Translate this article

Crime contre l’Humanité

Maintenir notre confiance dans nos Gouvernements serait suicidaire. Par leur incompétence, nos dirigeants nous mettent tous en danger !

Confinement, blocage de l’économie, création de situations de peur, contraintes sanitaires, obligation ou trop fortes recommandations à se faire vacciner, annonces anxiogènes avec la complicité de la Presse corrompue, mise à l’écart de la société ou violences physiques et mentales si vous n’obéissez pas, etc… sont des crimes qui relèvent du « Code de Nuremberg ».

Nos états sont dirigés par des individus sous l’emprise de psychopathes (Klaus SCHWAB du World Economic Forum, Bilderberger, CFR et autres Francs-Maçons, etc.) qui veulent prendre le contrôle des Peuples.

Ne vous y méprenez plus, tous ceux qui adhèrent à cette vision actuelle du monde, ne sont pas des complotistes. Ce sont les CRIMINELS qui veulent contrôler les Peuples, qui sont des conspirateurs…

Ils doivent aujourd’hui tous être jugés selon le « Code de Nuremberg » décrit ci-dessous et il en sera de même pour tous les membres de nos Autorités, à tous les échelons politiques ou administratifs, qui seront complices de ces CRIMINELS qui agissent en bande organisée.

Procès de Nuremberg
du 20.11.1945 au 01.10.1946

Quel héritage le procès de Nuremberg nous a-t-il laissé ?

Nuremberg, au-delà des crimes de guerre, c’est aussi le procès des médecins…

NUREMBERG, c’est un procès intenté par les alliés contre 24 responsables du 3e Reich, accusés de crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’Humanité.

Crimes contre la paix :

Préparation, direction ou déclenchement d’une guerre d’agression ou de violation de traité. Sont aussi inclus les complots visant l’accomplissement d’un de ces actes.

Crimes de guerre

Les crimes de guerre sont en lien avec l’assassinat et les mauvais traitements infligés à la population civile, ou aux prisonniers militaires : La déportation ou l’exécution, le pillage de biens, la destruction de villes sans motifs, sont également des facteurs relevant des crimes de guerre.

Crimes contre l’Humanité

Ils englobent l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage et la déportation. Tout acte inhumain commis contre les populations civiles, les persécutions commises pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, qu’ils aient constitué ou non une violation du droit interne du Pays.

Le procès de Nuremberg eut lieu dans le Palais de Justice et constitue la première mise en œuvre d’une Juridiction internationale. Le procès amena à la pendaison de 12 condamnés, des peines de prison allant jusqu’à la perpétuité pour 7 personnes et 3 personnes furent acquittées. Les autres sont morts avant le procès ou étaient inaptes à être jugés.

A la suite du procès de Nuremberg, se sont déroulés d’autres procès dans les villes allemandes, dont le fameux procès des médecins.

Procès des médecins

Il concerne le procès de médecins fonctionnaires de l’Etat nazi, accusés de conspiration, crimes de guerre, crimes contre l’Humanité et appartenance à une organisation criminelle. Il s’ouvre le 9 décembre 1946, soit quelques semaines après la fin du procès de Nuremberg. Le procès dure 239 jours et c’est durant ce procès qu’on découvre plusieurs expériences qui ont été menées dans les camps de concentration nazis.

Ces quelques expériences qui ont été menées par les médecins dans ces camps :

  • La survie en haute altitude
  • La survie en hypothermie
  • La vaccination contre la malaria
  • Des tests sur le Typhus, les hépatites et autres maladies infectieuses
  • Des tests sur différents poisons et bombes incendiaires ainsi que sur le fameux gaz moutarde
  • Des études sur les sulfamides et la régénération des eaux
  • Des études sur la stérilisation de masse de personnes

Le Procès des médecins a conduit à 7 condamnations à mort, 9 peines de prison et 7 acquittements.

L’héritage de toute cette histoire est le « Code de Nuremberg ».

Code de Nuremberg (1947)

C’est une liste de dix critères contenus dans le procès de Nuremberg. Ces critères indiquent les conditions que doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme acceptables. Il s’agit du premier texte de prétentions universelles, à savoir :

  1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir, qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans quelque intervention d’éléments de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisante de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

    Ce dernier point demande, qu’avant de prendre une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience. Les méthodes et les moyens par lesquels elle sera conduite, tous les désagréments et les risques qui peuvent être raisonnablement envisagés et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir, du fait de sa participation à l’expérience.

    L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombe à chaque personne qui prend l’initiative de, dirige ou travail à l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelle qui ne peuvent pas être délégués impunément.
  2. L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’études pas aléatoire ou superflue par nature.
  3. L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude.
  4. Que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience.
  5. L’expérience doit être conduite de façon telle, que soient évitées toute souffrance et toute atteinte physique et mentale non nécessaire.
  6. Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison à priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront. Sauf peut-être dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets.
  7. Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire que doit résoudre l’expérience.
  8. Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessures, infirmités ou décès.
  9. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées, le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

    Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience, s’il a atteint l’état physique ou mental dans lequel la situation de l’expérience lui semble impossible.
  10. Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment. Cela a été conduit à croire dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui, qu’une continuation de l’expérience pourrait entrainer des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience.

Remarques et réflexions

Le « Code de Nuremberg » a souvent été pris pour un texte déontologique ou éthique, mais il s’agit bel et bien d’un texte juridique mis en place lors d’un procès pénal international, que malheureusement plusieurs Pays ne respectent pas toujours.

Comme le dirait Ashemsa M. Lewis, les règles, les Lois éthiques, sont d’une fragilité particulière. Elles peuvent être dépassées, contournées ou bafouées par les différents pouvoirs qui traversent une Société.

N’oubliez pas que vous êtes libres et que vous n’êtes pas des sujets d’expérimentation. Que vous avez le droit de savoir ce qu’il y a dans un produit. Qu’avant de vous injecter quelque chose dans votre bras, avec ou sans votre consentement, vous devez avoir été renseigné sur le produit et connaître ses ingrédients. Tout doit être communiqué pour que nous puissions faire un choix éclairé !

Alors gens du monde entier, posez-vous cette question : sommes-nous dans une expérience ?

Sur cette belle réflexion, pensez à vous, à vos familles et à tous ceux que vous aimez et surtout, ne faites pas confiance aveuglément à vos Autorités, dont les membres pour la plupart ne cherchent plus à préserver vos intérêts, puisque sachez-le, ils sont sous l’emprise de la mondialisation et des CRIMINELS qui la conduisent.

Et surtout, ne faites pas confiance aux MERDIAS et aux JOURNALEUX LOBOTOMISÉS QUI VOUS DÉSINFORMENT !

Vidéo : Le procès des médecins / ZANISTOS Présente :

https://www.youtube.com/watch?v=qQV8WtGlhOc&feature=youtu.be

.

Voir aussi :

Fervente partisane du mouvement anti-vaccination, MELANIA TRUMP lance un message retentissant

.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *