ensuite Conseillère Fédérale au DFAE)

Les Procureurs corrompus du Ministère Public de la Confédération : https://swisscorruption.info/mpc/#procs (Constatez que la plupart ont passé par FedPol et sont liés à l’escroquerie et au blanchiment des royalties – à commencer par Isabelle CHASSOT…)

Michael LAUBER https://swisscorruption.info/lauber (ex FedPol Chef de l’Unité centrale de la criminalité organisée et du Blanchiment d’argent, devenu ensuite Procureur général de la Confédération)

Kurt SENN https://swisscorruption.info/fedpol/#senn (ex Agent de FedPol qui a traité le dossier de l’escroquerie des royalties)

Christoph BLOCHER https://swisscorruption.info/blocher (ex Administrateur d’UBS qui a obtenu des dizaines de milliards et devenu ensuite Ministre de la Justice de qui dépendait FedPol). Il s’est fait construire 117 usines chimiques en Chine au moment de l’escroquerie… https://swisscorruption.info/blocher/#chine

Christian LUESCHER https://swisscorruption.info/luescher (ex Membre de la Commission fédérale de Justice – Aujourd’hui Président de la TradeXBank AG Zürich (exSberbank / Troika Dialog Bank), propriété d’Abdallah CHATILA, dont les liens dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties ne laissent planer aucun doute !
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Isabelle CHASSOT https://swisscorruption.info/ennemis/#chassot Ancienne adjointe scientifique de FedPol, Conseillère aux États fribourgeoise, Présidente de la CEP (Commission d’Enquête Parlementaire) chargée de confirmer que l’opération du Hold-Up CREDIT SUISSE par UBS SA est conforme https://swisscorruption.info/ubs. Elle est une soldate sans faille (une vraie tueuse comme l’avait souhaité Flavio COTTI) https://swisscorruption.info/ennemis au service du Crime Organisé par la MAFIA d’État https://swisscorruption.info/mafia

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Les membres du Conseil Fédéral prêtent impunément leur image au CRIME ORGANISÉ.

L’Art. 179decies du Code Pénal suisse stipule que « Quiconque utilise l’identité d’une autre personne sans son consentement dans le dessein de lui nuire ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite est, sur plainte, puni d’une peine privative de liberté d’un an au plus ou d’une peine pécuniaire ».

Commençons par visionner les 4 vidéos ci-dessous, pour voir dans quel CRIME d’escroquerie les membres du Conseil Fédéral prêtent leur image. Il faut savoir que par le passé, Christoph BLOCHER, Guy PARMELIN, Darius ROCHEBIN avaient déjà fait de même et il y en a probablement d’autres…

D’autre part, en cliquant sur les liens demandés dans les vidéos, on tombe sur les liens d’enregistrements suivants qui ne sont en ligne que 24 heures. Ils sont ensuite repris par d’autres liens qui conduisent aux mêmes documents, ne laissant ainsi aucune trace des liens passés… C’est à cette transparence que prêtent aussi nos Conseillères fédérales par leur image…

Comme on l’a vu plus haut, le Code Pénal stipule qu’utiliser l’identité d’une personne sans son consentement pour procurer à un tiers un avantage illicite est, sur plainte, puni par la Loi.

Or, depuis des mois, les membres de notre Conseil Fédéral, les Journalistes, les Médias subventionnés par les impôts des Citoyens, prêtent leur image à des CRIMINELS et favorisent des ARNAQUES qui doivent se chiffrer en millions de francs, sans porter plainte, pour stopper le carnage !

Sans comprendre où se situe l’intérêt des personnes qui prêtent leur image à ces ARNAQUES et les raisons pour lesquelles elles ne cherchent pas à mettre fin à l’usurpation de leur identité (à moins qu’elles ne soient rétribuées à cet effet), force est de constater – compte tenu de leurs fonctions – qu’elles engagent non seulement la responsabilité de la confédération par les propos qui sont tenus, ou celle des médias subventionnés dont le rôle est loin d’être insignifiant.

Pour tenter de mettre un terme à ces escroqueries, nous (Marc-Etienne BURDET et Daniel CONUS) avons dénoncé les CRIMES précités au Ministère Public de la Confédération, dans une plainte pénale du 7 août 2024 https://swisscorruption.info/retraite45ans

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Et si les membres de nos Autorités prêtaient leur concours à un objectif avoué de l’État profond, qui est de dépouiller les Citoyens…

Le Grand Reset – Klaus SCHWAB

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »

Depuis quelques décennies – en fait depuis l’Affaire de Genève, la plus grande escroquerie de l’histoire de l’Humanité à laquelle ont participé les membres du Conseil Fédéral et pour laquelle une responsabilité civile délictuelle de plus de CHF 78’848 milliards est revendiquée on constate en occident (France, Allemagne, Belgique, Royaume-Uni, Italie, Espagne, Portugal, Grèce, etc.), que les Gouvernements ont tout mis en œuvre pour appauvrir leurs populations. L’exemple de la France depuis François MITTERRAND (C’est lui et Dominique STRAUSS-KAHN qui ont escroqué les brevets) est significatif quand l’on voit que tous les joyaux français ont été mis en mains de CRIMINELS https://swisscorruption.info/france/#presidents

Il est établi que les membres du Gouvernement suisse ont été complices de l’escroquerie des Royalties dès le début en 1992 déjà. Mais il est vrai que contrairement à la France par la proximité de ceux-ci avec la Population, ils ont mis beaucoup plus de temps à trahir ouvertement le Peuple souverain, même si aujourd’hui ils ne s’en cachent même plus !

Il faut savoir ou se souvenir, que c’est en 1995 que le Procureur général genevois Bernard BERTOSSA avait levé les séquestres sur les royalties escroquées et que c’est à ce moment-là aussi que la Franc-Maçonnerie a créé en Suisse, des centaines de Clubs de services, dans le but de blanchir les milliers de milliards qui arrivaient sur le marché… Il s’agissait pour la Secte SATANIQUE, de disposer d’individus à large échelle pour opérer le blanchiment, mais surtout de pouvoir contrôler ces individus par le « serment secret » qu’ils prêtent à la Secte et le devoir d’allégeance qu’ils doivent ensuite à celle-ci.

Pour les Politiciens élus ou les hauts Fonctionnaires, en prêtant serment à un Club de services, celui-ci surpasse le Serment prêté sur la Constitution et dès lors, ils trahissent le Peuple souverain qui les a élus et qu’ils se sont engagés à servir, au surplus de manière très bien rémunérée… Ils servent dès lors les intérêts d’une Secte SATANIQUE à laquelle ils ont adhéré, contre les intérêts de l’État qu’ils sont censés représenter !!! C’est de la TRAHISON !

WINTERTHUR

Les prémisses ce cette trahison ont été ressentis à partir de 1997 avec le « rachat » du groupe WINTERTHUR par CREDIT-SUISSE… Il est intéressant de consulter le contexte dans lequel s’est opéré ce rachat, sur le lien https://swisscorruption.info/#winterthur. En rachetant WINTERTHUR, CREDIT SUISSE s’est approprié – au-delà d’un fleuron de l’économie – des centaines de milliards de réserves latentes qui ont subitement disparu, puisque puisque lors de la vente de WINTERTHUR à AXA, CREDIT SUISSE a prétendu que l’Assureur n’était pas rentable… En réalité, il fallait que les archives de l’escroquerie disparaissent, comme ils l’avaient déjà fait lors du rachat de BPS/SVB par CREDIT SUISSE et de SBS/SBV par UBS après l’escroquerie des royalties…

SWISSAIR

Toute « l’élite » nauséabonde de la politique suisse aimait faire valoir ses « capacités » au Conseil d’administration de SWISSAIR. Une histoire de prestige ! Gerhardt W. FISCHER, Hannes GOETZ, Paul-Antoine HÖFLIGER, Éric HONEGGER, Jean-Philippe MAÎTRE, Thomas SCHMIDHEINY, Georges SCHORDERET, Vreni SPOERRY, Gaudenz STÄHELIN, et les banquiers Josef ACKERMANN, Georges BLUM, Rainer E. GUT, Bénédict HENTSCH, Lukas MÜHLEMANN, Marcel OSPEL, Robert STUDER, Dieter Max SYZ, etc.

Le RC de la Société SAirGroup AG CH-020.3.925.572-0 laisse apparaître des dizaines d’individus qui ont sacrifié notre Compagnie nationale SWISSAIR lors du grounding du 2 octobre 2001 pour s’en mettre plein les poches par le blanchiment des royalties.

Le grounding de SWISSAIR du 2 octobre 2001 avait été minutieusement planifié depuis janvier 1997.

Le 1er janvier 1997, soit quatre ans et 10 mois avant le grounding (soit juste après que les séquestres aient été levés sur les royalties escroquées qu’il fallait blanchir), l’intention de créer une nouvelle société miroir de SWISSAIR au Royaume-Uni, sous la référence FC022281 était concrétisée comme on le voit sur l’extrait ci-contre. Il est fait mention dans l’acte de constitution daté du 20 janvier 2000, que cette société correspond à l’enregistrement d’une société étrangère : SWISSAIR Schweizerische Luftverkehr-Aktiengesellschaft, 1 Balz Zimmermann-Strasse – 8302 Kloten Switzerland, société inscrite dans le Canton de Zürich sous référence CH-020.3.019.720-0. Cette dénomination correspond à l’inscription exacte de la société originale créée en 1931, comme on le voit ci-dessous.

Parallèlement, le 23 mai 1997, une nouvelle société « Swissair Schweizerische Luftverkehr-Aktiengesellschaft » avec siège à Kloten, et enregistrée en Suisse, était créée sous le N° RC CH-020.3.019.720-0, avec un capital-actions de CHF 150 millions.

Il restait ainsi 20 mois aux escrocs pour vider le SAirGroup de toute substance, avant de procéder au Grounding et mettre en faillite la Banque volante »…

SWISSAIR Schweizerische Luftverkehr-Aktiengesellschaft fondée en 06.1931 avait été enregistrée au RC de Zürich, sous la référence CH-020.3.925.572-0. En mai 1997, son capital-actions était de CHF 808 millions.

Après la création de la nouvelle SWISSAIR CH-020.3.019.720-0, l’ancienne société fondée en 1931 a changé de nom en SAirGroup. Le nouveau nom a été enregistré le 29 mai 1997 et le but de la société qui était le transport de passagers, de marchandises et de courrier, a lui aussi changé. SAirGroup était dès lors une société dont l’objectif était l’acquisition, gestion et vente de participations, notamment de la participation dans SAirLines AG; peut acquérir, gérer et vendre des terrains et participer à d’autres sociétés.

SAirLines AG enregistrée le 17 décembre 1997 avec un capital-actions de CHF 400 millions (radiée le 09.02.2024) avait comme but : Prise, gestion et cession de participations, notamment dans le secteur aéronautique ; peut acquérir, gérer et vendre des terres. Dans le fond, un but un peu semblable à celui de la société SAirGroup.

En 1995, le réseau desservi par SWISSAIR couvrait 340’000 km, 117 destinations et 70 pays. En raison des énormes liquidités dont elle disposait, la compagnie avait même été surnommée la « banque volante ».

Philippe BRUGGISSER qui a été le coordinateur de l’escroquerie et du blanchiment des avoirs SWISSAIR, était également Administrateur de 52 sociétés dans notre base de données, dont CREDIT SUISSE GROUP où les sociétés miroirs ont permis de blanchir des centaines de milliards https://swisscorruption.info/ubs

Le complot : Vider toutes les sociétés existantes de leur substance, au moyen de sociétés miroirs

Pour se représenter le schéma de leur CRIME, il faut comprendre que les auteurs du complot ne recherchaient pas l’intérêt des sociétés et du personnel qui faisaient l’objet de la partie de Monopoly, mais qu’ils avaient comme seul objectif de constituer leur patrimoine personnel en escroquant les sociétés engagées dans « le jeu ».

prendre en considération l’ancienne société CROSSAIR dirigée par Moritz SUTER et dont le siège était à Bâle.

Le complot dans le grounding SWISSAIR ne s’arrête pas à la société

CH-270.3.001.037-6 était constituée au Royaume-Uni, sous le nom de CROSSAIR, Limited Company for Regional European Air Transport Malzgasse 15, 4052 Basel Switzerland. Exactement la même raison sociale et la même adresse que la société en Suisse. La société miroir portait la référence du RC UK : FC023455.

L’adresse de correspondance était c/o Dr. Peter LENZ, Elisabethen Strasse 15, 4051 Basel

« justice »