Escrocs et Corrompus – bref CV

ABECASSISCyrilAvocat Genève
ATTALIJacques
BARILLONJacquesAvocat Genève
BERTOSSAYvesProcureur général de Genève
BONNANTMarcAvocat à Genève qui a rédigé la plainte du 29 janvier 1996 en association avec Me Dominique WARLUZEL
BRUPPACHERC. MarkAvocat Zürich
CHAMARREPatrickHomme de paille de Charles PASQUA
CLERCAndréAvocat Fribourg
ESPELJoël
GHISLAINJean-MarieDirecteur de WILDROSE Investors Group Inc. Panama
GUIGOUElisabethMinistre de François MITTERRAND lors de l’escroquerie
JUNODChristineJuge d’Instruction à Genève
JAAFAREzzatPrésident de la KOWEIT Petroleum Corp. Ambassadeur du KOWEIT
JOLYEvaJuge d’instruction en France. Elle avait déclaré à la Presse « Je suis venue sur un sentier de la corruption et je repars sur une autoroute »...
LE MAZOUJean-YvesAvocat à Paris
LEVAVASSEURDanielDétective privé de Joseph FERRAYÉ, ex-Agent DGSE France
LUDOTEmmanuelAvocat Nice
MOTTUPierreNotaire à Genève – Auteur des conventions liées à l’escroquerie
SENNKuttInspecteur FedPol / Police fédérale
SORDETChristineAvocate à Genève complice de ANGHELOPOULO Diane
WEBSTERWilliamAgent de la DEA (Drug Enforcement Administration)
MandantsMandataires (Implications chronologiques dès 1995 suite aux séquestres
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FERRAYÉ JosephLEVAVASSEUR Daniel
LEVAVASSEUR DanielDE LA HAYE SAINT-HILAIRE Eric (Notaire du Gouvernement françains)
DE LA HAYE SAINT-HILAIRECHAMARRE Patrick (Homme de paille de Charles PASQUA)
DE LA HAYE SAINT-HILAIREMOTTU Pierre Notaire à Genève – Auteur de conventions de cession de droits litigieux
DE LA HAYE SAINT-HILAIRELE MAZOU Jean-Yves et Pierre-Yves (Père et fils), Avocats à Paris
DE LA HAYE SAINT-HILAIRE / LE MAZOUBRUPPACHER C. Mark, Avocat à Zürich, Conseil pour la Confédération et le Conseil Fédéral
CHAMARRE PatrickGHISLAIN Jean-Marie Directeur de WILDROSE Investors Group Inc. Panama
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FERRAYÉ JosephBONNANT Marc et WARLUZEL Dominique (Associés)
FERRAYÉ JosephABECASSIS Cyril, Avocat à Genève, présent lors de la tentative d’assassinant à Paris dans les bureaux de la DEA
FERRAYÉ JosephSORDET Christine et ANGHELOPOULO Diane
FERRAYÉ JosephBARILLON Jacques – TORNARE Didier et COLLARD Gilbert
FERRAYÉ JosephCLERC André, Avocat à Fribourg lorsque la Juge d’Instruction Christine JUNOD a confirmé avoir reçu des pièces bancaires pour 20 milliards de dollars, de la part de Daniel LEVAVASSEUR
FERRAYÉ JosephLUDOT Emmanuel, Avocat à Paris et Reims
FERRAYÉ JosephMARTI Alain, Avocat à Genève

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ATTALI Jacques – Socialiste

Président de PLANET FINANCE – A l’époque du complot, Président de Air France, cité par BASANO et TILLIE dans l’invitation du Général AL BADER, comme membre de CONIRA – proche de MITTERRAND.

PLANET Bank a été constituée en novembre 1997 par Jacques ATTALI. Le 13 octobre 1998 PLANET Bank devient PLANET FINANCE. Dans la même période, UBS et SBS fusionnaient faisant disparaître toute trace des anciennes transactions au bilan ou hors bilan des unités disparues… PLANET FINANCE regroupe des individus de gauche et de droite selon la liste suivante :

  • ATTALI Jacques, Président PLANET FINANCE, ex-Président d’Air France
  • BALLADUR Edouard, ancien Premier Ministre
  • DEHECQ François, SANOFI-AVENTIS – Liens avec Rainer E. GUT – ELF – AIR FRANCE – L’ORÉAL – LAFARGE – BNP – RHODIA – COGEMA – ALLIANZ – DRESDNER BANK
  • DELORS Jacques, ancien Président de la Commission Européenne
  • GHALI Boutros Boutros, ancien Secrétaire général de l’ONU
  • GOUNELLE Patrick, Président Ernst & Young France
  • HERMELIN Paul, Dir. général GEMINI Ernst & Young
  • KOUCHNER Bernard, Secrétaire d’État à l’action humanitaire
  • ROCARD Michel, ancien Premier Ministre – Décret 91432
  • ROHATYN Felix G., Ambassadeur des USA à Paris
  • THAROOR Shashi, Secrétaire général adj. des Nations Unies à New York
  • WEILL Michel David, EURAZEO – Liens LAZARD et L’Oréal – Rainer E. GUT
  • YONG BOON YEO Georges, Ministre des Affaires étrangères des Singapour

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CHAMARRE Patrick

Directeur commercial de ULMANN Snc à La Chaux-de-Fonds, domicilié à Gland à la Villa Prangins. Mandaté par ST-HILAIRE. Il est à la direction de CORSIMA SA de 1991 à 2004 (période de détournement et blanchiment des fonds) et de MONOISE SA.
Il est aussi l’homme de paille de Charles PASQUA – Impliqué et condamné dans ELF

Patrick CHAMARRE a été l’homme de la 1ère heure par qui tout le processus des détournements et du blanchiment est intervenu sur ordre des commanditaires du complot dans le Gouvernement français.

L’ensemble des auditions démontrent la manière dont les intervenants ont été placés sur l’échiquier :

CHAMARRE déclare dans son audition du 28 août 1996 (page 2), qu’il a été contacté en août 1995 après le séquestre des fonds qui ne pouvaient plus être débloqués sans les signatures de FERRAYÉ.

CHAMARRE connaissait ST-HILAIRE depuis 20 ans. CHAMARRE s’est fait impliquer par ST-HILAIRE, car il était la tête de la liaison entre ELF, le Gouvernement Français et les acteurs du détournement et du blanchiment des fonds comme le dénonce Me BRUPPACHER dans son audition du 12.12.2003 en page 2.

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GHISLAIN Jean-Marie

Homme de paille mandaté par Patrick CHAMARRE. Gérant de la Société WILDROSE contrôlée par ELF et impliquée par CHAMARRE avec la complicité de ATAG ERNST & YOUNG. Complice du détournement et blanchiment des montants provenant des conventions, de la surfacturation par 2.6 sur l’utilisation des systèmes au KOWEIT au détriment du Peuple IRAKIEN et des centaines de milliards de dollars provenant des ventes des systèmes à tous les Pays pétroliers.

Sur, déclaration de William WEBSTER membre fondateur de la CIA et directeur du FBI, Tullio PONZI a déclaré en octobre 2001, que le nom de Jean-Marie GHISLAIN figure dans les Sociétés de blanchiment appartenant à Oussama BEN LADEN.

L’implication de WILDROSE dans les détournements des fonds FERRAYÉ et leur blanchiment par les réseaux bancaires du Terrorisme, ont contribué aux attentas du 11 septembre 2001.

Les commanditaires du complot, les autorités genevoises, suisses, françaises et américaines se sont rendues complices de ces crimes en empêchant l’application du DROIT et sont directement responsables des conséquences des attentats de septembre 2001 à New York et Toulouse.

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GUIGOU Elisabeth

Ministre de la justice en France au moment de l’escroquerie des royalties sous la Présidence MITTERRAND.

Le 13novembre 1997 la Ministre de la justice Elisabeth GUIGOU selon ses propres déclarations à L’HUMANITE, refusait à Eva JOLY, juge d’instruction de l’affaire ELF,  les crédits nécessaires qui auraient permis de faire sauter la corruption.

Au lieu d’établir la justice et l’Etat de Droit, GUIGOU a préservé les intérêts de ses collègues ministres corrompus, ce qui démontre sa participation directe au complot !

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JAAFAR Ezzat

Président de la KOWEIT Petroleum Corp. Ambassadeur du KOWEIT. Ami de nombreux Princes au KOWEIT – 82 ans en 1991…

A avoué à Joseph FERRAYÉ qu’il l’avait escroqué et lui a dit : « Si vous déposez une plainte et que je suis appelé à témoigner, je dirai qu’effectivement j’ai pris connaissance du procédé d’extinction, mais moi je n’ai rien fait. J’ai le passeport diplomatique, ils me croiront moi et vous allez perdre ».

Quant au procédé de blocage, JAFFAR a comploté avec STRAUSS KAHN et ROCARD comme décrit dans l’historique Point 5

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LEVAVASSEUR Daniel

Détective privé mandaté par FERRAYÉ – Ex agent des Services Secrets français Mandaté le 8 avril 1995 par Joseph FERRAYÉ sur recommandation de Yves BAUMELIN de chez KROLL Ass. – Assassiné le 2 février 2003.

Daniel LEVAVASSEUR a contacté le notaire parisien Eric HAYE SAINT HILAIRE après juin 1995 contrairement à ce qu’a déclaré le notaire et LEVAVASSEUR ne connaissait pas SAINT-HILAIRE antérieurement.

Suite au séquestre des comptes, LEVAVASSEUR s’est mis en contact direct avec les associés et mandataires qui ont escroqué FERRAYÉ, Christian BASANO – François COLONNA – Etienne TILLIE – Victor GEBRANE – Fouad HOBEICH et Serge REBOURS.

Quand il s’agissait de réagir contre les implications de membres socialistes, LEVAVASSEUR se sentait libre et était stricte. Par contre, quand il a appris l’implication de membres de la « droite » PASQUA, BALLADUR, CHIRAC, SCHULLER etc. il devenait beaucoup plus complaisant…

A partir de là, LEVAVASSEUR n’a plus tenu son rôle initial et a tenté par tous les moyens de préserver les implications politiques. Patrick ROUGELET décrit la crise « gauche – droite » dans son livre « La Machine à $candales » page 117, quand Brigitte HENRI 2e responsable des RG s’occupait de ce dossier.

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SENN Kurt

Inspecteur responsable de la lutte contre le blanchiment d’argent.

Kurt SENN a été mis en relation avec Joseph FERRAYÉ par l’intermédiaire de Damien CALLAMAND, responsable à Interpol Lyon, en janvier 1999.

Fin janvier 1999, FERRAYÉ a pris rendez-vous avec Kurt SENN et s’est rendu à son bureau de Berne.

Après que FERRAYÉ ait expliqué son dossier, Kurt SENN a demandé un délai de deux semaines pour lui permettre d’investiguer.

Au terme de ce délai, Kurt SENN a communiqué à FERRAYÉ : « J’ai les documents qui prouvent la corruption de tous vos avocats, accordez-moi encore 3 jours pour que je puisse parler avec mes supérieurs afin de voir quelles sont les mesures que nous devons prendre ici dans le cadre de l’Office Fédéral pour nous opposer aux corruptions et blanchiment qui se passent à Genève ».

Joseph FERRAYÉ a rétorqué que ce n’était pas la peine de parler avec ses supérieurs, qu’il devait le voir pour en parler et obtenir ces documents.

Kurt SENN a répondu : « Ne vous en faites pas, je vous les donnerai, mais permettez-moi dans un premier temps de parler avec mes supérieurs ».

Au terme des 3 jours, FERRAYÉ a rappelé SENN qui lui a fixé rendez-vous de suite à Berne.

Lors de l’entretien à son bureau, SENN avait un dossier de près de 7 cm d’épaisseur. SENN a confirmé que ses supérieurs ne voulaient pas entrer dans les corruptions cantonales… Il a précisé qu’il allait envoyer le dossier à BERTOSSA. FERRAYÉ a objecté « surtout pas à BERTOSSA ! » expliquant que tout disparaissait du Parquet de Genève et que BERTOSSA était déjà corrompu.

SENN a répondu qu’il pouvait envoyer le dossier à n’importe quelle autre instance juridique, mais qu’il ne pouvait pas le remettre à FERRAYÉ. Face à son refus, FERRAYÉ n’a pas pu insister ! Quelques jours plus tard, FERRAYÉ a demandé à Damien CALLAMAND de convaincre SENN de lui remettre les pièces.

CALLAMAND a confirmé de suite à FERRAYÉ que suite à sa discussion avec SENN, ce dernier lui a confirmé qu’il les avait déjà envoyées à BERTOSSA.

Le 19 février 1999, FERRAYÉ a confirmé par Fax à BERTOSSA la transmission officielle par Kurt SENN, des pièces prouvant la corruption de ses avocats. Ce courrier a également été transmis en recommandé le 22 février 1999. Pièce 142 Lettre FERRAYÉ à BERTOSSA

Le 23 février 1999 dans sa lettre à FERRAYÉ, BERTOSSA n’a pas contesté avoir reçu les pièces de Kurt SENN, mais signale qu’il ne peut pas se substituer à un juge d’instruction en charge de la procédure. Ainsi BERTOSSA confirme qu’il a remis les pièces reçues de Kurt SENN à Christine JUNOD. Pièce 143 Réponse BERTOSSA à FERRAYÉ

Pour avoir la confirmation de l’envoi des documents par SENN et le moyen de le prouver, FERRAYÉ a fait appel à Francis MAYORAZ (comptable au Bureau Genevois d’adresse) pour appeler Kurt SENN et l’enregistrer. SENN a confirmé l’envoi et FERRYE en détient l’enregistrement.

SENN a confirmé à nouveau les mêmes faits à la journaliste New-yorkaise Lucy KOMISAR lors d’un entretien téléphonique du 7 février 2002, dont transcription et traduction de l’entretien Pièce 144 Transcription enregistrement KOMISAR – SENN

Rappelons l’article du New York Times publié le 22 janvier 1996 sous le titre « Money Plane »

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