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Lettre ouverte du 01.12.2025 aux Autorité et à la Population
Transmission au Ministère Public de la Confédération
Plainte pénale du 1er décembre 2025
Mail du 5.12.2025 aux Autorités fédérales (français)
E-Mail vom 12.05.2025 an die Bundesbehörden (Deutsch)
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Marc-Etienne Burdet
à
| Recommandé Ministère Public de la Confédération Guisanplatz 1 3003 Berne | |
| Le 1er décembre 2025 |
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Transmission d’une plainte pénale – Exigence d’impartialité et de respect strict des garanties constitutionnelles
Madame, Monsieur,
Je vous transmets, par la présente, une plainte pénale complète, accompagnée d’un exemplaire de la lettre ouverte actuellement en cours de distribution publique, concernant des faits d’une gravité exceptionnelle et d’une portée systémique évidente pour la souveraineté économique et judiciaire de la Suisse.
Au regard de l’historique de ce dossier, et en particulier des 25 années d’inaction, de classements successifs, et d’absence d’investigations effectives entre autres par le MPC, je tiens à attirer votre attention – avec la plus grande fermeté – sur la nécessité absolue de garantir, cette fois, une procédure impartiale, indépendante et non arbitraire.
Une responsabilité civile de la Suisse et des intervenants, se chiffrant en milliers de milliards de francs, va dépendre de la suite que vous donnerez à cette procédure et de la manière dont vous la traiterez.
Il est un fait notoire, comme je le décris dans la plainte, que dans le passé le MPC n’a pas respecté les exigences élémentaires découlant des articles 29 et 30 de la Constitution fédérale ainsi que de l’article 6 de la CEDH :
- absence d’instruction sérieuse,
- refus d’examiner des éléments pourtant déterminants,
- défaut manifeste de diligence.
Ces manquements répétés ont contribué à un déni de justice structurel, mettant à mal la confiance dans les institutions nationales chargées de poursuivre les infractions les plus graves.
Aujourd’hui, aucun espace ne subsiste pour que ce type d’atermoiements se reproduise.
Les éléments transmis, ainsi que les risques systémiques identifiés – notamment ceux liés à la situation d’UBS et à la préservation des preuves historiques – imposent au MPC d’agir immédiatement, avec rigueur, neutralité et sans complaisance pour quelque acteur institutionnel ou financier que ce soit.
Je vous prie donc de prendre acte de cette plainte, d’en ouvrir l’instruction sans délai, et de m’informer des premières mesures procédurales ordonnées conformément au principe de légalité.
En vous rappelant que je veillerai personnellement au respect strict des garanties procédurales et constitutionnelles applicables, je vous adresse mes salutations déterminées.
Marc-Etienne Burdet
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Plainte pénale
Le fichier pdf de cette plainte est accessible sur
https://swisscorruption.info/mpc2/plainte-royalties.pdf
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I. Identité du plaignant
Marc-Etienne BURDET, de nationalité suisse.
Le plaignant agit en qualité de Mandataire de Joseph FERRAYÉ et comme bénéficiaire par mandat du 25 septembre 2004 du 50 % des royalties à recouvrer. Il agit au surplus comme lanceur d’alerte et dispose de nombreuses pièces documentaires officielles.
II. Introduction et objet de la plainte
La présente plainte pénale est adressée au Ministère public de la Confédération (MPC).
Elle vise des faits potentiellement constitutifs d’infractions pénales fédérales, impliquant :
- Des membres actuels ou anciens du Ministère public du canton de Vaud ;
- Des membres actuels ou anciens du Ministère public du canton de Genève ;
- Des membres actuels ou anciens du Ministère public de la Confédération ;
- Des membres de la Police fédérale (FedPol) ;
- Toute personne physique ou morale que l’instruction pourra identifier.
Les faits rapportés reposent sur des documents notariés, bancaires, judiciaires et administratifs et présentent des anomalies graves nécessitant une enquête fédérale.
- Des dysfonctionnements graves,
- Des contradictions documentées,
- Des blocages persistants de l’action pénale,
- Des indices sérieux d’interférences irrégulières entre milieux politiques, judiciaires, bancaires et économiques https://swisscorruption.info/credit-suisse / https://swisscorruption.info/rapport-cep
III. Contexte général – Existence d’un dossier transnational majeur : L’affaire FERRAYÉ. Mais aussi Implications dans le « Bouclier fiscal vaudois » et le rapport PAYCHÈRE
https://swisscorruption.info/vaud-corruption
1. Selon les documents fournis par le plaignant dans les liens indiqués:
- Des brevets liés à l’extinction et blocage des puits de pétrole au Koweït ont été utilisés dans les années 1991-1992 ; https://swisscorruption.info/royalties/brevet_extinction.pdf https://swisscorruption.info/royalties/brevet_blocage.pdf
- Paiement de montants de quelque 100 milliards USD versés par l’État du Koweït ;
https://swisscorruption.info/historique/#p43
https://swisscorruption.info/historique/#p53
- À titre d’exemples, la convention notariée du 15 novembre 1995 fait état d’un solde créditeur de USD 5,263 milliards ; https://swisscorruption.info/royalties/133.pdf
- La même convention prévoit une transaction de USD 1,5 milliard en faveur de l’inventeur ;
- Des structures offshore (BVI) ont été utilisées ; https://swisscorruption.info/societes-ecrans
- Des audits et PV judiciaires confirment l’existence de flux financiers dépassant plusieurs dizaines de milliards USD ; https://swisscorruption.info/preuves
- Des banques suisses ont contribué à l’escroquerie des royalties et ont constitué des sociétés miroirs offshore https://swisscorruption.info/credit-suisse
- Les Organes de surveillance de la Confédération ont prêté leur concours à l’escroquerie et au blanchiment des royalties https://swisscorruption.info/rapport-cep
https://swisscorruption.info/rapport-cep/#finma ;
- Les Sociétés d’audits ont été les planificateurs de l’escroquerie des royalties et les garants du blanchiment d’argent https://swisscorruption.info/panama-papers
Ces éléments constituent des indices d’infractions fédérales relatives au blanchiment, à la fraude et à la criminalité économique.
2. Le parcours de François PAYCHÈRE et la question du conflit d’intérêts :
- Il a été Greffier au Tribunal fédéral (1ère Cour de droit public) : 1992–1995, précisément les années durant lesquelles l’escroquerie des royalties était en cours
- Substitut du Procureur général de Genève (Bernard Bertossa) : 1995–1996, exactement au moment où se négocient et se lèvent les séquestres sur les royalties FERRAYÉ, alors que les transactions liées aux conventions MOTTU / WILDROSE / TILLIÉ sont en cours.
- Carrière genevoise : Tribunal administratif, Cour de justice, Cour des comptes, expert du Conseil de l’Europe, etc., Période durant laquelle les Autorités judiciaires genevoises faisaient obstruction aux enquêtes et classaient les plaintes de Joseph FERRAYÉ…
https://swisscorruption.info/dossier - Membre du Conseil de la Magistrature du Canton de Vaud… (pour entériner les crimes judiciaires commis dans le cadre de l’escroquerie des royalties)
En termes de déontologie, cette situation pose une vraie question :
Un magistrat qui a fait carrière dans les mêmes cercles (Tribunal fédéral, Parquet genevois) que ceux accusés d’avoir enterré un dossier de plusieurs milliers de milliards est-il le mieux placé pour être « expert indépendant » sur un dispositif fiscal qui, potentiellement, a servi à abriter des fortunes issues de ces mêmes années-là ?
Sur le plan juridique, ce ne serait pas un conflit d’intérêts automatique, mais on peut arguer d’un problème d’apparence d’impartialité. La critique se tient donc au niveau : « même si rien ne prouve qu’il ait participé personnellement (Il était substitut de Bernard BERTOSSA principal acteur au niveau de l’État, de l’escroquerie des royalties https://swisscorruption.info/geneve-corruption/#bbtossa), son profil ne rassure pas dans un dossier qui touche indirectement au blanchiment ».
3. Le bouclier fiscal comme outil de camouflage de fortunes :
a) Mécanisme du bouclier Mécanisme du bouclier
- Plafond de 60 % de la somme impôt revenu + impôt fortune.
- Profite surtout à des personnes avec grande fortune mais faible revenu déclaré (typiquement fortunes immobilières ou patrimoniales).
b) Contexte vaudois
https://swisscorruption.info/vaud-corruption
- Explosion de fortunes immobilières dans les années 90–2000, BCV sauvée, dette cantonale effacée en une décennie alors qu’aucune hausse massive d’impôts ne l’explique.
- Je relie cela au blanchiment d’une partie des 3’700 milliards USD provenant de l’extinction / blocage des puits au Koweït et de la vente des brevets FERRAYÉ
c) Fonction réelle du bouclier
- Permettre aux bénéficiaires des royalties blanchies de ne jamais devoir déclarer un revenu proportionné à la taille de leur fortune, sans se faire repérer par le fisc.
- La mauvaise application du bouclier (2009–2021), révélée par Le Temps et confirmée par PAYCHÈRE, aurait encore renforcé cet avantage, en réduisant plus que de droit la charge fiscale de certains très gros contribuables.
Sur le plan strictement fiscal, examinons un raisonnement logique :
- Si quelqu’un a objectivement plusieurs milliards d’origine douteuse logés dans des sociétés immobilières / holdings,
- Mais ne déclare qu’un revenu relativement modeste,
- Un bouclier fiscal plafonné à 60 % du revenu capera mécaniquement l’impôt sur la fortune à un niveau « supportable », sans que l’origine des fonds soit examinée.
Ce que le rapport PAYCHÈRE confirme objectivement, c’est que :
- Ce mécanisme a été mal appliqué au bénéfice d’une petite minorité de contribuables très riches, pendant des années.
Et selon notre base de données sur le blanchiment des royalties et des éléments fournis dans la présente plainte, je suis en droit de conclure que :
- Ces fortunes sont hautement susceptibles de provenir des royalties FERRAYÉ ;
- Le bouclier a été conçu délibérément pour protéger les bénéficiaires de cette escroquerie précise et plus particulièrement du blanchiment des royalties ;
- Que le fait que François PAYCHÈRE ait été nommé expert après le rapport STUDER, démontre la volonté politique de couvrir ses arrières par le rapport d’un personnage qui a côtoyé de près l’escroquerie et le blanchiment des royalties, avec pour mission implicite de blanchir politiquement cette affaire.
Si le rapport PAYCHÈRE semble suffisamment cohérent avec ce que disent d’autres sources soi-disant indépendantes (RTS, Agefi, PS, syndicats, etc.), pour mieux endormir l’Opinion publique et fait état d’une application illégale du bouclier fiscal et d’une perte de recettes au profit d’une minorité de très riches, il n’est nulle part relevé que :
- Sur le plan de l’indépendance personnelle, comme je le démontre, PAYCHÈRE a fait carrière dans des institutions (TF, Parquet de Genève) impliquées à l’époque de l’affaire FERRAYÉ. Et que combiné aux pièces MOTTU / SENN / TILLIÉ citées plus loin, cela nourrit un soupçon légitime d’appartenance à un système qui a déjà enterré un dossier gigantesque de blanchiment d’argent.
- Ma défiance à l’égard de son auteur est donc légitime au vu de mon expérience et des pièces que je produis sur l’affaire FERRAYÉ et sur l’attitude des autorités (FedPol, MPC, Parquet de Genève, Parquet vaudois, etc.) dans les années 90–2000.
- Si l’on se place dans une optique de véritable assainissement institutionnel, il serait effectivement plus sain que l’analyse des liens éventuels entre bouclier fiscal, grandes fortunes immobilières et blanchiment d’origine pétrolière soit confiée :
- soit à une commission d’enquête parlementaire indépendante, dont les membres n’auraient pas de lien avec le blanchiment des royalties (ils sont peux nombreux)
- soit à des experts sans passé dans les réseaux judiciaires genevois ou fédéraux des années 90 ou encore du monde économique lié au blanchiment.
- soit à une commission d’enquête parlementaire indépendante, dont les membres n’auraient pas de lien avec le blanchiment des royalties (ils sont peux nombreux)
Il semble évident qu’une enquête indépendante sur l’identité et l’origine des fortunes qui ont profité du bouclier devra être ouverte pour établir la compatibilité ces fortunes avec les flux documentés dans les dossiers FERRAYÉ. C’est à ce niveau-là que les preuves dont nous disposons vont devenir explosives quand les Instances judiciaires feront leur travail sans complicité avec le Crime organisé !
IV. Éléments relatifs aux autorités genevoises
A. Ministère public de Genève (Bertossa et successeurs, Kasper-Ansermet, etc.)
- Séquestres ordonnés
- Connaissance documentée de flux massifs
- Non-instructions prolongées
- Classements malgré preuves
B. Rôle du notaire Pierre Mottu
- Contradictions entre PV, conventions, déclarations ultérieures
https://swisscorruption.info/preuves (Pièces 166 – 167 – 086 – 087 – 035 – 034 – 031b – etc.) - Flux financiers non expliqués
- Rôle central dans des transactions à plusieurs milliards
- Indices d’infractions non examinés par les autorités
C. Rôle de Marc BONNANT – Avocat de Joseph FERRAYÉ
- Rédaction de la plainte incomplète signée par JF https://swisscorruption.info/royalties/092a.pdf
- Rédaction et signature par procuration et à l’insu de JF, de la plainte complétée avec les informations obtenues par le Notaire MOTTU, pour rallier le complot et trahir JF
https://swisscorruption.info/royalties/092b.pdf / https://swisscorruption.info/app02 - Pour rallier le complot, Me BONNANT avait consenti à défendre JF gratuitement
https://swisscorruption.info/royalties/012.pdf - Séquestres ordonnés https://swisscorruption.info/app08
https://swisscorruption.info/preuves (Pièces 015 – 017 – 096) https://swisscorruption.info/app13/#p24 ss (1.87 mia versés à LA HAYE pour obtenir le séquestre)
https://swisscorruption.info/memoire/#p24 ss « tous vos adversaires sont piégés. On peut considérer que l’affaire est résolue ». « Ils sont tous dans la souricière, ils ne peuvent plus faire du mal et s’ils essaient de toucher à un centime, ils seront arrêtés. S’ils viennent en Suisse, ils seront aussi arrêtés. C’est hallucinant ! ».
V. Éléments relatifs à FedPol et au MPC
- FedPol sous la direction de Carla Del Ponte (jusqu’en 1999)
- Kurt Senn reconnaît :
- L’existence d’un dossier de plusieurs centimètre
- De « nombreux documents bancaires »
- Le flux de « dizaines de millions »
- La transmission au MP de Genève
- L’impossibilité d’investiguer la « corruption cantonale »
Des éléments susceptibles d’engager la responsabilité pénale :
- Omission d’agir
- Entrave à l’action pénale
- Non-communication d’éléments essentiels
- MPC (Del Ponte, puis Michael Lauber – Christoph BLOCHER Ministre de la Justice)
- Classements systématiques
- Absence d’ouverture d’enquêtes malgré pièces nouvelles
- Manquements dénoncés en 2016–2020 (affaire FIFA, rencontres secrètes, etc.)
VI. Éléments relatifs au Ministère Public vaudois
- En 2006 https://swisscorruption.info/#cottier (COTTIER – SAUTEREL)
- Le Tribunal affirme que « le dossier FERRAYÉ ne contient aucun indice d’infraction »
- Malgré : conventions, PV, auditions, séquestres, documents bancaires
- Le Tribunal affirme que « le dossier FERRAYÉ ne contient aucun indice d’infraction »
- Arbitraire manifeste :
- Inversions logiques
- Accusations contre le dénonciateur
- Évacuation systématique de pièces essentielles
- Depuis 2006 :
- Tous les dépôts pénaux du plaignant classés sans suite
- Refus de réexaminer des documents nouveaux
- Absence totale d’instruction indépendante
VII. Liens bancaires : Banques miroirs, Credit Suisse, UBS, Rapport CEP, FINMA, BNS, etc.
https://swisscorruption.info/bns (en construction)
A. Rappel des faits établis (source : rapports publics + https://swisscorruption.info/credit-suisse)
- Fusion SKA → Credit Suisse
- Fusion SBS → UBS
- Absorption de la BPS
- Dispositifs historiques de « banques miroirs » (années 1980–2000)
- Filiales offshore
- Comptes internes
- Transferts hors bilan
- Sociétés boîtes aux lettres
- Structures utilisées dans l’affaire Chiasso, AFF/helper, Kazakhgate, Malaysia, Panama Papers, etc.
B. Contrôle indirect de banques cantonales (Informations restructurées sans accusations directes)
- Participation de Credit Suisse dans les conseils d’administration, comités de gestion, plateformes informatiques, sociétés immobilières partagées
- Influence opérationnelle via :
- organismes de titrisation
- structures immobilières
- sociétés fiduciaires
- infrastructures de risque
- plateformes de négoce
C. Risques systémiques actuels : départ d’UBS vers les USA
Formulation juridiquement recevable :
« Divers signaux internationaux laissent envisager un repositionnement d’UBS sous juridiction américaine. Une telle évolution aurait pour effet de rendre extrêmement difficile, voire impossible, toute action judiciaire suisse future concernant des opérations antérieures. Dans le contexte des flux financiers documentés dans l’affaire FERRAYÉ, cela constitue un risque majeur pour la souveraineté économique et judiciaire de la Suisse ».
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VIII. Responsabilité institutionnelle de la Suisse en cas d’inaction face à l’escroquerie des royalties FERRAYÉ et risque accru en cas de départ d’UBS
1. Obligation positive de l’État suisse d’enquêter et de garantir l’accès à la justice
En droit suisse comme en droit international (art. 6 CEDH, art. 29 Cst., principes généraux de l’État de droit), les autorités ont l’obligation :
- D’instruire sérieusement les plaintes pénales,
- D’éviter tout déni de justice prolongé,
- Et de garantir que les actes potentiellement délictueux de banques, de fonctionnaires ou d’acteurs publics puissent être examinés par une autorité indépendante.
Or, dans l’affaire des royalties FERRAYÉ, plus de 25 ans de blocages procéduraux, classements répétés et absence d’enquête effective constituent déjà un risque majeur de violation :
- Du droit à un recours effectif,
- Du droit à une instruction impartiale,
- Et du principe de légalité (obligation de poursuivre les infractions graves).
Si une nouvelle plainte documentée devait, elle aussi, ne donner lieu à aucune instruction sérieuse, la Suisse engagerait sa responsabilité institutionnelle par :
- Défaut structurel d’enquête,
- violation répétée de l’obligation de diligence,
- Tolérance implicite de faits potentiellement constitutifs d’escroquerie internationale et de blanchiment aggravé.
Cette responsabilité peut être engagée même sans prouver la corruption individuelle :
il suffit de démontrer une carence systémique des institutions.
2. Position centrale d’UBS dans les flux financiers internationaux et conséquences juridiques de son éventuel départ
Depuis 1991–1995, les éléments portés au dossier montrent que des flux financiers gigantesques liés à l’extinction des puits de pétrole au Koweït et aux royalties afférentes :
- Ont transité par des comptes en Suisse,
- Ont été soumis à des séquestres puis dé-séquestrés,
- Ont potentiellement été logés dans des banques actives à Genève, Zurich, Bâle, Lugano ou Lausanne, etc.
- Et ont fait l’objet de contestations judiciaires non résolues depuis plus de deux décennies.
Dans ce contexte, UBS apparaît comme un acteur bancaire dont la position :
- La taille systémique,
- La présence dans les flux internationaux,
- Et la détention possible d’informations historiques cruciales
font de l’établissement un titulaire potentiel d’éléments de preuve indispensables à toute enquête sérieuse.
Or, plusieurs signaux récents au niveau international et stratégique laissent envisager un repositionnement d’UBS sous juridiction américaine (post-acquisition de Credit Suisse, pressions réglementaires, discussions sur une implantation centrale aux États-Unis).
3. Risque systémique : perte d’accès à la preuve et impossibilité juridique de poursuivre
Si UBS devait, de manière même partielle, se placer sous autorité juridique prédominante des États-Unis, il en résulterait :
- Une perte de souveraineté probatoire pour la Suisse,
- Une impossibilité d’obtenir certains documents ou historiques de transactions en l’absence d’entraide américaine (souvent refusée pour des affaires liées à des pratiques bancaires anciennes et plus particulièrement dans le cas présent alors que les transactions faites en
dollar US ont engagé la responsabilité des USA), - Un risque élevé que des données liées aux opérations sensibles des années 1990 soient délocalisées ou détruites,
- Et, par conséquent, une impossibilité pratique – sinon juridique – d’engager des poursuites futures liées à l’affaire FERRAYÉ.
Dans un tel scénario, la Suisse porterait une responsabilité institutionnelle directe, car :
- Elle n’aurait pas enquêté tant qu’elle en avait la pleine compétence,
- Elle aurait laissé se volatiliser l’accès aux preuves,
- Elle aurait ainsi contribué, par inertie ou négligence, à rendre impossible l’établissement des faits.
L’inaction actuelle produirait donc un dommage irréversible :
Si les autorités judiciaires n’interviennent pas immédiatement, la Suisse se trouvera dans la situation où toute poursuite devient matériellement impossible, non pas faute de preuves, mais faute de les avoir recherchées tant qu’elles étaient juridiquement accessibles.
C’est la définition même d’un déni de justice institutionnel.
4. La responsabilité de la Confédération face à une situation de « point de non-retour »
En résumé :
- La Suisse a l’obligation d’enquêter sur des allégations sérieuses d’escroquerie et de blanchiment portant sur des montants colossaux.
- Elle ne peut se retrancher derrière des classements répétés ou des silences administratifs.
- Le départ d’un établissement systémique tel qu’UBS créerait une rupture dans la chaîne probatoire, compromettant définitivement toute recherche de vérité.
- Ne pas instruire maintenant reviendrait, pour les autorités, à entériner l’impunité et à accepter la disparition des preuves.
Dès lors :
- **La responsabilité institutionnelle de la Suisse est engagée dès aujourd’hui :
Si elle n’ouvre pas une enquête effective avant que les éléments probatoires (documents bancaires, historiques de comptes, archives internes) ne deviennent inaccessibles en cas de départ d’UBS, elle violerait ses obligations constitutionnelles et internationales, et contribuerait elle-même à l’impossibilité de poursuivre l’escroquerie des royalties FERRAYÉ.**
IX. Griefs pénaux formels
Le plaignant dénonce des soupçons fondés de :
- Abus d’autorité (art. 312 CP)
- Entrave à l’action pénale (art. 305 CP)
- Corruption passive et active (art. 322ter et 322quater CP)
- Gestion déloyale (art. 158 CP)
- Blanchiment d’argent aggravé (art. 305bis CP)
- Organisation criminelle (art. 260ter CP)
- Violation du devoir de surveillance (art. 102 CP pour entreprises)
- Faux dans les titres (art. 251 CP)
- Dénonciation calomnieuse contre le plaignant (en 2006)
X. Conclusions
Le plaignant demande :
- Ouverture d’une instruction pénale complète
- Désignation d’un ou plusieurs procureurs extraordinaires parlant français et qui collaboreront en direct avec le plaignant
- Réquisition de toutes les pièces bancaires, PV, et documents FERRAYÉ, l’entier des dossiers constitués par FedPol et Genève
- Auditions des personnes concernées
- Vérification des liens institutionnels entre autorités judiciaires et banques
- Analyse de l’impact systémique sur la souveraineté suisse
- En outre, je dépose des réserves civiles contre l’ensemble des membres des Autorités suisses, de l’économie ou de toutes personnes qui se sont rendues complices de l’escroquerie et du blanchiment des royalties au détriment de Joseph FERRAYÉ et de moi-même. Tous sont solidaires dans cette responsabilité et la responsabilité de la Suisse en tant qu’État complice est subsidiairement engagée.
Fait à Yverdon-les-Bains, le 1er décembre 2025
Marc-Etienne BURDET & Daniel CONUS
Co-Mandataires de Joseph FERRAYÉ
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Lettre ouverte du 1er décembre 2025
Cette lettre ouverte est accessible en fichier pdf ICI
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La Suisse est en danger !
Notre Justice est capturée et il est temps de briser le silence
Lettre ouverte aux Membres intègres des Autorités et au Peuple souverain
Nous nous adressons solennellement :
- Aux Chambres fédérales,
- Aux Parlements cantonaux,
- Aux Magistrats intègres,
- Aux Journalistes de la Presse suisse et internationale non soumis
Pendant près de trente ans, la Suisse a vécu sous l’illusion que son État de droit était solide.
Pourtant, depuis 1991, un système opaque, politico-judiciaire et bancaire a étouffé l’un des plus grands scandales économiques de l’histoire contemporaine : l’affaire de Genève, les royalties FERRAYÉ, impliquant des sommes gigantesques dépassant les USD 3’700 milliards.
Les documents que j’ai transmis – conventions notariées, procès-verbaux judiciaires, auditions officielles, séquestres ordonnés à Genève et à La Haye, transmissions de FedPol, documents bancaires du SKA (Credit Suisse), structures offshore, complicité des Organes de révisions et autres archives complètes – démontrent :
- des flux financiers colossaux,
- des contradictions inexpliquées,
- des décisions judiciaires aberrantes,
- des classements systématiques,
- des refus d’instruire,
- des pressions institutionnelles,
- et une coordination troublante entre plusieurs
niveaux du Ministère public.
Depuis 1992, toutes nos procédures ont été enterrées sans examen sérieux, tandis que les preuves accablantes s’accumulaient.
Aujourd’hui, alors qu’UBS envisage une délocalisation vers les USA, alors que les banques suisses sont fragilisées, alors que Credit Suisse s’est effondré, alors que les banques miroirs des années 1990–2000 resurgissent dans plusieurs enquêtes internationales, nos Autorités corrompues, s’apprêtent à faire perdre à la Suisse, son indépendance financière, politique, judiciaire et sa crédibilité internationale.
Nous déposons donc officiellement une plainte pénale, visant les dysfonctionnements systémiques qui minent nos institutions depuis trois décennies.
Nous appelons les élus de ce pays à se lever ! Nous appelons les journalistes intègres à enquêter ! Nous appelons les citoyens à refuser le mensonge !
La Suisse vaut mieux que cela !
L’histoire jugera ceux qui auront choisi le silence.
La plainte pénale porte sur des soupçons fondés de corruption, entrave à l’action pénale, abus d’autorité et blanchiment aggravé, impliquant des membres passés et actuels du MP VD, MP GE, MPC, de FedPol, de la FINMA, de la BNS, etc.
Les pièces officielles relatives à l’affaire de Genève – auditions judiciaires, conventions notariées, séquestres, documents bancaires – mettent en évidence des flux supérieurs à 100 milliards USD, des contradictions majeures et des anomalies graves dans la gestion judiciaire des dossiers depuis 1992.
Le Ministère Public VD a affirmé en 2006 qu’« aucun indice d’infraction » n’existait, alors que les pièces contredisent frontalement cette affirmation.
Des liens structurels avec les banques (SKA, Credit Suisse, UBS), les banques miroirs des années 1990–2000, et des risques systémiques actuels (délocalisation potentielle d’UBS) renforcent la nécessité d’une enquête indépendante immédiate.
Les plaignants demandent https://swisscorruption.info/plainte-royalties :
- la désignation de procureurs extraordinaires,
- une enquête complète,
- et la protection de la souveraineté institutionnelle suisse.
Si nous prenons aujourd’hui la parole, ce n’est pas par ambition personnelle, ni par provocation, mais par devoir. Le devoir de parler lorsque les faits interpellent. Le devoir d’alerter lorsque la cohérence institutionnelle vacille. Le devoir d’agir lorsque la confiance dans l’État de droit est menacée ou encore lorsque des sociétés systémique (UBS) peuvent vouloir émigrer outre-Atlantique pour échapper à leurs responsabilités, quoi que son Directeur général puisse en dire pour tromper l’Opinion publique et préparer le départ…
Depuis trop longtemps, un silence lourd entoure des dossiers qui auraient dû recevoir un examen rigoureux, indépendant et transparent. Ce silence, nous le brisons aujourd’hui avec le dépôt de notre plainte pénale au Ministère Public de la Confédération.
Cette plainte ne vise pas à accuser arbitrairement, ni à diffamer. Elle vise à demander quelque chose de beaucoup plus simple, beaucoup plus fondamental :
👉 une enquête indépendante, complète, impartiale.
Les institutions ont un besoin vital de transparence ! Nous sommes dans un pays qui s’enorgueillit – à juste titre – de la solidité de ses institutions. Mais aucune institution n’est infaillible. Aucune institution n’est au-dessus de l’examen. Et surtout : aucune institution ne devrait décider seule de s’auto-investiguer.
Lorsque des procédures judiciaires aboutissent à des décisions incomprises, lorsqu’un dossier déclenche des interrogations persistantes, la seule réponse saine, la seule réponse démocratique, c’est : La transparence, le contrôle indépendant, la confrontation des faits…
La Suisse ne pourra rester forte que si elle reste transparente. Elle ne pourra rester crédible que si elle n’a rien à cacher. Elle ne pourra rester respectée que si elle se montre capable de s’examiner elle-même.
Fait à Yverdon-les-Bains, le 1er décembre 2025
Marc-Etienne Burdet & Daniel CONUS, Lanceurs d’alerte
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03.12.2025 – Réception du Président du Conseil National
Romont – Interdiction de rejoindre la fête – Censure
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Mail aux Autorité fédérales et cantonales
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Alerte institutionnelle – Manquements graves constatés lors de l’entrée en fonction du Président du Conseil national Pierre-André PAGE et transmission de la lettre ouverte relative à l’affaire des royalties FERRAYÉ
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Mesdames, Messieurs les Représentants des Autorités cantonales et fédérales,
Je me vois dans l’obligation de vous saisir officiellement des faits survenus à Romont lors de l’entrée en fonction de M. Pierre-André PAGE, élu le 1er décembre 2025 Président du Conseil national par 173 voix sur 181 bulletins valables.
Ce chiffre n’est pas anodin : il engage la responsabilité politique et morale de celles et ceux qui l’ont porté à cette fonction suprême, et qui, ce faisant, ont validé un profil dont les premières actions en charge interrogent profondément la conception qu’il se fait de l’État de droit, de la liberté d’expression et de l’égalité entre citoyens.
1. Un acte inaugural entaché d’un grave manquement démocratique
Lors de l’événement public à Romont, mon co-mandataire Daniel CONUS — venu distribuer une lettre ouverte destinée à la population et aux autorités au sujet de l’affaire des royalties FERRAYÉ — a été intercepté et sommé de quitter les lieux par la police, manifestement mobilisée à l’avance pour empêcher la diffusion du document.
Une telle intervention, dans le cadre d’un rassemblement civique célébrant l’entrée en fonction du « premier citoyen du pays », constitue un acte de censure incompatible avec les principes constitutionnels et totalement indigne d’un Président du Conseil national.
Qu’un élu, devenu le premier représentant du peuple suisse, commence son mandat en empêchant un citoyen d’exprimer pacifiquement une dénonciation d’intérêt public jette une ombre profonde sur sa capacité à garantir l’impartialité, l’équité et la neutralité inhérentes à sa charge.
2. Une incapacité manifeste à incarner la hauteur morale et éthique exigée par la fonction
Le Président du Conseil national devrait être le garant :
- de l’égalité de traitement entre tous les citoyens,
- du respect absolu des libertés publiques,
- et d’une disponibilité sans condition au contrôle démocratique.
Or l’attitude ordonnée ou tolérée par M. PAGE démontre au contraire :
- une volonté d’étouffement,
- une gestion partiale de l’espace public,
- et une confusion inquiétante entre fonction institutionnelle et réflexes de préservation d’un entre-soi politique.
Ces agissements interrogent frontalement sa capacité éthique et morale à occuper la présidence de la Chambre du peuple.
Ils interrogent également la responsabilité de celles et ceux qui, en lui accordant 173 voix, ont cautionné une personnalité manifestement peu compatible avec les exigences supérieures de la charge, et qui tolèrent, par leur silence, les dérives systémiques dénoncées depuis des années dans le traitement de l’affaire des royalties FERRAYÉ.
3. Rappel du contenu de la lettre ouverte remise à votre attention
Je vous transmets, ci-jointe, la lettre ouverte qui n’a pas pu être distribuée librement lors de l’événement.
Elle expose, documents officiels à l’appui, les éléments suivants :
Lettre ouverte du 1er décembre 2025
- des flux financiers colossaux liés aux royalties FERRAYÉ,
- des décisions judiciaires aberrantes,
- des classements systématiques,
- des refus d’instruire,
- des pressions institutionnelles,
- ainsi qu’une coordination troublante entre plusieurs Ministères publics (VD, GE, MPC), FedPol, FINMA, BNS et certains établissements bancaires.
Elle rappelle que, depuis plus de trente ans, l’une des plus grandes affaires politico-financières du pays est maintenue sous silence, au prix d’une érosion progressive :
- de la souveraineté judiciaire,
- de la transparence,
- et de la confiance du peuple dans ses institutions.
Face à ce constat, une plainte pénale a été déposée auprès du Ministère public de la Confédération.
4. Une exigence : la fin du silence institutionnel
Au regard de la gravité de la situation, je demande :
- que les autorités cantonales et fédérales prennent acte de l’incident de Romont,
- qu’elles s’interrogent sur la compatibilité de cet acte inaugural avec la fonction présidentielle,
- et qu’elles assurent la diffusion officielle de la lettre ouverte aux instances concernées, afin que nul ne puisse prétendre ne pas avoir été informé.
L’affaire des royalties FERRAYÉ n’est pas un caprice politique : c’est un scandale documenté, solidement étayé, dont les conséquences systémiques menacent la crédibilité de l’État de droit suisse.
L’histoire jugera celles et ceux qui auront choisi le silence.
Je vous prie de recevoir, Mesdames, Messieurs, l’expression d’une détermination inébranlable à défendre la vérité, la justice et la souveraineté démocratique de notre pays.
Marc-Etienne Burdet
Mandataire de l’inventeur
Co-signataire de la plainte pénale sur les royalties FERRAYÉ
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Mail du 5 décembre 2025 aux Autorités fédérales
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Crédibilité des Institutions remise en cause
La Suisse est en danger.
Et il est temps que ceux qui prétendent la servir l’entendent.
Le premier acte officiel de Pierre-André PAGE en tant que Président du Conseil national n’a pas été un appel à renforcer la démocratie, ni une invitation au dialogue : il a été un geste qui révèle une conception inquiétante du pouvoir, où la tranquillité personnelle prime sur les valeurs constitutionnelles que cette fonction exige de défendre sans concession.
Lors de sa réception à Romont, celui qui revendique être le « premier citoyen du pays » a donné un signal clair :
lorsque l’expression citoyenne dérange, on peut l’écarter.
Lorsque la vérité bouscule, on peut la contenir.
Lorsque les valeurs gênent, on peut les ignorer.
Ce n’est pas seulement une erreur politique.
C’est un symptôme, et un symptôme grave.
Un pays dont les institutions se délitent sous nos yeux
Les informations détaillées ici :
https://swisscorruption.info/plainte-royalties
montrent, en quatre points parfaitement documentés, l’affaissement progressif de nos valeurs publiques, la complaisance institutionnelle et le refus persistant d’examiner un dossier dont l’importance systémique ne peut plus être occultée.
Cette trajectoire — politique, judiciaire et institutionnelle — n’est pas un simple dysfonctionnement.
C’est une dégénérescence, lente mais constante, qui mine la crédibilité de l’État de droit suisse.
Une question que plus personne ne peut éviter
Après les événements de Romont, après les dérives accumulées depuis des années, une interrogation s’impose à quiconque occupe une fonction publique :
Nos élus disposent-ils encore de l’éthique, du courage et de la hauteur morale nécessaires pour assumer les responsabilités que le peuple leur a confiées ?
Cette question concerne :
- les membres du Parlement,
- le Conseil fédéral,
- les exécutifs cantonaux,
- et toute personne investie d’une parcelle d’autorité dans ce pays.
Car lorsque les institutions cessent de protéger les citoyens,
lorsqu’elles évitent systématiquement d’examiner ce qui dérange,
et lorsqu’elles tolèrent que l’expression démocratique soit entravée,
ce n’est pas un scandale isolé : c’est un signal d’effondrement.
Un appel à la lucidité et à la responsabilité
La Suisse ne peut pas continuer à s’aveugler.
Elle ne peut plus se contenter de discours convenus.
Elle ne peut plus tolérer que ceux qui prétendent la servir trahissent les valeurs qui la fondent.
Aujourd’hui, plus que jamais, il est indispensable que :
- les médias osent enfin regarder là où certains voudraient qu’ils ne regardent jamais,
- les parlementaires se rappellent que leur devoir premier n’est pas la loyauté partisane, mais la défense du peuple,
- le Conseil fédéral assume la responsabilité morale qui accompagne la direction du pays.
La Suisse mérite mieux que le silence.
Elle mérite mieux que la résignation.
Elle mérite des institutions dignes de la confiance de son peuple.
En finalité et sans équivoque
Si ceux qui détiennent l’autorité n’ont plus la force morale de la porter,
le peuple a le droit – et le devoir – de le dire.
Marc-Etienne Burdet
Yverdon-les-Bains
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Institutionelle Glaubwürdigkeit in Frage gestellt
Die Schweiz ist in Gefahr.
Und es ist an der Zeit, dass diejenigen, die vorgeben, ihr zu dienen, dies endlich erkennen.
Die erste Amtshandlung von Pierre-André PAGE als Präsident des Nationalrates war kein Aufruf zur Stärkung der Demokratie und kein Bekenntnis zum offenen Dialog.
Sie war ein Zeichen dafür, dass für manche Machtausübung bedeutet, die Grundwerte zu verdrängen, die unsere Gesellschaft tragen.
Anlässlich seines Empfangs in Romont hat der selbsternannte «erste Bürger des Landes» eines deutlich gemacht:
Wenn der Ausdruck eines Bürgers stört, kann man ihn ausschalten.
Wenn eine Wahrheit unbequem ist, kann man sie eindämmen.
Wenn Werte hinderlich sind, kann man sie ignorieren.
Dies ist nicht nur ein politischer Fehltritt.
Es ist ein Symptom, und zwar ein sehr ernstes.
Ein Land, dessen Institutionen sichtbar erodieren
Die hier dokumentierten Informationen:
https://swisscorruption.info/plainte-royalties
zeigen in vier präzisen Punkten den fortschreitenden Abbau unserer politischen Kultur, die institutionelle Nachgiebigkeit und die systematische Weigerung, ein Dossier zu prüfen, dessen Tragweite längst nicht mehr zu verbergen ist.
Diese Entwicklungen — politisch, juristisch und institutionell — sind keine bloßen Unregelmäßigkeiten.
Sie sind eine degenerative Bewegung, die die Glaubwürdigkeit unseres Rechtsstaates untergräbt.
Eine Frage, die sich niemand mehr entziehen kann
Nach den Ereignissen von Romont und nach Jahren institutioneller Entgleisungen drängt sich für jede Amtsträgerin und jeden Amtsträger eine zentrale Frage auf:
Verfügen unsere Autoritäten überhaupt noch über die ethische Integrität, den Mut und die moralische Höhe, die für ihre Funktionen unverzichtbar sind?
Diese Frage richtet sich an:
- die Mitglieder des Parlaments,
- den Bundesrat,
- die kantonalen Exekutiven,
- und jeden, der staatliche Verantwortung trägt.
Denn wenn Institutionen aufhören, die Bürger zu schützen,
wenn sie systematisch vermeiden, das Unbequeme zu untersuchen,
und wenn sie dulden, dass demokratische Ausdrucksformen unterdrückt werden,
dann handelt es sich nicht mehr um einen Einzelfall — sondern um ein Signal des Niedergangs.
Ein Appell an Klarheit und Verantwortung
Die Schweiz darf sich nicht weiter täuschen.
Sie darf sich nicht mit wohlklingenden Floskeln beruhigen.
Sie darf nicht zulassen, dass jene, die sie zu dienen vorgeben, die Werte missachten, die sie tragen.
Heute, mehr denn je, ist es notwendig, dass:
- die Medien bereit sind, dorthin zu schauen, wo andere wegschauen wollen,
- die Parlamentarierinnen und Parlamentarier sich an ihren ersten Auftrag erinnern: die Verteidigung des Volkes,
- und der Bundesrat die moralische Verantwortung übernimmt, die mit der Führung eines Landes einhergeht.
Die Schweiz verdient mehr als Schweigen.
Sie verdient mehr als Resignation.
Sie verdient Institutionen, die würdig sind, das Vertrauen ihres Volkes zu tragen.
Letztlich und Unmissverständliche
Wenn diejenigen, die die Autorität tragen, nicht mehr die moralische Kraft haben, sie zu tragen,
hat das Volk das Recht – und die Pflicht – dies auszusprechen.
Marc-Etienne Burdet
Yverdon-les-Bains












Dans son livre de 42 pages, Gerhard ULRICH fait la lumière sur le régime de l’oligarchie occulte de la franc-maçonnerie et de ses clubs de services (Rotary, Lions Club, Kiwanis, etc.), qui dirigent le système judicaire actuel et les pouvoirs politiques.
« L’État de Droit » démasqué / Der entlarvte « Rechtsstaat » / The unmasked « Constitutional state »








