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Personnes assassinées en lien avec l’escroquerie des royalties
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Pierre BÉRÉGOVOY
Seul Premier Ministre qui a voulu s’opposer aux ESCROCS
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Pierre BÉRÉGOVOY
Un homme d’État intègre qui ne cadrait pas au sein du Gouvernement corrompu de François MITTERRAND
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Alors que la France renoue avec l’ère mitterrandienne et idéalise un président aux multiples facettes, la mémoire collective tend à effacer la dureté et l’affairisme de cette période qui se sera conclue pour Pierre BÉRÉGOVOY, ancien Premier ministre, par une mort « mystérieuse », un 1er mai 1993, sur le bord d’un canal de la Nièvre.
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La vie de P. BÉRÉGOVOY, « Béré » pour les familiers, aura été une véritable success story, telle que la République les aime. Fils d’un immigrant ukrainien, obligé de travailler très tôt en raison de la maladie de son père, ses diplômes se limiteront à un certificat d’étude et un CAP d’ajusteur et de dessin industriel. Ceci ne l’empêchera pas d’occuper des postes et des fonctions de premier plan : secrétaire général de l’Élysée, ministre des affaires sociales, puis trois fois ministre de l’économie et des finances, sous trois gouvernements différents, avant de devenir Premier ministre.
Ses origines modestes, sa réussite construite sur la volonté, et aussi sa probité, son désintéressement en auront fait un homme à abattre. Le recours imprudent à un prêt immobilier sans intérêt auprès de Roger Patrice PELAT, l’ami et homme de l’ombre du président de la République, signera sa perte.
Le déchaînement médiatique orchestré à son encontre amènera François MITTERRAND à prononcer, lors de l’éloge funèbre, ces phrases devenues célèbres : « Toutes les explications du monde ne justifieront pas que l’on ait pu livrer aux chiens l’honneur d’un homme et finalement sa vie au prix d’un double manquement de ses accusateurs aux lois fondamentales de notre République, celles qui protègent la dignité et la liberté de chacun d’entre nous ».
Reste le mystère. Le décès de P. BÉRÉGOVOY intervient à la veille du procès pour délit d’initié dans l’acquisition de Triangle par Péchiney, dans une décennie où l’affairisme est roi. Les profits, dans cette opération, étaient passés par certains des circuits financiers de Thomson (Socofinance). Libéré des contraintes du pouvoir, il aurait pu témoigner devant la justice sur un certain nombre de dossiers, dont celui-ci.
Certes, on disait l’ancien Premier ministre profondément déprimé, et affecté par le cumul de l’importante défaite aux élections législatives de mars et de la polémique sur le prêt de M. Pelat. D’accord, deux mois avant, au moment de son départ de Matignon, il n’était pas bien. Mais il avait remporté les élections législatives dans sa ville de Nevers, et tous ses proches attestent qu’il avait des projets, qu’il allait mieux.
Plus troublant, on relate que des témoins ont entendu deux coups de feu. Aucun mot d’adieu n’a été trouvé, alors que Pierre BÉRÉGOVOY était très proche de sa famille, qui a réfuté la thèse du suicide. Son carnet, sur lequel il notait tout, a disparu alors qu’il l’avait dans sa poche une demi-heure avant sa mort. A-t-on voulu effacer la trace du dernier rendez-vous ? On voit aussi, sur l’unique photo du mort, sur le brancard, que l’orifice au sommet du crâne n’est pas très grand, et ne ressemble pas à la trace que laisse, dans la majorité des cas, un 357 Magnum, l’arme de service de son garde du corps, que Béré est censé avoir subtilisée dans une boîte à gants. Aucune expertise balistique n’a été effectuée, et la famille a toujours réclamé en vain le rapport d’autopsie. En fait, il n’y a pas eu d’enquête. Sous la pression politique, en un quart d’heure, une vérité officielle s’est imposée, celle du suicide d’un homme désespéré.
Politiquement, Pierre BÉRÉGOVOY avait pris la décision de remettre de l’ordre dans son Gouvernement où régnait une corruption effrénée ! une corruption assez bien décrite par Christine DEVIERS-JONCOUR, surnommée « La Pute de la République », dans ses déclarations du 13 juillet 2021.
Manifestement les personnes visées n’ont pas apprécié et ont préféré mettre le Premier Ministre dans leur viseur… Aujourd’hui, le Gouvernement français reste toujours au sommet de la corruption https://swisscorruption.info/france
Un suicide de plus à la longue liste des disparitions tragiques d’alors, est celui de René LUCET, directeur de la Sécurité sociale (retrouvé mort « suicidé » avec deux balles dans la tête le 4 mars 1982), de François de GROSSOUVRE (ancien conseiller du Président, retrouvé mort le 7 avril 1994, avec une balle dans la tête, au Palais de l’Élysée), ou de Pierre-Yves GUÉZOU (responsable des écoutes téléphoniques de l’Élysée, retrouvé pendu à son domicile, le 12 décembre 1994).
Comme l’avait dit le célèbre avocat parisien Gilbert COLLARD devant les caméras de TF1 « Sans-Aucun-Doute » : « On ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout, sous prétexte qu’un État a des intérêts qui sont reliés par d’autres États » ! https://swisscorruption.info/sans-aucun-doute.
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Bernard BORREL – Procureur français qui avait une mission concernant les brevets FERRAYÉ
Le 19 octobre 1995, à Djibouti, le corps de Bernard Borrel, calciné sur sa moitié supérieure, est découvert au pied d’une falaise bordant la mer Rouge. De manière expéditive, avant même la tenue d’une autopsie, la thèse du suicide est retenue, avant d’être requalifiée en assassinat. Près de 30 ans après, le fin mot de l’affaire n’est toujours pas connu.
Selon le Journal Le Pays D’Auge du 13 mai 2024, depuis le début de l’affaire, treize juges d’instruction se sont relayés. Certains ont fait du bon travail. Mais le juge actuel ne fait rien, il n’y a pas eu d’actes depuis six ans.
Bernard BORREL, procureur de Lisieux dans le Calvados de 1988 à 1994, a été détaché en tant que conseiller technique à partir d’avril 1994 auprès du ministre djiboutien de la Justice, pour effectuer des missions de coopération et aider à la mise en place d’une nouvelle législation pénale.. Il a disparu à Djibouti le 18 octobre 1995. Son cadavre a été retrouvé le lendemain dans un ravin, en partie calciné. Le Juge a été assassiné !
L’hypothèse du suicide avait été retenue dans un premier temps. Le 6 février 1996, les faits ont été requalifiés par la justice française, à la suite d’une information judiciaire, en assassinat. Élisabeth BORREL, veuve de la victime, elle-même magistrate à Toulouse, a accusé Ismaïl Omar GUELLEH, alors directeur du cabinet présidentiel devenu depuis président de la république de Djibouti, d’être l’un des commanditaires de l’assassinat de son mari.
Plusieurs plaintes ont été déposées par Élisabeth BORREL concernant les pressions exercées sur la justice par l’administration française.
Selon un journaliste d’investigation, l’affaire Borrel est particulièrement marquée par « une ingérence de la diplomatie sur la justice » au nom de la raison d’État
C’est ce qui explique probablement la mission qu’il aurait eue dans une affaire de Brevets. Voir Mémoire point 113
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François de GROSSOUVRE – Proche Conseiller de François MITTERRAND
François Durand de Grossouvre était le fils du banquier Maurice Durand de Grossouvre, fondateur de la Banque française du Liban, directeur de la banque de Salonique puis de la Société Générale à Beyrouth. François de Grossouvre avait gardé des attaches affectives fortes avec le Liban.
En 1974, il est devenu le parrain de Mazarine PINGEOT, la fille de MITTERRAND. Il a joué un rôle clé pour le financement des campagnes électorales de François MITTERRAND en 1965, 1974 et en 1981
En juin 1981 il a été nommé chargé de mission auprès du Président de la République, qui lui a confié les problèmes de sécurité et les dossiers sensibles, notamment ceux liés au Liban, à la Syrie, à la Tunisie, au Maroc, au Gabon, aux pays du Golfe, au Pakistan et aux deux Corées.
Ses relations avec François Mitterrand se détériorant, il se voit refuser le titre d’ambassadeur itinérant qu’il réclame, si bien que, le 12 juin 1985, il quitte ses fonctions de chargé de mission et devient conseiller international des avions Marcel Dassault (1985-1986)
Homme qui reste influent grâce à son riche carnet d’adresses et son poste honorifique de président des Chasses présidentielles (fonction qu’il conservera jusqu’à son décès, et qu’il utilise pour des rencontres informelles avec des personnalités politiques nationales ou étrangères), il conserve néanmoins son bureau élyséen, son appartement de fonction du quai Branly (voisin de celui d’Anne et Mazarine PINGEOT), ses secrétaires et gardes du corps du GIGN, avec le budget correspondant ; surnommé par certains « l’homme de l’ombre », il continue de recevoir des visiteurs importants à l’Élysée ou ailleurs. Ces activités difficilement contrôlables n’ont pas manqué de susciter des jalousies et François de Grossouvre a fait l’objet d’une surveillance constante, mais il est petit à petit écarté du pouvoir à son grand dépit. Isolé et amer, il se confie alors à des journalistes comme Edwy Plenel, ou Jean Montaldo dans des critiques acerbes contre Mitterrand et son entourage. Il reçoit le juge Thierry Jean-Pierre (qui enquête sur le financement occulte du Parti socialiste, l’affaire Urba) dans son appartement parisien et suggère au magistrat de consulter ses archives personnelles de la Présidence, classées dans son château de Lusigny
Mort et hommage
Le 7 avril 1994, peu avant 20 h, son garde du corps, un gendarme du Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale, le retrouve mort dans son bureau du palais de l’Élysée, la tête à moitié arrachée par une balle du 357 Magnum encore dans sa main.
Les obsèques de François de Grossouvre sont célébrées le 11 avril 1994 en l’église Saint-Pierre de Moulins (Allier), où parmi les quelque 400 personnes de l’assemblée, on compte le président de la République François Mitterrand, l’ex-président du Liban Amine Gemayel, des représentants consulaires du Maroc et du Pakistan et les anciens ministres socialistes Pierre Joxe, Louis Mexandeau et René Souchon.
L’inhumation du disparu au cimetière de Lusigny se déroule dans l’intimité familiale avec Amine Gemayel aux côtés de la famille et en présence du président de la République, présence non souhaitée par la famille du fait d’une mort survenue dans des circonstances suspectes et non éclaircies (Wikipedia)
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Paul Marc COLNE – P. B. E. OIL (Petrol Brokers Energy Oil)
Paul Marc COLNE était signataire de l’Accord antidaté en faveur de ARAMCO Crude Oil, au travers de la Société P.B.E. OIL (Petrol Brokers Energy Oil) dont il avait été le Président avant que la société ait été mise en redressement judiciaire et ait cessé toute activité depuis le 7avril 1989 Appendice 03.
Comment dès lors imaginer que Paul Marc COLNE aurait pu signer un contrat le 26 juillet 1991 pour P.B.E. OIL SA, enregistré à la Chambre du Commerce et de l’Industrie de KOWEIT City sous le Certificat N° 15512 / 17701 et légalisé par l’Ambassade de France au KOWEIT le 15 novembre 1991, quand la société n’existait plus légalement.
Le Tribunal de Commerce d’Epinal avait converti le Redressement Judiciaire de la Société, en Liquidation Judiciaire le 7 mars 1989 soit plus de deux ans auparavant… et la société P.B.E OIL SA avait ainsi cessé toute activité le 7 avril 1989.
À qui a profité cette Société sortie d’outre-tombe, si ce n’est à vous Madame Edith CRESSON ?
Le nom de la société défunte P.B.E. OIL SA et celui de Paul Marc COLNE, n’ont été utilisés que pour permettre à la Premier Ministre Edith CRESSON d’obtenir sa corruption et elle a été très gourmande comme on peut le constater dans l’Historique, principalement aux points 15ss.
Dans le point 31 de l’Historique, il est fait mention des révélations du 3 janvier 2005 de Christian BASANO en regard de l’implication de CRESSON. Le refus de l’Attaché Commercial à l’ambassade avait refusé d’exécuter l’ordre donné de nous éliminer… cf. rapports des services secrets italiens : On ne peut pas tuer des gens dont on va utiliser les noms dans un contrat […] »
Paul Marc COLNE a été retrouvé mort dans sa cellule de la prison de Nice. Compte tenu de ce qui précède, il faudrait être bien naïf pour croire au suicide…
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Jacques FLURY – Responsable administratif de ELF International
Jacques FLURY est mort le 21 octobre 1996 dans les mêmes conditions que son prédécesseur, tous deux engloutis par les flots sans que leurs corps ne soient jamais retrouvés (Mémoire Point 61).
Les décès « accidentels » dans l’Affaire de Genève (Royalties) ne sont rien d’autre que des assassinats, tout comme c’était le cas pour SAFRA, SANCHEZ, LEVAVASSEUR, COLNE, etc., auraient pu être évités, si le Ministère Public genevois et particulièrement les procureurs Bernard BERTOSSA et Laurent KASPER-ANSERMET, avaient fait leur travail en février 1996 au lieu de chapeauter le contrôle du complot avec BONNANT et WARLUZEL et d’agir dans le crime organisé.
Dans la disparition de Jacques FLURY, même l’administration cantonale genevoise s’est rendue complice de cet assassinat, en déclarant qu’il était décédé à Genève, malgré les nombreux témoignages et rapports d’« accident » sur sa disparition au Pérou.
Cette fausse déclaration officielle révèle l’assassinat que l’administration veut transformer en mort naturelle pour couvrir les assassins qui agissaient aux ordres des commanditaires de ce complot, dans le cas précis, les dirigeants d’ELF, le gouvernement français et le Parquet genevois. Une procédure a été engagée par les parents du défunt au Parquet de Genève, mais bien évidemment, elle n’avait aucune chance d’aboutir !
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SAFRA Edmond – Banquier et propriétaire de la Republic National Bank of New York (Money plane)
Après la vente de ses Sociétés, Edmond SAFRA s’était retiré à Monaco. Il souffrait de la maladie de Parkinson et était assisté d’un infirmier américain du nom de Ted MAHER. Celui-ci sera le bouc émissaire dans un roman policier dans lequel les CRIMINELS sont en col blanc et évoluent entre banquiers d’affaires, avocats, services secrets et le grand banditisme.
On retrouve bien sûr Israël, les Etats-Unis, Genève, Monaco, Marc BONNANT, la RTS (télévision suisse, et tout un ramassis de voyous et de menteurs.
Le chapitre du « Roman criminel » sur l’assassinat d’Edmond SAFRA est accessible sur l’Article SWISSLEAKS.
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André SANCHEZ – BCS Finance et AICE
Le 12.01.1996, le Notaire Pierre MOTTU a rédigé les conventions 2e version en faveur de FERRAYÉ par BCS Finances de André SANCHEZ, signées par les associés et mandataires de Joseph FERRAYÉ.
Pièce 098 – Convention 2e version REBOURS-HOBEICH-GEBRANE – BCS
C’était alors par BCS Finance que devaient transiter les fonds de plus de 100 milliards de dollars du group B composé de GEBRANE – HOBEICH et REBOURS.
Dans le faux dans les titres établi à la même date par Pierre MOTTU, à l’insu de Joseph FERRAYÉ, BCS Finance n’apparaît plus et la signature de FERRAYÉ est un faux !
Pièce 095 – Convention 2e version REBOURS-HOBEICH-GEBRANE – FAUX
La transcription de la cassette d’André SANCHEZ pièce 156 – page 1 « Ils manipulaient les comptes », démontre qu’il avait découvert le trafic des escrocs et n’était pas d’accord avec eux. Pierre MOTTU – Mark BRUPPACHER – Marc BONNANT et Dominique WARLUZEL, menaient le bal avec la complicité des procureurs Bernard BERTOSSA et Laurent KASPER-ANSERMET Voir appendice 11 – particulièrement point 4 i.
Pièce 156 – Transcription de la cassette SANCHEZ retrouvée après son assassinat
On sait qu’André SANCHEZ a été retrouvé à proximité de sa voiture incendiée, arrosé d’essence, qu’il ne s’agissait pas d’un accident, que la porte arrière était restée ouverte etc. Malgré cela, le juge d’instruction vaudois Jean-Marie RUEDE, après avoir eu connaissance de la cassette et des pièces retrouvées au domicile de SANCHEZ, a imposé la thèse du « suicide » et a interdit l’enquête sur l’aspect assassinat et financier du crime !
Cette transcription de cassette révèle qu’un juge d’instruction vaudois avait été averti à plusieurs reprises par SANCHEZ, que des manipulations financières et des escroqueries étaient commises. Pourtant, aucun juge d’instruction vaudois n’a ouvert une quelconque enquête. Tout porte à croire que c’était déjà le « juge » d’instruction Jean-Marie RUEDE qui avait été le destinataire de ces dénonciations.
Ce « juge » est dénoncé dans 22 cas par l’association de défense des Victimes de la Justice Appel au Peuple, où il est accusé pour les crimes suivants : abus de pouvoir, faussaire, menteur, déni de justice, entrave à l’action pénale, forte présomption de corruption. Jean-Marie RUEDE est en outre président du KIWANIS Club de Morges. Il est Franc-maçon et ami des avocats notoirement connus… Thierry DE HALLER, Paul MARVILLE.
Par son comportement irresponsable envers les Citoyens Vaudois (Jean-Marie RUEDE a engagé la responsabilité de l’État), le juge d’instruction vaudois Jean-Marie RUEDE a démontré qu’il est complice de l’assassinat de SANCHEZ et du détournement des sommes colossales liées à l’escroquerie des royalties sur les brevets FERRAYÉ.
Le juge d’instruction a fait saisir tous les documents dans les locaux de SANCHEZ. De ces documents ressortaient clairement un crime d’escroquerie (crime poursuivi d’office) que le juge n’a pas voulu traiter ou plus concrètement à étouffé ! Ces saisies qui n’ont eu aucune suite, démontrent que RUEDE a voulu faire disparaître toutes les pièces compromettantes qui pouvaient faire démasquer le complot et ses auteurs dans lesquels on retrouve l’avocat de Morges Jean-Emmanuel ROSSEL et André CLERC de Fribourg.
Les rapports de police ont conclu au suicide en n’excluant pas l’intervention étrangère. Cette thèse est difficile à partager à la lecture des deux rapports de la police de sûreté vaudoise :
Pièce 157 – Rapport 1
Pièce 158 – Rapport 2
Ces rapports sont curieux à plus d’un titre. Tout d’abord le rapport BURDET trouvé dans le dossier de la justice GE :
Aucune entête et non daté… aucune signature des témoins… quant aux incohérences, elles sont tellement grosses que ça en devient ridicule ! Ex. : SANCHEZ aurait craqué lui-même l’allumette pour se mettre le feu, ses habits étaient complètement brûlés, lui-même était rôti particulièrement aux parties génitales, mais il n’a pas lâché la boîte d’allumettes puisqu’elle a été retrouvée à ses côtés loin de la voiture et intacte… L’homme et ses habits ont brûlé, pas la boîte d’allumettes qu’il tenait… Peut-on prendre les gens à ce point-là pour des imbéciles ???
Une enquête sur les causes réelles de cet assassinat pourrait faire rouvrir l’affaire des fonds en déshérence, dans laquelle la Suisse a été HUMILIEE avec la complicité de Flavio COTTI, alors Conseiller Fédéral. En page 2 de la transcription de la cassette enregistrée par SANCHEZ, celui-ci parle d’un dossier « SCHWARZ OCTAVE PEREZ, il(s) se livre(nt) à des manipulations informatiques par le biais de HIDDEN au niveau national, voir international sur des comptes en déshérences… Alors M. VENEAU s’appuie sur toutes ses relations américaines et un réseau, paraît-il officiel de l’Administration fédérale… ». (S’agit-il du réseau COTTI – CALMY-REY – BERTOSSA – GUT – OSPEL) ?
Comme on le voit en page 4, de la transcription, ces documents prouvaient « la falsification des pièces, des mauvaises signatures etc. et que la BCV BANQUE CANTONALE VAUDOISE avait la totalité des éléments ». La BCV devait-elle seulement recevoir les commissions de SANCHEZ ou était-elle impliquée aussi ? Des sociétés liées au blanchiment des royalties FERRAYÉ dans lesquelles des membres du conseil d’administration de la BCV sont impliqués, semblent laisser croire à la deuxième solution.
Cette cassette (transcription) (pages 4 – 5) démontre également que Dave ROWE (surnom de Patrick DAWSON) Appendice 17, à l’instar d’autres commanditaires du meurtre et du complot, VENEAU, PAULI et DROP, DI CARA, Henri HIDDEN (Hydn ?), BORGNAZ, Sté Jacques… Gérald Bankers Trust (Bankers Trust SA à Genève radiée en 2000…), etc., étaient menacés d’être dénoncés pour les malversations qu’ils opéraient. Que SANCHEZ savait que DAVE ROWE avait l’habitude de faire des détournements électroniques de fonds, qu’ils avaient menacé SANCHEZ de ne pas se laisser faire s’il agissait contre leurs intérêts… .
André SANCHEZ fait également référence à la Société « AICE sur laquelle les royalties auraient bien été destinés »… Le Registre du Commerce de Fribourg fait mention d’une Société nommée AICE SA, en liquidation, au nom de SANCHEZ André, de France, à Morges… Quel était son rôle et pourquoi la magistrature vaudoise n’a-t-elle pas enquêté ?
Quand SANCHEZ cite VENOT, il s’agit en fait de Michel VENEAU, collaborateur de Daniel LEVAVASSEUR qui agissait sous les ordres de Pierre MOTTU, Éric de la HAYE ST-HILAIRE et Mark BRUPPACHER. Michel VENEAU, d’un tempérament dangereux, a été accusé plusieurs fois de meurtre…
En septembre 2001, suite à la parution d’un article dans LE MATIN paru le 24.07.1991 et après avoir rencontré le journaliste, Joseph FERRAYÉ a contacté l’Inspecteur vaudois Marcel COQUERAND pour l’informer de ses liens avec SANCHEZ et qu’il était prêt à témoigner et présenter les conventions signées entre eux.
COQUERAND a confirmé qu’il détenait déjà tous les renseignements concernant Joseph FERRAYÉ et que s’ils ne l’ont pas appelé, c’est qu’ils n’avaient pas besoin de lui … !
Joseph FERRAYÉ a également appelé le juge d’instruction Jean-Marie RUEDE, qui a répondu dans le même sens. Comportement pour le moins surprenant de la part d’un juge d’instruction, dans une affaire dans laquelle il y a d’une part la mort d’un homme et d’autre part, le détournement de milliards de dollars.
Seule la corruption de ces deux fonctionnaires, peut justifier un tel comportement.
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Alfred SIRVEN
Alfred Sirven, né le 6 janvier 1927 à Toulouse est mort le 12 février 2005 (à 78 ans) à Caen ou Deauville selon les sources, dans le Calvados. C’était un homme d’affaires français connu pour avoir établi un gigantesque réseau de corruption et pour avoir détourné d’immenses sommes d’argent alors qu’il était numéro deux d’ELF Aquitaine à Genève.
Condamné à une peine de prison ferme durant l’instruction de l’affaire Elf, il s’enfuit de France et reste en cavale jusqu’en 2001 aux Philippines, puis est extradé et emprisonné en France. Libéré sous conditionnelle pour raisons de santé en 2004, il meurt peu après.
En 1989, Sirven avait rejoint Loïk Le Floch-Prigent juste nommé PDG de l’entreprise publique ELF Aquitaine et a été nommé « directeur des affaires générales ».
Alfred SIRVEN est devenu président d’Elf Aquitaine International qui a dès lors alors financé tous ses amis politiques. Avec André TARALLO, ils ont détourné des centaines de millions de francs au profit de la classe politique française, des régimes africains « amis » et de leurs propres comptes bancaires
Au début de l’escroquerie des royalties en 1991, Alfred SIRVEN établit 300 comptes en Suisse. Rappelons que Pierre MOTTU, auteur avec Éric DE LA HAYE-SAINT-HILAIRE des conventions de cession de droits dans l’escroquerie des royalties, était le Notaire d’Elf à ce moment-là déjà. En 1992, le groupe rachète une raffinerie en ex-RDA et reverse au passage une commission de 256 millions de francs à la CSU (Affaire Leuna). Lorsque la droite revient au pouvoir en 1993, Loïk Le Floch-Prigent est limogé d’Elf et Alfred Sirven quitte le groupe.
Affaire des frégates de Taïwan
Proposant l’aide de son réseau à Thomson-CSF, en 1991 SIRVEN a recruté la maîtresse de Roland Dumas, Christine DEVIERS-JONCOUR et lui offre, sur les fonds d’Elf, un appartement dans le 7e arrondissement de Paris. Celle-ci doit alors convaincre le ministre d’accepter le contrat de vente de 6 frégates à Taïwan. Elle n’y est pas parvenue, mais Sirven lui verse tout de même 45 millions de francs. Le contrat est finalement signé de par la décision de François Mitterrand. Sirven demande alors à Thomson 160 millions de francs.
L’affaire est révélée en 1997. L’instruction est menée par Eva Joly
Dans « l’affaire DUMAS », SIRVEN est condamné à quatre ans de prison ferme en 2001. La Cour d’appel de Paris ramène la peine à trois ans le 29 janvier 2003.
Dans l’affaire des frégates proprement dites, l’ordonnance de Renaud VAN RUYMBEKE rendue en 2008 constate « l’extinction de l’action publique » mais le juge précise qu’« il ressort de l’ensemble de ces éléments que M. SIRVEN est l’auteur d’une escroquerie au jugement, M. SIRVEN ayant, via la société FRONTIER AG à Berne qui agissait pour son compte et sur ses instructions, trompé des arbitres en procédant à une mise en scène et en ayant recours à des manœuvres frauduleuses destinées à faire condamner Thalès — ex Thomson — au paiement de commissions indues ».
L’Affaire Elf
L’affaire Elf démarre en 1994 lorsque la justice s’intéresse aux conditions dans lesquelles Elf a subventionné le groupe textile Bidermann. Elle concerne des abus de biens sociaux, des comptes offshore et la corruption de dirigeants africains. Dans cette affaire, Sirven aurait détourné 1,1 milliard de francs. L’instruction est menée par Eva JOLY, secondée en avril 1997 par Laurence VICHNIEVSKY avant que Renaud VAN RUYMBEKE reprenne seul l’affaire en 2000.
Le procès dure du 17 mars au 9 juillet 2003. Le 12 novembre 2003, SIRVEN est condamné à cinq ans de prison ferme. Le Parquet a fait appel de la décision, mais SIRVEN est décédé avant la fin du second procès. (Wikipedia)
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Edouard STERN
Edouard STERN a été assassiné le 2 mars 2005, un crime pour lequel le « Juge d’instruction » Michel-Alexandre GRABER a été chargé de l’enquête.
Joseph FERRAYE et Christian BASANO avaient été questionnés par la Police française sur leurs liens avec Edouard STERN. Or, l’enquête suisse du Juge GRABER n’a jamais fait mention de ces contacts.
Il aurait été question de Jean-Marie GHISLAIN et EVERTON Enterprise Ltd. Voir le Mémoire points 16ss / points 30ss / points 37ss / point 117
Appendice 1 Point 21ss / Appendice 4 Points 12ss / points 29ss / Appendice 9 Points 1 et 6 / Appendice 10 – GHISLAIN / Appendice 13 Point 44ss
Peu avant sa mort, Edouard STERN avait eu des contacts avec Me Éric DE LA HAYE-ST-HILAIRE, ex notaire français de Joseph FERRAYE au service du Gouvernement français et associé de Me Pierre MOTTU, notaire à Genève, auteur des convention de cession de droits dans l’affaire de l’escroquerie des royalties. Voir les Appendices, plus particulièrement l’Appendice 13
La renégociation des relations entre L’ORÉAL et Nestlé c’était aussi lui… Or, L’ORÉAL et NESTLÉ, c’est aussi Rainer E. GUT qui avait la signature sur les comptes de EVERTON Enterprise Ltd, société au travers de laquelle ont transité les capitaux provenant de l’escroquerie des royalties au détriment de Joseph FERRAYE ! Rainer E. GUT, c’est aussi l’initiateur du Grounding de SWISSAIR (la banque volante) au profit de LUFTHANSA, au travers d’un complot magistral… Voir le dossier SWISSAIR..
Au surplus, n’oublions pas que Me Marc BONNANT qui avait déposé la plainte du 29.01.1996 contre les Associés et mandataires de Joseph FERRAYÉ et qui détenait le contrôle sur le complot, a été l’avocat de la famille d’Edouard STERN.
Le tapage médiatique ou l’intox qu’il y a eu autour de l’assassinat d’Edouard STERN en 2005, par des information transmises à la Presse par quelqu’un qui y trouvait assurément un intérêt, tombait à pic pour les membres du complot. Ils voyaient ainsi l’attention du public détournée de leurs propres CRIMES…
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