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La neutralité suisse

Le traité de paix perpétuelle

Déclaration des Puissances

Traité de Paris

Violation de la neutralité

Plainte pénale c-Membres du Conseil fédéral et des Chambres fédérales
Opposition video-conférence ZELENSKY

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Qu’est-ce que la neutralité ?

Un Etat neutre ne favorise aucune idéologie, aucune croyance et permet le pluralisme d’expression et d’action.

Il faut donc tout d’abord comprendre la différence entre « NEUTRALITÉ » et « IMPARTIALITÉ » et force est de constater que les membres du Gouvernement et des Chambres fédérales suisses semblent méconnaître cette différence.

L’impartialité, c’est, lorsque l’on prend parti, le faire sans préférence personnelle. L’impartialité implique une décision, contrairement à la neutralité. En d’autres termes, l’impartial choisit, le neutre s’abstient de le faire. C’est bien là l’erreur fondamentale qu’ont faite les Autorités suisses dans le cadre du conflit en Ukraine.

Dans ses statuts, le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) se donne la tâche de maintenir les principes fondamentaux et uniformes parmi lesquels l’impartialité, l’indépendance politique, confessionnelle et économique ».

On notera qu’il est question d’impartialité, pas de neutralité, et la différence est importante comme l’explique en 1955 l’un des dirigeants du CICR, le grand juriste Jean Pictet : contrairement à ce qu’indique l’étymologie du mot, être impartial n’est pas ne pas prendre parti. C’est, lorsque l’on prend parti, le faire sans préférence personnelle. L’impartialité, contrairement à la neutralité, implique donc une décision. L’impartial choisit, le neutre s’abstient de le faire.

LA NEUTRALITÉ SUISSE

Des origines à la guerre de 30 ans

Source Herodote.net – Le Media de l’histoire

À la « bataille des géants » (Marignan, 1515), les Confédérés ont connu une sanglante défaite face au roi François Ier. Mais dès l’année suivante, à Fribourg, ils ont conclu avec la France une « paix perpétuelle » qui sera constamment renouvelée jusqu’à la Révolution française.

C’était la fin d’une longue tradition guerrière qui avait valu aux montagnards suisses une réputation de redoutables et cruels combattants avides de pillages. Aux XVIe et XVIIe siècles, les Suisses n’en ont pourtant pas moins été affectés par les guerres de religion et principalement la guerre de Trente Ans (1618-1648).

Malgré ou à cause de leur violence passée et de ces épreuves, ils se sont accrochés à leur neutralité, ce qu’ils appellaient « rester tranquille et silencieux », c’est-à-dire ne pas intervenir dans les conflits étrangers. Cette neutralité leur a permis jusqu’à nos jours de se tenir à l’écart des guerres européennes et, plus important encore, de préserver la paix intérieure entre les différents cantons.

Le traité de paix perpétuelle

François Ier et les Treize Cantons helvétiques ont conclu donc le 29 novembre 1516 une « paix perpétuelle », au sens de « durée non limitée ». Les négociations se sont engagées sur la base des propositions faites par le roi aux Suisses le 8 septembre 1515 à Gallarate, dès avant la bataille de Marignan.

Par ce traité, les cantons ont reçu 700 000 écus d’or. Chacun a touché une pension annuelle, de même que des pays alliés comme le Valais, les ligues grisonnes, l’abbé de Saint-Gall, le comte de Toggenbourg, la ville de Mulhouse et le comte de Gruyères.

Les négociants helvétiques ont continué à bénéficier de privilèges à Milan et Lyon, villes de foires. Le roi de France ayant reconnu aux Confédérés la possession de l’actuel canton du Tessin ainsi que la région de la Valteline avec Bormio et Chiavenna.

Les Confédérés se sont engagés en retour à épargner le Milanais, ont promis de ne plus combattre la France et ont autorisé par ailleurs le roi à lever chez eux des troupes dont les effectifs pouvaient varier entre 6 000 et 16 000 hommes.

Les cantons se sont autorisés à fournir des régiments ou des compagnies aux princes qui en faisaient la demande, sous réserve qu’ils ne soient pas engagés contre la France.

Cette paix perpétuelle, peut-être la seule qui mérite son nom, a été prolongée par un traité d’alliance défensive signé le 5 mai 1521.

Elle est restée jusqu’à la Révolution française un pilier de la diplomatie et de la politique intérieure helvétiques et a connu une fin tragique le 10 août 1792 avec l’assaut des Tuileries par la foule parisienne. Le roi Louis XVI a été arrêté après des combats qui ont coûté la vie à six cents de ses gardes suisses.

Déclaration des Puissances
portant reconnaissance et garantie de la neutralité perpétuelle de la Suisse et de l’inviolabilité de son territoire

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Au terme du congrès de Vienne, le 9 juin 1815, la neutralité de la Suisse est pour la première fois officiellement reconnue par les grandes puissances (France, Prusse, Grande-Bretagne, Russie). Elles trouvent intérêt à ce que ce petit État, au cœur du continent, garantisse le libre passage des grandes transversales alpines.
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Traité de Paris

Date : Paris, le 20 novembre 1815.

L’accession de la Suisse à la déclaration donnée à Vienne, le 20 mars 1815, par les Puissances signataires du Traité de Paris ayant été dûment notifiée aux ministres des Cours impériales et royales, par l’acte de la diète helvétique du 27 mai suivant, rien ne s’opposait à ce que l’acte de la reconnaissance et de la garantie de la neutralité perpétuelle de la Suisse dans ses nouvelles frontières fût fait conformément à la déclaration susdite. Mais les Puissances ont jugé convenable de suspendre jusqu’à ce jour la signature de cet acte, à cause des changements que les événements de la guerre et les arrangements qui devaient en étre la suite, pouvaient apporter aux limites de la Suisse et des modifications qui pouvaient aussi en résulter dans les dispositions relatives au territoire associé au bienfait de la neutralité du corps helvétique.

Ces changements se trouvant désormais déterminés par les stipulations du Traité de Paris de ce jour, les Puissances signataires de la déclaration de Vienne font par le présent acte, une reconnaissance formelle et authentique de la neutralité perpétuelle de la Suisse, et elles lui garantissent l’intégrité et l’inviolabilité de son territoire dans ses nouvelles limites, telles qu’elles sont fixées, tant par l’acte du Congrès de Vienne que par le Traité de Paris de ce jour, et telles qu’elles le seront ultérieurement, conformément à la disposition du 3 novembre ci-joint en extrait qui stipule en faveur du corps helvétique un nouvel accroissement de territoire à prendre sur la Savoie pour arrondir et désenclaver le canton de Genéve.

Les Puissances reconnaissent et garantissent également la neutralité des parties de la Savoie désignées par l’acte du Congrès de Vienne du 29 mars 1815 et par le Traité de Paris de ce jour, comme devant jouir de la neutralité de la Suisse, de la même manière que si elles appartenaient à celle-ci.

Les Puissances signataires de la déclaration du 20 mars reconnaissent authentiquement par le présent acte que la neutralité et l’inviolabilité de la Suisse et son indépendance de toute influence étrangère sont dans les vrais intérêts de la politique de l’Europe entière.

Elles déclarent qu’aucune induction défavorable aux droits de la Suisse, relativement à sa neutralité et à l’inviolabilité de son territoire, ne peut ni ne doit être tirée des événements qui ont amené le passage des troupes alliées sur une partie du sol helvétique. Ce passage, librement consenti par les cantons dans la convention du 20 mars, a été le résultat nécessaire de l’adhésion franche de la Suisse aux principes manifestés par les Puissances signataires du Traité d’alliance du 25 mars.

Les Puissances se plaisent à reconnaître que la conduite de la Suisse dans cette circonstance d’épreuve a montré qu’elle savait faire de grands sacrifices au bien général et au soutien d’une cause que toutes les Puissances de l’Europe ont défendue; et qu’enfin la Suisse était digne d’obtenir les avantages qui lui sont assurés, soit par les dispositions du Congrès de Vienne, soit par le Traité de Paris de ce jour, soit par le présent acte auquel toutes les Puissances de l’Europe sont invitées à accéder.

En foi de quoi la présente déclaration a été faite et signée à Paris, le 20 novembre de l’an de grâce 1815.

Pour l’Autriche : METTERNICH, WESSENBERG.
Pour la France : RICHELIEU.
Pour la Grande-Bretagne : CASTLEREACH, WELLINGTON.
Pour le Portugal : PALMELLA, B. JOAQUIM LOBO DA SILVEIRA.
Pour la Prusse : HARDENBERG, DE HUMBOLDT.
Pour la Russie : RASSOUMOFFSKY, CAPO D’ISTRIA.
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Violation de la neutralité

Le Prof. Franz RICKLIN définit ainsi la neutralité :

  • Intégration : La neutralité est utilisée à des fins de cohésion interne au Pays.
  • Indépendance : La neutralité doit servir à assurer l’indépendance de la politique étrangère et de sécurité suisse.
  • Liberté du commerce.
  • Équilibre : La neutralité était la contribution de la Suisse à la stabilité sur le Continent européen.
  • Mission de bons offices : Activités diplomatiques visant à aplanir les conflits internationaux et à faciliter le règlement pacifique de conflits.

Un Etat neutre ne favorise aucune idéologie, aucune croyance et permet le pluralisme d’expression et d’action.

Rappelons donc la différence entre neutralité et impartialité : C’est, lorsque l’on prend parti, le faire sans préférence personnelle. L’impartialité implique une décision, contrairement à la neutralité. En d’autres termes, L’impartial choisit, le neutre s’abstient de le faire.

Ainsi, en reprenant les sanctions européennes à l’encontre de la Russie, les responsables politiques ont donc violé la neutralité suisse et conduit notre économie et l’approvisionnement de notre Pays à la dérive.

On doit constater dans cette décision, une trahison des membres de nos Autorités, envers le Peuple souverain.

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Plainte pénale contre tous les membres du Conseil Fédéral et des Chambres fédérales

Parlement suisse
À tous les Membres du Conseil National
Par M. Martin CANDINAS, Président
3003 Berne
Parlement suisse
À tous les Membres du Conseil des Etats
Par Mme Brigitte HÄBERLI-KOLLER, Présidente
3003 Berne
Ministère Public de la Confédération
M. Stefan BLAETTLER, Procureur général
Guisanplatz 1
3003 Berne



Yverdon-les Bains, le 5 juin 2023

Complicité avec une Organisation criminelle étrangère – Atteinte à l’indépendance de la Confédération Art. 266 CP et trahison diplomatique Art. 267.1 CP

Demande de mesures pré-provisionnelles urgentes pour interdire la vidéoconférence du Président Ukrainien Volodymyr ZELENSKY.

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La RTS a révélé le 5 mai 2023, que le Président d’Ukraine https://swisscorruption.info/ukraine Volodymyr ZELENSKY était invité à s’adresser au Parlement suisse dans une vidéoconférence, durant la cession d’été 2023. Les Bureaux du Conseil national et du Conseil des Etats ont donné leur feu vert, indiquent vendredi les services du Parlement.

L’Article RTS cite :

Cette annonce n’a pas tardé à faire réagir l’UDC. Sur Twitter, le chef du groupe parlementaire Thomas AESCHI s’est dit opposé à cette décision. L’Ukraine tente d’influencer la décision du Parlement concernant les livraisons d’armes et de munitions, a-t-il dénoncé. Et d’ajouter: « Notre neutralité est violée ! ».

Interrogée dans Forum, la sénatrice Lisa MAZZONE (Verts/GE) a pour sa part estimé que cette décision s’inscrit dans la ligne qui a toujours été celle de la Suisse et du Parlement, à savoir de « dénoncer cette guerre d’agression » qui est une violation du droit international. « Il s’agit aussi d’un message de soutien à la population ukrainienne qui endure cette guerre. »

Pas la première apparition

En 2022, les deux Chambres ont adopté des résolutions dans lesquelles elles condamnaient fermement la guerre d’agression des autorités russes contre l’Ukraine, qui est contraire au droit international, rappellent d’ailleurs les services du Parlement. La décision prise vendredi par les Bureaux des deux conseils « doit être considérée à la lumière de ces déclarations », soulignent-ils.

Il ne s’agira pas du premier discours vidéo de Volodymyr ZELENSKY devant un public suisse. En mars 2022, quelques semaines après le début de la guerre, le président Ignazio CASSIS s’était adressé par vidéo aux participants à une manifestation pacifiste sur la Place fédérale de Berne.

A cette occasion, le président ukrainien avait été accueilli par le conseiller fédéral en charge des Affaires étrangères Ignazio CASSIS. Le magistrat PLR avait alors qualifié son hôte d’« ami », ce qui lui avait valu des critiques. Le président de l’UDC, Marco CHIESA, avait décrit l’apparition de Ignazio CASSIS à la manifestation, comme une « grosse erreur ».

Nos dirigeants manipulent et trahissent le Peuple suisse

Pour ceux qui ne savent pas d’où vient et qui est Volodymyr ZELENSKY, l’article accessible par le lien qui suit, mettra en évidence les liens NAZIS du Président Ukrainien, Dès lors, il est évident que tous ceux qui apportent leur soutien à ce criminel, font de la propagande Nazie et sont aujourd’hui tous coupables au sens de l’Art. 261 bis CP, crime qui est poursuivi d’office.

https://stratpol.com/le-nationalisme-ukrainien-reel-patriotisme-ou-neo-nazisme/

A partir de là, constatons simplement que la reprise des sanctions contre la RUSSIE, par la SUISSE, est un soutien de notre pays, aux NAZIS ukrainiens. Il en est de même pour la fourniture d’armes ou de munitions et pour tout soutien apporté à l’Ukraine par des capitaux ou autres démarches en faveur de sa reconstruction.

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Il faut remonter à la première guerre mondiale pour comprendre les origines de Volodymyr ZELENSKY et pourquoi il a été mis en place à la tête des NAZIS ukrainiens.

Manifestement, la sénatrice Lisa MAZZONE (Verts/GE) se trompe d’agresseur quand elle « dénonce cette guerre d’agression » qui est une violation du droit international. Alors, est-ce par incompétence, par méconnaissance, ou pou un soutien assumé au nazisme ?

En 2014, les Ukrainiens de Crimée et du Donbass refusèrent de reconnaître le gouvernement issu du coup d’État. La Crimée, qui s’était déclarée indépendante avant le reste de l’Ukraine, le réaffirma une seconde fois et adhéra à la Fédération de Russie. Le Donbass chercha un compromis. Les « nationalistes ukrainiens », conduits par le président Petro Porochenko, cessèrent d’y entretenir les services publics et bombardèrent sa population. En huit ans, ils assassinèrent au moins 16 000 de leurs concitoyens dans l’indifférence générale.

On parle bien là de l’indifférence de TOUS CEUX QUI SUPPORTENT AUJOURD’HUI le NAZI Volodymyr ZELENSKY !

On lira encore dans l’article concerné, que dans une interview exclusive au Kylv independent, l’ancien président François Hollande avait confirmé les propos de l’ancienne chancelière Angela Merkel à Die Zeit selon lesquels : « …les accords de Minsk n’étaient qu’un moyen pour l’Ukraine de se renforcer militairement afin de se préparer à un conflit inévitable… ». À la question « Pensez-vous également que les négociations de Minsk visaient à retarder les avancées russes en Ukraine ? », il répond « Oui, Angela Merkel a raison sur ce point ».

Vladimir Poutine, a cru à la bonne foi de ses partenaires. Cependant le fait qu’il ait proposé au Conseil de sécurité des Nations unies et fait adopter la résolution 2202 avalisant ces accords atteste qu’il ne croyait plus les Occidentaux et commençait à préparer l’intervention actuelle. Cette résolution lui donne le droit, en tant que garant des accords de Minsk, d’intervenir. La suite, nous la connaissons, et personne ne peut prétendre « qu’une guerre est propre ». Elle contient en elle-même les germes des crimes contre l’humanité, quel que soit l’acteur.

Je conclurai en paraphrasant Charles Pasqua : « Avec de tels alliés, on n’a pas besoin d’ennemis lointains ». Jérémie POIZZA

En conclusion, je déclare avoir honte des actes des dirigeants de mon Pays, des CRIMINELS au service du nazisme, qui ont promulgué des sanctions contre la Russie et ont contribué à déstabiliser l’économie suisse, en appauvrissant les citoyens par un renchérissement des énergies et tout ça pour se faire les complices des gouvernements occidentaux voyous !

Il est un fait que les NAZIS ukrainiens sont sous le contrôle de la Mafia Khazar des ROTHSCHILD, ROCKFELLER, SCHWAB et autres criminels qui forment l’état profond. Ignazio CASSIS et ses collègues du Conseil Fédéral en sont les dignes représentants en Suisse, comme on peut le voir sur le dossier https://swisscorruption.info/ukraine. Voir aussi https://swisscorruption.info/deep-state.

Pour préserver l’intérêt de la Suisse et de sa population, il est donc urgent et impératif de stopper la propagande Nazie diffusée par les membres de nos Autorités, avec la complicité de la Presse servile, en interdisant la vidéoconférence prévue.

Fait à Yverdon-les-Bains le 5 juin 2023 et transmis par mail de ce jour et par courrier recommandé

Marc-Etienne Burdet