Marc BONNANT, fils du Diplomate Georges BONNANT, est né le 29 octobre 1944. .Il est marié à Marianne BONNANT-BAYLE depuis 1983. Il est en outre l’oncle de l’actrice Carole BOUQUET. Il est le cofondateur de l’Etude Bonnant Warluzel & Associés, fondée en 1996 au moment de l’escroquerie des royalties FERRAYÉ.

Marc BONNANT et Dominique WARLUZEL sont les avocats genevois qui ont rédigé la plainte du 29 janvier 1996 qui avait permis le 1er séquestre de la totalité des royalties escroquées à Joseph FERRAYÉ, par le Gouvernement français avec la complicité des associés et des mandataires de l’inventeur.

Marc BONNANT avait alors rédigé deux plaintes, la première signée par Joseph FERRAYÉ, en fonction des éléments que connaissait l’inventeur, et une deuxième plainte beaucoup plus complète qui lui a permis de faire chanter les escrocs et corrompre les Magistrats, pour que lui-même et les membres du complot – à l’instar de son ami Pierre MOTTU – puissent ensuite détourner les fonds escroqués en leur faveur.

Les détails concernant la rédaction de ces deux plaintes, sont énumérés dans l’appendice 02.

Des entraves à l’action pénale par métier ! Posons-nous la question de savoir dans quelle Juridiction, un système judiciaire prévoit-il de faire signer des cessions de droits litigieux à des escrocs qui ont escroqué des fonds, pour ensuite se partager les capitaux en question et rétribuer ces mêmes escrocs pour les remercier de leur silence ? Il n’y a qu’avec les Pouvoirs politiques et les Autorités Judiciaires corrompus de Suisse, que de telles procédures pouvaient être mises en place !!!
https://swisscorruption.info/mafia
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C’est dans le cadre de l’Affaire FERRAYÉ que Marc BONNANT a créé son « association » avec Dominique WARLUZEL, aujourd’hui expatrié aux Bahamas où il dirige avec d’autres complices, la société GW & Partners L.P. à Nassau. Il y siège aux côtés Béatrice BARTON, ex Rédactrice de la RTS (Radio Télévision Suisse) et de MONTGANO DAVIS Hepburn. que l’on retrouve dans la société Pelsar Associated SA Nassau BAH à Lugano, active de 1998 à 2000 lors de la distribution des royalties. Y figurent aussi Francesco RESSIGA-VACCHINI (48 sociétés dont Credit Suisse), Orlando SANDRO (51 sociétés dont Credit Suisse), Gianni DONATI (47 sociétés dont Credit Suisse) Giulio CLEMENTI, Myriam MOOR MACCONI dans les mêmes conditions.

Me Bonnant, « Mozart du barreau » côté cour, administrateur offshore côté jardin. Selon ses propres aveux, Me Marc BONNANT aime le SECRET (1)

Les révélations des Panama Papers sont censurées en Suisse et c’est facile à comprendre quand l’on sait que tous les médias sont contrôlés par les escrocs des centaines de milliards des royalties FERRAYÉ. Dès lors, les journalistes qui sont leurs laquais, censurent d’eux-mêmes ou sont contraints de censurer les informations qui pourraient mettre en lumière les principaux acteurs du crime. Les licenciements de journalistes, ces « Merdias » qui trompent l’Opinion publique par manque de déontologie, sont une bonne chose et ils devraient être plus nombreux en Suisse. Nous devons pouvoir retrouver une Presse éthique et indépendante !

Comme lecteurs de swisscorruption.info, vous trouverez des informations intéressantes sur les Panama Papers ICI :

Dans les « Panama papers », Marc BONNANT apparaît comme étant ou ayant été directeur d’au moins 176 sociétés offshore enregistrées par le cabinet MOSSACK FONSECA un peu partout dans les juridictions exotiques. Me BONNANT n’est pas, et de loin, le seul avocat suisse à pratiquer les paradis fiscaux – les Panama papers font apparaître 1500 intermédiaires en Suisse qui adressent des clients à Mossack Fonseca -, mais il s’y montre assidu, et pour des clients souvent en délicatesse avec la justice. On y trouve par exemple Cyril ABECASSIS qui a été avocat de Joseph FERRAYÉ. Mais aussi Raymond LUESCHER, père du Conseiller National et vice-Président du PLR Suisse Christian LUESCHER

Le but de ces sociétés offshore enregistrées pour la plupart par le cabinet MOSSACK FONSECA dans divers paradis fiscaux est de masquer le nom des bénéficiaires économiques. Marc BONNANT a eu recours à la société « Bigland Enterprises Inc. », une boîte aux lettres établie à l’adresse du siège de Mossack Fonseca à Panama City, qui permet de garder secrète l’identité des bénéficiaires des sociétés qu’il dirige. BIGLAND Enterprises Inc. est connectée à 77 sociétés dans notre base de données et elle est liée à FIGEST Conseil SA à Genève, société fiduciaire qui est l’intermédiaire de centaines de sociétés à Panama…

Ziad TAKIEDDINE

Plusieurs montages financiers complexes y mettent en lumière des noms considérés comme «sulfureux» tels que l’intermédiaire sur les ventes d’armes et cité plusieurs fois en France dans des grands contrats d’armement. Il est le suspect no 1 dans le volet financier de l’affaire KARACHI (Causes attentat 2002 / nouvelle hypothèse) ;

Beny STEINMETZ

Le diamantaire israélien/français Beny STEINMETZ , poursuivi par la Guinée, les États-Unis et la Suisse pour corruption et faux dans les titres ;

L’homme d’affaires sud africain Khulubuse CLIVE ZUMA, neveu de l’actuel président sud-africain Jacob ZUMA ; Dan GERTLER (voir plus bas) homme d’affaires israélien, proche du président congolais Joseph KABILA, accusé par la presse et des ONG d’avoir trafiqué des pierres en provenance de régions en guerre – les fameux diamants du sang ; le diamantaire Mozes Victor KÖNIG qui, depuis 1999, est placé sur la liste des personnes les plus recherchées par Interpol.

Marc BONNANT est aussi le représentant légal de la société BALERTON, domiciliée dans les îles Vierges britanniques, à propos de laquelle une enquête est ouverte par la justice française, qui la soupçonne de dissimuler une partie de la fortune de Jean-Marie Le Pen.

Il a en outre été l’avocat de la partie civile dans les dossiers ORTIZ, DARD, SAFRA, STERN et il fut l’avocat de l’Impératrice d’Iran et de Souha ARAFAT. À la défense, il plaida, parmi de nombreuses causes, les dossiers COMFELD, JACCOUD, MOUMIE, GELLI, DE GORSKI, GAON, POLO FIORINI, BEREZOVSKY, et fut l’avocat des Moudjahidin dans leur résistance aux mollahs iraniens. Il défendit l’ex-femme de l’oligarque russe Dmitri RYBOLOVLEV lors de son divorce. (extraits wikipedia et le Monde)

Tout comme son associé Dominique WARLUZEL, Micheline SPOERRY conseillère d’Etat qui a étouffé le dossier lorsque nous l’avons dénoncé, Marc BONNANT a été nommé Chevalier de l’Ordre de la Légion d’honneur par le Gouvernement français, en remerciement de services rendus…

Il se dit aussi proche de l’UDC Oskar FREYSINGER, un des fidèles et obéissant soldat de l’ex Ministre suisse de la Justice, Christoph BLOCHER.

Dmitri RYBOLOVLEV

De 1991 à 1993, Dmitri RYBOLOVLEV a été directeur de l’entreprise médicale « Magnetics », qu’il a fondée avec son père. Il s’est rendu à Moscou en 1992, où il a suivi une formation financière au terme de laquelle il est retourné à Perm (Russie) pour organiser sa société d’investissement montée avec un ancien militaire. Celle-ci rachetait les coupons remis aux ouvriers dans le cadre de leur travail, et a permis aux deux associés de créer une banque à laquelle adhèrent les principales entreprises de la région. À partir de 1992, Dmitri RYBOLOVLEV a participé à tous les tours de privatisation de la société URALKALI, fleuron de la région, qui est l’un des plus grands producteurs au monde d’engrais potassique. En 1996, il possèdait 66 % du capital de la Société… (extrait Wikipedia)

Ce bref historique nous démontre qu’à cette époque, avant que la Federal Reserve, le Gouvernement CLINTON, Edmond SAFRA et la Republic National Bank of New York ne déversent quotidiennement des avions cargos remplis de dollars pour les banques de la Mafia Russe, RYBOLOVLEV ne s’affichait pas encore en multimilliardaire…
https://swisscorruption.info/moneyplane

Comprenons là, que si Marc BONNANT a pu obtenir près de CHF 5,7 milliards en faveur de l’épouse de RYBOLOVLEV en première instance de l’audience de divorce, il est clair que comme ami d’Edmond SAFRA, ayant connaissance des conditions dans lesquelles Dimitri RYBOLOVLEV avait fait fortune, il a pu obtenir un accord final qui ne doit pas être très inférieur à celui obtenu précédemment.

Marc BONNANT et les « diamants du sang »

Dan GERTLER

Il est né en décembre 1973, est un homme d’affaires israélien. En 2016, Forbes estime sa fortune à $1,26 milliards et le classe 1476ᵉ milliardaire de la planète, et 14ᵉ d’Israël. (Wikipedia)

Dan GERTLER Fait partie de ces clients dont même la sulfureuse société de domiciliation fiscale offshore MOSSACK FONSECA ne voulait plus… L’ire de MOSSACK FONSECA remonte à 2010. Un de ses bons clients, avocat à Gibraltar, lui a demandé de créer en urgence deux sociétés aux îles Vierges britanniques. Elle s’y prête de bonne grâce sans réaliser le contrôle habituel. Ce n’est qu’un an plus tard, après des dizaines de relances par courriel restées sans réponse, et à la suite d’une enquête des autorités financières des îles Vierges britanniques, que les Panaméens découvrent l’identité du bénéficiaire effectif de Foxwhelp Ltd et Caprikat Ltd : Dan GERTLER.

Opacité bien ordonnée commence par soi-même. Les deux sociétés étaient dissimulées derrière un montage étourdissant qui a servi à masquer leur véritable propriétaire. Foxwhelp Ltd et Caprikat Ltd étaient détenues par un fonds d’investissement domicilié aux îles Caïmans, African Ressources Investment Fund, lui-même contrôlé par deux fondations au Liechtenstein, qui sont à leur tour possédées par deux trusts discrétionnaires à Gibraltar. Un système d’écluses presque impossible à remonter sans les documents des Panama papers. Seuls deux noms apparaissaient : l’avocat suisse Marc BONNANT et Khulubuse Clive ZUMA, neveu affairiste du président sud-africain Jacob ZUMA, qui n’ont pas voulu commenter ce sujet.

Furieuse, Jennifer MOSSACK, la fille du fondateur de la société panaméenne, a ordonné la fermeture de toute entité liée à Dan GERTLER qu’elle qualifie le 2 juin 2011 de « marchand de diamants du sang » dans un message interne consulté par Le Monde. Le 11 juillet à 12h08, Marc BONNANT, impavide, transfère ces sociétés chez MORGAN & MORGAN, le principal concurrent de MOSSACK FONSECA, également établi à Panama City. (extrait Egalité Reconciliation)

Le nom de Dan GERTLER est apparu sur des comptes en Suisse chez HSBC (reprise des Republic National Bank of New York d’Edmond SAFRA, ami de BONNANT). Les domiciliations exotiques de ses sociétés, elles, lui permettent de ne payer qu’un minimum d’impôts en République démocratique du Congo, où les experts estiment que l’homme d’affaires israélien a fait perdre des milliards de dollars de revenus à l’Etat. En 2014, il a revendu au gouvernement les droits pétroliers détenus à travers une obscure société offshore, Nessergy, trois cent fois plus cher que leur prix d’achat.

En 2015, son nom apparaît dans les listings de l’affaire Swissleaks liée à la banque HSBC, où il apparaît qu’il détient pour sa société Concordia Marketing Group un compte commun avec Daniel Steinmetz (frère de Beny Steinmetz).

Marc RICH / GLENCORE

De son vrai nom Marcell David REICH, il est né le 18 décembre 1934 à Anvers (Belgique) et mort le 26 juin 2013 à Lucerne (Suisse). Il est un célèbre homme d’affaires israélo-américano-belgo-espagnol d’origine juive belge.

Marc RICH a été condamné par la justice américaine pour fraude, délit d’initié, violation d’embargo avec l’Iran en pleine crise des otages, ainsi que pour la plus grande fraude fiscale de toute l’histoire des États-Unis. Avec plus de 60 chefs d’inculpations, il risquait jusqu’à 325 ans de prison. Classé parmi les 10 fugitifs les plus recherchés au monde et poursuivi par le FBI, il avait trouve refuge en Suisse, pays qui a refusé de l’extrader. Il y a fondé la multinationale GLENCORE. (extraits wikipedia)

Marc RICH a reçu un pardon très controversé du président américain Bill Clinton le 20 janvier 2001, son dernier jour en fonction, suite à une demande que lui avait faite l’Administrateur d’UBS SA Pierre de WECK. Le Président d’UBS SA ne manque pas de mentionner la personnalité “charitable” de March RICH durant plusieurs années et ainsi de son aide aux Communautés du Pays en général.

On peut cependant considérer que ce « Pardon présidentiel » avait aussi été acheté puisque comme le révèle maintenant Peter SCHWEIZER, dans son livre « CLINTON CASH », la grâce avait été accordée après que l’ex épouse de Marc RICH, Denise RICH, ait fait une donation de USD 100’000 à la campagne 2000 d’Hillary CLINTON, USD 450’000 à la CLINTON Library et USD 1 million au Parti Démocrate…

On l’a vu plus haut, Marc BONNANT apparaît avec Clive Khulubuse ZUMA, neveu affairiste du président sud-africain Jacob ZUMA, dans le montage de sociétés off-shore initiées par un avocat d’affaire à Gibraltar pour le compte de Dan GERTLER, permettant à celui-ci de ne jamais apparaître en raison de ses activités en République Démocratique du Congo.

Dan GERTLER est réapparu quatre ans plus tard dans les fichiers de la firme panaméenne MOSSACK-FONSECA à travers un contrat passé avec la société CALLERY Ressources Ltd, domiciliée au Panama, qui fait valoir des prestations de conseil à hauteur de 10 millions de dollars sur le site minier de Mutanda (MUMI). Ce gisement, situé non loin de Kolwezi, au Katanga, est opéré par GLENCORE en partenariat avec Dan GERTLER. Là encore, les actifs et les revenus de la mine irriguent des sociétés établies dans des paradis fiscaux.

Les Panama Papers nous apprennent que la société MUMI (Mutanda Mining) fut créée pour que s’associent ses deux actionnaires, GLENCORE PLC et la société ROWNY ASSET LIMITED, elle-même détenue par le sulfureux ’empereur’ des diamants, l’israélo-congolais Dan GERTLER. On apprend aussi que ROWNY a reçu les dividendes du 1er trimestre 2014 de MUMI dont les avoirs des mines du Katanga au Congo sont estimés à 1,8 milliards de dollars.

Marc BONNANT et la Maison Blanche

Depuis 1992, l’économie a été fondamentalement chamboulée. Toutes les banques qui ont été en première ligne de l’escroquerie des royalties ont été rachetées, fusionnées (ex. SBG/UBS, CREDIT SUISSE, HSBC, SVB/BPS, BNP, CALYON, BANK OF AMERICA Suisse, MERRILL LYNCH, WINTERTHUR, SWISSAIR, etc.) ou encore quelques gros banquiers privés (Vontobel, Pictet, Julius Bär, Mirabaud, etc.). Il en a été de même des centaines de caisses maladies, des restructurations des assureurs, de la chimie, des cliniques privées et on retrouve toujours les mêmes administrateurs, de l’Industrie automobile, etc. etc. etc.

Selon notre base de données, Marc BONNANT est trop souvent en lien avec les administrateurs ou les prête noms des sociétés concernées.

Les Panama-Papers ont au surplus établi maintenant sa complicité avec Dan GERTLER, les « Diamants du sang » et l’exploitation des matières premières par GLENCORE, XSTRATA et ROWNY ASSETS LIMITED.

Les USA ont pris une part prépondérante en cautionnant l’escroquerie et le blanchiment des royalties en dollars. En ayant également participé avec le Gouvernement français à vouloir faire assassiner Joseph FERRAYÉ. L’une des tentatives d’assassinat à même eu lieu dans les bureaux de la DEA à Paris.

Après la FEDERAL RESERVE et la Republic National Bank of New York sous le Gouvernement CLINTON, le Gouvernement BUSH a pris la relève. Donald RUMSFELD administrateur de ABB Brown Boveri et ABB Ltd Zürich au moment de l’escroquerie.

On retrouve avec CARLYLE Group (près de 200 milliards de dollars en 2016), l’un des plus important gestionnaire d’actifs au monde. Au moment de l’escroquerie des royalties, le CARLYLE Group était dirigé par Frank CARLUCCI, ancien directeur adjoint de la CIA, conseiller à la sécurité nationale, puis secrétaire à la Défence

Nicolas SARKOZY et son demi frère Pierre-Olivier SARKOZY
Président de la France 2007 – 2012 / ex UBS SA, Carlyle
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Outre la CIA de Frank CARLUCCI, le lien de CARLYLE Group dans l’escroquerie des royalties se fait au travers de Pierre-Olivier SARKOZY (à droite) (ex UBS SA), demi-frère de l’ex Président français. Nicolas SARKOZY était ministre du Budget et de l’Intérieur lors de l’escroquerie et il est le beau-fils de Frank G. WISMER, directeur général de la CIA. Relevons que Marc BONNANT a été nommé Chevalier de la Légion d’Honneur par la France, alors que Nicolas SARKOZY était Ministre de l’Intérieur.

Pierre-Olivier SARKOZY a trempé dès le départ dans l’escroquerie des royalties. De 1990 à 1993, il était au service de Dillon, Read & Co qui a été acquise par la Société de banque suisse (SBS) en 1997 et a fusionné avec la banque londonienne d’investissement S. G. Warburg & Co. (acquise par la SBC en 1995) pour devenir la Warburg Dillon Read. L’entité issue de la fusion a ensuite fait partie d’UBS SA.

Pierre-Olivier SARKOZY a rejoint CREDIT SUISSE First Boston l’une des principales filiales de CREDIT SUISSE impliquée dans le blanchiment des royalties en 1993. Rappelons le scandale de la Mafia de l’or en argentine à cette époque et le pillage des avoirs argentins avec la complicité des frères José et Carlos ROHM et de la BGN (Banco General de Negocios). Là encore la présence d’un ancien sous-secrétaire d’Etat au Trésor des Etats-Unis, David MULFORD, démontre l’attrait des hauts fonctionnaires des USA pour le blanchiment d’argent. David MULFORD était administrateur de BGN et apparaît dans les registres du commerce de CREDIT SUISSE, CREDIT SUISSE International Holding et CREDIT SUISSE First Boston.

Le pillage des avoirs argentins s’est fait en complicité entre CREDIT SUISSE, CHASE MANHATTAN et la DRESDNER Bank. CREDIT SUISSE était actionnaire de deux sociétés panaméennes soupçonnées d’avoir mis en oeuvre ce réseau de fuite des capitaux : San Luis Financial Investment (12.8 %) et la banque uruguayenne Banco Commercial de Montevideo (27.4 %). Lukas MÜHLEMANN était alors Président du CREDIT SUISSE. Les deux sociétés panaméennes précitées font-elles partie des 176 sociétés dans lesquelles Marc BONNANT apparaît dans les Panama-Papers ?

En 2002, Pierre-Olivier SARKOZY est entré chez UBS SA comme codirecteur mondial des services financiers, et fut le conseiller principal d’importantes acquisitions de plusieurs milliards de dollars.

Le 3 mars 2008, il a été nommé directeur général et co-responsable des services financiers internationaux (Global Financial Services Group) du CARLYLE Group.

Philippe HILDEBRAND

Vice-Président de BlackRock
ex-Président de la Banque Nationale Suisse

Issue de la Société BlackStone fondée en 1988 par d’anciens salariés de l’entreprise CREDIT SUISSE First Boston, BlackRock a pris son nom en 1995 au moment de l’escroquerie des Royalties. BlackRock gérait à fin 2019, près de 7’000 milliards de dollars…

Parmi les fondateurs : Larry FINK, Robert S. KAPITO et Susan WAGNER avec le soutien financier de la banque Blackstone. L’entreprise avait comme objectif de fournir aux investisseurs institutionnels des services de gestion d’actifs et de risques. De 1995 à 2004, BlackRock était une filiale de PNC Financial.

En 1999, la société a été introduite en bourse. En 2004, elle a racheté la société State Street Research Management, puis a repris en 2006 la branche gestion d’actifs de la banque MERRILL LYNCH.

BlackRock est le premier actionnaire d’une société américaine sur cinq. Elle possède aussi au moins 5 % du capital de quatre sociétés américaines cotées en bourse sur dix, comme JP MORGAN, CHEVRON ou WALMARTE.

En Europe, BlackRock a investi dans l’entreprise de services numériques ATOS (blanchiment des royalties) dont elle possède plus de 5% du capital.

En France, BlackRock possède également 5,07% du capital et des droits de vote de BNP Paribas (blanchiment des royalties).

On retrouve avec BlackRock, le plus important gestionnaire d’actifs au monde avec plus de 6.9 trillards de dollars à fin 2019 : Mathis CABIALLAVETTA, Président de la Direction d’UBS SA en 1996 au moment de la levée des séquestres des royalties, Susan L. WAGNER (SwissRE), EINHORN Jessica (FMI, Worldbank), KOMANSKY David H. (Meririll Lynch), MAUGHAN Deryck (Goldman Sachs), NIXON Gordon M. (Royal Bank of Canada – Cptes transferts capitaux escroqués), VARLEY John (Barclays).

Rappelons aussi que BlackRock a repris les actifs de MERRILL LYNCH en 1999 (Banque directement impliquée dans l’escroquerie des royalties). Philippe HILDEBRAND, ex President de la BNS (Banque Nationale Suisse) a suivi toute la filière de l’escroquerie et du blanchiment. Il avait été engagé par Edgard de PICCIOTTO, un des piliers de l’escroquerie et du blanchiment aux côtés du notaire Pierre MOTTU et par extension de Marc BONNANT. Avant de se mettre au service de la Banque Nationale Suisse (BNS), Philippe HILDEBRAND était responsable des hedge funds de UBP (Union Bancaire Privée) elle aussi à la pointe du blanchiment des royalties, puis ensuite Président de la BNS (le Federal Reserve Suisse) dont de nombreux Administrateurs et Conseillers sont directement liés à l’escroquerie ou au blanchiment des royalties…

Executive Committe of BlackRock

BLUMER David (CREDIT SUISSE, SwissRe, Absolute), FAIRBAIRN Robert W. (UBS London, Merrill Lynch), GOLUB Ben (CREDIT SUISSE First Boston), McCOMBE Mark (HSBC), NOVICK Barbara (MORGAN STANLEY), PRAGER Richie (BANK of AMERICA), SCHIOLDAGER Amy (STANDARD & POOR’S), SHEDLIN Gary (MORGAN STANLEY, LAZARD Group), STEIN Derek (BARCLAYS, MERRILL LYNCH, ERNST & YOUNG), WIEDMAN Mark (FEDERAL RESERVE BANK NY, McKINSEY).

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