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ICIJ The International Consortium of Investigative Journalists (180 journalistes à travers le monde)

SwissLeaks. OffshoreLeaks, etc. nous parlent constamment de “Fraude d’évasion fiscale”… Posons-nous alors la question de savoir pourquoi ces “super journalistes” ne cherchent jamais à comprendre d’où proviennent les fonds détenus sur les comptes dont ils ont eu connaissance…

Quels sont les “Titres” qui participent aux révélations de l’ICIJ ? Le Washington Post, la BBC, le Guardian, le Süddeutsche Zeitung. En France Mediapart, Le Monde, en Suisse Le Temps (Tamedia) etc.

Pour la France et la Suisse en tout cas, il est évident que les titres concernés ont été financés par le blanchiment de l’escroquerie des royalties FERRAYÉ. Dès lors, doit-on s’étonner que l’information donnée (exemple 4 pages dans Le MATIN Dimanche du 15.02.2015) ne soit qu’un sujet traité de manière cosmétique et un pur blanchiment de l’information… ?

Pourquoi la banque CREDIT SUISSE dont le lien direct avec HSBC Private Bank SA est évident, n’est-elle jamais citée ?
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Ecmond SAFRA a joué un rôle majeur dans le blanchiment de royalties
voir le dossier MONEY PLANE

La Hongkong and Shanghai Banking Corporation (HSBC) avait son siège à Hong Kong jusqu’en 1993 où il a été transféré à Londres. L’expansion de HSBC a réellement débuté en 1992 avec l’escroquerie des royalties sur les brevets de Joseph FERRAYÉ.

Les royalties sur la vente des brevets FERRAYÉ – d’extinction et de blocage des puits de pétrole – ont été réalisées principalement à partir de la “French Trade Week” organisée du 23 au 29 septembre 1991 à Koweit-City dès la fin de l’extinction des puits, après l’opération “Tempête du Désert”. Il était question de quelque USD 3’600 milliards à l’époque. L’onglet “historique” détaille cette période. Les systèmes avaient également été présentés lors du “Sommet sur l’environnement et le Développement qui qu’était tenu du 3 au 14 juin 1992 à Rio de Janeiro.

Dans un premier temps en 1991 et 1992, les royalties ont été escroquées par les mandataires et les associés de Joseph FERRAYÉ, grâce à la complicité des membres du Gouvernement français (Présidence MITTERRAND) et de sociétés gouvernementales telles que ELF, FINA, TOTAL, FORASOL, etc. Rappelons que c’est le Ministre de l’INPI Dominique STRAUSS-KAHN qui avait dévoilé les brevets, à l’insu de Joseph FERRAYÉ. Sur le plateau de « Sans aucun doute », le célèbre avocat français Me COLLARD avait décrit la situation ainsi : « Là, on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs. Avec des hommes qui, pour garder l’affaire de leur côté, sont prêts à tout, du moment qu’un Etat a des intérêts qui sont reliés par d’autres Etats…».

Des dizaines de banques sur tous les Continents ont contribué à l’escroquerie des capitaux concernés, mais nous n’allons reprendre ici que celles en lien avec HSBC, parmi lesquelles les plus grandes banques privées de Suisse.

Edmond SAFRA (ami intime de Me Marc BONNANT) fondateur des banques suivantes :

RNB Republic National Bank of New York à New York

  • RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Zürich inscrite en date du1er février 1988 et radiée le 22 août 2006, sous le numéro RC CH-020.9.900.967-3
  • RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Genève inscrite en date du3 août 1989 et radiée le 12 avril 2002, sous le numéro RC CH-660.0.102.988-2.
  • RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Lugano inscrite en date du26 février 1988 et radiée le 23 mai 2001, sous le numéro RC CH-514.9.009.030-0.
  • Safra SA à Genève inscrite en date du 17 décembre 1984 et radiée le 8 décembre 2004 sous le numéro RC CH-660.0.768.984-2.
  • Trade Development Finance TDB SA Genève / CH-660.0.126.956-9 dont il est question dans le dossier MONEY Plane
La  Villa  Léopolda  a  été  acquise  en  1999  par  Edmond  SAFRA.  Elle.est située  sur  les  hauteurs  de  Villefranche-sur-Mer  et  Beaulieu-sur-Mer,  au lieu-dit   Col   de   Caire,   entre   Nice   et   Monaco.   Elle   possède   une   vue panoramique  sur  le  Cap  Ferrat  et  la  mer  Méditerranée.  Elle  est  entourée d’un   parc   de   8   hectares,   planté   de   plus   de   1200   arbres   d’essences diverses  (oliviers,  cyprès,  citronniers,  orangers  et  pruniers)  et  nécessite pour  son  entretien  plus  d’une  cinquantaine  de  jardiniers.  Valeur  estimée  à CHF 700’000’000.- à sa plus haute estimation.

Après la vente des banques “RNB” citées plus haut à HSBC, Edmond SAFRA est allé s’installer à MONACO où il a été assassiné le 03 décembre 1999.

Le 29 décembre 1999, 3 semaines après l’assassinat de Edmond SAFRA, HSBC a repris la Royal New-york Corp et la Safra Republic Holdings SA pour le prix de USD 9.85 milliards – valeur 1999.

L’infirmier américain Ted MAHER a été reconnu coupable et condamné pour le meurtre d’Edmond SAFRA et d’avoir été l’auteur de l’incendie. Ce n’était qu’une mise en scène Envers l’Opinion publique. En réalité, le corps d’Edmond SAFRA a été retrouvé avec les testicules arrachés et fourrés dans la bouche, ce qui semblait être la signature de la mafia russe. De l’ADN masculin non identifié a du reste été retrouvé sous les ongles de SAFRA.

Selon un témoin, au lendemain de la mort d’Edmond SAFRA, sa fille a convoqué la gouvernante de ses enfants, pour s’occuper d’eux pendant que la famille discutait du drame dans la pièce d’à côté. C’est à cette occasion que la Gouvernante a appris que le corps de SAFRA avait été retrouvé selon la description faite plus haut. Apparemment,des hommes armés avaient fait sauter une trappe dans le toit et avaient pénétré en moins de deux minutes dans l’appartement. D’après un autre témoin qui s’était quelque temps auparavant rendu à la villa de SAFRA, 40 agents spéciaux du MOSSAD veillaient en permanence sur la sécurité du banquier.

Il est avéré que SAFRA vendait des armes aux indépendantistes Tchétchènes, probablement pour le compte d’ISRAEL et des ETATS-UNIS qui au lendemain de l’effondrement de l’Union soviétique avaient intérêt à détourner l’agressivité débridée des russes dans des confits au Caucase.

Or, la RTS (Télévision Suisse française) qui a couvert le procès à MONACO, a rapporté les faits tronqués suivants : « le 3.12.1999 vers 4 h 45, Ted MAHER, infirmier employé par Edmond SAFRA depuis quelques mois, s’est donné plusieurs coups de couteau faisant croire à l’irruption dans l’appartement de deux agresseurs armés et cagoulés […] Ce n’est que vers 7 h 45, près de trois heures après le début des faits, que les secours parvinrent jusqu’à la pièce où ils retrouvèrent Edmond SAFRA et son infirmière, Viviane TORRENTE, morts asphyxiés par la fumée ».

Contradiction : selon le policier Olivier JUDE, Viviane TORRENTE avait été retrouvée étranglée…

Edmond SAFRA était atteint de la maladie de Parkinson et dépendait de son infirmier pour se déplacer. Au moment de la procédure à Monaco, c’est Me Marc BONNANT qui a assurait la défense de SAFRA. Avant leur audition, les témoins, femmes de chambre et personnel d’intendance, avaient été préparé aux questions qui allaient être posées et chacun avait reçu les réponses qu’il devait donner. Des témoins peuvent confirmer ce qui précède.

Me Marc BONNANT a monté tout ce scénario pour couvrir son complot et dissimuler le fait qu’il avait utilisé le réseau des banquiers privés et le réseau BEN LADEN pour détourner les fonds provenant des royalties. La signature des Tchétchènes dans l’assassinat d’Edmond SAFRA démontre la volonté de BEN LADEN avec l’aide des Tchétchènes de se venger contre ceux qui avaient utilisé ses réseaux bancaires.

Comme relevé plus haut, Me Marc BONNANT était ami intime de Edmond SAFRA. Mais il est fort probable selon les investigations bancaires, que BONNANT n’a été au courant de l’implication de son ami dans les détournements opérés depuis 1991 par le MOSSAD, par ELF et MOTTU et consorts – qui s’étaient adressés à la Republic National Bank of New York pour faire transiter les fonds escroqués – qu’après les séquestres obtenus en 1996.

Rapelons que suite aux séquestres de janvier 1996 obtenus par Daniel LEVAVASSEUR, ex Agent de la DGSE au service de Joseph FERRAYÉ, sur plainte de l’Inventeur rédigée par Me Marc BONNANT et son associé Dominique WARLUZEL, que les deux avocats précités de FERRAYÉ – se sont faits corrompre et que dès lors Marc BONNANT a déclaré qu’il ne fallait pas que Joseph FERRAYÉ touche un seul dollar, parce qu’il l’utiliserait pour les faire tous mettre en prison…

Les Présidents George W. BUSH et Bill CLINTON et les membres des Gouvernements occidentaux, France en tête, ont mis le feu aux poudres et enflammé les Peuples Islamistes pour couvrir leurs crimes… Nous avons compris aujourd’hui le jeu de l’Etat profond et savons que les mondialistes ont pris le contrôle du blanchiment des royalties…

Réseau financier d’Oussama BEN LADEN pour blanchir les royalties

Voir l’article en cliquant ICI

Les attentats successifs de Oussama BEN LADEN contre la HSBC prouvent l’implication de cette banque dans les détournements des royalties. Au surplus, la procédure engagée entre Jacob SAFRA (frère d’Edmond) et Lilly SAFRA, l’épouse d’Edmond SAFRA dont le défenseur et ami est à nouveau Marc BONNANT, tente à démontrer qu’un conflit était survenu après la mort d’Edmond SAFRA, concernant le partage des montants escroqués. Au surplus Marc BONNANT était membre du conseil d’administration de plusieurs des sociétés SAFRA…

L’Opinion publique a été intoxiquée par la désinformation et les fausses déclarations en lien avec les attentats du 11 septembre 2001 aux USA.

Lors des perquisitions en Suisse et en France, dans les locaux de Yeslam BEN LADEN (frère d’Oussama) suite aux attentats, les autorités judiciaires ont établi l’existence d’un compte UBS ouvert jusqu’en 1997.

Yeslam BEN LADEN, a déclaré que ce compte représentait l’héritage de leur père réparti entre les 54 enfants de feu Mohammed BEN LADEN.

Or, comme en témoigne l’extrait ci-dessous d’un article du 12 octobre 2001, le père de Yeslam et d’Oussama BEN LADEN est décédé en 1968 dans un accident d’hélicoptère – Le Point du 12.10.2001

Yeslam BEN LADEN aurait indiqué au magistrat français Renaud VAN RUYMBEKE que deux de ses frères avaient ouvert ce compte à l‘Union de banques suisses (UBS à Genève), sur lequel il avait un pouvoir, pour y recueillir l’héritage familial. Héritage redistribué ensuite sur autant de comptes qu’il y avait d’héritiers, dont Oussama ben Laden…

Ainsi, l’héritage aurait été distribué plus de 30 ans après le décès du père… de qui se moque t-on ?

Comme on le voit plus bas, ce compte aurait justifié un solde de plus de 16 mia de dollars. Les juges genevois ont donc monté de toute pièce cette désinformation pour couvrir « leur implication et leur responsabilité dans les attentats » et garantir la sécurité de leur complice Yeslam…

En récompense, ce frère de terroriste a obtenu la naturalisation suisse des autorités genevoises…

Yeslam BEN LADEN avait expliqué que ce compte bancaire avait servi à recueillir l’héritage familial avant d’être redistribué entre les héritiers. Il était entendu comme témoin assisté dans une enquête ouverte pour « blanchiment » à Paris. Le juge VAN RUYMBEKE était saisi depuis décembre 2001 d’une enquête sur des mouvements financiers entre différentes sociétés appartenant à Yeslam BEN LADEN, naturalisé suisse pour qu’il ne soit pas « livrable »…

Les autorités genevoises ont ainsi protégé leur complice contre toute extradition, à l’image de Marc RICH, le criminel économique condamné à 325 ans de prison aux Etats-Unis, mais grâcié par Bill CLINTON sur simple demande de Pierre DE WECK de l’UBS… au titre d’entraide CRIMINELLE…

Au sein du Crime organisé étatico-bancaire tout va très vite… La demande DE WECK a été adressée au Président CLINTON le 4.12.2000 et la grâce présidentielle est intervenue dans le même mois comme en témoigne l’article de Presse accessible en page 2 du lien précité… On imagine donc comment les CLINTON ont financé les crimes multiples qu’ils ont commis, les voyages sur l’Île d’EPSTEIN, la pédophilie, etc.

Les détournements opérés l’ont été en complicité avec les Pays pétroliers, ABB Vetco Gray (RUMSFELD au conseil d’administration), ELF, FORASOL (Sté de forage à Paris), GEOSERVICE (Sté de forage appartenant à Jean-Christophe MITTERAND), PIPELINE SERVICES, agissant tous sous couverture de ARAMCO (Arabian American Company) appartenant à la famille SAOUD d’Arabie Saoudite qui dirige un État qui ne reconnaît pas à ce jour le Droit de propriété intellectuelle.

Les investigations ont mis en lumière déjà des centaines d’entreprises en Europe liées aux détournements et la liste grandit chaque jour. Toutes seront poursuivies pénalement, tout comme les membres de leurs conseils d’administration depuis 1991. Ce dernier point contribue à donner la mesure de la responsabilité financière des Sociétés et des Etats qui ont été complices du détournement des brevets.

Si vous êtes en mode traduction, cliquer ICI pour traduire

Dans un autre article du « Réseau Voltaire », on voit qu’Oussama BEN LADEN a touché sa part du Saudi BEN LADEN Group et non l’héritage prétendu par Yeslam, en 1994 pour un montant de USD 300 millions.

Décès du père d’Oussama BEN LADEN en 1968 – Héritage

On raconte que lorsque le vieux Ben Laden s’est tué dans un accident d’hélicoptère en 1968, le roi Fayçal, qui n’a pleuré que deux fois dans sa vie, versa des larmes sur son ami. Oussama a alors 11 ans et hérite de 80 millions de dollars. Son oncle, puis son frère aîné Salem (qui se tuera lui aussi dans un accident d’avion au Texas en 1988), reprennent les rênes du consortium. (Extrait d’un article Le Point 12.10.2001)

Si chacun des 54 frères et soeurs de Yeslam BEN LADEN a touché le même montant de USD 300 millions, ceci représente un total de USD 16’200’000’000.-. (USD 16.2 milliards).

Or, dans ses deux déclarations des 6 février 1996 et 3 avril 1996, le Notaire Pierre MOTTU auteur des conventions de transferts des royalties séquestrées a déclaré (03.04.1996 page 5), que 17 milliards de dollars faisaient l’objet des indemnisations qui devaient être versées à Joseph FERRAYE. Le Procureur général de Genève Bernard BERTOSSA, les Avocats BONNANT et WARLUZEL et le Notaire Pierre MOTTU, semblent avoir alors accordé les droits consentis par les commanditaires du complot, (le gouvernement français) à Yeslam BEN LADEN, le nouveau citoyen suisse chéri des genevois, grâce au réseau financier duquel ils ont détourné les fonds pour les rendre non retraçables !

Dès lors, il n’en fallait pas plus pour que la guerre de Oussama BEN LADEN contre les Etats-Unis et l’Occident soit déclarée.

En qualité de Musulman pure, Oussama BEN LADEN n’a pas toléré que le Crime organisé occidental ait utilisé son réseau financier.

Les premiers attentats contre le World Trade Center en 1993, puis ceux contre les ambassades américaines de Nairobi et de Dar es-Salaam en 1998, ceux de Dharan, du Yémen (le navire USS Cole en octobre 2000), sont susceptibles de porter sa marque, tout comme les attentats successifs partout dans le monde contre la HSBC.

C’est probablement ce contexte qui a donné l’idée au Gouvernement républicain de George W. BUSH de commanditer les attentats du 11 septembre 2001 (voir vidéo ci-dessous), en faisant porter la responsabilité sur Oussama BEN LADEN… Mais le Gouvernement BUSH avait sous estimé les conséquences de ses actes !

Oussama BEN LADEN a déclaré la guerre aux Etats-Unis à partir du moment où les commanditaires du complot ont pillé l’IRAK (pays islamique) en augmentant le coût des extinctions (Offre FERRAYÉ USD 30 millions) par 2.6, selon les révélation de BERTOSSA.

En février 1996 après le séquestre des capitaux sur plainte de Joseph FERRAYÉ, quand des milliers de milliards ont été découverts, BEN LADEN a lancé un appel à s’attaquer aux intérêts américains partout dans le monde. Il devenait dès lors l’ennemi public N°1 officiel des États Unis.

4’000 enquêtes pénales étaient ouvertes au sein des tours jumelles du World Trade Center, concernant des transactions boursières louches et portant sur le blanchiment d’argent, au moment des attentats. Des articles parus ont également confirmé que le WTC abritait les archives informatiques de WALL STREET… Ainsi, par l’anéantissement du WTC, le gouvernement BUSH a fait disparaître l’ensemble des preuves de son implication dans le détournement des quelque USD 3’600 milliards des capitaux encaissés pour la vente des systèmes FERRAYE !

Etait-ce suffisant pour que le Gouvernement américain commandite un attentat qui a coûté la vie à 2’977 de ses Citoyens et en a blessés 6’300 autres ? L’Argent et la peur de devoir assumer leurs responsabilités ont-ils poussés des dirigeants à de telles atrocités ?

Cette période correspond à la date de l’utilisation du réseau d’Oussama BEN LADEN, par son frère Yeslam et les commanditaires du complot – Etat français et République et Canton de Genève, Les Cantons de Genève, Vaud, Fribourg, Zürich, Argovie, Bâle et Zug en tête – sont donc les premiers responsables du terrorisme en occident. Tous les Cantons Suisses ont suivi par la suite pour opérer le blanchiment et comme l’a dit le Conseiller National PDC (Parti des corrompus) fribourgeois Dominique DE BUMAN devant la Presse : “Tout est pourri chez nous ! Si je révélais ce que je sais, c’est toute la Suisse fédérale qui tremblerait…” !

Jean-Claude JUNKER Président de la Commission Européenne et Simonetta SOMMARUGA, Présidente de la Confédération suisse en 2020

Jean Claude JUNCKER et la Présidente de la Confédération Simonetta SOMMARUGA dans une étreinte à l’image d’une grande amitié… ou d’une grande complicité ! Jean Claude JUNCKER était Premier Ministre luxembourgeois au moment de l’escroquerie des royalties.

En 1996, au moment de la levée des séquestres des royalties escroquées, la Chambre de compensation CEDEL sise au Luxembourg avec succursale à Genève, est devenue CLEARSTREAM. Elle était alors dirigée par André LUSSY, ex UBS CLEARSTREAM offrait toute l’opacité nécessaire aux trafics menés par les criminels. Et Jean-Claude JUNCKER n’a pas fait que blanchir l’évasion fiscale avec son Gouvernement, il a contribué à l’escroquerie et au blanchiment des centaines de milliards de dollars des royalties FERRAYÉ. Ernest BACKES, complice dans ces détournements à l’encontre de FERRAYE et cosignataire du livre Révélation$ était employé de CEDEL devenue CLEARSTREAM. Il connaissait les rouages et a été licencié, ce qui l’a conduit à dénoncer. Toutefois, BACKES a voulu négocier ses révélations et c’est pour cette raison qu’après avoir promis à FERRAYÉ de l’aider et lui remettre tous les documents utiles, il a fini par « vendre » l’inventeur et a donné les documents de preuves de l’escroquerie, au Procureur suisse de Genève Bernard BERTOSSA. Il a ainsi été corrompu directement par BERTOSSA. Les centaines de milliards escroqués sur les brevets FERRAYÉ, sont ainsi directement la source de « L’AFFAIRE CLEARSTREAM » depuis 1992.

C’est intéressant de relever que le 18 février 2015, une perquisition a été ordonnée par le Procureur général de Genève Olivier JORNOD, au siège de HSBC. La perquisition s’est faite par le Procureur général Olivier JORNOD et le Procureur Yves BERTOSSA, le fils de Bernard BERTOSSA qui a contribué à escroquer les royalties FERRAYÉ… C’est comme ça que fonctionne la « justice » genevoise où TOUT EST CORROMPU ! Il est important pour le Crime organisé, de veiller à ce qu’aucune brèche ne laisse révéler les crimes qu’ils ont commis !

CLEARSTREAM sert à masquer les flux financiers, qu’ils soient licites ou criminels. Révélation$ de Denis ROBERT et d’Ernest BACKES, démontre que « Les motifs de ces dissimulations de transferts bancaires internationaux sont nombreux. Ils peuvent aller de la simple recherche de confidentialité dans le cadre d’opérations commerciales au blanchiment d’argent sale, en passant par le délit d’initiés, la corruption, le blanchiment d’argent ou l’évasion fiscale ». Le moyen de cette occultation est la pratique des « comptes non publiés ».

CLEARSTREAM s’est mis à ouvrir des comptes non publiés qui se seraient multipliés depuis le début des années nonante – Les détournements des centaines de milliards de FERRAYE sont survenus dès juillet 1991. Au nombre de 1900 chez CLEARSTREAM en 1995, ces comptes auraient été au nombre de quelque 7500, cinq ans plus tard, soit l`équivalent de la moitié de tous les comptes gérés par la société du Suisse André LUSSI ex responsable UBS SA Et ceci au moment même où quelque 3’600 milliards de dollars (cours de l’époque) étaient escroqués… La vidéo ci-dessous est significative du mode de fonctionnement de HSBC dans ces transactions.

Compte tenu des rendements des capitaux pendant 20 ans, ce montant peut être estimé à ce jour (2021) à plus de CHF 70’000 milliards, voire beaucoup plus encore, sans compter les dommages et intérêts.

Une étude de Christian CHAVAGNEUX, auteur de « Economie et politique internationale » titrait dans le journal « Alternatives économiques » N° 194 de juillet 2001 :

« 4000 milliards d’euros d’argent sale »
« L’affaire CLEARSTREAM a bouleversé les estimations réalisées jusqu’à présent, du montant d’argent sale circulant dans le monde.

L’histoire commence en février dernier, quand sort le livre de Denis ROBERT et d’Ernest BACKES, Révélation$ (éd. Les Arènes). Il explique comment la société privée CLEARSTREAM organise une comptabilité parallèle (des comptes « non publiés ») qui enregistre des transferts financiers internationaux en partie douteux


Bernard SABRIER

Bernard SABRIER, fondateur des banques suivantes rachetées par les banques SAFRA :

Outre le fait que Bernard SABRIER a été administrateur des trois banques “RNB” Republic National Bank of New York d’Edmond SAFRA citées plus haut, il a été également le fondateur des banques “UNIGESTION” dont l’une a été rachetée par RNB après la levée des séquestres. S’agissait-il d’effacer toute trace de la complicité dans l’escroquerie des royalties ?

Banque Unigestion SA inscrite en date du 3 juin 1971 et radiée le 22 mars 2000, sous le numéro RC CH-020.9.900.967-3. Actifs repris par RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Genève.

Unigestion Holding SA inscrite en date du 11 août 1988 sous le numéro RC CH-660.0.627.988-7

Liens avec les protagonistes qui ont initié l’escroquerie des royalties

Ce qu’il est intéressant d’observer dans le cadre des deux banquiers (SAFRA plus haut et SABRIER), ce sont les intervenants administrateurs de ces banques, qui sont directement liés aux protagonistes qui ont initié l’escroquerie des royalties FERRAYÉ comme le démontre notre base de données qui compte plus de 741’000 liens dans le blanchiment des royalties…

De multiples sociétés avec le même nom, créées sous des N° RC différents ne semble intéresser aucun procureur… Pas plus du reste que le fait du siège social d’UBS SA, domiciliée à la Bahnhofstrasse 45 à 8001 Zürich, enregistrée en Suisse, soit aussi enregistrée sous le même nom, à la même adresse de Zürich, mais enregistrée cette fois-là à Londres…, ce qui ouvre les portes à une double comptabilité !!!

Est-ce parce que des homonymes de ces procureurs figurent en nombre dans notre base de données du blanchiment ? Ceci dénote en tout cas le niveau de corruption des institutions suisses (exemple 2) (exemple 3) (exemple 4) jusqu’au sommet de l’Êtat, tout comme pour la France du reste… L’Etat de Droit a cédé sa place au Crime Organisé !

La vidéo ci-dessous « comprendre le fonctionnement de HSBC » donne une idée concrète sur la manière par laquelle tous les membres de cette organisation gigantesque du crime organisé échappent à des poursuites pénales…

Téléchargez la vidéo pour la visualiser plus facilement

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Mais au-delà et grâce à complicité de la Presse mainstream corrompue, les banquiers vont – avec l’aide des gouvernements corrompus eux aussi – mettre en place une nouvelle stratégie pour blanchir définitivement les capitaux escroqués, qui se calculent en milliers de milliards d’Euros, de USD ou de CHF, etc.

Cette stratégie doit permettre aux détenteurs des royalties escroquées (Personnes physiques ou morales) de devenir officiellement titulaire des capitaux cachés (escroqués), moyennant une petite amende substantielle pour laisser croire au bon Peuple que la “justice” fait son travail… C’est bien pour cette raison que dans aucun Pays, pour aucun des cas dénoncés dans la Presse, les Ministères publics ou autres organes de “justice” ne recherchent ou plutôt ne veulent pas enquêter sur la provenance des capitaux qui ont ainsi échappé au fisc…

HSBC est-elle la machine à laver l’argent sale de CREDIT SUISSE et d’UBS ?

Prenons l’exemple de “HSBC Private Bank (Suisse) SA  à Genève
RC CH-660.0.074.001-4” créée le 09.01.2001

3 Admin. lors de la création :

  • Junod Charles-André, de Sainte-Croix, à Chêne-Bougeries, adm. président
  • Jacquemoud Jean-Pierre, de Genève, à Genève, adm. vice-président
  • Marcos Ezra, de Genève, à Genève, adm. secrétaire

Une recherche de ces trois seuls administrateurs dans notre base de données, fait apparaître plus de 16’400 liens dans le blanchiment des royalties escroquées, au niveau international… On y croise bien sûr les noms de Marc BONNANT, Pierre MOTTU, Alexandre ZELLER qui a suivi les fonds depuis leur escroquerie (CREDIT SUISSE, BCV, HSBC), Jean-Paul AESCHIMANN, Anton AFFENTRANGER (UBS) de nombreux francs-maçons, politiciens, banquiers, etc.

Devons-nous alors nous étonner des dérives de l’économie, lorsque celle-ci est en mains d’individus sans aucune morale, qui ignorent l’éthique et sont sans aucun scrupule, sachant que les politiciens qui cherchent à se faire élire, ne le font que pour bénéficier des retombées que le Crime organisé dispense pour ne pas être inquiété ?

Les “petits copains” de la place de Genève, contrôlent la finance européenne

Les liens des “petits copains” genevois corrompus dans notre base de données démontent que ceux-ci ont totalement perdu la tête lorsque la manne financière de centaines de milliards de dollars a été mise entre leurs mains au début des années 1990… Ils ont cru prendre le contrôle du Monde et aujourd’hui le boomerang revient à eux. Il est temps de construire de nouvelles prisons pour assurer leurs détentions.

Selon contrat de fusion du 10.04.2001 HSBC Privat Bank (Suisse) SA Genève (CH-660.0.074.001) créée le 9 janvier 2001 a repris les actifs de HSBC Republic Bank (Suisse) SA Genève (Nouveau nom de la RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA de SAFRA, avec des actifs de CHF 24’658’630’000 et un passif envers les tiers de CHF 23’575’504’000, soit un actif net de CHF 1’083’126’000.

Parallèlement (3 à à la même date de fusion) les établissements suivants étaient repris par HSBC Republic Bank (Suisse) SA Genève :

  • HSBC Bank USA Singapour CHF  89’742’000 – 10.04.2001
  • HSBC Bank USA Hong Kong CHF 120’806’000 – 10.04.2001
  • HSBC Investment Bank Asia Ltd Hong Kong CHF 319’273’000 – 10.04.2001
  • Crédit Commercial de France Genève CHF  26’599’802 – 24.02.2003
  • HSBC Private Bank Luxembourg CHF 124’956’000 – 05.09.2008 Total CHF 681’376’802

Le but visé par ces multiples fusions était assurément de faire disparaître tout trace de transferts des fonds escroqués sur les royalties.

Cette situation nous conduit à comprendre que la RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA Genève ex propriété d’Edmond SAFRA, inscrite sous le N° RC CH-660.0.074.001-4 détenait 4 fois plus de fonds que l’ensemble des HSBC dans le monde… Et ça Me Marc BONNANT et son associé Dominique WARLUZEL, avocats à Genève ont dû très vite s’en rendre compte après la plainte qu’ils avaient rédigées pour Joseph FERRAYÉ, qui avait conduit au séquestre des capitaux.

C’est assurément pour cette raison que les deux Avocats genevois BONNANT ET WARLUZEL – encensés depuis 20 ans par la Presse mainstream et les télévisions suisses françaises (tous corrompus) qui sont à leurs ordres et qui vont endosser une lourde responsabilité due à leur désinformation publique – ont trahi leur Client et pris le contrôle de l’escroquerie, en complicité avec les banquiers, le Notaire Pierre MOTTU, l’Avocat zurichois Mark BRUPPACHER, les Avocats et membres du Gouvernement français, etc.

CREDIT SUISSE reprend le contrôle des “petits copains” de la place de Genève

Le Schweizerische Kreditanstalt, aujourd’hui CREDIT SUISSE a été impliqué dès le début dans l’escroquerie des royalties, par Rainer E. GUT qui en était le Président et qui avait également la signature dans la société offshore EVERTON Enterprise Ltd aux Iles Vierges britaniques créée pour faire transiter les royalties escroquées. Dans ce dernier lien, par la présence de Josef ACKERMANN, on prend conscience de la corruption et du blanchiment à l’international, comment des individus peuvent provoquer le grounding d’une compagnie nationale (SWISSAIR), le 2 octobre 2001, dans le seul but de blanchir des milliards qu’ils ont escroqués, sans tenir compte à aucun moment des conséquences économiques pour les populations.

Le 3 décembre 2008, CREDIT SUISSE veut prendre le contrôle de l’équipe des “petits copains” de la finance genevoise et près de 8 ans après la création de la HSBC Privat Bank (Suisse) SA Genève, CREDIT SUISSE place son pion Alexandre ZELLER à la tête de HSBC. C’est sous sa direction que de nombreuses données ont été soustraites par le lanceur d’alerte Hervé FALCIANI.

Quatre mois plus tard, HSBC Guyerzeller Bank AG Zürich avec succursale à Genève, inscrite au RC le 28 avril 1939 avec un capital de CHF 5’000’000.- a été fusionnée. Ce n’est qu’au 31 janvier 2002 (blanchiment après levée des séquestres) que le capital de la banque précitée avait passé à de CHF 5’000’000 CHF 55’000’000, puis ensuite à CHF 95’000’000 trois mois plus tard le 25 avril 2002. C’est à ce moment-là qu’étaient réalisées les fusions avec le Crédit commercial de France (Suisse) SA à Genève et la Handelsfinanz-CCF Bank à Genève aussi. HSBC Guyerzeller Bank AG Zürich a été reprise par HSBC Privat Bank (Suisse) SA Genève par contrat de fusion du 12 mars 2009.

Pour mémoire, en 2000, HSBC avait acquis le Crédit commercial de France (CCF). Le 9 novembre 2005, le CCF et certaines de ses filiales (Banque Hervet, Banque de Baecque Beau, Banque de Picardie et UBP Union de Banques Paris) ont changé leur raison sociale pour apparaître sous la marque HSBC. Au cours du 1er semestre 2008, HSBC a revendu aux Banques Populaires ses sept banques régionales n’apparaissant pas sous la marque HSBC : SMC, Banque de Savoie, Chaix, Marze, Dupuy de Parseval, Pelletier et CCSO. Le 1er août 2005, l’ex-CCF, la Banque Hervet, la Banque de Baecque Beau, l’UBP et la Banque de Picardie ont fusionné juridiquement sous le nom de HSBC France (Extrait wikipedia).

Conclusion

A l’instar de ce qu’était la BCCI (Bank of Credit and Commerce International) basée une fois de plus au Luxembourg, avant sa faillite retentissante en 1972, HSBC est assurément l’établissement financier qui offre la meilleure structure au Crime organisé. Quel que soit le “Corporate governance” officiellement fourni par la banque et ses satellites multiples, HSBC offre toutes les options pour contourner les Lois, escroquer les Citoyens (Libor, Euribor, Subprime, etc), HSBC trempe dans toutes les magouilles. Et là, encore une fois rien d’étonnant, quand l’on sait que la banque en question a fondé sa stratégie sur l’escroquerie et le blanchiment de centaines de milliards de dollars (engageant ainsi la responsabilité des Etats-Unis à leur insu, officiellement du moins), au travers de protagonistes sans scrupule et sans foi ni Loi.

Il est temps de mettre un terme à cette banque de CRIMINELS et nous allons prendre le contrôle de tous ses avoirs en compensation du préjudice subi.