L’État français met un contrat sur la Famille FERRAYÉ pour les assassiner
Comme l’avait dit Me Gilbert COLLARD sur le plateau de TF1 dans l’émission « Sans aucun doute », on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu’un État a des intérêts qui sont reliés par d’autres États » !
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- Comme le démontrent le mémoire et l’historique, la collaboration avec M. Daniel LEVAVASSEUR a tout de suite porté ses fruits et dès le départ, des comptes ont été identifiés pour plus de 45 milliards de dollars.
- En août 1991, Joseph FERRAYÉ avait constaté que ses associés ne respectaient pas leurs engagements et il s’est ‘adresse à l’entreprise de détectives KROLL Associates où il avait été reçu par Messieurs DOLLAR et CHALUMEAU. Une avance de FF 250’000.- avait été exigée comme honoraires pour identifier les comptes où transitaient ses fonds escroqués des royalties, comptes au travers desquels ses associés détournaient des milliards de dollars.
- N’ayant pas les moyens financiers d’assurer ces honoraires, KROLL Associates a refusé le mandat. Pourtant, dans son obstination, Joseph FERRAYÉ a continué à solliciter régulièrement l’appui de l’Agence spécialisée.
- C’est ainsi qu’en novembre 1994, Joseph FERRAYÉ a été reçu par M. Yves BAUMELIN de KROLL Associates, qui a accepté le mandat, à la condition qu’il soit conduit en dehors des affaires de KROLL Associates, directement par M. Daniel LEVAVASSEUR, ancien agent des services secrets français. Ce dernier sera ASSASSINE le 2 février 2003 à Fréjus.
- Pour la petite histoire, M. Yves BAUMELIN dirigeait à l’époque la Société Intelynx Group SA, rue de la Rôtisserie 1 à 1204 Genève. aujourd’hui enregistrée sous le nom de REDMONT ADVISORY SA CHE-108.585.562.
- Yves BAUMELIN s’est alors déplacé de Paris à Nice pour installer à Daniel LEVAVASSEUR, un logiciel spécifiques pour accéder aux comptes bancaires, afin de faciliter et poursuivre ses investigations. C’est ainsi qu’en mai 1995, des comptes bancaires pour plus de 97 milliards de dollars avaient déjà été découverts. Il en sera de même des comptes pour la vente des brevets, par la suite.
- À ce moment là, Daniel LEVAVASSEUR a contacté Me Mark BRUPPACHER, Me Pierre MOTTU et Me Éric de la HAYE ST-HILAIRE, avocat et notaires de Joseph FERRAYÉ, pour qu’ils obtiennent le séquestre des comptes par lesquels transitaient les détournements.
- Dans les faits, ces trois personnages utilisaient Joseph FERRAYÉ pour obtenir les fonds escroqués par ses associés et mandataires avec la complicité de l’État français :
- Les démarches de Daniel LEVAVASSEUR semblent avoir suscité l’agacement des Ministres français impliqués dans la prise de contrôle des systèmes inventés par Joseph FERRAYÉ et dans les capitaux qui leur échappaient à la suite du travail effectué par LEVAVASSEUR.
- C’est ainsi qu’à cette même période (mai 1995) Joseph FERRAYÉ et sa famille ont appris qu’un MANDAT D’ASSASSINAT avait été lancé contre eux par le Gouvernement français…
- Daniel LEVAVASSEUR a alors exigé, pour garantir leur sécurité, que l’ensemble de la famille quitte leur domicile et ils ont été tout d’abord placés dans une résidence secondaire appartenant au Dr. Georges DEOUX à Gillette dans le département des Alpes-Maritimes, durant quelques semaines.
- Un mois plus tard, ils ont été déplacés dans un appartement que la sœur de Joseph FERRAYÉ possédait à Cannes, où ils sont restés 4 à 5 mois.
- Finalement, compte tenu du danger, une villa a été louée sur les hauteurs de Ville Franche où ils ont été transférés malgré l’opposition de l’ensemble de la Famille FERRAYÉ. La situation était alors dangereuse au point que les enfants ont dû être retirés de l’école et les résidants n’avaient aucun Droit de sortie.
- Le transfert de Cannes à Ville Franche a été organisé sous forme d’un « convoi » constitué de 3 lourds véhicules conduits par Daniel LEVAVASSEUR, Michel LOUART et Alex ROSSI. En qualité d’ancien agent des services secrets français, Daniel LEVAVASSEUR ne laissait rien au hasard et à chaque kilomètre les véhicules s’arrêtaient sur la bande d’arrêt d’urgence, laissaient passer tous les véhicules jusqu’à n’en plus voir au moins à 2 km à l’horizon et ils repartaient. La sécurité était à ce prix-là !
- En mai 1995, Me Jacques BARILLON s’est occupé du dossier FERRAYÉ, pour l’endormir durant près de 2 ans, moyennant quand même quelque CHF 50’000.- d’honoraires… Ont-ils été annoncés au fisc ? Dès le départ, selon ses propres déclaration du 20 novembre 2006, Me BARILLON a reconnu que JAMAIS il ne se lancerait dans une procédure contre Me Marc BONNANT qu’il considérait comme un ami et qui a rédigé par la suite les plaintes du 29 janvier 1996.
- A cette même époque, Joseph FERRAYÉ s’est rendu à Paris en compagnie de son Ami Günther IMPERATORI Suisse et Allemand d’origine, pour rencontrer Me Éric DURET et voir si ce dernier accepterait de défendre les intérêts de l’inventeur.
- La rencontre a eu lieu par l’intermédiaire de M. Robert SARRAILH, une relation de M. IMPERATORI. C’est lors de cet entretien que Me Éric DURET a révélé qu’il tenait de Laurent FABIUS lui-même, qu’un mandat d’ASSASSINAT avait été lancé contre la famille FERRAYÉ par le Gouvernement français.
- A ce moment là, les recommandations de Daniel LEVAVASSEUR étaient les suivantes : Si il y avait danger, éviter à tout prix d’avoir recours à la Gendarmerie nationale et fuir !
- » Le contrat d’ASSASSINAT de l’État français contre la famille FERRAYÉ a été abandonné le 21 octobre 1995 après négociation avec Daniel LEVAVASSEUR, contre le déblocage des comptes qui allait permettre l’escroquerie des royalties et ceci bien sûr à l’insu de Joseph FERRAYÉ.
- LEVAVASSEUR était l’interlocuteur direct de Joseph FERRAYÉ et détenait le contrôle des transferts des capitaux appartenant à Joseph FERRAYÉ, travail pour lequel il était rétribué à hauteur de 33 % des montants encaissés. C’est sur ce revenu que Daniel LEVAVASSEUR devait ensuite rétribuer ses 33 associés.
- Il était l’homme incontournable et Marc BONNANT, avocat genevois rusé l’a bien compris et l’a utilisé. C’est certainement ce qui aura finalement coûté la vie à Daniel LEVAVASSEUR.
- Les Escrocs « tête du complot » selon appendice 08 et dont faisait partie Marc BONNANT, n’ont pas accepté cette trahison de LEVAVASSEUR qui compromettait leurs plans et ont commandité son assassinat survenu le 2 février 2003.