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Introduction
Escroquerie CONUS
Complicité des Clubs de services
Vente forcée de la propriété

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Illégitimité de Fabien GASSER pour traiter la plainte FAHRNI

04.10.2023 Fabien GASSER veut interdire Daniel CONUS d’ester en Justice
16.10.2023 Recours contre la décision du 04.10.2023 de Fabien GASSER
30.10.2023 Observations de Fabien GASSER sur recours 16.10.2023 (page 2ss)
03.11.2023 TC SCHNEUWLY propos inconvenants sur recours 16.10.2023 (page 1)
13.11.2023 Plainte c-SCHNEUWLY pour Contrainte, Arbitraire, Abus d’autorité, etc.
22.02.2024 Arrêt SCHNEUWLY sur interdiction d’ester en justice
05.04.2024 TF Recours contre Arrêt 22.02.2024 Interdiction d’ester en justice

Procès sur plainte du Député Syndic Marc FAHRNI :

Tribunal de Police de Châtel-Saint-Denis
Président Grégoire BOVET
Procès du 18 juin 2025

Avertissement aux Autorités

12.07.2024 Plainte pénale de Marc FAHRNI pour diffamation
29.08.2024 Détermination et plainte sur plainte FAHRNI
04.10.2024 Fabien GASSER – Citation à comparaître
12.10.2024 Recours et plainte c-GASSER pour citation à comparaître
07.11.2024 TC Récusation GASSER
20.11.2024 La Liberté SANCHEZ – Récapitulatif crime judiciaire CONUS
04.02.2025 Fabien GASSER – Ordonnance condamnation 30 jours prison
12.02.2025 Opposition à l’Ordonnance de Fabien GASSER
19.03.2025 TA de Châtel-St-Denis – Citation à comparaître
29.03.2025 Plainte pénale et disciplinaire c-Fabien GASSER
31.03.2025 Réquisition de preuves et témoins – Questions préjudicielles
02.04.2025 Juge Grégoire BOVET refuse demande du 31.03.2025
16.04.2025 TC Recours c-Décision BOVET du 02.04.2025
06.05.2025 Arrêt TC CHOCOMELI (ex Procureure) – Rejet recours du 16.04.2025
22.05.2025 TF Recours c-Arrêt TC CHOCOMELI

Requêtes préliminaires Procès du 18.06.2025 – Châtel-Saint-Denis
Avertissement aux Autorités

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Il tire plus vite que son ombre

Le Cow-boy de la Verrerie me l’a dit : Il n’en a rien à foutre des Lois !

Cette autocratie a conduit à de nombreux abus et il faut constater que pour Daniel CONUS, la perte de sa propriété en est une des conséquences !

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Communiqué public d’information (fichier pdf) : https://swisscorruption.info/info/fahrni.pdf

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Le Cow-boy, (Député fribourgeois élu le 7 novembre 2021 et Syndic depuis 2011) qui « n’en a rien à foutre des Lois et qui prétend qu’il n’en a pas besoin pour faire bien fonctionner sa Commune » est un Autocrate dangereux dans une Démocratie !

Souvenez-vous des propos du Conseiller National Dominique DE BUMAN (PDC/Le Centre) qui avait déclaré en 2006 déjà, que « Tout est pourri chez nous, que s’il dénonçait tout ce qu’il sait, la Suisse entière tremblerait, que ça ne fonctionne que par les petits copains »… https://swisscorruption.info/debuman

Doit-on en déduire que le Canton de Fribourg est devenu le
Far-West de la Suisse, un Canton sans Loi ni Droit ?

Comme on le voit dans les différents liens, la corruption ne s’arrête assurément pas à Fribourg puisque même le Ministère Public de la Confédération n’a pas pris la peine d’ouvrir une enquête suite aux propos extrêmement graves de Dominique DE BUMAN. Une instruction aurait permis de mettre en lumière toute la corruption que visait cette dénonciation, en particulier avec l’escroquerie des royalties dans l’affaire de Genève. L’implication de l’ex Ministre de la Justice Christoph BLOCHER, du Procureur général de la Confédération Michael LAUBER et avant lui de Carla DEL PONTE, du Conseiller National Christian LUESCHER et de tous ceux qui figurent sur le lien « implications ». Il était question de l’escroquerie et du blanchiment de milliers de milliards escroqués par les banquiers suisses avec l’aide du Gouvernement fédéral et des Institutions fédérales, entre autres avec FedPol, etc., etc., etc.

https://swisscorruption.info/dossier
https://swisscorruption.info/mpc / https://swisscorruption.info/blocher / https://swisscorruption.info/lauber / https://swisscorruption.info/fedpol / https://swisscorruption.info/luescher / https://swisscorruption.info/ubs / https://swisscorruption.info/implications / https://swisscorruption.info/mafia /
https://swisscorruption.info/fribourg-corruption / https://swisscorruption.info/politique-corruption / Etc.

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Fribourg-Corruption

Les Membres des Autorités suisses ont réussi à détourner la Démocratie au profit d’une Oligarchie d’individus sans scrupules qui détiennent le pouvoir et qui, à l’instar de Marc FAHRNI, en abusent démesurément… voyons quelques exemples fribourgeois :

Au début des années 1990, après avoir construit plusieurs villas, Daniel CONUS Collaborateur de l’entreprise GRISONI, qui résidait à Grattavache où il avait construit sa maison familiale, avait décidé de se mettre à son compte. Il avait déjà obtenu les crédits bancaires pour sa nouvelle société et il était en possession de promesses de ventes de terrains en fonction des futures constructions qu’il avait planifiées.

Bien entendu, pour les entreprises générales de la région, cette nouvelle entreprise sur le marché de la construction représentait un nouveau concurrent qui allait compromettre leurs parts de marché.

Les décisions politico-économiques pour la Veveyse étaient prises à l’époque autour de la table ronde du Restaurant Le Tivoli à Châtel-Saint-Denis, où se retrouvaient les membres du Lions Club fondé en novembre 1994 par l’entrepreneur Etienne PILLOUD. Lieu de rencontre de la Franc-Maçonnerie locale, c’est là que se retrouvaient Conseillers d’Etat, Juges, préfets, Préposé aux poursuites et Greffier, avocats, entrepreneurs, etc.

Pour comprendre la suite, il faut savoir que c’est en fin 1994 que les époux CONUS avaient décidé de leur divorce à l’amiable afin de préserver leur patrimoine et tout particulièrement leur maison familiale, en faveur de leurs enfants. C’est la raison pour laquelle ils avaient fait rédiger des accords notariés par le Notaire Jacques COLLIARD à Châtel-St-Denis. Les arrangements ayant été conclus, l’audience de divorce au Tribunal n’aurait donc dû être qu’une formalité ! https://swisscorruption.info/daniel-conus/#historique

«  De toute façon, judiciairement t’es mort » !

On doit donc comprendre que ces juges, avocats, conseiller d’État, entrepreneurs, préfets impliqués dans l’affaire CONUS siégeaient autour de cette table ronde du TIVOLI à Châtel-St-Denis, pour « pré-juger » les décisions judiciaires à prendre à son encontre, l’objectif pour tous les membres du « club satanique » étant de préserver collégialement les intérêts financiers de chacun d’eux. Pour cela ils devaient faire condamner Daniel CONUS.

Etienne PILLOUD membre fondateur du LIONS Club avait déclaré à Daniel CONUS : «  de toute façon, judiciairement t’es mort » !

Ceci prouve incontestablement qu’Etienne PILLOUD, était directement impliqué dans les procédures criminelles engagées par les membres de son Club sous sa direction, contre Daniel CONUS et sa famille.

C’est donc en relation directe avec cette situation que son ami Gustave TÂCHE, co-fondateur du LIONS Club de Châtel-St-Denis avec Etienne PILLOUD,  s’était exprimé en ces termes :

Les « conneries » de la table ronde du TIVOLI

Gustave TÂCHE a confirmé à Daniel CONUS être membre du LIONS Club et a confirmé également les rencontres autour de la « table ronde » du Tivoli où se racontent « des conneries entre membres de la Confrérie », mais qu’il n’aurait jamais considéré l’aspect destructif de leurs propos sur les personnes concernées » qui deviennent ainsi leurs Victimes.

Gustave TÂCHE ne pouvait pas imaginer que leurs « conneries » racontées en buvant des verres, pouvaient se propager jusque dans un Tribunal comme acte d’accusation. Il en a été sidéré et a répété à son interlocuteur à plusieurs reprises qu’une telle situation lui faisait peur. Il s’est senti toujours plus mal quand Daniel CONUS a relevé que si des membres de leur confrérie pouvaient avoir une animosité à son encontre, les membres concernés n’allaient pas se gêner pour utiliser leurs « conneries » contre lui.

À ce moment-là, Pascal DOUTAZ Directeur chez GRISONI, un habitué de la Table ronde du TIVOLI, envisageait de fonder sa propre entreprise générale avec son fils et Daniel CONUS aurait été alors un futur concurrent de taille !

Lorsque Daniel CONUS a raconté les débats lors de son procès de 2008 conduit par tous des juges et plaignants PDC membres des Confréries et l’intervention du Conseiller d’État Claude GRANDJEAN, lui aussi un fidèle de la Table ronde, Gustave TÂCHE a rétorqué que ce dernier n’était pas PDC mais socialiste. Manifestement Gustave TÂCHE était trop naïf pour comprendre le jeu politique, sachant que dans le Canton de Fribourg à cette époque, un Conseiller d’État socialiste ne pouvait pas être élu sans l’accord de la famille PDC. A noter que Claude GRANDJEAN était l’auteur de la médiation truquée détaillée sur : http://www.daniel-conus.info/appendices (Appendice 01)

Revenons maintenant à la vente forcée de la villa de Grattavache

Dans une Commune, le Syndic et les Conseillers communaux représentent l’Autorité pénale de la Commune. S’ils sont informés de faits pénaux graves qui ne sont pas dans leurs attributions et qui sont commis au préjudice de leurs Concitoyens, il leur appartient alors de dénoncer les crime annoncés à l’Autorité compétente, au sens de l’Art. 302 CPP. Outrepasser ce devoir relève de la complicité !

Au cours des années qui avaient précédé la vente de sa propriété (1997-1998), Daniel CONUS était intervenu auprès de l’Exécutif de la Commune de La Verrerie qui l’avait reçu. Marc FAHRNI était alors Conseiller Communal et le Syndic de l’époque Didier SANTSCHI n’était pas présent à la séance.

À cette occasion, Daniel CONUS a pu faire comprendre aux Conseillers communaux qu’il était face à des dysfonctionnements judiciaires qu’il ne comprenait pas et qui ne lui permettaient pas de trouver des Avocats pour défendre ses droits, ceux-ci – à l’instar de Me Pierre Serge HEGGER – refusant de prendre un mandant dont la partie adverse était l’État de Fribourg. Nous n’avions pas connaissance à l’époque, de la MAFIA politico-judiciaire qui régnait en Suisse https://swisscorruption.info/mafia.

Comme on vient de le voir, les Conseillers communaux auraient dû faire intervenir la Justice pénale sur la base des dysfonctionnements judiciaires – en fait des CRIMES – dont ils avaient été informés et ils n’ont rien fait. Ils se sont donc rendus complices de crimes qui ont conduit à la vente forcée de la propriété de Daniel CONUS. Comprenons ainsi que le fait qu’ils ne soient pas intervenus pour faire suivre la dénonciation n’a rien d’étonnant. Les collusions entre les crimes politiques et la soumission des Autorités judiciaires aux Pouvoirs politiques ayant comme source l’élection des juges par les Parlements respectifs. Les décisions et jugements de nos Magistrats sont achetés par les membres des Partis politiques ! Il suffit de consulter le lien https://swisscorruption.info/mafia/#servilite pour s’en convaincre.

Plainte pénale du 12 juillet 2024 de Marc FAHRNI c- Daniel CONUS

La plainte précitée de Marc FAHRNI est absurde, infondée et n’a été « instruite » qu’en fonction du copinage entre le Procureur général et le plaignant. Il faut se souvenir que Fabien GASSER avait tenté d’interdire Daniel CONUS d’ester en Justice, Décision confirmée par le Tribunal Cantonal et en suspens depuis le 5 avril 2024 au Tribunal Fédéral. Lors de l’instruction de la plainte FAHRNI par le Procureur général Fabien GASSER, Daniel CONUS n’a jamais entendu au vu du Conflit d’intérêt et de la partialité manifeste qui régnait dans cette procédure. La plainte pénale du 29 mars 2025 contre Fabien GASSER met en évidence l’inaptitude du Procureur général à pouvoir instruite la plainte de son « petit copain »… C’est pour cette raison que Daniel CONUS a dû refuser de se présenter à la citation à comparaitre du 13 novembre 2024 sur plainte de Marc FAHRNI, précisément parce que la légitimité de M. GASSER à instruire cette affaire était en cause.

Marc FAHRNI a donc disposé d’un abus d’autorité du Procureur général pour que sa plainte soit instruite et que Daniel CONUS soit renvoyé devant le Tribunal de Châtel-St-Denis où le procès s’ouvrira le mercredi 18 juin 2025 à 13.30 H.

Cette plainte du Député / Syndic FAHRNI est accessible sur le lien https://swisscorruption.info/conus/2024-07-12_fahrni_plainte.pdf :

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PROCÈS sur plainte de Marc FAHRNI

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Procès du 18 juin 2025 – Requêtes préliminaires

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Daniel CONUS

à

Tribunal d’Arrondissement de la Veveyse
M. Grégoire BOVET, Juge de Police
Châtel-St-Denis
Copies : À qui de droit
Le 18 juin 2025

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https://swisscorruption.info/fahrni/#2025-06-18_proces

Accessible en fichier pdf sur : https://swisscorruption.info/conus/2025-06-18-proces.pdf

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Procès du 18 juin 2025 – 13.30 H

Tribunal de la Veveyse, rue de la Gare 33, Châtel-Saint-Denis

Présidence Grégoire BOVET, « juge » de police

Identité

Daniel Louis CONUS, né le 29 août 1949
Retraité, Lanceur d’Alertes
Victime de Crimes judiciaires

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Requêtes préliminaire

à joindre au Procès-verbal du procès du 18 juin 2025

Marc FAHRNI, Député Syndic UDC

contre

Daniel CONUS

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Index

  • Demande de Récusation – Page 01

  • Plainte ALIBI – Page 02

  • Jurisprudence du Tribunal Fédéral pour le profane en matière de droit – Page 05

  • Complot – Page 05
    Comment les Francs-Maçons et leurs membres de Clubs se sont concertés pour nuire à mes intérêts et escroquer notre patrimoine familial

  • Complot politico-judiciaire – Page 06

  • Politisation des intervenants contre les intérêts de Daniel CONUS – Page 07

  • Conseil d’État et Fonctionnaires fédéraux sous les ordres de Conseillers Fédéraux – Page 07

  • Qui est le plaignant M. Marc FAHRNI ? – Page 08

  • Dangerosité – Page 08

  • Rôle du Syndic et des Conseillers communaux – Page 09

  • Un complot au sein des Autorités locales – Page 09

  • L’État, ses Devoirs et ses Obligations – Page 11

  • La Presse a failli à son Devoir et n’assume plus sa fonction de 4e Pouvoir – Page 12

  • Syndics & Conseillers communaux – Autorité pénale de la Commune – Page 12

  • Georges GODEL – Page 13

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Demande de Récusation du Président Grégoire BOVET pour partialité, arbitraire, abus d’autorité, entrave à l’action pénale et soumission d’un magistrat aux ordres du Pouvoir politique.

Le refus du Président Grégoire BOVET de prendre en compte ma demande de réquisition de preuves, d’audition de témoins et de dépôt de questions préjudicielles du 31 mars 2025 (Pièce 01), qui m’aurait permis de démontrer l’implication du Député Syndic UDC Marc FAHRNI, est un signe évident de la politisation de ce procès en faveur des membres de la Mafia d’État qui ont pris le contrôle de l’État de Droit, entre autres en terre fribourgeoise.

Je dois constater que la plainte alibi abusive du Député Syndic UDC Marc FAHRNI qui, dans le cadre de sa motivation se fonde sur un communiqué public du 8 juillet 2024 (Pièce 02), n’a aucun lien réel avec « les actions diffamatoires » dont il m’accuse. Bien au contraire, cette plainte abusive du Député Syndic FAHRNI n’est qu’un concentré de mensonges avec des faits passés depuis longtemps, qu’il a tenté de transformer en de fausses « vérités » procédurales, tout d’abord avec le Procureur général Fabien GASSER et qu’il tente maintenant encore avec le présent « tribunal ».

Je ne vais pas reprendre ici l’ensemble des mensonges et la déformation des faits dont il est question dans la plainte du 12 juillet 2024, mais j’ai mis en évidence sous forme de notes (Pièce 03), tous les éléments mensongers et/ou trompeurs qu’a voulu faire passer le politicien UDC…

Ceci aide à comprendre pourquoi le Procureur général Fabien GASSER s’est entendu selon l’adage en « copain comme cochon » avec le plaignant pour bafouer tous les codes de procédures dans le but d’instruire cette plainte abusive contre moi.

Ces abus d’autorité auxquels se prêtent sans retenue politiciens et magistrats complices, trouvent certainement leur motivation dans un tout autre contexte. Par mandat du 19 mai 2007, j’ai pour mission de défendre les intérêts de Joseph FERRAYÉ dans le cadre de l’escroquerie de milliers de milliards de royalties sur les brevets dont il est l’auteur (Affaire de Genève) https://swisscorruption.info/dossier.

Je véhicule chaque jour la criminalité politico-judiciaire en lien avec ce CRIME et l’escroquerie de nombreux Citoyens, avec les thèmes sur ma voiture qui aident à comprendre pourquoi les Citoyens suisses sont toujours plus pauvre, pourquoi ils n’arrivent plus à boucler leurs fins de mois et pourquoi les caisses de l’État ont été pillées de centaines de milliards d’impôts à la suite du blanchiment des royalties.

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Dès lors, la plainte ALIBI abusive du Député Syndic UDC FAHRNI prend tout son sens…

Escroquées lors de la vente des brevets en 1992 https://swisscorruption.info/pdc/#cotti, la plus grande partie du blanchiment en Suisse a eu lieu à partir de fin 1995 en faveur des membres du CRIME ORGANISÉ et de la MAFIA d’État, après la levée des séquestres par le Procureur général genevois complice Bernard BERTOSSA https://swisscorruption.info/geneve-corruption/#bbtossa. La socialiste genevoise Micheline CALMY-REY avait fait partie du complot dès la première heure… https://swisscorruption.info/ps/#calmy-rey.

Mais avant même la levée des séquestres un autre poids lourd de la politique suisse s’était servi, à hauteur de dizaines de milliards de francs ! Il s’agit du Tribun UDC Christoph BLOCHER ! Il était alors administrateur de la Schweizeriche Bankgesellschaft (UBS) https://swisscorruption.info/ubs et il a fait construire 117 usines en Chine, avec le produit de son escroquerie… https://swisscorruption.info/blocher/#chine. Toute sa fortune n’a rien à voir avec un pseudo « génie », mais provient de l’escroquerie dont il a été le complice ! C’est aussi avec cet argent volé qu’il a financé la politique de l’UDC depuis trois décennies, en toute impunité malgré les plaintes multiples déposées dans le cadre de l’Affaire de Genève https://swisscorruption.info/dossier !!!

Comme on vient de le voir, le Peuple souverain prend de plus en plus conscience de la décadence et de la déchéance des Institutions et de ceux qui les conduisent. Le lien https://swisscorruption.info/politique-justice met en évidence la criminalité qui règne au sein de l’État, les règles d’une véritable MAFIA qui prévaut sur le Droit institutionnel et les structures criminelles qui sont mises en place pour détourner l’argent public au profit d’individus qui se font élire pour servir des infrastructures secrètes.

Mes expériences judiciaires m’ont ainsi appris que je ne dois plus faire confiance à la « justice » corrompue de mon Pays, encore moins à celle de mon Canton https://swisscorruption.info/fribourg-corruption. Une partie des multiples CRIMES JUDICIAIRES à mon encontre, sont répertoriés de manière non exhaustive sur les deux liens suivants : https://swisscorruption.into/daniel-conus et https://swisscorruption.info/gasser.

En qualité de profane en matière de droit et n’étant pas accompagné d’un Conseil pour des raisons politiques https://swisscorruption.info/conus/appendice06.pdf, j’ai rédigé la présente requête pour ne rien omettre de ce que j’ai à déclarer à votre Tribunal, sachant que les écrits restent et que les paroles s’envolent, mais une chose est sûre, vos responsabilités resteront !

Dès lors, comme tout est dit dans ce document, à partir de sa transmission au Tribunal de céans, je fais valoir mon droit au silence afin de ne pas m’incriminer moi-même en répondant à des questions pièges que ce Tribunal anticonstitutionnel (politisé, arbitraire et corrompu) ne manquerait pas de me poser.

Jurisprudence du Tribunal Fédéral                                       

Je me présente ce jour devant le Tribunal de Police de la Veveyse en qualité de profane en matière de Droit. Dès lors la Jurisprudence du Tribunal Fédéral doit être appliquée.

Le destinataire d’un acte, soit, en l’espèce, le juge, doit interpréter la portée de celui-ci d’après le sens qu’il «pouvait raisonnablement lui attribuer en le considérant comme réellement voulu, sur la base de l’attitude antérieure du déclarant et des circonstances qu’il connaissait au moment où la déclaration lui a été faite (ATF 94 II101, pp. 104-105, JT 1969 I 27, P. 28, cité par Engel, Traité des obligations en droit suisse 2è éd. 1997, pp. 238-239). Une déclaration adressée à une autorité doit être comprise selon le sens que, de bonne foi, son destinataire doit lui prêter (ATF 102 Ia 92, c.2, rés. In JT 1978 I 30).

L’administration étant davantage versée dans les matières qu’elle doit habituellement traiter, du moins formellement, on peut attendre de sa part une diligence accrue dans l’examen des actes qui lui sont soumis, notamment lorsqu’ils sont rédigés par des profanes, afin de leur donner un sens raisonnable, sans avoir à s’en tenir aux expressions inexactes utilisées (Egli, la protection de la bonne foi dans le procès, en Juridiction constitutionnelle et Juridiction administrative, Recueil des travaux publiés sous l’égide de la Première cour de droit public du Tribunal fédéral suisse, pp. 225ss, spéc. Pp. 236-237 et les exemples cités).

Complot – Comment les Francs-Maçons et leurs membres de Clubs se sont concertés pour nuire à mes intérêts et escroquer notre patrimoine familial.

Le lien https://swisscorruption.info/fm met en évidence l’absence de toute légitimité du présent Tribunal pour entrer en matière sur la plainte du Député, Syndic Marc FAHRNI, sachant au surplus que les « magistrats » judiciaire, jusqu’à la plus haute instance du Tribunal Fédéral, ont reçu la directive de rejeter toutes nos procédures https://swisscorruption.info/info/tf-corruption-f.pdf

L’Affaire CONUS, c’est un divorce à l’amiable qui n’aurait jamais dû initier 30 ans de procédures judiciaires comme c’est le cas dans l’affaire qui nous occupe aujourd’hui. 30 ans de crimes judiciaires, de frais judiciaires, 30 ans d’amendes et de combat, 30 ans d’honoraires pour les avocats, 30 ans pour financer les salaires de juges Francs-Maçons (Loges, clubs de services, cercles d’amitié, etc.) complices jusqu’au Tribunal Fédéral, 30 ans d’exclusion de la société, etc.


C’est aujourd’hui surtout 30 ans de complicité du Député Syndic Marc FAHRNI qui était Conseiller communal de Grattavache / La Verrerie quand j’avais sollicité l’aide de ma Commune de résidence, pour que dans le cadre de l’Art. 302 CPP les CRIMES maçonniques SECRETS qui étaient en cours, soient mis en lumière… Et j’ai dû faire face à l’Omerta et à la complicité politicienne et journalistique contrôlées par les Maçons ! La plainte de Marc FAHRNI dans ce cas est d’autant plus abusive et surprenante.

Rappelons qu’un seul coup de téléphone a initié ces 30 ans de crime judiciaire ! Un téléphone anonyme à mon épouse d’alors, pour lui faire croire que j’avais dissimulé un compte de CHF 540’000.- lors de nos accords notariés. 8 ans de procédures criminelles, avant que juges et avocats n’admettent qu’ils s’étaient « TROMPÉS » ! Ce mensonge avait été initié par le PDC Anton COTTIER, Conseiller aux États, Avocat et surtout Associé de Denis SCHROETER (membre du Rotary) et fils du juge de divorce Jean-Pierre SCHROETER PDC.

Il est important de signaler que l’Étude COTTIER et Associés avait détourné plus de CHF 54’000.- de pensions alimentaires durant 5 ans, en prétextant auprès de mon ex-épouse que je ne versais pas les pensions, alors que l’OPF de Châtel-Saint-Denis encaissait les pensions prélevées sur mon salaire et que le Préposé de cette OPF n’était autre que Éric BOSCHUNG, greffier du Tribunal SCHROETER qui m’avait interdit de parole quand il avait été question de faire croire à mon ex-épouse que j’avais tenté de dissimuler le fameux compte imaginaire de CHF 540’000.-. Éric BOSCHUNG était aussi un habitué de la table du TIVOLI à Châtel-Saint-Denis (Stamm du Lions Club) où étaient prises les décisions pré-judiciaires et criminelles me concernant !

Dans un complot comme celui dont j’ai été Victime et qui se poursuit aujourd’hui encore avec la plainte abusive du Député Syndic UDC Marc FAHRNI, les parties qui veulent escroquer les Citoyens sont des « jusqu’au-boutistes », des individus qui ne lâchent rien et qui bénéficient d’une infrastructure à tous les échelons de l’état et de l’économie. On parle bien d’une Oligarchie secrète, qui a pris le contrôle de la Démocratie, à l’insu de la connaissance publique.

L’UDC rappelons-le a été à l’initiative de l’escroquerie des milliers de milliards dans le cadre de l’Affaire de Genève, quand le Tribun Christoph BLOCHER était membre du Conseil d’Administration de la SCHWEIZERISCHE BANKGESELLSCHAFT (SBG/UBS) https://swisscorruption.info/ubs. On parle bien de l’époque durant laquelle Christoph BLOCHER a fait construire personnellement 117 usines chimiques en Chine https://swisscorruption.info/blocher/#chine pour blanchir sa part de l’argent des royalties escroquées… Un blanchiment qui a occasionné des pertes fiscales pour des centaines de milliards de francs, alors que les autorités cherchent à financer la 13e rente AVS et que la Suisse compte plus de 1.5 millions de pauvres en Suisse.

Les « politiciens » de l’acabit de Marc FAHRNI qui n’en a « rien à foutre des Lois pour faire fonctionner sa Commune » ne sont certainement pas étrangers à la décadence des Institutions, tout comme du reste les « juges » corrompus qui obéissent au Pouvoir politique dénaturé et ont réduit l’État de Droit à néant !

La plainte du Député Syndic Marc FAHRNI est un exemple significatif de l’Institution judiciaire quand des intérêts politiques sont en jeu. Pour ces « magistrats » criminels, il a suffi de m’écarter de la procédure, sans jamais m’auditionner, pour que les PETITS COPAINS (Procureur général et Député Syndic) puissent faire avancer leur plainte alibi abusive et criminelle.

Comme Autorité judiciaire de sa Commune, FAHRNI a cru pouvoir abuser de son Autorité, pensant pouvoir soutenir son Parti corrompu, protéger son Tribun, aider à protéger le monde politique suisse corrompu https://swisscorruption.info/implications et surtout tenter de me faire condamner pour me mettre hors d’état de dénoncer LEURS CRIMES. À commencer par la responsabilité gigantesque qu’ils vont devoir assumer dans le cadre de l’Affaire de Genève et du blanchiment d’argent qui en découle https://swisscorruption.info/dossier.

Dans le cercle d’un complot, le Citoyen Victime ne peut attendre aucun soutien d’une quelconque autorité, puisque les membres de l’autorité sont justement mis en place pour assurer l’impunité de ceux qui font partie de l’Oligarchie secrète, mise en place au sein même de l’état.

Complot politico-judiciaire

Je rappelle que toutes les procédures abusives et criminelles dont je suis l’objet – depuis le dépôt de ma demande de divorce en 1995 auprès du Tribunal de la Veveyse à Châtel-Saint-Denis – ont été traitées dans un cadre politique, dans lequel la séparation des pouvoirs a toujours été un leurre.

C’est du reste le cas à tous les niveaux de la hiérarchie judiciaire, jusqu’au Tribunal Fédéral, comme en témoigne la Pièce 04 que je joins à la présente. Dans l’affaire d’un Citoyen en conflit avec les autorités, vous constaterez qu’avant de rendre un jugement, le Tribunal Fédéral demande conseil à l’Administration Fédérale, pour savoir dans quel sens agir. Plus grave, quand ce Citoyen se nomme Daniel CONUS ou est un autre membre de l’Association Appel-au-Peuple, les Tribunaux, jusqu’à la plus haute Cour du Tribunal Fédéral, ont reçu l’ordre politique de rejeter la procédure Pièce 05La Pièce 06, confirme également qu’un juge du Tribunal Fédéral s’était plaint par voie de Presse, que les juges n’avaient aucune indépendance dans les jugements qu’ils rendaient et que le Parti qui les avait faits élire, les convoquait pour les sermonner et leur expliquer comment juger… Pire encore, par voie de Presse, nous savons aujourd’hui que 39 % des juges (courageux qui ont osé) remettent en question leur indépendance et ressentent la pression des Partis… Pièce 07.

Comment pourrait-on – à moins d’être d’une naïveté maladive – imaginer un semblant de séparation des pouvoirs, quand l’on sait que les juges se font élire par les partis politiques et qu’ils doivent ensuite restituer une partie de leur salaire au parti qui les présente… Prétendre à la séparation des pouvoirs est un foutage de gueule anticonstitutionnel Pièce 08 !

Compte tenu de l’absence totale de la séparation des pouvoirs démontrée, tous les jugements rendus jusqu’à ce jour dans les procédures qui nous concernent moi et ma famille, ou encore celles des royalties compte tenu de mon mandat pour défendre les intérêts de Joseph FERRAYÉ, sont dès lors anticonstitutionnels et les juges qui les ont rendus devront être poursuivis pénalement et en dommages et intérêts pour les entraves à l’action pénale et crimes commis. En outre il y aura lieu de tenir compte de la Responsabilité civile et délictuelle en la matière https://swisscorruption.info/responsabilites

Politisation des intervenants contre les intérêts de Daniel CONUS

Il n’y a aucune chance qu’il en soit autrement aujourd’hui, en regard des parties qui se présentent contre moi, sachant que le plaignant Marc FAHRNI est Député Syndic UDC, qu’il était Conseiller Communal au moment où j’avais sollicité l’aide de ma Commune et qu’il était présent lorsque j’ai été reçu par le Conseil communal. Au surplus il est Député au Grand Conseil et en fonction de ce qui est précisé dans la Pièce 05, les membres du Parlement fribourgeois ont été informés que les « juges » à tous les échelons, doivent obéir aux politiciens !!! Rappelons que les Partis politiques de la gauche à la droite, ont comploté pour escroquer et blanchir des milliers de milliards au préjudice des Caisses de l’État qui n’ont pas eu de rentrées d’impôts https://swisscorruption.info/politique-corruption.

La réponse de Me Louis-Marc PERROUD Député socialiste que j’avais sollicité pour ma défense, après plus de cinq heures d’entretien m’avait demandé 2 jours de réflexion pour étudier le dossier. À l’issue de sa réflexion, il m’a fait savoir qu’il devait renoncer à me défendre du fait qu’il avait été élu au Grand Conseil avec l’aide du PDC qui dominait la politique fribourgeoise à l’époque. Qu’il n’allait pas risquer ni sa carrière politique, ni sa carrière professionnelle…

Un autre Avocat que j’avais rencontré en présence de mon ex-épouse, Me Pierre Serge HEGGER, après avoir compris l’implication politique dans nos procédures, s’était déterminé pour sa part de la manière suivante : Si nous lui posions CHF 100’000.- sur la table, il serait malhonnête de sa part de les accepter, puisque les personnes contre lesquelles nous devions lutter étaient intouchables et que la « justice » fribourgeoise qui dysfonctionne trop n’irait jamais à l’encontre de ses poids lourds…

Swisscorruption.info dénonce trois autres dossiers fribourgeois dans lesquels les Victimes ont été spoliées au profit de membres de « l’establishment » local : https://swisscorruption.info/merinat et https://swisscorruption.info/birgit-savioz ou encore la famille REGUIN d’Attalens qui n’ose même plus venir en Suisse pour voir ses enfants, parce qu’un jugement la condamnant à la prison a été rendu à son encontre. La famille REGUIN https://swisscorruption.info/attalens a été spoliée de centaines de milliers de francs pour que les petits élus locaux en tirent les bénéfices ! Dans les trois cas, les « magistrats » en charge des procédures doivent être considérés comme des CRIMINELS au service de cette Oligarchie nauséabonde qui supplée l’État de Droit.

Conseil d’État et Fonctionnaires fédéraux sous les ordres de Conseillers Fédéraux…

En novembre 2021, j’ai eu un entretien avec le Conseiller d’Etat PLR Didier CASTELLA à qui j’ai exposé le CRIME JUDICIAIRE dont ma famille et moi sommes Victimes. Il m’a répondu ainsi :
« M. CONUS, il faut savoir perdre dans la vie et passer à autre chose »… Sachez que je ne vais pas tomber dans l’alcoolisme pour passer plus facilement à autre chose, comme certains le font…

Rappelons que M. CASTELLA est physicien de formation et que par nature, il est censé s’intéresser à la racine ou aux causes ultimes des phénomènes. Mais la trahison, l’escroquerie et la corruption ne semblent pas être des « phénomènes » que le physicien prend en considération. Je note au passage que M. CASTELLA qui était vice-syndic de Gruyères, a travaillé pour le Secrétariat général du DDPS à Berne de 05.2013 à 04.2018, sous la direction des Conseillers Fédéraux Ueli MAURER et Guy PARMELIN, deux UDC contrôlés par Christophe BLOCHER, l’un des piliers de l’escroquerie des royalties https://swisscorruption.info/blocher

Dans ce contexte, ce qui serait souhaitable et ça finira assurément par arriver tôt ou tard, c’est que les intervenants concernés qui agissent contre moi, appliquent leurs propres principes… Sachez perdre et passer à autre chose et comprenez que ma responsabilité est de vous recadrer pour que vos agissements ne contribuent pas davantage à augmenter la facture en responsabilité que l’État devra assumer selon Pièce 09, sans compter celle des royalties https://swisscorruption.info/cs-ubs/rc1.pdf.

Quant à la corruption des Partis politiques et de ses membres, il suffit de consulter le Site Internet https://swisscorruption.info/politique-corruption pour s’en convaincre.

Les bases des crimes judiciaires commis à l’encontre de ma famille et de moi-même ont pu avoir lieu grâce au rempart que représente l’Institution judiciaire corrompue à tous les échelons, pour satisfaire aux exigences du Pouvoir politique et de l’Oligarchie secrète.

Brièvement dans les procédures initiales de l’Affaire CONUS, lors des toutes premières plaintes pénales déposées à la suite de la rupture des accords notariés, si les magistrats avaient accepté la seule citation du témoin principal – le Notaire Jacques COLLIARD – le Tribunal n’aurait jamais pu révoquer nos accords initiaux et 30 ans de procédures criminelles n’auraient jamais eu lieu et contribué à la « surcharge » des Tribunaux ! Et surtout, la procédure d’aujourd’hui n’aurait pas lieu d’être.

Qui est le plaignant M. Marc FAHRNI ?

Le Cow-boy de la Verrerie me l’a dit : Il n’en a rien à foutre des Lois !

Cette autocratie a conduit à de nombreux abus et je dois constater que la perte de ma propriété en est une des conséquences !

Ma dénonciation du 8 juillet 2024 (Pièce 02) sur laquelle est basée sa plainte du 12.07.2024 Pièce 03, est significative du caractère de Cow-Boy du Député Syndic.

On notera tout d’abord que cette plainte porte sur de vagues accusations et n’a que peu de rapport avec l’objet qui a motivé Marc FAHRNI à agir, à savoir la Pièce 02.

Je ne vais pas reprendre ici le détail des aberrations dont le Député Syndic fait état. Chacun de ces points sont détaillés sous la forme de « notes » dans la plainte elle-même. Mais j’aimerais quand même relever qu’un tel comportement d’un homme public appelé à contribuer à la gestion des affaires de l’État, soulève quelques questionnements qui peuvent nous aider à comprendre pourquoi nos Institutions sont en totale décadence…

Dangerosité

Un Cow-boy seul ne peut pas être très dangereux et n’a pas beaucoup de chance de déstabiliser une Institution, surtout quand l’on constate le niveau de la plainte déposée.

Cependant, quand ce Cow-boy qui « se fout des Lois » fait partie d’une Oligarchie qui a été capable de mettre en place un complot pour prendre le contrôle des Institutions politiques et judiciaires, quand il fait copain comme cochon avec un Procureur général qui bafoue tous les codes de procédures pour instruire la plainte, sans être légitimé pour agir et sans entendre le prévenu, alors cet individu prend le statut d’un pion dangereux pour les Victimes de l’Oligarchie.

Cette situation met en lumière l’obsolescence programmée des Institutions et la relégation de l’État de Droit à une valeur vaine dès lors inconstitutionnelle.

Il est important de rappeler ici la personnalité de Fabien GASSER Procureur général qui a perdu tout sens du Devoir et n’a fait que régler des comptes personnels avec moi, en abusant de sa fonction pour tenter de m’interdire d’ester en justice. Et rappelons que le Tribunal fédéral refuse de statuer sur notre recours, pour ne pas contredire le Tribunal cantonal… Dans ce contexte, c’est l’équilibre psychologique du Procureur général qui est mis en doute au travers des « salades » qu’il n’a cessé de confectionner pour parvenir à des « jugements » qui ne tiennent pas debout. La preuve en est donnée sur https://swisscorruption.info/gasser/#salades.

Ainsi quand deux individus se retrouvent au travers de leurs phobies arbitraires à agir contre un Citoyen qui n’a aucun moyen de faire valoir ses Droits, cette seule procédure suffit à constater la dangerosité de mettre le pouvoir de condamnation d’un homme en mains d’individus manifestement instables.

L’arrogance de Marc FAHRNI est insupportable et c’est pareil pour tous les Politiciens et « magistrats » et autres membres des complots judiciaires à l’encontre des VICTIMES de l’Oligarchie citée plus haut. Vous êtes-vous une seule fois posé la question de savoir comment vivaient vos VICTIMES après vos coups montés, vos fausses vérités procédurales répandues par la PRESSE servile que vous contrôlez ?  Les membres de ces familles que vous ruinez, que vous détruisez, que vous anéantissez par vos procédures mensongères et les fausses « vérités » procédurale que je viens de citer ? Alors venir pleurnicher pour un communiqué d’information d’intérêt public qui ne fait que reprendre des faits parus dans la Presse, est totalement déplacé, n’en déplaise au Député Syndic !

Rôle du Syndic et des Conseillers communaux

Au-delà des fonctions de gestion administrative de la commune en application de la LOI, un Syndic et ses collègues sont chargés d’attributions spéciales en regard de cette même Loi. Ils sont chargés entre autres de l’exécution des lois, décrets et arrêtés. Ils ont la charge d’informer le Ministère Public si des infractions leur sont rapportées sur le territoire de la Commune et dont ils ont connaissance. Ils ont le devoir de prendre dans ce cas, des mesures conservatoires. Si l’ordre public est menacé dans la Commune et lorsque l’autorité de la Municipalité est méconnue ou insuffisante, le syndic et ses collègues préviennent immédiatement le préfet.

En termes simplifiés, on peut considérer qu’un Syndic ou un Conseiller communal ont un rôle « d’autorité pénale » à jouer. Dans tous les cas, comme Autorité de la Commune chargé de l’exécution des lois, Marc FAHRNI avait le devoir d’enregistrer et de faire suivre les dénonciations qui lui étaient communiquées, à l’autorité judiciaire compétente.

En ne le faisant pas, au-delà du fait qu’il a violé l’Art. 302 CPP décrit ci-dessous, relatif à l’obligation de dénoncer, le Conseiller communal Syndic et Député FAHRNI a démontré qu’il faisait partie du problème, puisqu’il a voulu préserver l’impunité de ceux qui ont permis l’escroquerie du patrimoine CONUS :

  • Art. 302 CPP :

    • 1 Les autorités pénales sont tenues de dénoncer aux autorités compétentes toutes les infractions qu’elles ont constatées dans l’exercice de leurs fonctions ou qui leur ont été annoncées si elles ne sont pas elles-mêmes compétentes pour les poursuivre.

    • 2 La Confédération et les cantons règlent l’obligation de dénoncer incombant aux membres d’autres autorités.3Les personnes qui ont le droit de refuser de déposer ou de témoigner selon les art. 113, al. 1, 168, 169 et 180, al. 1, ne sont pas soumises à l’obligation de dénoncer.

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Un complot au sein des Autorités locales

Dans le cas présent, ce qui est plus grave n’est même pas le fait que Marc FAHRNI ait violé l’Article 302 CPP, mais le fait qu’il se soit approché de son petit copain le Procureur général Fabien GASSER qui n’était plus légitimé à procéder contre moi après qu’il avait rendu une Ordonnance pour m’interdire d’ester en « justice ». Marc FAHRNI a monté un complot avec le Procureur général sur la manière de me dénoncer par une plainte alibi, pour avoir distribué un communiqué d’une information d’intérêt publique. Il a constaté que mes communiqués éveillent l’Opinion publique et que la MAFIA d’État vit ses derniers temps ! Dans le cadre du séquestre de mon patrimoine et de la vente de notre propriété, il a découvert que j’avais maintenant compris que sa retenue à vouloir appliquer l’Art. 302 CPP – lorsqu’il m’avait reçu dans le cadre du Conseil communal – était due au fait non seulement « qu’il n’en avait rien à foutre des LOIS », mais aussi et surtout que son seul objectif était de protéger tous les coupables – y compris dans son Parti – qui doivent être mis devant la Justice…

Quand un Citoyen dénonce des escroqueries multiples, des faux dans les titres, des violations répétées de la Loi, de faux jugements basés sur de fausses « vérités » procédurales, d’escroqueries et que les responsables de l’Autorité complotent jusqu’au Procureur général comme copains et cochons pour que les responsables restent impunis, on ne se trouve plus dans un Etat de Droit, mais face à un autocrate ou à des membres d’une Oligarchie qui agissent au profit d’intérêts d’une communauté secrète qui a détourné la Démocratie. https://swisscorruption.info/#oligarchie

Rappelons que les membres précités de l’Autorité – dans le cadre de leur complot à mon encontre – ont « confidentiellement » violé l’Art. 316 CPP relatif à l’obligation de conciliation dans le cadre d’une procédure poursuivie sur plainte. Cette seule violation contribue à rendre illégale ma comparution devant le Tribunal de Police de ce jour et la procédure doit être classée sans suite, par violation de la Loi. Ceci d’autant plus que le plaignant, alors membre d’une autorité, s’est acquis la complicité de l’autorité judiciaire.

S’il est exact dans le cadre de la plainte du Syndic/Député Marc FAHRNI, que le Procureur général m’a convoqué le 13 novembre 2024, je n’ai pas pu me présenter pour des raisons légitimes, à savoir que je contestais le droit même de Fabien GASSER à instruire l’affaire, ce que j’ai formellement exprimé dans mon recours et plainte du 12 octobre 2024. Dès lors, le droit d’être entendu ne peut être considéré comme respecté, dans la mesure où :

  • La personne en charge de l’audition était elle-même objet de la plainte, impliquant une partialité manifeste (cf. art. 56 lit. a à c CPP – causes de récusation) ;
  • Aucune suite n’a été donnée à ma demande de récusation, ni aucune mesure n’a été prise pour organiser une audition par une autre autorité compétente ;
  • Le refus d’entendre un citoyen au motif qu’il refuse d’être auditionné par un magistrat qu’il considère inapte, revient à instrumentaliser la procédure pour neutraliser une contestation légitime, en violation des droits fondamentaux de procédure (art. 29 al. 1 et 2 Cst., art. 6 CEDH).

Il s’agissait donc non pas d’un simple « refus de comparution », mais d’un conflit sur la légitimité de l’instruction, qui aurait nécessité une réponse institutionnelle formelle, et non une interprétation abusive du silence comme « renonciation ».

L’affaire CONUS et l’Affaire de Genève pour laquelle je suis mandaté, sont la conséquence d’un complot par des politiciens, magistrats, fonctionnaires et membres de l’économie, lesquels ont pu agir en toute impunité avec l’appui indéfectible d’individus réunis en Clubs de services ou au sein de la Franc-Maçonnerie. Ceux-ci regroupent tous les secteurs de fonctionnement de l’État. Economie, membres des Institutions politiques et judiciaires, etc.

L’actualité nous démontre de plus en plus souvent – le Peuple se réveille – que l’Institution judiciaire n’est pas neutre et ne l’a jamais été, pas plus qu’impartiale et qu’elle rend ses décisions arbitraires en fonction des intérêts secrets d’une caste anticonstitutionnelle. C’est de l’Oligarchie dont il est question et à laquelle les magistrats appartiennent à partir du moment où ils rentrent dans les autorités, qu’elles soient politiques ou judiciaires.

Les oligarchies de fait, sont les sociétés, les Etats, dont le gouvernement est constitutionnellement et démocratiquement ouvert à tous les citoyens mais où en fait ce pouvoir est confisqué par une petite partie de ceux-ci.

Quant au terme « oligarque », il désigne un membre d’une oligarchie, classe dominante liée au gouvernement d’un pays.

Au-delà des vices de procédure cités plus haut, des abus d’autorité, de la plainte abusive du Syndic Marc FAHRNI, les intervenants dans cette procédure ne peuvent plus cacher leur complicité (en réalité le complot) dans laquelle ils sont intervenus en violation de mes Droits constitutionnels. Cette autosuffisance du Procureur général, des juges qui sont intervenus, du Conseiller d’Etat cité plus haut et du plaignant, démontre que ces individus n’ont plus aucune retenue dans les violations des Lois et des Codes de procédures. Et à un tel niveau, nous devons nous poser la question de savoir si nous n’avons pas dépassé le stade de l’Oligarchie et si nous ne nous trouvons pas carrément dans une Dictature qui ne respecte plus la dignité humaine des VICTIMES. https://swisscorruption.info/#dictature

Dictature n’est certainement pas un mot trop fort, en regard des privations de Libertés imposées aux Citoyens durant les années COVID dans le cadre de la pLandémie qui visait à contrôler l’humanité selon le système de surveillance chinois. Un Passeport Sanitaire numérique qui a permis le contrôle des Citoyens dans toutes les actions de leur vie quotidienne. Achat de cigarettes, surplus d’alcool, tout a été sous contrôle de ceux qui détiennent l’autorité, avec les conséquences contre les Citoyens, que cela implique. A quand le permis de bonne conduite avec les points à retirer ? Mais nous saurons vous stopper avant de tels débordements !!!!!

L’État, ses Devoirs et ses Obligations

L’État possède une triple signification : sociologique ; organisationnelle ; juridique.

Sur le plan sociologique, l’État est un ensemble de personnes vivant sur un territoire déterminé et soumis à un gouvernement qui doit être indépendant et ne pas agir en fonction de directives secrètes comme ça semble être le cas depuis que les mondialistes de Davos, veulent imposer leur « Grand Reset ». La pLandémie en a été un exemple significatif.

Du point de vue organisationnel, c’est une forme d’organisation que la société – c’est-à-dire le Peuple souverain – utilise pour s’orienter et se gérer. L’État désigne également un ensemble de personnes qui acceptent de s’imposer un ordre sous certaines conditions fixées dans la Constitution sous contrôle du Peuple souverain.

Sur le plan juridique, « l’État peut être considéré comme l’ensemble des pouvoirs d’autorité et de contrainte collective que la nation possède sur les citoyens et les individus, en vue de faire prévaloir ce qu’on appelle l’intérêt général en faveur du Peuple souverain, et avec une nuance éthique, le bien public ou le bien commun ». Il n’est nullement question de l’intérêt d’un groupe de personnes concentrées dans une Oligarchie qui est bien au contraire illégal.

En droit international, un État souverain est vu comme délimité par des frontières territoriales établies, à l’intérieur desquelles ses lois s’appliquent à une population permanente, et comme constitué d’institutions par lesquelles il exerce une autorité et un pouvoir effectif. La légitimité de cette autorité devant reposer — au moins pour les États se disant démocratiques — sur la souveraineté du peuple ou de la nation.

Constatons en regard de vos actions, de votre partialité, de votre arbitraire, de vos complicités, et abus de pouvoir, que vous ne respectez AUCUNEMENT vos devoirs et obligations définis par votre fonction. Vous avez détourné la Démocratie au profit d’une Secte secrète !

Une fois encore, vous n’êtes pas compétents pour me traduire devant un Tribunal dans un Etat de Droit, puisque cet Etat constitutionnellement voulu par le Peuple souverain, n’existe plus et que les Francs-Maçons et leurs sous-fifres des Clubs de services que vous représentez, ont détourné la Démocratie.

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La Presse a failli à son Devoir

L’État a dévié de ses Devoirs et Obligations, parce que la Presse complice a Failli à son Devoir et n’assume plus sa fonction de 4e Pouvoir !

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La Confédération Suisse,

voulant affermir l’alliance des Confédérés, maintenir et accroître l’unité, la force et l’honneur de la Nation suisse,

 a adopté la Constitution fédérale du 12 septembre 1848.

Celle-ci garantissait déjà la Liberté de la Presse, dans son Article 45.

Ainsi, les Pères Fondateurs ont assuré à notre Presse, la protection indispensable pour pouvoir jouer son rôle essentiel (le contrepouvoir) à notre Démocratie.

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La mission de la Presse était dès lors de servir les Gouvernés et non les Gouvernants, en agissant comme contrepouvoir des Autorités politiques en place. C’est en respectant la Constitution fédérale que les représentants de la Presse devaient montrer leur respect envers le Peuple souverain qui leur avait octroyé et garanti ce privilège en signe de rappel que le Pouvoir appartient à l’ensemble des Citoyennes et Citoyens.

Constatons aujourd’hui que les Journalistes ont failli à leur Devoir ! Ils sont devenus les ennemis du Peuple.

Pour mieux le comprendre, mettez la “Déclaration des DEVOIRS et des DROITS des Journalistes“,  https://swisscorruption.info/presse/#journalistes en regard des travaux quotidiens des représentants des Médias de tout bord. À titre d’exemple, rappelons que le Tribun de l’UDC Christoph BLOCHER est copropriétaire de la Basler Zeitung, du Groupe Zehnder (Wiler Nachrichten et 23 hebdos régionaux), TeleBlocher et qu’il a tenté sans succès de racheter Lausanne Cités et GHI. Il intervient en outre dans Schweizerzeit (proche de l’UDC) qui publie régulièrement ses discours.

L’information est aujourd’hui censurée, elle manque de toute objectivité, elle trompe les Citoyens et elle n’assure plus son rôle constitutionnel consistant à garantir le fonctionnement de la Démocratie.

Nos journalistes sont devenus les Larbins du monde politique corrompu !

Syndics & Conseillers Communaux – Autorité pénale de la Commune

Force est de constater que les Syndics et Présidents de Communes, sont aujourd’hui politisés bien au-delà de l’intérêt communal et sont sous le contrôle des Partis politiques auxquels ils doivent allégeance. Nous comprenons bien qu’au-delà des partis politiques corrompus, c’est aux Clubs de services et à la Franc-Maçonnerie que cette allégeance est secrètement accordée.

Cette situation va donc à l’encontre de l’Etat de Droit décrit plus haut et prouve une fois de plus qu’une réforme en profondeur est impérative pour restituer l’Etat de Droit au Peuple souverain. Dans l’intervalle, l’Institution judiciaire n’est plus compétente pour agir.

A titre d’exemple, les Syndics ci-dessous sont coupables de violation de l’Article 302 CPP relatif à l’Obligation de dénoncer puisque tous ont été informés des CRIMES JUDICIAIRES dont j’étais la Victime, dès la première heure où les « dysfonctionnements » criminels sont survenus. C’est au profit d’intérêts personnels ou de ceux de leurs proches, qu’ils ont violé leur Devoir de fonction et se sont rendus pénalement coupables :

  • Solange BERSET, Syndic de Belfaux et Présidente du Grand Conseil
  • Pascal CORMINBOEUF, Syndic de Domdidier, Conseiller d’Etat
    Anton COTTIER, Conseiller Communal de Fribourg, Conseiller aux Etats, Avocat
    https://swisscorruption.info/daniel-conus/#anton
  • Dominique DE BUMAN, Syndic de Fribourg et Conseiller communal
    https://swisscorruption.info/debuman
  • Georges GODEL, Syndic d’Ecublens FR et Député au Grand Conseil, puis Conseiller d’Etat
  • Didier SANTSCHI et Marc FAHRNI, Syndics de Grattavache

Solange BERSET m’avait reçu au Bureau communal et m’avait promis d’intervenir pour dénoncer le faux procès où ont été fabriquées une multitude de fausses « vérités » procédurales et au terme duquel j’ai été condamné (jugement criminel) à 42 mois de prison. C’était sans compter sur la démission de Micheline CALMY-REY https://swisscorruption.info/ps/#calmy-rey.

A partir du moment où son fils Alain BERSET s’est présenté à la candidature pour le Conseil Fédéral, Solange BERSET m’a informé qu’elle regrettait d’avoir touché à mon affaire et qu’elle ne compromettrait pas l’élection de son fils, élection pour laquelle le soutien du PDC était nécessaire.

Georges GODEL

Georges GODEL, m’a reçu à deux reprises, alors qu’il était Syndic et Député. En comprenant les abus judiciaires décrits, il m’avait simplement dit dans son style « C’est des salauds » ! Une fois qu’il a compris que son ascension dans la hiérarchie politique dépendrait de son silence sur l’affaire CONUS, il n’a plus voulu en entendre parler. Lorsqu’il m’a reçu comme Conseiller d’Etat, je lui ai fait part du fait que son Collègue Pascal CORMINBOEUF était intervenu plusieurs fois au Conseil d’Etat pour que je sois indemnisé. La réponse de GODEL a été « Eh bien alors dites à CORMINBOEUF de vous indemniser »… une fois de plus il n’a plus voulu en entendre parler et cette affaire qui est restée dès lors dans les « secrets » du Président…

Dans « les secret et confidences d’un Président » j’ai pu comprendre les rêves de celui qui se qualifie de « Président » alors qu’en définitive il n’a été président du Conseil d’Etat, qu’en 2012 et 2018. Je ne vais pas revenir sur ce pavé de 400 pages qui remplace tous les somnifères et duquel je n’ai retiré un intérêt qu’à partir du 16e chapitre qui parle d’« Authenticité, rigueur, confiance, transparence – portrait d’un homme fort ». La droiture : cette qualité morale qui contribue sans doute à faire un homme d’État digne de ce nom… La nécessité d’une droiture intransigeante, sans concession ! Quelle arrogance, il en est à l’opposé !!!

C’est là que j’ai compris que toutes les qualités dont se prévaut Georges GODEL au travers des
15 chapitres précédents, ne sont en définitive que des illusions de ce qu’il aurait aimé être, mais qui resteront un rêve pour lui.

Droiture ! Intransigeance ! Sans concession ! Quand on est Syndic et que l’on détient l’autorité judiciaire d’une Commune, quand on est Député avec les responsabilités correspondantes au sein du Parlement, quand on est Conseiller d’Etat avec toute l’autorité propre à un Gouvernement cantonal, on devrait effectivement avoir intégré les valeurs précisées plus avant. À l’instar du Député Syndic FAHRNI, Georges GODEL n’était pas digne d’occuper ses fonctions politiques !

Le problème avec Georges GODEL, c’est qu’il a été à géométrie variable en fonction de ses propres intérêts. Notre base de données du blanchiment des royalties le met en lien avec des individus qui nous aident à comprendre comme le Canton de Fribourg a bénéficié d’une expansion fulgurante depuis le début des années 1990. Rappelons que des centaines de milliards ont échappé à l’impôt en raison de la corruption des pouvoirs politiques https://swisscorruption.info/politique-corruption

Conclusion

Si le Député Syndic FAHRNI et ses collègues avaient respecté leurs devoirs de fonctions, m’avaient écouté et avais pris connaissance des faits dénoncés, ils auraient compris que leurs devoirs étaient de dénoncer le CRIME judiciaire CONUS, auprès de l’Autorité compétente.

Dès lors, les 30 ans de procédures n’auraient jamais existé !

Ce qui s’est maintenant passé nous oblige à réagir contre l’Oligarchie anticonstitutionnelle qui prévaut au sein des états et des administrations, autant communales, cantonales que fédérales. Les rencontres confidentielles entre copains, derrière le dos du prévenu et assurément toutes les interventions secrètes au sein de l’Oligarchie et de son mode de fonctionnement secret sont la démonstration que l’Institution judiciaire est devenue illégale et n’a plus aucune compétence pour agir… https://swisscorruption.info/info/tf-corruption-f.pdf. C’est le cas pour ce « Tribunal » dont le Président a déjà démontré qu’il fait partie du problème. Que cette audience n’est qu’une parodie !

La présente procédure et les faits cités jusqu’ici nous ont fait comprendre que l’Etat de Droit n’est plus qu’une farce et que les acteurs de cette farce devront être poursuivis pénalement lorsque l’Etat de Droit sera restauré. Et ça ne saurait tarder ! Dans l’intervalle, je dépose d’ores et déjà des réserves civiles à leur encontre, à titre personnel et individuel, solidairement entre eux et subsidiairement solidairement avec l’État qui devra assumer la responsabilité criminelle de ceux qu’il met en place. Bien entendu, compte tenu de mon mandat, cette responsabilité s’étend aussi à l’Affaire de Genève, pour le préjudice que cette procédure nous cause dans ce cadre.

J’attends du Tribunal de céans :

  1. La récusation du Président Grégoire BOVET

  2. Le rejet de la plainte alibi abusive du Député Syndic UDC Marc FAHRNI

  3. Mon acquittement immédiat

  4. Le versement en ma faveur à charge du Député Syndic UDC Marc FAHRNI de CHF 10’000.- pour tort moral et dépens

  5. La transmission à qui de droit pour l’ouverture d’une enquête pénale contre le Procureur général Fabien GASSER pour abus d’autorité, arbitraire, entrave à l’action pénale et tout chef d’accusation en fonction des faits décrits

  6. La transmission à qui de droit pour l’ouverture d’une enquête pénale contre le Député Syndic UDC Marc FAHRNI pour plainte abusive, induction de la justice en erreur à des fins politiques pour couvrir des associations de malfaiteurs et un crime organisé au détriment du Peuple (Affaire de Genève) et tout chef d’accusation en fonction des faits décrits

  7. Les frais de procédure sont mis à charge du plaignant

    subsidiairement

  8. Tout nouvel abus d’autorité en vue d’un jugement partial et arbitraire me contraindra à déposer une plainte pénale à l’encontre des parties concernées et du Grand Conseil fribourgeois sans le soutien duquel cette plainte alibi abusive n’aurait jamais justifié l’ouverture d’une enquête par le Procureur corrompu GASSER, un Procureur général auquel le Grand Conseil a accordé un soutien aveugle depuis 30 ans dans l’Affaire CONUS, malgré la multitude de plaintes et dénonciations qui ont été adressées à tous les Député(e)s. Restera à définir si la Chancelière a transmis ces plaintes/dénonciations ou a appliqué la censure.

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Complément à la « Requête préliminaire »

(Voir remarque plus bas pour comprendre l’intervention de Pascal CORMINBOEUF)

Après avoir rédigé la « Requête » précitée, j’ai eu l’occasion de croiser l’ex-Conseiller d’État fribourgeois Pascal CORMINBOEUF avec qui j’ai eu un long entretien lors duquel nous avons repris les différentes étapes de l’escroquerie du patrimoine de ma famille.

Lors de l’entretien au cours duquel nous avons évidemment soulevé l’implication des Clubs de services, Pasqual CORMINBOEUF a tenu à me rappeler qu’en ce qui le concerne, il avait toujours refusé d’adhérer à ces Clubs, bien qu’il ait été sollicité à maintes reprises.

Par la suite, Pascal CORMINBOEUF m’a informé qu’à la suite de notre discussion précédente il avait appelé le Journaliste de la Liberté pour qu’il me reçoive afin que je puisse lui faire la preuve de la Vérité sur les conditions qui avaient initié toutes les procédures de l’Affaire CONUS. Le Journaliste SANCHEZ a accepté de me recevoir et mon ex-épouse m’a accompagné.

J’avais en main les dossiers qui prouvaient qu’Anton COTTIER avait promis à mon ex-épouse que je détenais un compte de CHF 540’000.- dont je n’avais pas fait mention dans nos accords notariés et qu’elle avait droit à la moitié. C’était la raison qui avait conduit au téléphone anonyme pour l’inviter à rejoindre l’Étude COTTIER-SCHROETER (Denis SCHROETER était fils du Juge de divorce).

M. SANCHEZ a compris que près de 30 ans de procédure avait été rendues pour rien. Mon épouse a rappelé que lors du procès de 2008, elle avait déjà rappelé au Tribunal que son avocat lui avait à l’époque promis qu’elle avait droit à la moitié du compte « imaginaire » de CHF 540’000.-.

Il faut relever qu’alors que les Journalistes ont été présents tous les jours du procès 2008, ce jour-là où mon ex-épouse était auditionnée, aucun d’eux n’était présent dans la salle. Quand mon ex-épouse a précisé que si elle n’avait pas été trompée sur le compte de CHF 540’000.-, le procès n’aurait jamais eu lieu, la Procureure générale Anne COLLIARD lui a répondu sèchement que le procès en cours n’avait rien avoir avec ce compte. Ce qu’a contesté énergiquement mon ex-épouse avant qu’on la harcèle de tous les côtés et qu’elle se mette à pleurer. L’audition s’était terminée ainsi !

Après cet entretien avec le Journaliste SANCHEZ, j’ai revu Pascal CORMINBOEUF à qui j’ai fait part de l’entretien et du procès du 18 juin 2025 qui allait se tenir à Châtel-Saint-Denis.

L’ancien Conseiller d’État a alors insisté pour que je déclare au Tribunal que nous en avions parlé ensemble et que le Journaliste m’avait reçu. Jusqu’ici, le Journaliste de la Liberté avait refusé de me recevoir et m’avait invité à sortir des bureaux, prétextant que mes déclarations étaient calomnieuses.

Pascal CORMINBOEUF m’a demandé de préciser au Tribunal que M. SANCHEZ avait eu la preuve de la Vérité sur le point crucial qui avait engagé 30 ans de procédures criminelles inutiles pour une affaire qui n’aurait jamais dû exister. Sans l’entretien téléphonique de 45 minutes que Pascal CORMINBOEUF a eu avec le Journaliste, il est pour moi évident que M. SANCHEZ ne m’aurait jamais reçu.

Fait à Vuadens, le 18 juin 2025 – Daniel Conus

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Remarque :

Pascal CORMINBOEUF avait confirmé avoir eu un entretien téléphonique de 45 minutes avec M. SANCHEZ. Si Pascal CORMINBOEUF avait voulu contribuer à mettre en lumière la vérité, on aurait pu penser qu’il aurait eu les arguments pour que le journaliste de la Liberté se présente à l’audience. Or, le seul journaliste présent au procès était celui de 24Heures qui est arrivé dans les « pas perdus » du Tribunal et s’est adressé au plaignant Marc FAHRNI par un « SALUT », ce qui démontre pour le moins qu’ils se connaissaient.
Tout avait donc été arrangé d’avance et le journaliste de 24Heures Thibault Nieuwe Weme n’était présent que pour prendre note de l’ensemble des mensonges déblatérés par le plaignant durant l’audience. Des mensonges utilisés ensuite pour discréditer Daniel CONUS dans la Presse et qui vont être transformés en fausses « vérités » procédurales…
Chaque pièce du puzzle prend sa place. C’est la raison pour laquelle le Président Grégoire BOVET avait refusé les questions préjudicielles et demande des témoins et des preuves déposées par Daniel CONUS le 31 mars 2025. Il était capital que le Préfet ROHRBASSER ne puisse pas témoigner pour contredire tous les MENSONGES du Député Syndic UDC Marc FAHRNI. Le Théâtre guignol du Président Grégoire BOVET a pu ainsi présenter son spectacle guignolesque en toute quiétude.

Quant au journaliste de La Liberté en ne se présentant pas au procès, après avoir eu les preuves factuelles la semaine précédente que les 30 ans de crimes judiciaires dans l’Affaire CONUS étaient basés sur des actes et démarches criminelles de membres des Autorités politiques et judiciaires, il évitait de devoir produire un article mensonger dans les colonnes de la Liberté. Un « journaliste » hors du sérail (acheté à coup de subventions), a donc été missionné pour faire le travail de désinformation publique !!!

Il faut savoir qu’à l’issue du procès, le journaliste Thibault Nieuwe Weme
est encore resté quelque 5 bonnes minutes seul dans la salle d’audience, avec le Président BOVET…

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Marc-Etienne BURDET
au bénéfice d’un mandat pour prendre le contrôle des royalties

à

Conseil d’État incorpore
Grand Conseil (tous les Députés)    
Par Chancellerie d’État Fribourg
Conseil de la Magistrature
Monsieur François GENOUD
Préfet de la Veveyse
Le 16 juin 2025

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Avertissement

Le Temps arrive où vous allez devoir réparer vos CRIMES et vos erreurs !

Procès Daniel CONUS 18 juin 2025
Tribunal de Police Châtel-Saint-Denis
Présidence Grégoire BOVET

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Madame, Monsieur,

Mercredi 18 juin 2025 se tiendra le Procès sur plainte alibi abusive de votre « copain » le Député Syndic de La Verrerie Marc FAHRNI, copain comme cochon avec le Procureur général Fabien GASSER qui n’a pas hésité à bafouer le code de procédure pénale pour parvenir à ses fins !

Je ne vais pas m’étendre ici sur les circonstances criminelles de ce procès dans lequel tout a été mis en œuvre pour bafouer les droits fondamentaux de Daniel CONUS afin de préserver votre impunité !

Vous n’ignorez pas que Daniel CONUS et moi-même représentons les intérêts de M. Joseph FERRAYÉ dans la prise de contrôle des royalties qui lui ont été escroquées et que le 50 % du blanchiment qui en découle, doit nous revenir. Nous parlons de dizaines de milliers de milliards de francs au niveau international qui auraient dû être imposés pour le bien des populations. Le « Président » Georges GODEL vous expliquera comment il a redressé les finances fribourgeoises, sachant que différentes variantes ont été cherchées pour chaque Canton, à l’instar du Canton de Vaud sous l’ère Brouillard et Malis (malice) : https://swisscorruption.info/vaud-corruption/#bouclier.

Aussi, vous devez savoir que nous n’allons plus tolérer de voir nos Droits fondamentaux bafoués, d’être condamnés pour dénoncer des individus « qui n’en ont rien à foutre des Lois ». Des individus qui se sont fait élire pour servir les intérêts de leurs Partis corrompus et autres Sectes et qui agissent en définitive en faveur du Crime organisé.

Dès lors, j’ai pris la décision à dater de ce jour, de mettre à charge des Individus, Magistrats, Politiciens, fonctionnaires, etc. des Cantons qui nous ferons condamner – quelque soit la sentence – une responsabilité civile chiffrée pour chaque cas, qui sera non négociable (CHF 5 milliards pour la présent procès) sur les centaines de milliards que chaque Canton aura à assumer le moment venu. Cette responsabilité sera personnelle et individuelle envers les personnes impliquées, solidairement entre elles et subsidiairement solidairement avec le Canton concerné.

Sachez qu’il n’y a dans ce qui précède, aucune contrainte, ni menace, mais que mes Partenaires et moi-même devons prendre des mesures utiles et nécessaires pour garantir nos Droits fondamentaux et quand ceux-ci sont bafoués impunément, des sanctions exemplaires doivent être prévues.

Comprenez que nous devons avoir la possibilité le moment venu, lorsque ces responsabilités devront être assumées, de démontrer à vos électeurs et au Peuple souverain, que nous avons tout mis en œuvre pour éviter de mettre à leur charge des Dettes d’État gigantesques survenues à cause de la corruption, de l’abus d’autorité, de la violation de nos Droits, d’entraves à l’action pénale, etc., etc., etc.

Le Peuple va finir pas savoir qui vous êtes en réalité et il va vous le faire payer fût-il nécessaire et ce sera le cas, de compléter le Code Pénal. Trahir l’État de Droit aura des conséquences !

À titre strictement confidentiel jusqu’au 18.06.2025, vous pouvez avoir accès aux requêtes préliminaires de Daniel CONUS qui seront déposées à l’ouverture du procès, sur :

https://swisscorruption.info/fahrni/#2025-06-18_proces

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

Marc-Etienne Burdet                                 

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Demande de réquisition de preuves du 31.03.2025

Finalement rejetées par le Tribunal

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Daniel CONUS

à

Tribunal d’Arrondissement de la Veveyse
M. Grégoire BOVET, Juge de Police
Châtel-St-Denis
Copies :
Conseil d’État fribourg
Grand Conseil Fribourg
Le 31 mars 2025

En fichier pdf avec liens actifs sur : https://swisscorruption.info/conus/2025-03-31_proces1.pdf

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1. Préambule
2. Contexte et faits
3. Complément et corrections de faits erronés dans la plainte
Plainte FAHRNI du 12 juillet 2024
4. Violations de Droits fondamentaux et Irrégularités graves
5. Violation des principes d’Indépendance, d’Impartialité et d’État de Droit
6. Moyens de preuve
7. Demande d’Audition de Témoins
8. Questions préjudicielles
Conclusion

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Dossier 50 5025 11 – V/citation à comparaître du 19 mars 2025
Demande de réquisition de preuves, audition de témoins et dépôt de questions préjudicielles

Affaire : Plainte de Marc FAHRNI, Syndic UDC  contre Daniel Conus
Réf. : FGS F 24 8008 / Ordonnance pénale du 04.02.2025

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I. PRÉAMBULE

En ma qualité de partie visée par la plainte du 12 juillet 2024 émanant de M. Marc FAHRNI, Député et Syndic UDC https://swisscorruption.info/udc, et condamné par ordonnance pénale du 4 février 2025, je sollicite par la présente le Tribunal afin :

  • de réquisitionner les moyens de preuve indispensables à une défense équitable,
  • d’auditionner plusieurs témoins essentiels,
  • et de statuer en priorité sur des questions préjudicielles mettant en cause la régularité de la procédure et la compétence de l’autorité instructrice.

II. CONTEXTE et FAITS

Le 12 juillet 2024, le Syndic et Député UDC Marc FAHRNI à La Verrerie, a déposé plainte pénale contre moi pour prétendues atteintes à l’honneur, fondée sur un communiqué public que j’ai diffusé dans le cadre de mes démarches citoyennes visant à dénoncer des dysfonctionnements graves au sein de l’État.

Ce communiqué accessible sur https://swisscorruption.info/info/fahrni.pdf ne comportait ni injure, ni diffamation, mais des critiques politiques argumentées, telles que garanties par l’article 16 de la Constitution fédérale (liberté d’opinion et d’information).

Le 29 août 2024, j’ai fait parvenir au Procureur général ma détermination, démontrant clairement le caractère abusif, infondé et non étayé de la plainte
https://swisscorruption.info/conus/2024-08-29_fahrni_determ.pdf

Le 4 février 2025, M. Fabien GASSER, Procureur général, a rendu une ordonnance pénale à mon encontre (réf. FGS F 24 8008), me condamnant à 30 jours de prison ferme pour calomnie, à la suite de la plainte déposée le 12 juillet 2024 par le Syndic et Député Marc FAHRNI.

Cette condamnation intervient alors que :

S’il est exact dans le cadre de la plainte du Syndic/Député Marc FAHRNI, que le Procureur général m’a convoqué le 13 novembre 2024, je n’ai pas pu me présenter pour des raisons légitimes, à savoir que je contestais le droit même de Fabien GASSER à instruire l’affaire, ce que j’ai formellement exprimé dans mon recours et plainte du 12 octobre 2024. Dès lors, le droit d’être entendu ne peut être considéré comme respecté, dans la mesure où :

  • La personne en charge de l’audition était elle-même objet de la plainte, impliquant une partialité manifeste (cf. art. 56 lit. a à c CPP – causes de récusation) ;
  • Aucune suite n’a été donnée à ma demande de récusation, ni aucune mesure n’a été prise pour organiser une audition par une autre autorité compétente ;
  • Le refus d’entendre un citoyen au motif qu’il refuse d’être auditionné par un magistrat qu’il considère inapte, revient à instrumentaliser la procédure pour neutraliser une contestation légitime, en violation des droits fondamentaux de procédure (art. 29 al. 1 et 2 Cst., art. 6 CEDH).

Il s’agit donc non pas d’un simple « refus de comparution », mais d’un conflit sur la légitimité de l’instruction, qui aurait nécessité une réponse institutionnelle formelle, et non une interprétation abusive du silence comme « renonciation ».

III. COMPLÉMENT ET CORRECTION DE FAITS ERRONÉS DANS LA PLAINTE

Contrairement à ce qu’affirme M. Marc FAHRNI dans sa plainte, le bâtiment en cause qui a nécessité son intervention n’était pas un cabanon illégal pour lequel il aurait dû s’investir pour la mise en conformité, mais bien un pavillon de jardin habitable, tel que prévu sur les plans déposés pour la demande de permis de construire du 5 août 1994. De plus, suite à l’érosion des terres de ma propriété le long du ruisseau, j’avais entrepris de cimenter les bords du ruisseau avec des pierres naturelles.

C’est à la suite d’une dénonciation que le préfet avait dû intervenir pour vérifier les travaux et la construction nouvellement réalisée en 1994. M. le Préfet Bernard ROHRBASSER m’avait félicité pour le travail accompli, tant pour le pavillon que pour la préservation du cours du ruisseau.

Cette construction à été remise en cause lors de la vente forcée et illégale de ma propriété, par lettre du 22 juillet 2010 du Syndic de La Verrerie M. Didier SANTSCHI, prédécesseur de Marc FAHRNI qui n’était à ce moment-là que Conseiller communal. Or, cette démarche qui a coûté quelque CHF 10’000.- à l’acquéreur de l’enchère publique – M. Jean-Claude RIME – était illégale et abusive. La Commune de la Verrerie devra en finalité rembourser les frais occasionnés à M. RIME. Je m’explique :

En droit suisse, plusieurs éléments peuvent être invoqués dans ce cas, notamment l’agrément tacite, la confiance légitime, et la prescription de l’action administrative. Voici comment cela se structure juridiquement :


1. Agrément tacite ou validation implicite de la construction

Même si le permis de construire mentionne par erreur « cabanon » au lieu de « pavillon » comme c’était le cas sur les plans transmis pour la demande de permis (pièce 02), le fait que la construction ait été réalisée sous les yeux des autorités, qu’elle ait été reconnue conforme par le Préfet après visite,

et que les autorités n’aient pris aucune mesure pendant plus de 15 ans, implique une forme d’approbation tacite.

—> Juridiquement, on parle d’ « approbation tacite » (ou « tolérance prolongée ») lorsqu’une autorité compétente :

  • a connaissance de la situation irrégulière,
  • n’intervient pas dans un délai raisonnable,
  • et donne par ses actes ou abstentions l’impression que la situation est acceptée.


2. Principe de la confiance légitime (Art. 9 Cst.)

Je suis en droit d’invoquer la protection de la bonne foi au sens de l’article 9 de la Constitution fédérale :

« Toute personne a droit à un traitement équitable et à agir de bonne foi avec l’État. »

—> Cela signifie que l’État ne peut pas revenir sur une situation qu’il a lui-même tolérée, voire encouragée, surtout si le citoyen a agi en confiance et de manière transparente.

Dans le cas présent :

  • La construction a été visible.
  • Le Préfet est intervenu personnellement.
  • Aucune autorité n’a contesté ou annulé quoi que ce soit pendant plus de 15 ans.

Il est évident dès lors que la Commune n’est plus fondée à parler de construction illégale, surtout si la prétendue illégalité repose sur une simple erreur de dénomination dans le permis initial.


3. Prescription des mesures administratives

En Suisse, même en matière de droit public, l’action des autorités pour faire démolir ou sanctionner une construction peut se prescrire, selon la jurisprudence fédérale.

—> En général :

  • Le délai de prescription est de 30 ans en matière de droit réel.
  • Mais en droit de la construction, la tolérance prolongée (souvent 10–15 ans sans intervention) peut empêcher la remise en cause rétroactive, sauf en cas de risque grave ou violation manifeste de l’ordre public.

Or ici, il n’y a :

  • ni menace pour la sécurité,
  • ni atteinte à l’environnement,
  • ni trouble manifeste de l’ordre public.

Bien au contraire : l’aménagement des abords du ruisseau avait été reconnu comme conforme et utile par le Préfet ROHRBASSER

En résumé :

La Commune n’est pas légitimée à qualifier de « construction illégale » une installation qu’elle a tolérée sans réserve pendant plus de 15 ans, et que le Préfet a reconnue comme conforme. Il faut dès lors considérer :

  • L’agrément tacite de l’autorité,
  • La confiance légitime du citoyen (Art. 9 Cst.),
  • L’abus de droit ou la prescription de l’action administrative,
  • Et sur l’inexactitude non substantielle dans le permis initial (simple erreur de terminologie, sans incidence sur le fond).

Ces faits, essentiels à la compréhension de l’affaire et à la contestation de la crédibilité des propos tenus par Marc FAHRNI, doivent être intégrés au dossier.

IV. VIOLATIONS DE DROITS FONDAMENTAUX et IRRÉGULARITÉS GRAVES

4.1. Conflit d’intérêt et partialité manifeste

  • Dans l’Ordonnance rendue à mon encontre, Fabien GASSER n’aurait jamais dû traiter une plainte dans une affaire impliquant un plaignant (personnalité politique locale – Marc FAHRNI), dans un contexte où il était personnellement visé par plusieurs de mes plaintes. Le refus de se récuser constitue une violation grave de l’Art. 56 lit. a et b CPP.

4.2. Violation du droit à un procès équitable (art. 6 CEDH)

  • La condamnation pénale rendue sans audience et alors que je conteste la légitimité du magistrat instructeur, dénature le droit d’être entendu et celui à un juge impartial. La CEDH exige que l’apparence d’impartialité prime autant que l’impartialité réelle : il ne suffit pas que le juge soit impartial, encore faut-il qu’il le paraisse.

    La CEDH, notamment dans l’affaire Piersack c. Belgique (1982) et d’autres arrêts, insiste sur le fait que :
    • Un tribunal doit être impartial de manière subjective (le juge n’a pas de parti pris personnel),
    • Mais aussi impartial de manière objective (même l’apparence d’un manque d’impartialité suffit à violer l’article 6 CEDH).

4.3. Procédure pendante ignorée (TF)

  • Il est contraire au principe de sécurité juridique de rendre une condamnation aussi grave pendant qu’une instance fédérale doit encore statuer sur ma capacité d’agir en justice. Cela constitue un déni de justice et une atteinte à l’effet suspensif implicite du recours,

4.4. Interdiction d’ester en justice : une tactique d’étouffement

  • Comme démontré dans mon recours du 5 avril 2024 (lien ci-dessous), le Procureur GASSER a initié une procédure visant à m’empêcher d’ester en justice, au prétexte d’une quérulence présumée. Cette mesure, inconstitutionnelle dans son fondement, vise clairement à m’étouffer politiquement et judiciairement https://swisscorruption.info/daniel-conus/#2024-04-05.

4.5. Départ annoncé de Fabien GASSER

  • Des sources médiatiques (cf. communiqué du 3 mars 2025) font état du prochain départ de Fabien GASSER de ses fonctions à fin 2025. Il est inacceptable qu’un magistrat sur le départ puisse rendre des décisions qui engagent aussi fortement la liberté individuelle d’un citoyen https://swisscorruption.info/info/tyrannie.pdf.

V. VIOLATION DES PRINCIPES D’INDÉPENDANCE, D’IMPARTIALITÉ ET D’ÉTAT DE DROIT

5.1. Contexte fribourgeois et suisse : un système partisan enraciné

  • En Suisse, y compris dans le canton de Fribourg, la majorité des juges — cantonaux et fédéraux — sont élus par les parlements (cantonal ou fédéral), sur proposition des partis politiques.

Dans la pratique :

  • Pour être élu juge, l’appartenance partisane est quasi indispensable ;
  • Une fois élu, le juge est tenu de reverser une part de son salaire à son parti (jusqu’à 10 % dans certains cantons — une « taxe de mandat ») ;
  • Les partis peuvent exercer une pression sur les juges, notamment en cas de réélection ou pour des fonctions supérieures https://swisscorruption.info/mafia/#servilite.

Ce système crée un mécanisme institutionnalisé de dépendance politique qui affecte structurellement la liberté du juge.

5.2. Violations du droit à un tribunal indépendant et impartial

  • Constitution fédérale – art. 30 al. 1 :
  • « Toute personne a droit à ce que sa cause soit jugée équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable par un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial ».

__ Le versement obligatoire à un parti (même indirect) remet en cause :

  • L’indépendance (le juge dépend de sa loyauté envers un parti pour sa place ou sa réélection) ;
  • L’impartialité apparente (même sans preuve de favoritisme, la proximité structurelle entre juge et parti est suffisante pour douter de sa neutralité).

CEDH – art. 6 §1 :

« Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement […] par un tribunal indépendant et impartial ».

🔹 La jurisprudence de la Cour européenne insiste sur l’importance de l’apparence d’indépendance :

« La justice doit non seulement être rendue, mais aussi apparaître comme telle » (De Cubber c. Belgique, 1984 ; Piersack c. Belgique, 1982).

🔹 Or, dans le système suisse :

  • Un juge élu par un parti et redevable à ce même parti,
  • Dont le revenu dépend de sa contribution à ce parti,/
  • Et qui peut être exclu en cas de désaccord politique,

n’apparaît pas comme indépendant aux yeux d’un justiciable neutre. La CEDH pourrait considérer cela comme une violation de l’art. 6.

5.3. Une pression structurelle : argent contre mandat

___En obligeant les juges à reverser une part de leur rémunération à un parti, le système crée :

  • Une confusion entre loyauté institutionnelle et fidélité partisane ;
  • Une forme de prélèvement institutionnalisé, qui s’apparente à une extorsion politique légalisée.

Cela viole non seulement les droits du juge à une fonction libre et indépendante, mais surtout les droits du justiciable à un tribunal dégagé de tout intérêt partisan.

5.4. Une violation des engagements internationaux

Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) – ratifiée par la Suisse :

       Art. 11 : « Chaque État prend des mesures pour renforcer l’intégrité et prévenir la corruption dans le pouvoir judiciaire ».

🔹 Le système actuel — où l’accès à la fonction, son maintien, et sa rémunération dépendent d’un parti — est contraire à l’esprit de cette convention, même si la Suisse a tenté de le défendre au nom de sa démocratie parlementaire.

5.5. Conséquences pratiques : une justice perçue comme politique

___Dans un contexte comme celui que j’ai vécu à Fribourg :

  • Lorsqu’un Procureur ou un Juge est du même parti que les autorités politiques impliquées,
  • Et que le Conseil de la magistrature (ou l’organe de surveillance) comprend des membres du même parti ou collaborateurs politiques,
  • L’apparence d’impartialité est définitivement brisée.

Le justiciable n’a aucune garantie d’être jugé en dehors des rapports d’influence politique ou de solidarité de parti. Il se retrouve seul face à un bloc institutionnel organisé, où les conflits d’intérêts sont systémiques.

5.6. Conclusion

  • Ce système est incompatible avec la Constitution suisse et la CEDH, du moment qu’il empêche l’apparence d’impartialité.
  • Il est particulièrement problématique dans des affaires à composante politique ou institutionnelle, comme la mienne.
  • Un recours auprès de la CEDH, fondé sur la violation de l’article 6, mettra en échec la Suisse lorsque toutes les voies de recours internes seront épuisées au sein de la MAFIA d’État.

VI. MOYENS DE PREUVE

  1. Communiqué du 8 juillet 2024, objet de la plainte, pour analyse complète de son contenu Pièce 01.

  2. Permis de construire du 5 août 1994, signé par le Préfet ROHRBASSER, relatif selon les plaints joints au permis, au pavillon (et non à un cabanon), Pièce 02 transmise au dossier.

  • Document du 23 juillet 2024 signée par Pascal Corminboeuf, ancien Conseiller d’État qui a suivi personnellement tous les détails des dysfonctionnements judiciaires à mon encontre, déclarant que la vente forcée du bien familial n’aurait jamais dû avoir lieu​ Pièce 03 (page 2)

VII. DEMANDE D’AUDITION DE TÉMOINS

  1. Bernard ROHRBASSER, ancien Préfet de la Veveyse, pour attester :
    • de sa visite sur les lieux après la construction du pavillon,
    • de sa confirmation orale de la conformité de la construction et des aménagements environnementaux,
    • et du permis de construire initial de 1994.

  1. Pascal CORMINBOEUF, ancien Conseiller d’État, pour confirmer sa déclaration de juillet 2024 sur le fait que la vente n’aurait pas dû avoir lieu et sur ses connaissances des abus judiciaires dont j’ai été Victime. Pascal CORMINBOEUF avait enjoint le Conseil d’État à m’indemniser, ce à quoi son Collègue Georges GODEL lui avait répondu qu’il n’avait qu’à m’indemniser lui-même.

  2. M. Georges GODEL ancien Conseiller d’État, qui avait déclaré alors qu’il était Député tout comme Marc FAHRNI, que c’étaient des salauds comme ils (les juges) faisaient avec moi.

  3. Marc FAHRNI, plaignant, à interroger sur ses affirmations erronées concernant le cabanon, et sur l’absence de preuve de ses allégations diffamatoires. Il devra expliquer également sa hargne à mon encontre et celle de son frère qui m’a menacé à plusieurs reprises.

  1. Dominique DE BUMAN, ancien Conseiller national, ayant dénoncé publiquement les mécanismes de « copinage » dans les affaires politico-judiciaires en Suisse et plus particulièrement dans le Canton de Fribourg.

  2. Tout agent du Ministère public impliqué dans l’instruction, en particulier Fabien GASSER, Procureur général, dont l’impartialité est mise en cause dans une plainte pénale et disciplinaire déposée à son encontre​.

VIII. QUESTIONS PRÉJUDICIELLES

  1. Le Procureur Fabien GASSER pouvait-il instruire cette affaire, alors qu’il est visé personnellement par plusieurs plaintes, créant un conflit d’intérêt manifeste (Art. 56 CPP)​ ?

    Sa partialité, son arbitraire et sa complicité dans les crimes judiciaires à mon encontre, sont en outre détaillés dans la plainte du 29 mars 2025 contre lui, que l’on peut consulter sur https://swisscorruption.info/gasser/#plainte-29-03-2025

  1. La validité de l’ordonnance pénale peut-elle être maintenue, alors qu’elle a été rendue sans audition, et en violation du droit au juge impartial (Art. 6 CEDH, Art. 29 Cst.) ?

  1. La plainte de M. FAHRNI est-elle recevable, en l’absence de preuve des faits allégués et du caractère manifestement politique de la critique qui m’est reprochée ?

  2. L’Ordonnance de renvoi du Procureur général Fabien GASSER est-elle recevable, voire même légale, en fonction du manque de légitimité du magistrat dans l’instruction de cette cause.

IX. CONCLUSION

Je sollicite que le Tribunal :

  • Reçoive la présente demande comme valablement motivée,
  • Ordonne l’instruction complémentaire sollicitée,
  • Entende les témoins proposés,
  • Réponde prioritairement aux questions préjudicielles.

Je demeure à disposition pour fournir toute pièce complémentaire et remercie le Tribunal de garantir, dans ce dossier hautement sensible, le respect absolu des droits fondamentaux et de la vérité des faits.

Fait à Marsens, le 31 mars 2025

Daniel Conus