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Daniel LEVAVASSEUR
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Il a été assassiné le 2 février 2003, la veille où il avait donné rendez-vous à Joseph FERRAYÉ pour lui transmettre copie des documents bancaires transmis à la Juge d’instruction Christine JUNOD pour un montant de 24 milliards de francs.
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Depuis août 1991, FERRAYÉ avait contacté KROLL Associates afin d’identifier les comptes bancaires des royalties détournées. En octobre 1994, Yves BAUMELIN responsable c/o KROLL a signalé à FERRAYÉ qu’il pouvait l’aider à condition de traiter l’affaire à travers Daniel LEVAVASSEUR, ex agent des services secrets français.
C’est depuis cette date que KROLL a collaboré avec LEVAVASSEUR et identifié les comptes aux noms des associés et mandataires de FERRAYÉ pour des milliers de milliards de dollars. https://swisscorruption.info/responsabilites/#facture.
Ces investigations de LEVAVASSEUR ont conduit au séquestre de près de USD 100 milliards versés par le KOWEIT pour l’extinction et le blocage des puits de pétrole et les milliers de milliards générés par la vente des brevets à tous les Pays pétroliers. Des interventions qui ont permis d’obtenir les jugements de séquestre, avant que les Escrocs au service des États n’entrent en scène pour pour s’approprier ce qui ne leur appartenait pas !.
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Suite au 1er séquestre des comptes provenant du KOWEIT, au nom des associés de Joseph FERRAYÉ, BASANO, COLONNA et TILLIE, ainsi que des comptes des mandataires, REBOURS, HOBEICH et GEBRANE, l’ex agent des services secrets français Daniel LEVAVASSEUR, qui travaillait pour Joseph FERRAYÉ, a averti un par un, les escrocs concernés, du séquestre de leurs comptes.
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Le premier, Serge REBOURS a été rencontré à la sortie de sa maison où LEVAVASSEUR s’est avancé vers lui et l’a averti du séquestre de ses fonds. Il l’a prévenu qu’il ne pouvait pas aller dans les banques, car il serait arrêté.
La réaction de REBOURS a été amusante. Il a vacillé de 1 m de chaque côté, perdant toute notion de gravité. LEVAVASSEUR lui a demandé de se calmer et lui a remis une lettre comportant ses coordonnées, les numéros des comptes et les références du séquestre.
LEVAVASSEUR a précisé qu’il pouvait être joint pour résoudre à l’amiable la restitution des capitaux.
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La démarche a été la même auprès des autres escrocs précités de Joseph FERRAYÉ.
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Le lendemain de la visite à REBOURS, celui-ci a rencontré LEVAVASSEUR à Villeneuve-Loubet pour lui offrir d’entrée de cause de partager avec LEVAVASSEUR, contre Joseph FERRAYÉ, l’ensemble de ses fonds. Ce qu’a refusé LEVAVASSEUR à ce moment-là.
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Christian BASANO quant à lui, a menacé LEVAVASSEUR de le tuer s’il revenait chez lui. Rappelons que LEVAVASSEUR a été retrouvé pendu en montagne en 2003.
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Quant à TILLIE, 3e des associés, celui-ci a paniqué et de suite a cédé à LEVAVASSEUR le 50 % de ses avoirs provenant du KOWEIT et toutes ses parts des comptes collectifs gérés par SIRVEN dans l’affaire ELF. Les parts en question provenaient quant à elles, des ventes frauduleuses des systèmes à tous les pays pétroliers. Détails dans l’Appendice 13 aux points 14 à 22.
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Comme le décrit en détail l’Appendice 13, ce sont ces nouvelles révélations de TILLIE, qui ont conduit LEVAVASSEUR à poursuivre l’identification des comptes collectifs dont ni LEVAVASSEUR, ni FERRAYÉ, n’avaient connaissance.
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Le séquestre des premiers comptes provenant du KOWEIT a compromis l’existence même des comptes collectifs qui sont devenus d’origine douteuse, qu’il fallait blanchir en impliquant Joseph FERRAYÉ à son insu. Voir point 19 – Appendice 13
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Audition du 24 novembre 1999 page 3 (pièce 040)
En premier lieu, on doit se poser la question de la raison pour laquelle Daniel LEVAVASSEUR n’a été entendu que le 24 novembre 1999 pour la première et unique fois, alors que BONNANT et son assistant WARLUZEL l’avaient dénoncé dans la plainte du 29 janvier 1996.
La suite nous aide à comprendre pourquoi l’audition de LEVAVASSEUR pouvait être encombrante.
Cette audition précitée a été longtemps écartée des dossiers qui étaient soumis à FERRAYÉ et à ses avocats pour consultations. Ce n’est en effet qu’en août 2004 que ce PV d’audition est apparu pour la première fois dans le dossier, alors que Daniel LEVAVASSEUR a été assassiné le 2 février 2003.
Il n’était ainsi plus là pour contester ce procès-verbal et accuser les responsables d’avoir fait un faux…
En réalité selon Joseph FERRAYÉ, Daniel LEVAVASSEUR, ex agent secret français, était un homme extrêmement méticuleux et précis et ne signait jamais un document sans l’avoir attentivement relu.
Le Procès-verbal mentionne au premier paragraphe de la page 3 : « Il m’a également donné des informations sur des transferts de plus de USD 100’000’000.– qui étaient partis d’une banque koweitienne à destination des succursales du Luxembourg de la BNP et de la Banque du Gothard ».
En réalité, LEVAVASSEUR n’avait pas dit qu’il avait retrouvé les informations de USD 100’000’000.- mais de USD 100’000’000’000.- (100 milliards). Et c’était sans faire était du produit de la vente des brevets. Du reste, MOTTU confirme ces 100 milliards dans son audition du 6 février 1996 en page 4 (pièce 166) où il déclare littéralement : « On m’a articulé des chiffres dépassant les cent milliards ».
Si MOTTU reconnaît les 100 milliards, il ment en précisant « qu’on lui a articulé », puisque ces comptes étaient bloqués chez lui, comme l’a déclaré SAINT HILAIRE dans sa déposition du 19 novembre 2002 (pièce 069): « Dans un premier temps, les montants sont restés bloqués soit chez Me MOTTU soit chez Me BRUPPACHER correspondant de Me LE MAZOU, jusqu’à ce que FERRAYÉ retire sa plainte en France ».
De plus, il est totalement impossible que LEVAVASSEUR ait toléré un tel lapsus sans en demander la correction.
Le fait que cette audition n’est apparue dans le dossier qu’après la mort de LEVAVASSEUR démontre bien qu’il s’agit d’un FAUX et non d’une négligence de la Greffière Mme S. GALEUCHET.
Il faut ajouter que le PV d’audition de LEVAVASSEUR ne comporte pas non plus d’indications selon lesquelles la juge JUNOD a reçu les documents bancaires pour 24 milliards de dollars lors de son audition du 24 novembre 1999. Là encore LEVAVASSEUR n’aurait jamais signé ce PV incomplet, pour la remise de tels documents qui obligeaient la justice à condamner les criminels et à indemniser FERRAYÉ.
Le fait que ce PV d’audition n’a été mis à la disposition de Joseph FERRAYÉ qu’en 2004, après l’assassinat de LEVAVASSEUR, prouve qu’il s’agit bien d’un FAUX qui ne devait pas apparaître du vivant de LEVAVASSEUR.
Il y a là aussi cause à effet qui implique directement la juge JUNOD et ses complices dans l’assassinat de LEVAVASSEUR !
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Les commanditaires du complot ne pouvaient pas se permettre la mise au dossier de l’audition de LEVAVASSEUR qui aurait provoqué immédiatement une réaction violente de sa part et la dénonciation des faits. Cette confrontation aurait fait capoter leur plan d’indemnisation au travers de l’ONU. Voir Appendice 15 – ONU
Comment en effet exiger officiellement de l’IRAK, des indemnisations de USD 610’000’000.- (610 millions) quand un ex agent des services secrets confirme qu’il a retrouvé des documents bancaires pour plus de USD 100 milliards ? …
Pièce 135 26.05.1996 Rapport ONU « S/AC.26/1996/5 – UNCC » Indemnisation KOWEIT
Ceci est probablement l’une des causes de l’assassinat de Daniel LEVAVASSEUR !
Il était donc impératif, pour les commanditaires du complot, pour la justice genevoise qui cautionne ces détournements et ce blanchiment et pour l’ONU qui a prêté son nom et ses services, de commettre un FAUX sur ce PV d’audition, afin de poursuivre leur plan !
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Par le document de prorogation du mandat de LEVAVASSEUR, signé le 21 décembre 1995 et authentifié par MOTTU qui a imposé à LEVAVASSEUR de « se substituer toute personne morale de son choix pour effectuer la mission dont il a été question dans la convention, mais en restant solidaire ».
Pièce 004 21.12.1995 Prorogation mandat LEVAVASSEUR
Au moment de la rédaction de cette convention, MOTTU voulait placer VENEAU, un tueur professionnel comme partie au contrat, à la place de LEVAVASSEUR. FERRAYÉ a refusé en exigeant que LEVAVASSEUR reste partie au contrat. C’est pour cette raison que MOTTU a proposé l’expression « se substituer à une personne morale, tout en restant solidaire ».
LEVAVASSEUR, bien qu’il ait rejoint les Escrocs et le complot, n’a jamais changé sa volonté de vouloir indemniser FERRAYÉ selon les conventions signées, par lesquelles il devait toucher près de USD 16 milliards de dollars.
Cette « solidarité » exigée par FERRAYÉ dans le mandat précité, LEVAVASSEUR ne l’a pas trahie. Contre l’obstination de la tête du complot, BERTOSSA, KASPER-ANSERMET, BONNANT, WARLUZEL, MOTTU et BRUPPACHER, qui ne voulaient pas accorder un dollar à FERRAYÉ, LEVAVASSEUR a voulu renverser la situation.
Il a convoqué FERRAYÉ, le 23 août 2002, pour lui remettre les documents bancaires déjà transmis à JUNOD le 24 novembre 1999 lors de son audition voir ci-dessus.
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Lors de leur entretien du 23 août 2002 à l’aéroport de Nice, FERRAYÉ a signalé à LEVAVASSEUR qu’il était content de pouvoir disposer de ces documents, car il avait une audition chez JUNOD agendée au 26 août 2002.
Cette déclaration a alerté LEVAVASSEUR qui a dit à FERRAYÉ : « C’est pas la peine que je vous les donne maintenant, dites à Christine JUNOD que je lui ai remis à elle ces mêmes documents lors de mon audition du 24 novembre 1999. Je veux voir quelle sera sa réaction et croyez moi c’est mieux pour vous ». LEVAVASSEUR a voulu ainsi protéger FERRAYÉ contre un danger d’assassinat.
Constant dans sa solidarité envers FERRAYÉ, LEVAVASSEUR à fait les pressions nécessaires dont il est question plus haut, sur JUNOD et ST-HILAIRE à la fois.
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L’obstination de LEVAVASSEUR est prouvée par le PV d’audition du 19 novembre 2002 du notaire Éric de la HAYE ST-HILAIRE. Christine JUNOD avait été contrainte de convoquer ST-HILAIRE sur les pressions de LEVAVASSEUR.
Parallèlement, ST-HILAIRE avait aussi été contraint par LEVAVASSEUR de révéler que les comptes étaient bloqués chez MOTTU, sous son entière autorité Voir Mémoire – point 109.
Les Escrocs précités « tête du complot » n’ont pas accepté cette trahison de LEVAVASSEUR qui compromettait leurs plans et ont commandité son assassinat survenu le 2 février 2003, la veille où il avait donné rendez-vous à Joseph FERRAYÉ pour lui transmettre copie des documents bancaires cités plus hauts, transmis à la Juge d’instruction Christine JUNOD